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La politique de la Russie en Asie Centrale sous le président Vladimir Poutine (2000-2008) / The Russian foreign policy in Central Asia under president V. Putin

Ravshanov, Otabek 09 May 2015 (has links)
Avec la disparition de l'Union Soviétique l’Asie centrale s'est imposée géopolitiquement dans la scène internationale. Ses exploitations des hydrocarbures et sa position géostratégique suscitent l'intérêt de l'Occident dans cette région. Après une décennie d'hésitation et d'échec la Russie revient avec la force dans cette région. Le renforcement de la politique de Russie en Asie Centrale reflète les priorités que le Kremlin affiche de la conception de politique étrangère approuvé par le président Poutine en juin 2000 : la première de ces priorités consiste au renforcement de l'intégration et de la coopération au sein de la CEI (Communauté des Etats Indépendants). Or, certaines des républiques d’Asie Centrale poursuivent des politiques défavorables à la réalisation de cet objectif. Il en va ainsi du Turkménistan, dont la politique étrangère et de sécurité, reposant sur la neutralité, s'avère parfois fluctuante, et, surtout, de l’Ouzbékistan, l'un des états de l'ex-URSS les plus rétifs aux efforts de la Russie visant à consolider la CEI et à réaffirmer son influence dans l'espace ex-soviétique. La volonté manifestée par la Russie de Poutine de développer sa présence en Asie Centrale traduit également la perception d'une urgence accrue des problèmes de sécurité régionale. L’Asie Centrale d'ex-soviétique, notamment, est confrontée à diverses sources internes d'instabilité : faiblesse des états, corruption endémique, lourdes difficultés économiques et sociales, composition ethnique et religieuse complexe, différends territoriaux ou tensions sur les ressources en eau entre les états de la zone. Les objectifs de cette recherche sont d'étudier l'importance de sujet démontrant la politique de la Russie de demain ? Quel engagement envers ces pays qui essayent d'oublier la Russie d'hier et tentent de régler ses problèmes intérieurs et régionaux ? / Le résumé en anglais n'a pas été communiqué par l'auteur.
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Entre mobilisation et manipulation : rôle des communautés locales en russie orientale : la question frontalière en Primor'e (1993-2000)

Dubé, François 18 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / Les relations entre la Russie et la Chine ont progressé de manière considérable depuis la ratification de l'accord sur leur frontière commune en 1991. Or, les enquêtes examinant cette évolution tendent traditionnellement à placer au centre de l'analyse l'opposition entre les exécutifs nationaux et les régions périphériques autour de la politique asiatique fédérale. Ces approches passent ainsi sous silence le rôle unique des communautés locales russes, ignorées par les cadres d'analyse. Nous examinerons ici l'influence et le rôle que jouèrent ces communautés dans l'évolution des relations frontalières sino-russes au cours des années 90. Pour ce faire, nous proposerons d'abord certains ajustements théoriques au modèle à niveaux multiples, qui nous permettront de recadrer notre analyse vers les interactions entre les autorités et les mobilisations locales. Nous procéderons ensuite à l'examen du rôle des communautés locales de la Primor'e sur deux enjeux régionaux : les échanges commerciaux transfrontaliers et les concessions territoriales.
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Où en est le réalisme? : le cas de l'adhésion de la Russie à l'Organisation mondiale du commerce

Grenier, Félix 13 April 2018 (has links)
Depuis la fin de la Guerre froide, la place de la théorie réaliste a été fortement remise en cause au sein du champ d'études des Relations internationales. La chute des tensions géopolitiques avait ainsi fait croire que cette approche n'était plus pertinente pour comprendre le monde de l'après Guerre froide. Les bouleversements récemment observés sur la scène internationale nous semblent être une opportunité idéale pour vérifier ces propositions. Ce mémoire de recherche propose ainsi d'étudier un cas particulier de politique étrangère, c'est-à-dire le processus d'adhésion de la Russie à l'OMC, afin de discuter de la validité de cette approche théorique pour comprendre la politique internationale à l'époque contemporaine. Notre analyse de l'évolution de la politique étrangère russe sur le cas susmentionné s'étendra sur l'ensemble de l'ère post-soviétique et sera divisée selon les quatre mandats présidentiels en Russie depuis 1991.
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Les cultures stratégiques américaine et russe en matière de lutte contre le terrorisme : étude comparée des discours du gouvernement de George W. Bush et de Vladimir Poutine en Asie centrale

Laurin, Marc-Olivier 19 April 2018 (has links)
Suite aux attentats du 11 septembre 2001, la coopération entre les États-Unis et la Russie en matière de lutte contre le terrorisme s’est intensifiée en Asie centrale. Toutefois, les positions affichées de part et d’autre ne concordent pas toujours. Pour mieux comprendre le positionnement stratégique de ces deux États, cette recherche examine comment les administrations de George W. Bush et de Vladimir Poutine ont articulé leurs discours sur la lutte anti-terroriste dans cette région. À l’aide de la notion de culture stratégique, nous avons élaboré une grille de lecture afin d’analyser les représentations dominantes véhiculées dans leurs communications de ces deux administrations. Cette démarche essentiellement interprétativiste nous permet d’observer que ces représentations s’inscrivent dans une culture-type dite Hard Realpolitik en accordant une grande importance à la menace terroriste, au développement des capacités militaires nationales et régionales ainsi qu’aux orientations stratégiques préconisant l’emploi de la force militaire.
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La perception de la menace dans des relations stratégiques russo-américaines : pourquoi le partenariat stratégique sur le bouclier antimissile européen ne se réalise pas?

Oshurkova, Anastasia 18 April 2018 (has links)
Après la fin de la guerre froide, les États-Unis et la Russie définissent leurs relations en termes de partenariat stratégique. Cependant, les Administrations des deux États ne semblent pas pouvoir établir un dialogue sur une base permanente, même si la coopération bilatérale semble réussie dans certains domaines. La recherche présente propose un cas d'étude simple : le projet américain de bouclier antimissile pour l'Europe, qui illustre l'impasse du partenariat de la dernière décennie. En nous basant sur la théorie néo-réaliste de Walt « l'équilibre des menaces », nous formulons notre hypothèse : les divergences des perceptions des menaces influent sur la présence ou l'absence de la coopération entre Moscou et Washington. L'analyse qualitative des documents stratégiques des deux États, ainsi que les déclarations politiques nous amènent à rejeter notre supposition de base. La perception des menaces n'est pas un facteur décisif pour la coopération bilatérale dans le domaine de la défense antimissile.
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Analyse de la divergence des positions des États-Unis et de la Russie en Syrie dans la lutte contre le groupe de l'État islamique en Iraq et au Levant menée sous l'égide du Conseil de sécurité des Nations Unies

El Kyak, Anass 02 February 2024 (has links)
Ce mémoire de maîtrise tente de comprendre comment la divergence des logiques d'action entre les États-Unis et la Russie en Syrie avait entravé la constitution d'une action collective encadrée par le Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) qui aurait pu favoriser la prévention et la mise à l'échec rapide et définitive de l'organisation de l'État islamique en Iraq et au Levant (EIIL). En effet, les États-Unis et la Russie ont été les puissances internationales les plus influentes en Syrie étant donné leur implication d'envergure qui avait comme objectif déclaré de vaincre l'EIIL. S'accordant sur la nécessité de résoudre politiquement la crise syrienne, ces deux acteurs stratégiques détiennent toutefois des préférences contradictoires, principalement par rapport au sort du régime syrien de Bachar al-Assad et à la dynamique des groupes armés impliqués dans les combats contre ce dernier. Ainsi, malgré leurs projets concurrents en Syrie, ces deux acteurs ont tenté de concevoir une approche commune pour résoudre la guerre civile et aboutir à la conduite d'opérations militaires conjointes contre l'EIIL et les autres groupes terroristes investissant le conflit syrien. Néanmoins, la persistance des dissensions entre ces deux membres permanents du CSNU avait réduit les possibilités d'accord entre eux et s'est projetée sur les travaux de cette instance dont les décisions jouissent d'une portée juridique et politique exceptionnelle. Ainsi, nous analysons, d'une part, les occasions diplomatiques d'interaction entre ces deux acteurs, et d'autre part, leurs motivations stratégiques respectives. Cette analyse nous permet de définir leurs logiques d'action en Syrie, de relever les divergences fondamentales qui les avaient menés à préférer des réponses unilatérales contre l'EIIL plutôt qu'une réponse commune et de caractériser enfin le dilemme de l'action collective engendré par leur problème de coordination en Syrie et ayant restreint la capacité du CSNU à prendre des mesures collectives décisives et définitives contre l'EIIL en Syrie. / This thesis attempts to understand how the divergence in the logics of action between the United States and Russia in Syria had hindered the constitution of a collective action framed by the United Nations Security Council (UNSC) that could have favored the prevention and the rapid and definitive defeat of the Islamic State in Iraq and the Levant (ISIL) organization. Indeed, the United States and Russia have been the most influential international powers in Syria given their extensive involvement under the stated goal of defeating ISIL. While agreeing on the need for a political solution to the Syrian crisis, these two strategic actors hold conflicting preferences, mainly with regard to the fate of the Syrian regime of Bashar al-Assad and the dynamics of the armed groups involved in the fighting against him. Thus, despite their competing plans in Syria, these two actors have attempted to devise a common approach to resolving the civil war and leading to the conduct of joint military operations against ISIL and the other terrorist groups taking advantage in the Syrian conflict. Nevertheless, the persisting dissension between these two permanent members of the UNSC had reduced the possibilities of agreement between them and has been projected on the work of this body whose decisions enjoy an exceptional legal and political scope. Thus, we analyze, on the one hand, the diplomatic occasions of interaction between these two actors, and on the other hand, their respective strategic motivations. This analysis allows us to define their logics of action in Syria, to identify the fundamental differences that have led them to prefer unilateral responses against ISIL rather than a common response, and to characterize the dilemma of collective action created by their coordination problem in Syria and that limited the UNSC's ability to take decisive and definitive collective action against ISIL in Syria.
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Redefining superpower relations in the Caspian : the same old game : a critical analysis of competition and cooperation as well as Russia's perception of threat posed by China and the US

Mizrokhi, Elena 17 April 2018 (has links)
Aujourd'hui, l'expression « Nouveau grand jeu » fait partie du jargon de la littérature scientifique et du discours politique. Cette expression établit une analogie avec le « Grand jeu », le conflit entre l'Empire russe et l'Empire britannique pour le contrôle de l'Asie centrale, et prétend que la compétition actuelle entre les puissances pour l'accès aux hydrocarbures de la région de la mer Caspienne demeure constante et intense. Ce mémoire conteste l'emploi de l'appellation « Nouveau grand jeu » pour qualifier les relations entre la Russie, la Chine et les États-Unis pendant les deux mandats présidentiels de Poutine. L'argument principal est façonné à partir d'une étude détaillée du contexte géopolitique régional et une analyse des données sur la production d'hydrocarbures sous contrôle de chacune des superpuissances. Ce projet de recherche démontre également l'influence de la hausse des investissements américains et chinois sur la façon dont Moscou perçoit ses rivaux et analyse l'impact de ces deux éléments sur l'articulation de la politique étrangère russe dans la région Caspienne.
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L'usage des sanctions économiques et diplomatiques dans la gestion des crises internationales : études des cas d'Afghanistan (1979) et d'Ukraine (2014)

Marineau, Sophie 24 April 2018 (has links)
Le 27 février 2014, des troupes non identifiées envahissent la péninsule de Crimée au sud de l'Ukraine, puis l'Est de l'Ukraine. À la suite d'un référendum contesté, la Crimée est annexée à la Fédération de Russie, alors que la guerre civile fait rage dans les territoires de l'Est du pays. Rapidement, les États-Unis et l'Union européenne prennent des mesures diplomatiques envers la Russie. Après plus de cinq mois de conflit et plusieurs incidents, les Occidentaux optent finalement pour des mesures économiques devant avoir un impact considérable sur l'économie russe. L'objectif poursuivi est ainsi d'amener la Russie à négocier une situation viable pour l'Ukraine. Comme dans tout autre régime de sanctions, la question de l'efficacité se pose. Est-ce que les mesures économiques prises par l'Union européenne sont suffisantes pour initier un changement de politique étrangère en Russie? Après plus de trois ans sous sanctions, l'économie russe a subi d'importants dommages. Ce n'est toutefois pas la première fois que la Russie se retrouve sous sanctions. En 1979, alors que l'URSS – son prédécesseur – envahi l'Afghanistan dans le contexte de la Guerre froide, les États-Unis et plusieurs États de l'Europe de l'Ouest imposent de sévères sanctions à l'URSS. Dès lors, que peut-on tirer de l'analyse de ce régime de sanctions afin de mieux comprendre la réaction actuelle de la Russie ?
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La position de la Fédération de Russie dans les événements survenus en Crimée, 2013-2014 : contextes géopolitiques et justifications d'ordre politique, historique et culturel

Pawliw, Kim 29 May 2018 (has links)
En 2013-2014, l’Ukraine s’est vue tiraillée entre deux options : un rapprochement envers l’Union européenne par la signature d’un accord d’association ou un rapprochement envers la Fédération de Russie par l’acceptation de diverses aides financières. Suite aux manifestations proeuropéennes de l’Euromaïdan et au départ du président ukrainien prorusse, le Conseil suprême de la Crimée a tenu un référendum d’autodétermination afin d’acquérir son indépendance de l’Ukraine et de se faire incorporer à la Fédération de Russie. L’Organisation des Nations Unies n’a pas reconnu cette incorporation, la qualifiant d’illégitime. Dans ce contexte, les dirigeants russes ont tenté de justifier leurs actions en Crimée. L’objectif premier de la recherche était de caractériser et d’analyser la rhétorique des principaux acteurs russes cherchant à légitimer l’incorporation de la Crimée à la structure politique et administrative de la Fédération de Russie suite à la déclaration d’indépendance de la péninsule. La méthode utilisée, soit l’analyse de contenu, a permis d’identifier deux types de rhétoriques caractérisant les justifications des dirigeants russes et de leurs alliés : une rhétorique légale et une rhétorique identitaire. Les processus de construction de ces rhétoriques ont été analysés en identifiant les contextes, les acteurs et les idéologies qui ont contribué à leur formation. La rhétorique légale a fait référence à l’interprétation du droit international, notamment des principes d’autodétermination des peuples et d’intégrité territoriale des États, tandis que la rhétorique identitaire a fait référence à une interprétation de l’histoire russe cherchant à démontrer les liens unitaires entre d’une part la Fédération de Russie et l’Ukraine et, d’autre part, la Fédération de Russie et la Crimée. Afin d’approfondir l’analyse, la recherche a répertorié la manière dont ces rhétoriques se sont incarnées dans la réalité à travers diverses actions, qu’il s’agisse de sessions à l’ONU ou d’événements patrimoniaux, comme l’érection de monuments. / In 2013-2014, Ukraine was torn between two options: rapprochement with the European Union by signing an association agreement or rapprochement with the Russian Federation by accepting financial aid. After the pro-European protests known as the Euromaidan, and the departure of the pro- Russian president, the Supreme Council of Crimea held a referendum on self-determination in order to gain independence from Ukraine and to be incorporated into the Russian Federation. The United Nations did not recognize the incorporation and qualified it as illegitimate. In this context, the Russian leaders tried to characterize their action in Crimea as legitimate. The primary objective of this research is to characterize and analyze the rhetoric of the main Russian actors who presented Crimea’s incorporation into the political and administrative structure of the Russian Federation, following the declaration of the peninsula’s independence, as legitimate. Using content analysis in carrying out the research, two types of rhetoric adopted by the Russian leadership were identified: a legal rhetoric and an identity rhetoric. The construction process of both were analyzed in the course of the research through the identification of contexts, actors and ideologies that contributed to their development. The research learned that the legal rhetoric concerned the interpretation of international law, especially the principles of self-determination and territorial integrity of States. Whereas the identity rhetoric concerned the interpretation of Russia’s history in order to demonstrate the existence of unity between the Russian Federation and Ukraine and between the Russian Federation and Crimea. To gain additional information on both, the research also observed how they were expressed in specific situations, such as during UN sessions or during heritage events, for example the erection of monuments.
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La diplomatie énergétique de la Fédération de Russie: forces et limites / Energy diplomacy of the Russian Federation: strenghts and limits

Bachkatov, Nina 05 May 2011 (has links)
La diplomatie énergétique russe qui est au cœur de ce travail diffère des politiques industrielles classiques adoptées régulièrement par les États afin de développer leur pays, relancer son économie ou certains secteurs industriels. Elle entend en effet utiliser les ressources naturelles de la Russie, et singulièrement son potentiel énergétique (sachant que la Russie est à la fois producteur, consommateur, pays de transit) afin de retrouver son statut de grande puissance. Ce retour de puissance devant permettre à la Russie de sortir de la période de transition pour redevenir un acteur de premier rang dans un monde global redessiné par la fin de la guerre froide. Il s’agit pour elle de faire entendre sa voix, de participer en qualité de partenaire égal aux décisions et à l’élaboration des nouvelles normes rendues nécessaires par le bouleversement engendré par la fin de la guerre froide.<p><p>La diplomatie énergétique russe s’affirme pendant les années 2003-2004, comme une démarche pragmatique, un moyen opportuniste de rencontrer un projet politique en utilisant un des rares leviers dont dispose ce pays appauvri et affaibli – sa puissance énergétique qu’il s’agit de transformer un outil de puissance politique, raison pour laquelle la politique étrangère russe va être mise au service de ce projet. Le travail fait donc référence aux spécificités internes de la Russie et au contexte international afin d’identifier les faiblesses et les forces de cette diplomatie spécifique.<p><p><p>Russian energy diplomacy, with which this work is uniquely concerned, differs from the classic industrial policies adopted by states in order to re-launch their economies or certain industrial sectors. It has consisted of putting Russia’s natural resources and particularly its energy potential (as a producer, a consumer, and a transit country) to the practical purpose of restoring its status as a great power. For Russia, the return to power would permit the country to emerge from its period of transition and become a leading actor in the world reshaped by the ending of the cold war. It is a matter of making its voice heard, as an equal partner in international decisions and the formulation of the new political norms necessitated by post-cold war upheaval. <p><p>In 2002-2004 Russia developed this energy diplomacy as a pragmatic and opportunistic means of attaining a political objective with one of the few levers at the disposal of an impoverished and enfeebled country – that is to say, its energy potential, which it turned into a political tool. To this effect, Russian foreign policy has been made to serve the same project. Consequently this work deals with internal specificities and the international energy context, in order to probe both the weakness and the strength of this particular form of diplomacy. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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