• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 5
  • Tagged with
  • 5
  • 5
  • 5
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Eau, territoire et conflits : analyse des enjeux de la gestion communautaire de l'eau au Burkina Faso : l'exemple du bassin versant du Nakambé

Traoré, Ramatou 04 June 2012 (has links) (PDF)
L'irrégularité des pluies, l'évaporation considérable de l'eau de surface et des points d'eau traditionnels, entrainent une insuffisance de l'eau au Burkina Faso notamment en milieu rural. Cela contraint l'État et les partenaires à la mise en place des points d'eau modernes. Elle ne tient pas compte des positions, des valeurs culturelles qui légitiment la gestion traditionnelle de l'eau. La nouvelle gestion de l'eau renvoie à une problématique du rapport à l'eau et relève d'une modification sociale. Cette modification provient des pratiques, de leur évolution par rapport au système social mais aussi des processus intervenant sur les pratiques elles-mêmes. Les individus font l'apprentissage de la nouvelle gestion de l'eau, se positionnent selon le contexte en fonction de leurs appartenances dans le rapport à l'eau, des modes de solidarités comme moyen d'action communautaire par rapport aux oppositions sociales. C'est dans cette perspective que la thèse analyse à partir de la gestion de l'eau, les tensions et les recompositions sociales dans cinq villages autour du bassin versant du Nakambé.
2

Eau, territoire et conflits : analyse des enjeux de la gestion communautaire de l'eau au Burkina Faso : l'exemple du bassin versant du Nakambé / Water, land and conflict : analysis of challenges community management of water in burkina faso : the example of watershed Nakambé

Traoré, Ramatou 04 June 2012 (has links)
L’irrégularité des pluies, l’évaporation considérable de l’eau de surface et des points d’eau traditionnels, entrainent une insuffisance de l’eau au Burkina Faso notamment en milieu rural. Cela contraint l’État et les partenaires à la mise en place des points d’eau modernes. Elle ne tient pas compte des positions, des valeurs culturelles qui légitiment la gestion traditionnelle de l’eau. La nouvelle gestion de l’eau renvoie à une problématique du rapport à l’eau et relève d’une modification sociale. Cette modification provient des pratiques, de leur évolution par rapport au système social mais aussi des processus intervenant sur les pratiques elles-mêmes. Les individus font l’apprentissage de la nouvelle gestion de l’eau, se positionnent selon le contexte en fonction de leurs appartenances dans le rapport à l’eau, des modes de solidarités comme moyen d’action communautaire par rapport aux oppositions sociales. C’est dans cette perspective que la thèse analyse à partir de la gestion de l’eau, les tensions et les recompositions sociales dans cinq villages autour du bassin versant du Nakambé. / The erratic rainfall, evaporation of considerable surface water and traditional water sources, cause a shortage of water in Burkina Faso, particularly in rural areas. This forced the state and partners to the development of modern water. It does not take into account the positions, cultural values that legitimize the traditional management of water. The new water management refers to a problematic relationship with water and is a social change. This change results from practices, their evolution from the social system but also the processes involved in the practices themselves. People are learning about the new water management, positioning themselves as the context in terms of their membership in relation to water, modes of solidarity as a means of Community action in relation to social opposition. It is against this background of the thesis analyzes from the water management, tensions and social blending in five villages around the catchment Nakambé.
3

La production de pomme de terre et recompositions socio-économiques dans l'Imanan, Niger / The production of potato and socioeconomic reorganizations in Imanan, Niger

Hassane, Ramatou 18 December 2015 (has links)
C'est en 1954 que les paysans de la commune rurale d’Imanan, située dans l’Ouest du Niger, ont commencé la pratique de la culture de pomme de terre. D’une simple culture d’appoint associée à d’autres spéculations, la production de pomme de terre fait partie intégrante des systèmes de productions locaux. C’est la principale stratégie adaptative des paysans de l’Imanan pour faire face aux crises alimentaires. Plusieurs facteurs d’ordres économique, social et politique, en lien étroit avec l’évolution et les événements locaux ont contribué à sa diffusion et à son expansion. Culture de rente tournée vers le marché, la pomme de terre permet aux exploitants d’accéder à des revenus contribuant fortement à la subsistance des ménages. Dans un contexte marqué par des différenciations économiques et sociales entre groupes sociaux, la production de pomme de terre, de par les revenus qu’elle procure aux paysans, favorisent l’autonomisation des groupes sociaux défavorisés dont les jeunes et les femmes. Mais seuls les exploitants qui peuvent mobiliser suffisamment de ressources financières peuvent rentabiliser la production. La différence des revenus que tirent les producteurs de la culture de la pomme de terre est notamment liée à l’accès de ceux-ci aux plants, à l’utilisation de la motopompe et à l’emploi d’une main d’œuvre agricole externe. Le manque d’organisation adéquate de la filière pomme de terre conjugué à la faiblesse des alternatives de financement ne permettent pas à certains producteurs de s’en passer des commerçants (Maï Gida) grossistes de la filière pomme de terre. Les producteurs sont contraints de vendre leurs produits aux commerçants du « Petit marché » de Niamey. / It is in 1954 when the farmers of the rural district of Imanan, situated in the West of Niger, began the practice of the culture of potato. Of a simple culture of supplement associated with other speculations, the production of potato is an integral part local systems of productions. It is the main adaptive strategy of the farmers of the Imanan to face food crises. Several factors of economic, social and political orders, in narrow link with the evolution and the local events contributed to his distribution and to its expansion. Culture of pension was turned (shot) to the market; the potato allows the developers to reach income contributing strongly to the subsistence of the households (house works). In a context marked by economic and social differentiations between social groups, the production of potato, due to the income which she (it) gets to the farmers, favor the empowerment of the disadvantaged social groups among which the young people and the women. But only the developers who can mobilize enough financial resources can make profitable the production. The difference of the income which pull the producers of the culture of the potato is bound in particular to the access of these to plants, to use of the motor-pump and to employment of an external agricultural workforce. The lack of adequate organization of the sector apple of earth conjugated to the weakness of the alternatives of financing does not allow certain producers to take place storekeeper (Maï Gida) wholesalers of the sector potato. The producers are forced to sell their products to the storekeepers of the " Small market " of Niamey.
4

Migration, réseaux transnationaux et identités locales : le cas des Colombiens à New York

Magnan Penuela, Marion 08 December 2009 (has links) (PDF)
A partir d'une ethnographie de la mobilité des travailleurs colombiens originaires de classes moyennes urbaines, cette recherche explore les recompositions spatiales, sociales et d'entraide, à la lumière d'une mondialisation qui prône la flexibilité tout en limitant la mobilité de certains. Les Colombiens font parti du groupe des indésirables au niveau de la mobilité internationale et passent par des formes de contournement et de dénationalisation; mais ils sont bien placés au sein de l'échelle des migrants aux Etats-Unis où ils reconstruisent des identités positives. Cette approche contribue aux études sur les latinos aux Etats-Unis en y positionnant le groupe des Colombiens qui bien que numériquement important est aujourd'hui invisible, mais aussi au débat sur le rôle des réseaux sociaux dans les mobilités. Ces migrants n'utilisent les réseaux d'origine nationale que comme une aide parmi d'autres et la méfiance joue un rôle récurrent dans les liens qu'ils développent. L'approche multi sites incluant le pays d'origine a permis de mieux interpréter les stratégies des personnes qui se construisent au sein d'un seul champ social. L'étude rend compte de la remise en question des hiérarchies et du rôle des femmes au sein des relations transnationales. Enfin, ce travail questionne la fonction de la ville globale et des quartiers multi ethniques non ségrégués dans l'accueil des migrants. En effet, loin des schémas des quartiers ethniques isolés, les Colombiens ont construit différents «espaces colombiens» dont Jackson Heights, dans le Queens, serait un nœud essentiel leur donnant accès à un capital social au niveau du «Grand New York», mais aussi de certains réseaux transnationaux.
5

Migration, réseaux transnationaux et identités locales : le cas des Colombiens à New York / Migration, transnational networks and local identities : the case of Colombians in New York

Magnan Penuela, Marion 08 December 2009 (has links)
A partir d’une ethnographie de la mobilité des travailleurs colombiens originaires de classes moyennes urbaines, cette recherche explore les recompositions spatiales, sociales et d’entraide, à la lumière d’une mondialisation qui prône la flexibilité tout en limitant la mobilité de certains. Les Colombiens font parti du groupe des indésirables au niveau de la mobilité internationale et passent par des formes de contournement et de dénationalisation; mais ils sont bien placés au sein de l’échelle des migrants aux Etats-Unis où ils reconstruisent des identités positives. Cette approche contribue aux études sur les latinos aux Etats-Unis en y positionnant le groupe des Colombiens qui bien que numériquement important est aujourd’hui invisible, mais aussi au débat sur le rôle des réseaux sociaux dans les mobilités. Ces migrants n’utilisent les réseaux d’origine nationale que comme une aide parmi d’autres et la méfiance joue un rôle récurrent dans les liens qu’ils développent. L’approche multi sites incluant le pays d’origine a permis de mieux interpréter les stratégies des personnes qui se construisent au sein d’un seul champ social. L’étude rend compte de la remise en question des hiérarchies et du rôle des femmes au sein des relations transnationales. Enfin, ce travail questionne la fonction de la ville globale et des quartiers multi ethniques non ségrégués dans l’accueil des migrants. En effet, loin des schémas des quartiers ethniques isolés, les Colombiens ont construit différents «espaces colombiens» dont Jackson Heights, dans le Queens, serait un nœud essentiel leur donnant accès à un capital social au niveau du «Grand New York», mais aussi de certains réseaux transnationaux. / Based on the ethnography of the mobility of middle-class Colombian workers of urban origin, this research explores the spatial, social and solidarity reconstructions, amidst a globalization process which advocates for flexibility while restricting the mobility of certain individuals. Colombians belong to an undesirable group when it comes to international mobility and they go through certain forms of bypassing and citizenship denial; however they are well positioned when it comes to the social standing of migrants in the United States, finding ways to recreate positive identities. This approach contributes to the studies about Latinos in the United States, not only placing Colombians within this group, currently invisible in spite of their growing number, but also placing them in the debate of the roll of social networks in mobilities. These migrants only use the national origin networks as an aid among others and distrust plays a recurrent roll in the connections they develop. The multi city approach, including the country of origin, has allowed a better interpretation of the strategies of persons who grow in a unique social field. This study brings back the question of hierarchy and of the roll of women in transnational relationships. Finally, this study questions the function of the global city and of non segregated multi-ethnical neighbourhoods concerning the reception of migrants. In fact, far from the schemes of isolated ethnic neighbourhoods, Colombians have built different «Colombian spaces», Jackson Heights in Queens being an essential knot giving them access to a social capital, not only at a «Great New York» level, but also to certain transnational networks.

Page generated in 0.2975 seconds