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L'institution imaginaire de l'ethos : exigences pour une éthique de l'autonomie / The imaginary institution of the ethos : demands for an ethics of autonomy

Dela-Saviá, Sérgio 21 June 2008 (has links)
Le sujet de ce travail porte sur le conditions pour qu'il soit pensable une "éthique de l'autonomie". Pour cette enquête j'ai mobilisé la philosophie de l'imaginaire de Cornelius Castoriadis. Ainsi, il s'agit de réfléchir non pas à une éthique "chez" Castoriadis, mais une éthique qui soit en mesure de répondre aux impératifs du projet visant l'autonomie humaine en puisant dans l'oeuvre de Castoriadis le sens d'un tel projet. Le travail tente ainsi d'élucider les conditions de possibilités de l'altération de l'ethos de la société : mode d'être collectif, horizon et source normative d'un groupe social donné (peuple, civilisation, etc.). Or, penser l'altération du monde social signifie penser la possibilité de l'autonomie ce qui implique, par voie de conséquence, penser une éthique et une politique qui favorisent son exercice. Or, nous ne pouvons pas parler d'"autonomie" dans le sens de la philosophie de Castoriadis sans évoquer aussitôt l'ontologie propre au domaine du social-historique, c'est-à-dire la question de l'institution de la société, du rapport psyché/société, de l'effectivité des significations imaginaires sociales, etc. Une "éthique de l'autonomie" : éducation/formation des individus comme membres et coparticipants à l'institution de la société comme telle ; faire être des individus "intéressés" pour le bien commun, capables d'intervenir dans le domaine publique et d'y revendiquer, capables aussi de poser des lois/normes pour la vie en commun / The subject of this work is the conditions that make thinkable an ethics of the autonomy. For such investigation I have mobilized the philosophy of imaginary of Cornelius Castoriadis. Thus, it's a question of thinking not of an ethics "at" Castoriadis, but of an ethics which is able to answer the demands of the project aiming at human autonomy while taking from Castoriadis' work the direction of such a project. The work thus tries to elucidate the conditions that make possible changing the ethos of the society : societal ways of being and normative source of a given social group (people, civilization, etc.). However, to think the change of the social world means to think the possibility of exercising the autonomy, what implies, consequently, of thinking an ethics and a politics that support this exercise. However, we cannot speak about "autonomy" in the sense of Castoriadis' philosophy without evoking at once the ontology specific to the social-historical world, i.e. the issues regarding the institution of the society ; the relations between psyche and society, the effectiveness of the social imaginary significations, etc. an "ethics of the autonomy" will be thus interdependent of the political activity insofar as this one institutes the field where the conditions of the exercise of autonomy can be created indeed : education/formation of the individuals as members and as copartners of the institution of the society as it is ; to create individuals to whom the public good is a major question ; individuals who will be able to intervene and to assert in the public field, as well as to establish laws and rules for the collective life
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Les firmes transnationales et l'institution social-historique du changement climatique.

Lefèvre, Mathias 18 June 2007 (has links) (PDF)
Notre thèse porte sur les firmes transnationales dont les activités sont mises en cause dans le problème du changement climatique. Elle traite de leurs actions relativement au processus politique engagé par les Etats au début des années 1990 et de leur influence sur la définition des solutions à apporter au problème. Plus précisément, dans le cadre d'une réflexion plus large sur l'institution social-historique du problème - le fait qu'il est institué, moyennant l'imaginaire, dans et par des sociétés particulières, à un moment donné de leur histoire et pour un certain temps -, et considérant la période allant de 1989 à 2001, nous avons voulu élucider deux choses. D'une part, pourquoi, pour (ou contre) quoi et comment ces firmes ont agi (la cause, la fin et la teneur de leurs actions) par rapport au processus politique. D'autre part, dans quelle mesure ces actions (faisant valoir un certain " pouvoir relationnel "), mais aussi le seul fait qu'elles existaient (situation dont elles tirent un " pouvoir institutionnel "), ont eu des effets sur ce processus et, plus particulièrement, sur la définition des solutions. Le choix d'analyser ces acteurs " non-étatiques " majeurs a résulté de deux motivations entremêlées. Celle, principale, de démontrer la nécessité de tenir compte de ces grandes firmes (en sus des Etats, des institutions interétatiques et d'autres acteurs non-étatiques) pour pouvoir comprendre l'évolution du processus politique, et ainsi de remédier au défaut d'études sur le sujet. Par ailleurs, celle de contribuer, en filigrane, à la compréhension de la façon dont le capitalisme, en tant que régime social (type spécifique d'institution de la société) ne pouvant exister que dans et par l'entreprise, affronte ce problème qui, plus que tout autre problème écologique, le met profondément en question, c'est-à-dire le menace.

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