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Abrufhemmungen über die Lebensspanne /

Zellner, Martina. January 2005 (has links)
Diss.--Universität Regensburg, 2004. / Bibliogr. p. 149-166.
2

Les Stratégies mnésiques approche développementale et différentielle.

Demerval, René, January 1987 (has links)
Th. 3e cycle--Psychol.--Lille 3, 1986.
3

Qualitative differences in retention /

Wenestam, Claes-Göran. January 1900 (has links)
Akademisk avhandling--Psykologi--Göteborg, 1980. / Bibliogr. p. 185-193.
4

Statut vaccinal diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche et hépatite B de l'adolescent et l'adulte jeune premier tour d'audit auprès de 49 médecins généralistes lorrains /

Bravetti, Vincent Birgé, Jacques. January 2007 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine : Nancy 1 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre.
5

Qualitative differences in retention

Wenestam, Claes-Göran, January 1980 (has links)
Thesis--Gothenburg. / Extra t.p. with thesis statement inserted. Includes bibliographical references (p. 185-193).
6

L'effet de l'âge sur la performance de rappel mnémonique volontaire chez l'enfant

Dionne, Joannie January 2010 (has links) (PDF)
Le rappel volontaire, en contraste avec le rappel automatique, est la capacité d'isoler en mémoire une composante qui est liée de façon arbitraire avec d'autres dimensions mémorisées et de rapporter cette composante, spécialement dans un contexte de haute interférence provenant d'évènements similaires (Petrides, 2002). Le cortex préfrontal ventrolatéral est impliqué de façon sélective dans le contrôle de ce rappel volontaire chez l'adulte et chez le primate (Cadoret et al, 2001 ; Cadoret et Petrides, 2007). Le but de cette étude était d'examiner les capacités de rappel volontaire chez l'enfant. Trois groupes d'enfants âgés de 6, 8 et 11 ans (n=70) ont été testés sur une tâche qui a été construite originalement pour des études d'imagerie chez l'adulte et chez le singe. Le principe de la tâche est de présenter durant la première phase d'encodage, un stimulus comprenant plusieurs composantes et ensuite après un court délai, de présenter une question demandant au sujet de rapporter un aspect de ce stimulus encodé comme sa couleur, sa forme, etc. Finalement, après un second délai, durant la phase test, un stimulus test est présenté et le sujet doit décider si ce stimulus correspond à l'aspect particulier que le sujet devait se rappeler. Les enfants étaient testés sous deux conditions. Dans la condition 1, ils devaient mémoriser soit la forme ou la couleur du stimulus précédemment encodé. Dans la condition 2, ils devaient mémoriser la forme, la couleur ou le son du stimulus encodé. Les résultats principaux démontrent qu'entre 6 et 11 ans, les enfants sont capables de rappel volontaire, c'est-à-dire d'isoler en mémoire une caractéristique visuelle particulière suite à une instruction et dans un contexte interférent. Cette capacité chez l'adulte, est supportée par le cortex préfrontal ventrolatéral. Néanmoins, chez les enfants en bas âge (< 8 ans) cette capacité est encore vulnérable et dépend de la composante qui doit être mémorisée ainsi que de la difficulté de la décision à prendre lors de la situation test. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rappel mnémonique volontaire, Enfants d'âge préscolaire, Cortex préfrontal ventrolatéral, Tâche de rappel.
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Rappel explicite d’une ventilation mécanique à l’unité des soins intensifs : une analyse conceptuelle

Michaud, Mylène Suzie January 2017 (has links)
La ventilation mécanique à l’unité de soins intensifs (USI) nécessite l’administration de médicaments pour diminuer entre autres la douleur, l’inconfort, l’anxiété et l’agitation. Un rappel explicite fait référence au phénomène où la personne se rappelle les perceptions survenues sous sédation lors d’une ventilation mécanique (ex. : voix, bruit, rêve, incapacité à communiquer et frustration). Par ailleurs, les cauchemars, les hallucinations et les délires perçus sous ventilation mécanique sont interprétés de façon bien réelle par les patients ventilés, et donc très troublants. Le rappel explicite peut se manifester immédiatement après la ventilation mécanique ou plusieurs mois après un séjour à l’USI. Malheureusement, des conséquences psychologiques graves peuvent survenir à la suite d’un rappel explicite d’une ventilation mécanique à l’USI. Malgré le fait que ce phénomène soit depuis de plus en plus étudié en sciences infirmières, il est mal défini et il n’existe pas de langage commun pour le signifier dans la littérature en sciences infirmières. Le flou conceptuel entourant un rappel explicite pose problème dans la compréhension du phénomène, le développement de concept propre à la discipline infirmière ainsi qu’au développement des connaissances en soins critiques. Une analyse conceptuelle a été effectuée selon la méthode évolutionniste de Rodgers (2000a) dans le but de clarifier le concept de rappel explicite. Cette méthodologie de recherche est congruente avec les fondements philosophiques du paradigme constructiviste. Au total, 78 articles ont été analysés de manière interdisciplinaire (médecine et sciences infirmières). En résumé, les résultats indiquent qu’un rappel explicite se manifeste à la suite d’un traitement (chirurgie ou ventilation mécanique) nécessitant des modalités d’anesthésie ou de sédation, de plus la réponse aux médicaments varie en fonction des caractéristiques individuelles (antécédents). Le rappel explicite se défini comme étant perceptif, interprétatif, subjectif, dynamique et temporel (attributs). À la suite d’une rappel explicite, la trajectoire psychologique comporte diverses conséquences psychologiques pouvant mener à un état de stress post- traumatique (conséquences).
8

La sensibilité au traitement sensoriel : une question de focus?

Benard, Charlélie 06 January 2023 (has links)
La recherche portant sur la réactivité face à l'environnement s'intéresse à expliquer pourquoi certains individus traitent la nouveauté de façon à s'en approcher, alors que d'autres cherchent à s'en distancer (Zuckerman, 1994). En fonction des stratégies d'orientation face à la nouveauté, certains individus expérimenteraient davantage de difficultés attentionnelles. La sensibilité au traitement sensoriel (STS) constitue un trait de personnalité expliquant le traitement différentiel de l'information provenant des sens (Aron et Aron, 1997). Certains chercheurs suggèrent que la distraction jouerait un rôle important dans la compréhension du fonctionnement cognitif associé à la STS. Afin de déterminer l'existence d'une association entre la STS et la sensibilité à la distraction, le résultat au Highly Sensitive Person Scale, une mesure autorapportée de STS, a été utilisé afin de prédire la magnitude de la manifestation de deux formes de distraction auditive : l'effet de déviation et l'effet d'état constant. Un niveau de STS élevé devrait être associé à une distraction auditive accrue. Cent vingt-trois participants ont réalisé une tâche de rappel ordonné visuel dans un paradigme de stimuli auditifs non pertinents comportant une condition silencieuse, une condition comportant uniquement des sons répétés, et une autre comportant des sons répétés ainsi qu'un son qui dévie acoustiquement des autres. La différence de performance entre les diverses conditions a permis d'opérationnaliser un indice de distractibilité pour chacun des deux effets de distraction. Les résultats démontrent que le niveau de STS ne permet pas de prédire la magnitude d'aucun des effets de distraction auditive. La relation entre la STS et la distractibilité pourrait ainsi être remise en question. Ces résultats suggèrent que dans une ère où les stimulations sensorielles sont nombreuses, le fonctionnement des individus disposant d'un trait de STS élevé ne serait pas nécessairement affecté davantage par la présence de bruit ambiant. Différentes explications théoriques et méthodologiques sont discutées.
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Le rappel sériel immédiat d'expressions faciales statiques

Girard, Éric 06 January 2022 (has links)
La présente étude comporte deux expériences qui visent à recueillir des informations concernant le traitement des expressions faciales dans un paradigme de rappel sériel immédiat(RSI} ainsi que sur la nature des représentations cognitives qui leur sont associées. Quarante sujets participent à deux expériences dans lesquelles des expressions faciales sont utilisées dans un paradigme de RSI. Les patrons confusions observées à l'intérieur des tâches de catégorisation sont reproduits à l'intérieur de ces expériences. Ceci pourrait suggérer que certains processus ou représentations soient communs aux deux tâches. Les courbes de positions sérielles observées et l'absence d'effet lorsque l'image utilisée pour le rappel est différente de l'image présentée suggèrent qu'un code verbal soit utilisé pour effectuer la tâche de RSI. Les résultats observés ainsi que leur portée sont discutés.
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Etude des réseaux neuronaux impliqués dans le rappel de la mémoire olfactive chez la Drosophile / Dissection of Drosophila memory retrieval network

Bouzaiane, Emna 15 September 2014 (has links)
Comment les différentes formes de mémoire sont-elles encodées et comment interagissent-elles ? L'identification des réseaux neuronaux sous-jacents aux différentes formes de mémoire est une approche performante qui permet de mieux comprendre la dynamique des phases de mémoire et leurs interactions. La Drosophile représente un modèle de choix pour l'étude des mécanismes d'apprentissage et de mémorisation. Son cerveau est composé de 100.000 neurones et des outils génétiques permettent d'étudier fonctionnellement les circuits neuronaux avec une résolution proche du neurone unique. On utilise deux sortes d’apprentissage olfactif associatif : l’un, appétitif, repose sur l’association entre une odeur etdu sucre, et l’autre, aversif, associe une odeur et des chocs électriques. On distingue deux types de mémoires appétitives, une à court-terme et une à long-terme. Notre équipe a montré récemment que ces mémoires appétitives se forment indépendamment. La mémoire aversive a été décomposée en deux mémoires labiles à court-terme et à moyen terme, et deux mémoires consolidées : la mémoire à long terme (LTM) qui repose sur une synthèse protéique de novo et la mémoire résistante à l’anesthésie (ARM). Les corps pédonculés (CP), le centre de l'apprentissage et de la mémoire olfactive de la Drosophile, forment une structure bilatérale d’environ 2.000 neurones par hémisphère cérébral, appelés cellules de Kenyon. Celles-ci ont été classées en trois sous-types–γ, αβ et α’β’–en fonction des ramifications de leurs projections axonales qui définissent trois lobes médians (β, β’, γ) et deux verticaux (α, α’). Certains réseaux neuronaux responsables du rappel de la mémoire ont été caractérisés mais la correspondance entre ces réseaux et les phases de mémoire n’est encore que parcellaire. Grâce à des outils thermogénétiques nous pouvons inhiber une population neuronale restreinte pendant la phase de rappel spécifiquement. Au cours de ma thèse j'ai affiné la dissection des différentes phases de mémoire olfactive tant au niveau comportemental qu'au niveau des réseaux neuronaux. Nous avons pu attribuer à chaque phase de mémoire un réseau neuronal précis allant des neurones intrinsèques des CP aux neurones efférents impliqués dans le rappel de la mémoire. Nous avons ainsi mis en évidence une distribution spatio-temporelle de six phases de mémoires aversives mettant en jeu des réseaux neuronaux distincts et complémentaires. Nous avons montré que la ARM, jusqu’ici considérée comme une phase de mémoire unique est en réalité une mémoire composite. Nous avons identifié et localisé trois formes de ARM : la ARM immédiate, la ARM à moyen terme et la ARM à long-terme localisées respectivement dans les neurones αβ, γ et α’β’. Les deux formes séquentielles de mémoire labile immédiate et à moyen-terme ont été localisées dans les neurones γ et αβ respectivement. Nous avons aussi identifié les neurones extrinsèques de rappel de ces différentes formes de mémoire. Nous avons montré que les neurones MB-V2, précédemment décrits par notre équipe, assurent le rappel des mémoires localisées dans les neurones αβ et α’β’. Nous avons également identifié un nouveau type de neurones impliqués dans le rappel mnésique, les neurones MB-M6, efférents aux lobes γ et β’. Il existe un neurone MB-M6 par hémisphère. Ceux-ci sont impliqués dans le rappel des phases de mémoire aversive impliquant les neurones γ et α’β’. Nous avons aussi montré que les neurones MB-M6 sous tendent le rappel de la mémoire appétitive à court-terme. Ces découvertes permettent de dresser un tableau complet des circuits de sortie des corps pédonculés sous-tendant chaque phase de mémoire. Ce schéma global laisse apparaître qu’à un temps donné, deux formes de mémoire distinctes ne partagent jamais le même circuit. Nos travaux ouvrent la voie à l’étude comparée des modifications physiologiques encodant les différentes formes de mémoire associative chez la Drosophile. / A fly can form robust aversive associative olfactory memory after pairing an odor with electric shocks. Appetitive memory forms in a starved fly after pairing an odor with sugar delivery. Both types of olfactory memory rely on the mushroom bodies (MBs), a paired lobed structure of ∼2,000 neurons—the Kenyon cells (KCs)—per brain hemisphere. Based on their axonal morphology, KCs are classed into three different subtypes: axons from α/β and α′/β′ KCs branch into vertical (α and α′) and medial (β and β′) lobes, whereas axons from γ neurons form only a medial γ lobe. Drosophila can form two types of consolidated memories: LTM, which relies on de novo protein synthesis, and ARM, which does not. Droophila can also sequetially forms an immediate labile memory and a middle term labile memory.We have demonstrated a spatio-temporal distribution of six phases of aversive memories involving distinct and complementary neural networks. We have identified and located three forms of ARM: immediate ARM, middle term ARM and long-term ARM located respectively in αβ neurons, γ and α'β’. Both sequential forms of immediate labile memory and middle term memory were localized in γ and αβ neurons respectively. We also identified the extrinsic neurons required for the retrieval of these different forms of memory. We showed that MB-V2 neurons, previously described by our team, ensure the recall of memories localized in αβ and α'β’ neurons. We identified a specific pair of MB-efferent neurons, named M6 neurons. These are involved in the retrieval of aversive memories involving γ and α'β ‘ neurons. We have also shown that MB-M6 neurons are required for the retrieval of appetitive short-term memory.

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