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La notion d'indice d'après quelques exemples de récits romanesques du XIXe siècle /Jacobée, Sylvie, January 2000 (has links)
Th. doct.--Lettres--Paris 12, 199. / Bibliogr. p. 409-422. Index.
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Recherche sur les propriétés sémiotiques des sigles en françaisLambert, Maxime 19 April 2018 (has links)
Cette recherche porte sur la relation que les sigles entretiennent avec leur source, notamment sur le plan de la signification, ainsi que sur la nature sémiotique des sigles; ces derniers doivent-ils être considérés comme des signes linguistiques prototypiques ou plutôt comme une classe d’unités lexicales à part? Nous avons abordé cette question à partir d’une enquête par questionnaire et d’une analyse de corpus. Le questionnaire, portant sur 27 sigles et ayant été complété par 72 participants, permet d’avancer que la motivation abréviative d’un sigle peut varier selon les locuteurs et que la relation abréviative entre le sigle et sa source n’est pas toujours perçue. Suivant l’analyse de corpus menée sur quelque 10 000 articles, il apparaît que les sigles sont moins employés en tant qu’abréviation qu’en tant qu’unité lexicale à part entière. Enfin, nous proposons que les sigles forment une classe particulière de signes linguistiques dont il reste à définir plus avant les caractéristiques.
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Prélinguistique et linguistique dans la période des premiers mots : approches historique, épistémologique et expérimentaleRoux, Guillaume 23 November 2012 (has links) (PDF)
Cette recherche s'intéresse à la possibilité d'établir des points de comparaison entre le prélinguistique et le linguistique dans la période des premiers mots. Le constat d'un flou régnant autour des notions de mot et de proto-mot nous a fait considérer différentes approches : historique, épistémologique et expérimentale. L'apport de l'approche historique est essentiel pour cerner la problématique et considérer la façon dont parler est envisagé par une société et une époque. Cettepartie nous permet de mettre en avant deux éléments : la question de l'émergence de la parole implique la notion de représentation sociale, et l'émergence de la parole, aujourd'hui, se situe durant la période des premiers mots. L'analyse de cette période nous conduit à une partie épistémologique permettant de définir le type d'unités caractéristiques de cette période : les proto-mots et les mots. Une fois nos unités identifiées, nous effectuons une analyse longitudinale de quatre enfants, de un an à deux ans. Nous avons d'abord identifié un phénomène de substitution des mots aux proto-mots. Ensuite, nous avons observé les deux éléments communs à ces productions : la prosodie et la phonologie. Il découle de notre analyse que la prosodie fournit un cadre commun assurant la transition entre les proto-mots et les mots, et que la phonologie est le domaine où s'observent les différences : les mots sont le lieu du développement des structures phonologiques complexes, contrairement aux proto-mots. Nous avons pu considérer que parler, c'était privilégier les motscomme support de communication verbale, par rapport aux proto-mots, et que cette particularité est l'objet du développement phonologique.
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Prélinguistique et linguistique dans la période des premiers mots : approches historique, épistémologique et expérimentale / Prelinguistic and linguistic at the first words period : historical, epistemological and experimental approachesRoux, Guillaume 23 November 2012 (has links)
Cette recherche s'intéresse à la possibilité d'établir des points de comparaison entre le prélinguistique et le linguistique dans la période des premiers mots. Le constat d'un flou régnant autour des notions de mot et de proto-mot nous a fait considérer différentes approches : historique, épistémologique et expérimentale. L'apport de l'approche historique est essentiel pour cerner la problématique et considérer la façon dont parler est envisagé par une société et une époque. Cettepartie nous permet de mettre en avant deux éléments : la question de l'émergence de la parole implique la notion de représentation sociale, et l'émergence de la parole, aujourd'hui, se situe durant la période des premiers mots. L'analyse de cette période nous conduit à une partie épistémologique permettant de définir le type d'unités caractéristiques de cette période : les proto-mots et les mots. Une fois nos unités identifiées, nous effectuons une analyse longitudinale de quatre enfants, de un an à deux ans. Nous avons d'abord identifié un phénomène de substitution des mots aux proto-mots. Ensuite, nous avons observé les deux éléments communs à ces productions : la prosodie et la phonologie. Il découle de notre analyse que la prosodie fournit un cadre commun assurant la transition entre les proto-mots et les mots, et que la phonologie est le domaine où s'observent les différences : les mots sont le lieu du développement des structures phonologiques complexes, contrairement aux proto-mots. Nous avons pu considérer que parler, c'était privilégier les motscomme support de communication verbale, par rapport aux proto-mots, et que cette particularité est l'objet du développement phonologique. / This research focuses on the possibility to compare prelinguistic utterances and linguistic utterances of the first words period. The definition of protoword and word notions is not clear; while we consider different approaches to determine them: historical, epistemological and experimental. The contribution of the historical approach is essential to identify the problem and to bethink how a society in different historical periods considers speech. This section allows us to highlight two elements: the question of the speech emergence implies the notion of social representation, and nowadays, the word emergence is during the first words period. The analysis of this period leads to our epistemological part which defines units of this period: protowords and words. Once units identified, we perform a longitudinal analysis of four children, from one to two years. Firstly, we identify a phenomenon of substitution of protowords in words. Secondly, we observe two common elements in these productions: prosody and phonology. We show that prosody provides a common framework to ensure the transition between protowords and words, and that phonology is the area where differences are observed: the words are the place for the development of complex phonological structures, unlike protowords. We consider that the emergence of speech is when the children prefer using words as verbal communication medium, instead of protowords, and that this feature is the object of phonological development.
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L'onomatopée dans le lexique de l'arabe / The onomatopoeia in the arabic lexiconAlloush, Mustafa 02 December 2016 (has links)
L’onomatopée et l’interjection qui ont été étudiées de manière approfondie dans le domaine français dès le XVIIIe siècle n’ont fait l’objet que de quelques allusions dans la théorie grammaticale arabe traditionnelle. C’est ce vide que la présente thèse se propose de combler. Il s’agit d’une étude lexicale qui s’insère dans les recherches développant la théorie des matrices et des étymons (TME). Elle comprend deux grandes parties. La première se compose de deux chapitres. Le premier est consacré aux interjections (34 cas) et le second aux onomatopées proprement dites (18 cas). Dans ces deux chapitres, on procède à la manière de Guiraud (1967, chapitre III, « Structures onomatopéiques », ex. la racine T. K.). On extrait de l’interjection ou de l’onomatopée les deux consonnes qui les composent et on les considère comme un étymon dont on suit les diverses réalisations dans le lexique, en veillant toujours à la corrélation phono-sémantique. Il ressort de cette première partie que les racines (au sens traditionnel du terme) émanant d’étymons onomatopéiques sont près de neuf cents.Comme nous avons observé la présence du trait [+strident] dans un bon nombre de ces étymons, nous avons consacré la seconde partie à l’étude d’une nouvelle matrice qui se compose des traits [+strident] et [coronal], corrélés l’invariant notionnel « son, voix, bruit » et ses conséquences ,incluant la peur, le mouvement et ses diverses caractérisations. Cette matrice se réalise dans 69 étymons qui sont disposés par ordre alphabétique. Les réalisations de chaque étymon sont disposées en trois colonnes : le radical où l’étymon se réalise, la référence dans le tableau de l’organisation de l’invariant notionnel, le sens (tel qu’il est donné dans le Kazimirski).Il ressort de cette double étude qu’un immense pan du lexique de l’arabe est motivé, pourvu que l’on situe l’analyse au niveau des traits, la corrélation s’établissant entre le bruit et la définition même du trait de stridence, les sons stridents « se caractérisant acoustiquement par une plus grande quantité de bruit que leurs correspondants non-stridents » (Chomsky et Halle, 1968, p. 166). / Although onomatopoeia and interjections in French have been studied in depth since the 18th century, they have only been alluded to in traditional Arabic grammatical theory. This thesis is intended to remedy this situation with a lexical study applying the Theory of Matrices and Etymons (TME). The thesis is divided into two major sections, the first of which comprises two chapters. The first chapter deals with 34 interjections and the second 18 onomatopoeia. The approach adopted in these first two chapters is that of Guiraud (1967, chapter III devoted to onomatopoeic structures, e.g. the T. K. root). The interjections and onomatopoeia are extracted from the consonants which compose them; these consonants are considered as an etymon the various realisations of which are pursued in the lexicon with constant attention to the phono-semantic correlation. This first part shows that there are nearly nine hundred roots (in the traditional meaning of the term) arising out of the onomatopoeic etymons. Given the presence of the [+strident] feature in a large number of these etymons, the second part of this thesis is devoted to a new matrix comprising the correlated [+strident] and [coronal] features, the notional invariant "sound, voice, noise" and its consequences including fear, movement and its various characteristics. This matrix is realised in 69 etymons ordered alphabetically. The realisations of each etymon are given in three columns: the radical in which the etymon is realised; the reference in the organisational table of the notional invariant; the meaning (as given in Kazimirski).This double study reveals that - provided that the analysis is established at the phonetic feature level - an immense area of the Arabic lexicon is motivated, the correlation between the noise and the very definition of the feature of stridence and strident sounds: "Strident sounds are marked acoustically by greater noisiness than their nonstrident counterparts" (Chomsky et Halle, 1968, p. 329).
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