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Stratégie domaine par domaine pour la création d'un FrameNet du français : annotations en corpus de cadres et rôles sémantiques / Domain by domain strategy for creating a French FrameNet : corpus annotationsof semantics frames and roles

Djemaa, Marianne 14 June 2017 (has links)
Dans cette thèse, nous décrivons la création du French FrameNet (FFN), une ressource de type FrameNet pour le français créée à partir du FrameNet de l’anglais (Baker et al., 1998) et de deux corpus arborés : le French Treebank (Abeillé et al., 2003) et le Sequoia Treebank (Candito et Seddah, 2012). La ressource séminale, le FrameNet de l’anglais, constitue un modèle d’annotation sémantique de situations prototypiques et de leurs participants. Elle propose à la fois :a) un ensemble structuré de situations prototypiques, appelées cadres, associées à des caractérisations sémantiques des participants impliqués (les rôles);b) un lexique de déclencheurs, les lexèmes évoquant ces cadres;c) un ensemble d’annotations en cadres pour l’anglais. Pour créer le FFN, nous avons suivi une approche «par domaine notionnel» : nous avons défini quatre «domaines» centrés chacun autour d’une notion (cause, communication langagière, position cognitive ou transaction commerciale), que nous avons travaillé à couvrir exhaustivement à la fois pour la définition des cadres sémantiques, la définition du lexique, et l’annotation en corpus. Cette stratégie permet de garantir une plus grande cohérence dans la structuration en cadres sémantiques, tout en abordant la polysémie au sein d’un domaine et entre les domaines. De plus, nous avons annoté les cadres de nos domaines sur du texte continu, sans sélection d’occurrences : nous préservons ainsi la distribution des caractéristiques lexicales et syntaxiques de l’évocation des cadres dans notre corpus. à l’heure actuelle, le FFN comporte 105 cadres et 873 déclencheurs distincts, qui donnent lieu à 1109 paires déclencheur-cadre distinctes, c’est-à-dire 1109 sens. Le corpus annoté compte au total 16167 annotations de cadres de nos domaines et de leurs rôles. La thèse commence par resituer le modèle FrameNet dans un contexte théorique plus large. Nous justifions ensuite le choix de nous appuyer sur cette ressource et motivons notre méthodologie en domaines notionnels. Nous explicitons pour le FFN certaines notions définies pour le FrameNet de l’anglais que nous avons jugées trop floues pour être appliquées de manière cohérente. Nous introduisons en particulier des critères plus directement syntaxiques pour la définition du périmètre lexical d’un cadre, ainsi que pour la distinction entre rôles noyaux et non-noyaux.Nous décrivons ensuite la création du FFN : d’abord, la délimitation de la structure de cadres utilisée pour le FFN, et la création de leur lexique. Nous présentons alors de manière approfondie le domaine notionnel des positions cognitives, qui englobe les cadres portant sur le degré de certitude d’un être doué de conscience sur une proposition. Puis, nous présentons notre méthodologie d’annotation du corpus en cadres et en rôles. à cette occasion, nous passons en revue certains phénomènes linguistiques qu’il nous a fallu traiter pour obtenir une annotation cohérente ; c’est par exemple le cas des constructions à attribut de l’objet.Enfin, nous présentons des données quantitatives sur le FFN tel qu’il est à ce jour et sur son évaluation. Nous terminons sur des perspectives de travaux d’amélioration et d’exploitation de la ressource créée. / This thesis describes the creation of the French FrameNet (FFN), a French language FrameNet type resource made using both the Berkeley FrameNet (Baker et al., 1998) and two morphosyntactic treebanks: the French Treebank (Abeillé et al., 2003) and the Sequoia Treebank (Candito et Seddah, 2012). The Berkeley FrameNet allows for semantic annotation of prototypical situations and their participants. It consists of:a) a structured set of prototypical situations, called frames. These frames incorporate semantic characterizations of the situations’ participants (Frame Elements, or FEs);b) a lexicon of lexical units (LUs) which can evoke those frames;c) a set of English language frame annotations. In order to create the FFN, we designed a “domain by domain” methodology: we defined four “domains”, each centered on a specific notion (cause, verbal communication, cognitive stance, or commercial transaction). We then sought to obtain full frame and lexical coverage for these domains, and annotated the first 100 corpus occurrences of each LU in our domains. This strategy guarantees a greater consistency in terms of frame structuring than other approaches and is conducive to work on both intra-domain and inter-domains frame polysemy. Our annotating frames on continuous text without selecting particular LU occurrences preserves the natural distribution of lexical and syntactic characteristics of frame-evoking elements in our corpus. At the present time, the FFNincludes 105 distinct frames and 873 distinct LUs, which combine into 1,109 LU-frame pairs (i.e. 1,109 senses). 16,167 frame occurrences, as well as their FEs, have been annotated in our corpus. In this thesis, I first situate the FrameNet model in a larger theoretical background. I then justify our using the Berkeley FrameNet as our resource base and explain why we used a domain-by- domain methodology. I next try to clarify some specific BFN notions that we found too vague to be coherently used to make the FFN. Specifically, I introduce more directly syntactic criteria both for defining a frame’s lexical perimeter and for differentiating core FEs from non-core ones.Then, I describe the FFN creation itself first by delimitating a structure of frames that will be used in the resource and by creating a lexicon for these frames. I then introduce in detail the Cognitive Stances notional domain, which includes frames having to do with a cognizer’s degree of certainty about some particular content. Next, I describe our methodology for annotating a corpus with frames and FEs, and analyze our treatment of several specific linguistic phenomena that required additional consideration (such as object complement constructions).Finally, I give quantified information about the current status of the FFN and its evaluation. I conclude with some perspectives on improving and exploiting the FFN.
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Aide à l'identification de relations lexicales au moyen de la sémantique distributionnelle et son application à un corpus bilingue du domaine de l'environnement

Bernier-Colborne, Gabriel 08 1900 (has links)
L’analyse des relations lexicales est une des étapes principales du travail terminologique. Cette tâche, qui consiste à établir des liens entre des termes dont les sens sont reliés, peut être facilitée par des méthodes computationnelles, notamment les techniques de la sémantique distributionnelle. En estimant la similarité sémantique des mots à partir d’un corpus, ces techniques peuvent faciliter l’analyse des relations lexicales. La qualité des résultats offerts par les méthodes distributionnelles dépend, entre autres, des nombreuses décisions qui doivent être prises lors de leur mise en œuvre, notamment le choix et le paramétrage du modèle. Ces décisions dépendent, à leur tour, de divers facteurs liés à l’objectif visé, tels que la nature des relations lexicales que l’on souhaite détecter; celles-ci peuvent comprendre des relations paradigmatiques classiques telles que la (quasi-)synonymie (p. ex. conserver -> préserver), mais aussi d’autres relations telles que la dérivation syntaxique (p. ex. conserver -> conservation). Cette thèse vise à développer un cadre méthodologique basé sur la sémantique distributionnelle pour l’analyse des relations lexicales à partir de corpus spécialisés. À cette fin, nous vérifions comment le choix, le paramétrage et l’interrogation d’un modèle distributionnel doivent tenir compte de divers facteurs liés au projet terminologique envisagé : le cadre descriptif adopté, les relations ciblées, la partie du discours des termes à décrire et la langue traitée (en l’occurrence, le français ou l’anglais). Nous montrons que deux des relations les mieux détectées par l’approche distributionnelle sont la (quasi-)synonymie et la dérivation syntaxique, mais que les modèles qui captent le mieux ces deux types de relations sont très différents. Ainsi, les relations ciblées ont une influence importante sur la façon dont on doit paramétrer le modèle pour obtenir les meilleurs résultats possibles. Un autre facteur à considérer est la partie du discours des termes à décrire. Nos résultats indiquent notamment que les relations entre verbes sont moins bien modélisées par cette approche que celles entre adjectifs ou entre noms. Le cadre descriptif adopté pour un projet terminologique est également un facteur important à considérer lors de l’application de l’approche distributionnelle. Dans ce travail, nous comparons deux cadres descriptifs, l’un étant basé sur la sémantique lexicale et l’autre, sur la sémantique des cadres. Nos résultats indiquent que les méthodes distributionnelles détectent les termes qui évoquent le même cadre sémantique moins bien que certaines relations lexicales telles que la synonymie. Nous montrons que cet écart est attribuable au fait que les termes qui évoquent des cadres sémantiques comprennent une proportion importante de verbes et aux différences importantes entre les modèles qui produisent les meilleurs résultats pour la dérivation syntaxique et les relations paradigmatiques classiques telles que la synonymie. En somme, nous évaluons deux modèles distributionnels différents, analysons systématiquement l’influence de leurs paramètres et vérifions comment cette influence varie en fonction de divers aspects du projet terminologique. Nous montrons de nombreux exemples de voisinages distributionnels, que nous explorons au moyen de graphes, et discutons les sources d’erreurs. Ce travail fournit ainsi des balises importantes pour l’application de méthodes distributionnelles dans le cadre du travail terminologique. / Identifying semantic relations is one of the main tasks involved in terminology work. This task, which aims to establish links between terms whose meanings are related, can be assisted by computational methods, including those based on distributional semantics. These methods estimate the semantic similarity of words based on corpus data, which can help terminologists identify semantic relations. The quality of the results produced by distributional methods depends on several decisions that must be made when applying them, such as choosing a model and selecting its parameters. In turn, these decisions depend on various factors related to the target application, such as the types of semantic relations one wishes to identify. These can include typical paradigmatic relations such as (near-)synonymy (e.g. preserve -> protect), but also other relations such as syntactic derivation (e.g. preserve -> preservation). This dissertation aims to further the development of a methodological framework based on distributional semantics for the identification of semantic relations using specialized corpora. To this end, we investigate how various aspects of terminology work must be accounted for when selecting a distributional semantic model and its parameters, as well as those of the method used to query the model. These aspects include the descriptive framework, the target relations, the part of speech of the terms being described, and the language (in this case, French or English). Our results show that two of the relations that distributional semantic models capture most accurately are (near-)synonymy and syntactic derivation. However, the models that produce the best results for these two relations are very different. Thus, the target relations are an important factor to consider when choosing a model and tuning it to obtain the most accurate results. Another factor that should be considered is the part of speech of the terms that are being worked on. Among other things, our results suggest that relations between verbs are not captured as accurately as those between nouns or adjectives by distributional semantic models. The descriptive framework used for a given project is also an important factor to consider. In this work, we compare two descriptive frameworks, one based on lexical semantics and another based on frame semantics. Our results show that terms that evoke the same semantic frame are not captured as accurately as certain semantic relations, such as synonymy. We show that this is due to (at least) two reasons: a high percentage of frame-evoking terms are verbs, and the models that capture syntactic derivation most accurately are very different than those that work best for typical paradigmatic relations such as synonymy. In summary, we evaluate two different distributional semantic models, we analyze the influence of their parameters, and we investigate how this influence varies with respect to various aspects of terminology work. We show many examples of distributional neighbourhoods, which we explore using graphs, and discuss sources of noise. This dissertation thus provides important guidelines for the use of distributional semantic models for terminology work.
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De FrameNet à la Théorie Sens-Texte : conversion et correspondance

Corriveau, Hubert 06 1900 (has links)
Ce projet se décline en deux parties. Dans un premier temps, il s’agit de développer une méthode de conversion automatique des textes annotés selon la sémantique des cadres dans FrameNet en représentations sémantiques de la Théorie Sens-Texte, afin de développer davantage de ressources informatiques pour assurer le développement de différents projets, notamment le réalisateur de textes GenDR. Dans un second temps, cette conversion sera mise à profit pour effectuer une analyse comparative entre les deux formalismes. Nous retiendrons que ces formalismes ne sont pas incompatibles, mais diffèrent par leurs niveaux de granularité et leurs objectifs propres. Nous tracerons quelques parallèles entre les fonctions lexicales et les relations entre cadres, et proposerons une mise en commun des formalismes afin de les enrichir. / This project is divided in two main parts. Firstly, a method allowing for an automatic conversion of FrameNet's Semantics-based text annotations into semantic representations, according to the Meaning-Text Theory framework, will be presented. This method will lead to an increased set of data usable to develop and improve various Meaning-Text Theory-based projects, including GenDR, a text realizer. Secondly, the conversion task will be used to do a comparative analysis of the two frameworks. We will conclude that the two frameworks are not incompatible, but differ in their granularity and goals. We will also draw parallels between the lexical functions and frame- to-frame relationships, and make some suggestions regarding changes to the frameworks in order to enrich them.
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Frame semantics for the field of climate change : d iscovering frames based on chinese and english terms

Zheng, Ying 12 1900 (has links)
La plupart des dictionnaires spécialisés de termes environnementaux en mandarin sont des dictionnaires papier, compilés et révisés il y a plus de dix ans, et contiennent principalement des termes nominaux. Les informations terminologiques se limitent aux connaissances véhiculées par le terme et son ou ses équivalents anglais. Pour les lecteurs qui souhaitent connaître les propriétés sémantiques ou syntaxiques des termes et pour les lecteurs qui veulent voir l’usage des termes dans des contextes réels de textes spécialisés, les informations fournies par les dictionnaires existants sont insuffisantes. Dans cette recherche, nous avons compilé une ressource terminologique en ligne du mandarin, décrivant les termes verbaux chinois dans le domaine du changement climatique. Cette ressource comble certaines des lacunes des dictionnaires environnementaux mandarin existants, en révélant le(s) sens du terme à travers la(les) structure(s) actantielle(s) et en montrant, à travers des contextes annotés, les propriétés sémantiques et syntaxiques du terme ainsi que ses usages pratiques dans des textes spécialisés. Cette ressource répondra mieux aux besoins du public. La base théorique qui sous-tend cette recherche est la Sémantique des cadres (Fillmore, 1976, 1977, 1982, 1985; Fillmore & Atkins, 1992), et le FrameNet construit à partir de celle-ci. L’objectif principal de cette recherche est de découvrir et de définir des cadres sémantiques chinois dans le domaine du changement climatique, et d’établir des relations entre les cadres chinois définis. Les cadres sémantiques chinois sont découverts à l’aide de la méthodologie du dictionnaire environnemental multilingue DiCoEnviro (et de sa ressource d’accompagnement Framed DiCoEnviro) (L’Homme, 2018; L’Homme et al., 2020). Afin de rendre cette méthodologie applicable à une langue sino-tibétaine, le chinois, nous avons modifié et adapté cette méthodologie pour qu’elle convienne à la description des termes chinois et à la définition des cadres sémantiques chinois. Certaines de ces modifications et adaptations sont basées sur le Chinese FrameNet (CFN) (Liu & You, 2015). Afin de découvrir les cadres sémantiques chinois, un corpus monolingue en chinois mandarin sur le changement climatique (MCCC) a d’abord été compilé. Ce corpus contient 224 textes iv authentiques chinois spécialisés dans le domaine du changement climatique, qui totalisent 1,228,333 caractères chinois, soit 547,592 mots chinois. Puis, les termes candidats ont été automatiquement extraits du MCCC à l’aide du logiciel de gestion et d’analyse de corpus – Sketch Engine. Après une analyse et une validation manuelle, nous avons déterminé quels termes candidats sont des termes réels. Par la suite, la structure actancielle de chaque terme a été écrite en analysant les contextes où le terme apparaît. Ensuite, chaque sens d’un terme polysémique a été placé dans une entrée séparée et 16-20 contextes ont été sélectionnés pour chaque entrée. Puis, chaque contexte a été annoté en fonction de trois couches – structure sémantique, fonction syntaxique et groupe syntaxique. Ensuite, les termes ont été classés en fonction des scénarios qu’ils évoquent. Les termes qui dépeignent la même scène ou situation dans le domaine du changement climatique, qui ont une structure actantielle similaire et qui partagent la majorité des circonstants sont classés dans un seul cadre sémantique (critères basés sur le projet DiCoEnviro (L’Homme, 2018; L’Homme et al., 2020)). Après avoir identifié les cadres sémantiques chinois, chaque cadre a été défini. Enfin, les cadres chinois découverts ont été reliés selon les huit types de relations entre cadres proposés par Ruppenhofer et al. (2016). Pour être affichés en ligne, les entrées de termes et les cadres sémantiques ont été encodés dans des fichiers XML. Guidés par cette méthodologie de recherche, nous avons finalement relevé 23 cadres sémantiques chinois et nous les avons définis. Le résultat final de cette recherche est une ressource terminologique en chinois mandarin basée sur des cadres et spécialisée dans le domaine du changement climatique. Cette ressource terminologique se compose de deux parties. La première partie est la description d’un total de 39 termes verbaux chinois. Chaque sens d’un terme verbal polysémique étant placé dans une entrée séparée, il y a au total 59 entrées (chaque entrée contient la structure actantielle et les contextes annotés). Au total, 1,027 contextes ont été annotés. La deuxième partie de cette ressource présente les 23 cadres sémantiques chinois identifiés ainsi que les relations entre les cadres. / Most of the existing Mandarin Chinese specialised dictionaries of environmental terms are paper dictionaries, compiled and revised more than ten years ago, and contain mainly noun terms. Terminological information is restricted to knowledge conveyed by the term and its English equivalent(s). For readers who want to learn about semantic or syntactic properties of terms and for readers who want to see usage of terms in real contexts of specialised texts, information provided in existing dictionaries is insufficient. In this research, we compiled an online Mandarin Chinese terminological resource, describing Chinese verb terms in the field of climate change. This resource makes up for some of the deficiencies of existing Chinese environmental dictionaries, revealing meaning(s) of the term through actantial structure(s) and showing, through annotated contexts, semantic and syntactic properties of the term as well as its practical usages in specialised texts. This resource better meets the needs of the audience. The theoretical basis underpinning this research is Frame Semantics (Fillmore, 1976, 1977, 1982, 1985; Fillmore & Atkins, 1992), and the FrameNet built from it. The main objective of this research is to discover and define Chinese semantic frames in the field of climate change, and to establish relations between the Chinese frames defined. The Chinese semantic frames are discovered with the help of the methodology of the multilingual environmental dictionary DiCoEnviro (and its accompanying resource Framed DiCoEnviro) (L’Homme, 2018; L’Homme et al., 2020). In order to make this methodology applicable to a Sino-Tibetan language, Chinese, we modified and adapted this methodology to suit the description of Chinese terms and definition of Chinese semantic frames. Some of the changes and adaptations are based on the Chinese FrameNet (CFN) (Liu & You, 2015). In order to discover Chinese semantic frames, a monolingual Mandarin (Chinese) Climate Change Corpus (MCCC) was first compiled. This corpus contains 224 authentic Chinese specialised texts in the field of climate change, totaling 1,228,333 Chinese characters, which is 547,592 Chinese words. Following this, candidate terms were automatically extracted from MCCC using the corpus ii management and analysing software – Sketch Engine. After manual analysis and validation, which of the candidate terms are true terms was clarified. Subsequently, the actantial structure of each term was written by analysing the contexts where the term occurs. Next, each sense of a polysemous term was placed in a separate entry and 16-20 contexts were selected for each entry. Then, each context was annotated in terms of three layers – semantic structure, syntactic function and syntactic group. After this, the terms were classified according to the scenarios they evoke. Terms that depict the same scene or situation in the field of climate change, have similar actantial structure, and share the majority of circumstants are categorised into one semantic frame (criteria based on the project DiCoEnviro (L’Homme, 2018; L’Homme et al., 2020)). After Chinese semantic frames were identified, each frame was defined. Finally, the discovered Chinese frames were linked according to the eight types of frame relations proposed by Ruppenhofer et al. (2016). To be displayed online, term entries and semantic frames were encoded in XML files. Guided by this research methodology, we eventually discovered and defined 23 Chinese semantic frames. The end result of this research is a frame-based Mandarin Chinese terminological resource specialised in the field of climate change. This terminological resource consists of two parts. The first part is the description of a total of 39 Chinese verb terms. With each meaning of a polysemous verb term placed in a separate entry, there are a total of 59 entries (each entry contains the actantial structure and annotated contexts). A total of 1,027 contexts were annotated. The second part of this resource presents the 23 Chinese semantic frames identified as well as the relations between frames.

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