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L’usage de la figure rythmique dans l’analyse du procédé incitatif (Xing 興) : une méthode de lecture expérimentale pour le Shijing 詩經 / The application of rhythmic figure to the analysis of the incentive process (Xing 興) : an experimental method for reading The Book of Odes (Shijing 詩經)Liao, Shueh-Ying 11 June 2015 (has links)
La thèse a pour corpus le Canon des Poèmes (Shijing 詩經). S’appuyant sur l’étude de diverses interprétations des Poèmes, elle propose une application numérique pour interpréter le procédé incitatif (Xing 興) qui, jusque-là, n’a pas été clairement défini au plan rythmique. On y considère le sinogramme à la manière d’une note musicale, ou plus précisément d’une sino-syllabe (hanzi -yinjie 漢字-音節). La thèse peut alors se baser sur trois principes d’analyse :1. le contraste d’effectifs des sino-syllabes ;2. le calcul combinatoire des sino-syllabes ;3. l’échelle de perception des sino-syllabes.En suivant ces trois principes d’analyse, la thèse expose une méthode de lecture expérimentale qui distingue deux aspects dans les sino-syllabes aperçues pendant la lecture : les composants fondamentaux (qui créent le rythme dominant) et les idées principales (qui constituent le sujet thématique). La collaboration harmonieuse du rythme dominant avec le sujet thématique, révèle un système de figuration qui transforme les propos en langage poétique sur le plan rythmique. Ce système sert de référence interne au corpus pour objectiver le rapport rythmique entre le motif initial (= premier groupe de vers) et le motif final (= deuxième groupe de vers), dans la strophe créée par le procédé de Xing. On propose de nommer ce système « figure rythmique » (jielü xiuci 節律修辭). / The present thesis has chosen to center its attention on The Book of Odes. After the study of diverse interpretations of these poems, the thesis is brought to suggest using numeric humanities in the analysis of what Xing calls “the incentive process” whose rhythmic figure has not yet been clearly defined. At the condition that a sinogram could be considered a musical note, it would be more accurate to call it a “sino-syllable” (hanzi-yinjie 漢字-音節). The results are relayed by these three principles: 1. The contrast of occurrences between sino-syllables 2. The sino-syllables’ combinatorial calculation 3. The scale of perception in comprehending sino-syllablesApplying these principles of analysis, the thesis then reveals an experimental method of reading which sets forth two aspects: the basic components that create the dominant rhythm and the mean ideas that constitute the thematic subject.The harmonious relationship of the dominant rhythm with the thematic subject reveals a system that rhythmically transforms words to poetic language. This metaphorical system, called “rhythmic figure” (jiulü xiuci 節律修辭) for the purpose of this research, serves as an internal reference to the corpus to manifest the rhythmic relationship between the first and final patterns in verses produced with Xing’s method.
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Écrire l'idée [Xie Yi] : entre l'écriture idéographique et l'écriture architecturaleBāo, Chén 05 July 2012 (has links) (PDF)
Un bâtiment ne parle pas, mais il communique d'une autre manière des messages qui sont le reflet des idées des architectes. Si l'architecture est un langage, si elle est une " écriture d'idées ", alors comment rendre l'idée visible ? Comment peut-on, dans un sens métaphorique, faire parler un bâtiment ? Nous proposons alors une hypothèse analogique : " Si le bâtiment parlait alors il parlerait chinois ". Cette hypothèse oriente nos recherches vers l'étude des rapports entre langage architectural et langage naturel. À l'intérieur de ce champ interdisciplinaire, l'écriture graphique et idéographique chinoise devient notre objet référentiel. Les caractères chinois unifient la forme et le sens en même temps, ils proposent une figuration des idées fondée sur le système idéographique. De par sa logique combinatoire et ses procédés rhétoriques, le processus de figuration des caractères chinois est un processus de transformation de formes simples vers des formes complexes, passant de significations limitées à des significations riches. Ce processus de conception de caractères montre également une série de schèmes idéographiques qui pourrait constituer un système méthodologique de sémantisation pour la représentation architecturale. Ainsi, l'écriture idéographique et l'écriture architecturale, pris comme deux processus de figuration peuvent parallèlement se comparer, et l'écriture idéographique pourrait proposer un outil conceptuel pour l'écriture architecturale. Il s'agit d'examiner un nouveau modèle linguistique qui pourrait être utile pour la conception de l'architecture contemporaine.
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Écrire l'idée [Xie Yi] : entre l'écriture idéographique et l'écriture architecturale / Write the idea [Xieyi] : between the Chinese writing and the architectural writingBāo, Chén 05 July 2012 (has links)
Un bâtiment ne parle pas, mais il communique d’une autre manière des messages qui sont le reflet des idées des architectes. Si l’architecture est un langage, si elle est une « écriture d’idées », alors comment rendre l’idée visible ? Comment peut-on, dans un sens métaphorique, faire parler un bâtiment ? Nous proposons alors une hypothèse analogique : « Si le bâtiment parlait alors il parlerait chinois ». Cette hypothèse oriente nos recherches vers l’étude des rapports entre langage architectural et langage naturel. À l’intérieur de ce champ interdisciplinaire, l’écriture graphique et idéographique chinoise devient notre objet référentiel. Les caractères chinois unifient la forme et le sens en même temps, ils proposent une figuration des idées fondée sur le système idéographique. De par sa logique combinatoire et ses procédés rhétoriques, le processus de figuration des caractères chinois est un processus de transformation de formes simples vers des formes complexes, passant de significations limitées à des significations riches. Ce processus de conception de caractères montre également une série de schèmes idéographiques qui pourrait constituer un système méthodologique de sémantisation pour la représentation architecturale. Ainsi, l'écriture idéographique et l'écriture architecturale, pris comme deux processus de figuration peuvent parallèlement se comparer, et l’écriture idéographique pourrait proposer un outil conceptuel pour l’écriture architecturale. Il s’agit d’examiner un nouveau modèle linguistique qui pourrait être utile pour la conception de l’architecture contemporaine. / A building does not speak, but communicates messages in a different way which comes from architects’ ideas. If architecture is a language, if it is a way to "write ideas", we would like to ask how can we make ideas visible and, metaphorically, how to make a building speak? So we propose a hypothesis based on analogy: "If the building spoke, it would speak Chinese." This hypothesis has guided our research towards the study of the relationship between architectural language and natural language: inside an interdisciplinary field mixing graphic and ideographic issue Chinese writing becomes our referential object. Chinese characters unify form and meaning at the same time, they are representations of ideas based on the ideographic system - a system "write the idea" - which more or less influenced all other Chinese arts and could represent the the most complex idea in the simplest way. By the combinatory logic and in the rhetorical manner, the process of figurations of Chinese characters was a process from simple forms to complex forms, from the limited significations to the rich significations. This design process also shows a series of ideographic patterns, which could be a methodological system of semantisation for the architectural representation. As a result, ideographic writing and architectural writing, as two processes of representation can be compared in a parallel way: ideographic writing could then provide a conceptual tool for architectural writing, constitute a new linguistic model for the design of contemporary architecture.
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Stratégies d'apprentissage des sinogrammes chez les étudiants francophones / A study on the chinese character learning strategies of french studentsLi, Jing 29 January 2014 (has links)
Cette thèse s’inscrit dans les domaines de l’acquisition et de la didactique des langues étrangères. Sa nature est quantitative et descriptive. Elle porte sur les stratégies d’apprentissage des sinogrammes par des étudiants francophones dans un environnement instructif. L'objectif, dans un premier temps, est de connaître les stratégies spécifiques employées par les étudiants francophones pour apprendre les sinogrammes et de savoir si les stratégies employées dépendent du niveau de connaissance de la langue, du sexe, de l’âge et du style d'apprentissage.Le questionnaire, nommé SILCC (Strategy Inventory of Learning Chinese Character), que nous avons conçu dans cette étude a pour but d'observer les stratégies utilisées, puis les données sont analysées à l'aide de méthodes statistiques inférentielles. Le deuxième objectif est d’appliquer les résultats à la didactique du chinois langue étrangère. En fonction des résultats obtenus, des modèles de formation aux stratégies d’apprentissage et leur intégration dans les matériaux pédagogiques sont ensuite proposés. / This thesis is in the field of acquisition and teaching foreign language. It covers learning strategies of Chinese characters by French students in an instructional environment. The nature of this study is quantitative and descriptive. The first objective is to know which strategies are used by French students to learn Chinese characters and how those strategies are correlated with the student’s Chinese level, the student’s gender, the age and the learning style. A questionnaire, called SILCC (Strategy Inventory of Learning Chinese Character), has been designed in this study to analyze those strategies. The output data are analyzed using inferential statistical methods. The second objective is to apply the results for teaching activities and to propose a model of training strategies that can be used in academic materials.
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Ecriture chinoise, écriture occidentale : variantes de l'appréhension du monde / How to apprehend the world : approach through chinese writing, approach through western writingTung, Jui-Chu 03 December 2012 (has links)
Confronter la pensée occidentale à la pensée chinoise est une démarche enrichissante à un moment où les cultures se croisent et peuvent même se sentir menacées. J'ai tenté, en partant de l'étude des écritures et de leurs origines de mieux cerner l'avènement de la pensée et son développement dans les deux cas. Il s'agissait de fixer un champ d'étude, j'ai donc songé à présenter le 'réel', le' monde', selon les deux approches et applications, d'un côté le 'logos\ la Raison et de l'autre les conceptions taoïstes, parfois mêlées de bouddhisme. Le 'procès' du monde dont la Chine était très tôt consciente ne lui permettait pas d'interpréter le réel tel que la Grèce et par voie de conséquence l'Occident le concevait, la seule chose qui ne change pas dans le monde étant précisément pour la Chine l'état 'd'impermanence'. Partant notamment du "yi jing" ou "Livre des Mutations", de la construction idéographique, la Chine a voulu représenter le monde tout entier, elle avait une vision différente de celle de I'Occident...Mais une question demeure posée: quelle est au fond l'origine de cette vision ? Est-ce celle de certains penseurs ? Est-ce la nature elle-même ? Est-ce l'écriture comme manifestation humaine? Ma recherche propose quelques jalons pour chaque civilisation, mais la question reste très ouverte / Comparing Western thought and Chinese thought can be quite enriching, at a time when cultures in general can gain contact, as weil as fee!thrcatencd somctimes. l have tried, starting from modes of writings, at their origins, to figure out the advcnt and development ofthought on both sides. The point was also to choose a field ofexpcriment... 1 have thought that 1 could present 'reality', the 'world', from Western and Chinese approaches, with the efiècts of 'logos' and 'Reason' on one side and Taoist and sometimes Buddhist influences on the other. The 'process' of the world that China was conscious of cou id not allow her to apprchend reality such as Greece, very carly, and later Western thought could conceive it. Indeed, the only thing that would not change in this world is the state of 'impermanence' for China. From the yi jing, the Book of Changes, and ideographie patterns and methods, China wanted to show the world, the whole world. That was a vision definitely different from that of the West... Still, one question remains : where does this vision come from ? From thinkers. from Nature itself ? From modes of writings as human responses ? The exposition that I developed offers a few landmarks on both sidcs, but the question is still an open one...
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