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L'innovation managériale et la modernisation des entreprises

Vandewattyne, Jean 24 March 1998 (has links)
<p align="justify">Partant du mouvement managérial de remise en cause de l'organisation classique aussi appelée bureaucratie mécaniste ou encore entreprise taylorienne et fordienne qui a pris vigueur au début des années 80, l'architecture de cette thèse se structure en trois parties étroitement interdépendantes.</p> <p align="justify">La première partie porte sur l'innovation managériale, c'est-à-dire sur les doctrines et les outils de gestion qui, à partir de la fin du siècle passé et du début de ce siècle, ont façonné l'histoire du management. Le regard porté conduit à relativiser voire à rompre avec certains lieux communs. Ainsi force est de constater que l'entreprise classique a fait l'objet au cours du temps d'un certain nombre de critiques, d'un certain nombre de tentatives d'aménagement voire même de dépassement. Notons toutefois que, par rapport aux tentatives précédentes, celle qui a débuté au début des années 80 apparaît beaucoup plus profonde au niveau des intentions et surtout beaucoup plus largement partagée par les managers. Par ailleurs, la lecture avancée insiste sur la dimension cyclique de l'histoire du management. Enfin, concernant la période actuelle, l'idée de mode est réfutée au profit de celle d'un construit étalé dans le temps.</p> <p align="justify">La deuxième partie est consacrée à une étude de cas portant sur une grande entreprise sidérurgique. L'analyse faite s'articule autour du concept de bloc sociotechnologique dont la paternité revient à Pierre Bouvier (Le travail au quotidien: une démarche socio anthropologique, Paris, PUF, 1989). Dans cette optique, l'histoire récente de l'entreprise peut être posée comme celle du passage d'un bloc à un autre, c'est-à-dire d'une articulation relativement cohérente entre des variables différentes sociale, économique, politique, technologique... à une autre. Pour le faire ressortir, trois histoires connexes ont été relatées et analysées en détail:</p> <p align="justify">La première histoire est micro-économique. Elle fait une large place à la crise comme élément de rupture par rapport au passé et aux restructurations successives qu'elle a entraînées. Sur la durée, celles-ci sont particulièrement révélatrices de l'évolution des rapports de force entre les acteurs. Elles mettent également en lumière les "dégâts" humains et sociaux provoqués par la modernisation.</p> <p align="justify">La deuxième histoire est relative à l'évolution technologique. En sidérurgie, comme dans la plupart des secteurs traditionnels, les nouvelles technologies de l'information et de la communication sont venues véritablement bouleverser les univers de travail. A ce niveau, l'analyse s'est centrée sur les multiples effets socio-organisationnels liés à l'informatisation des outils.</p> <p align="justify">La troisième et dernière a trait à la modernisation managériale. Dans le cas particulier de l'entreprise, elle débute à la fin des années 70 avec l'arrivée d'un nouveau directeur général. Toutefois, ce n'est qu'au début des années 80 que la volonté de renouveau managérial commence réellement à se concrétiser avec le développement des cercles de qualité et de progrès. Par la suite, l'entreprise ne cessera d'innover. Ainsi, vers la fin des années 80, la direction adopte la qualité totale comme mode de management. Dans ce cadre, elle multiplie les nouveaux concepts et les nouveaux outils de gestion: plan d'amélioration de la qualité, assurance qualité, topomaintenance, statistical process control, prime de progrès, etc. Enfin, après avoir réalisé d'importantes économies et fiabilisé son processus de production, vers le milieu des années 90, la direction témoigne d'une volonté de repenser son mode d'organisation et de gestion du personnel. Ainsi, par exemple, il est de plus en plus question d'organisation apprenante ou qualifiante.</p> <p align="justify">Chacune de ces innovations a fait l'objet d'une présentation et d'une analyse socio-organisationnelle approfondie. Sans entrer dans les détails, soulignons cependant que la mise en oeuvre d'une nouvelle organisation du travail et d'une gestion individualisée des carrières vient en quelque sorte finaliser l'émergence d'un nouveau bloc sociotechnologique.</p> <p align="justify">Quant à la troisième partie, elle est consacrée à une lecture théorique de l'innovation managériale à partir des concepts de l'analyse stratégique. Toutefois, la mobilisation du cadre théorique développé par Michel Crozier et Erhard Friedberg a également conduit à en souligner certaines limites dont le rejet de la dimension historique de l'organisation et de ses acteurs.</p>
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Le contrôle de gestion comme scène du gouvernement des groupes de sociétés. La place du calcul économique dans l'action organisée

Puyou, François-Régis 18 September 2009 (has links) (PDF)
La thèse étudie empiriquement au travers du fonctionnement du contrôle de gestion la question de l'état des rapports entre la propriété et le pouvoir dans les groupes de sociétés. Les exercices budgétaires et les reportings apparaissent comme des lieux d'affirmation du pouvoir des acteurs sur fond d'incertitude quant aux résultats de l'activité. Les arrangements entre maisons mères et dirigeants de filiales dépassent néanmoins la simple optimisation des performances économiques. Le traitement de l'information financière apparaît au premier rang des facteurs grâce auxquels chacun des acteurs " trouve sa place " dans la subtile division du travail qui s'opère au sein des groupes. Les maisons mères entendent par exemple se concilier la maîtrise des logiciels et des procédures de contrôle dans le but de conforter leur position comme échelon décisionnel incontournable. Les dirigeants de filiales en mesure de concentrer les ressources nécessaires à la production de leurs données financières sont quant à eux mieux à même de s'affranchir de cette tutelle. Enfin, les contrôleurs de gestion compartimentent la circulation des informations entre sociétés et privilégient les interlocuteurs qui partagent un espace de mobilité professionnelle comparable au leur. Finalement, le contrôle de gestion constitue un espace, à mi-chemin entre les instances de contrôle et de gestion, qui multiplie les opportunités d'apprentissage, via la coopération, la négociation et l'affrontement. Les jeux entre acteurs dépassent alors l'opposition suggérée par la théorie de l'agence et permettent d'appréhender le " périmètre actif " de chaque groupe à distance des repères strictement juridiques ou comptables.
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Social Finance and the Commons

Meyer, Camille 21 April 2017 (has links)
The commons is a concept increasingly used by practitioners and social activists with the promise of creating new collective wealth (Bollier & Helfrich, 2014; De Angelis, 2003; Hardt & Negri, 2009; Klein, 2001). In recent years, a variety of scholarly research explained the different ways of organizing commons (Van Laerhoven & Ostrom, 2007). To that end, many streams of inquiry have emerged in various areas: organization theory (Ansari et al. 2013; Fournier, 2013; Tedmanson et al. 2015), institutional economics (Hess, C. & Ostrom, 2011; Ostrom, 1990, 2005, 2010), political philosophy and legal studies (Dardot & Laval, 2014; Holder and Flessas, 2008; Hardt & Negri, 2009), nonprofit studies (Aligica, 2016; Bushouse et al. 2016; Lohmann, 2014, 2016) and business ethics (Argandoña, 1998; Melé, 2009, 2012; O’Brien, 2009; Sison & Fontrodona, 2012; Solomon, 2004). However, these different theories are usually conceived and used separately. Empirical research on commons has mainly focused on natural resources at local and global levels (Ansari et al. 2013; Cody et al. 2015; Cox & Ross, 2011; Galaz et al. 2012; Ostrom, 1990, 2010; Poteete et al. 2010), and also on digital and scientific resources (Benkler, 2006; Boyle, 2008; Cook‐Deegan & Dedeurwaerdere, 2006; Coriat, 2015; Hess & Ostrom, 2011). Despite a long research tradition in local community organizations, there is little empirical scientific knowledge that uses the lens of the commons to study shared resources that are neither natural nor informational in nature. This dissertation aims to fill these gaps by analyzing social finance services and organizations from an interdisciplinary perspective. The aim is to understand whether communities can create financial commons. By analyzing the processes involved, the dissertation sheds light on the social and institutional components enabling the creation of human-made commons. We focus on community organizations linked to the solidarity economy movement in Brazil. Such movement aims to promote socio-economic alternative organizations, especially for poverty alleviation and inequality reduction.More specifically, the dissertation identifies the nature of two kinds of shared financial resources––microcredit services and complementary currencies––and looks at the functioning of community arrangements that provide them, the community components mobilized for creating commons organizations, and the institutional work strategies developed by intermediary organizations to adjust the scale of these social finance services.The dissertation is structured in four chapters, each of which addresses different research questions and uses different methods and units of analysis. The first chapter is conceptual and based on a literature review on complementary currencies in order to identify the commons dimensions of seven complementary currency systems. The second chapter is an in-depth single case study of Banco Palmas, a Brazilian community bank. This chapter analyzes the transformative power of governance on private goods when managed by self-governed grassroots organizations. Chapter three is a comparative case study of five community banks that focuses on the community components involved in creating commons as a grassroots response to contested market and state institutions. The final chapter focuses on the diffusion and institutionalization of social finance in Brazil and the role played by five intermediary organizations in this process.Starting from the observation that there is no definition of financial commons, Chapter 1 – Money and the Commons: Lessons from Complementary Currencies – proposes to assess the commons dimensions of monetary systems created and managed by local organizations. Specifically, we investigate the organizational features of seven complementary currency systems by making use of two main theoretical frameworks that are usually separate: the new commons in organization studies and the common good in business ethics. The findings show that these alternative monetary systems and organizations promote the common interest through the creation of new communities and can therefore be considered as commons according to the common good framework. Nevertheless, only systems relying on collective action and self-management fulfill the new commons framework. This allows us to suggest two new categories of commons: “social commons”, which fulfills both the new commons and the common good frameworks, and the “commercial commons”, which that fulfill the common good but not the new commons framework. Building on this, we define an ethos of the commons as a principle that consists in organizing commons practices through both collective organization and ethical concern for human flourishing.Chapter 2 - A Case Study of Microfinance and Community Development Banks (CDBs) in Brazil: Private or Common Goods? - looks at how governance mechanisms of self-managed community organizations affect the characteristics of microcredit services. Based on field research in Brazil, this chapter uses Elinor Ostrom’s design principles of successful self-governing common-pool resource organizations to analyze community banks’ microcredit systems. Our results suggest that private goods could be altered when governed by community self-managed enterprises. They become hybrid goods because they mix the characteristics of private and common goods. This change is facilitated by specific organizational arrangements, such as self-governance, that emerge from grassroots dynamics and the creation of collective-choice arenas. These arrangements help strengthen the inclusion properties of nonprofit microcredit services.In order to identify what components enable commons creation, we conduct a comparative case study of five Brazilian community banks in Chapter 3 – Building Commons in Community Enterprise: The Case of Self-Managed Microfinance Organizations. We analyze how community enterprises create commons whereas market and state institutions reproduce exclusion and inequalities. Our results suggest that four components are required to establish a new organization of commons: collective decision-making, community social control, servant leadership, and desire for social change. Building on this, we develop a model of commons organization and explain why these organizations are substitutes for existing marginalizing institutions. This study contributes to the literature by examining new elements for commons creation and shedding light on the emergence of new institutional arrangements for social change. Finally, after looking at commons institutional arrangements at local level in communities, we examine how commons organizations diffuse, institutionalize and organize in networks for consolidating their activities. Chapter 4 - Institutional Change and Diffusion in Institutional Plurality: The Case of Brazil’s Solidarity Finance Sector – explains how intermediary organizations help in this process. More precisely, we analyze the institutional work strategies deployed by five intermediary organizations in the Brazilian plural institutional context, where autonomous local state agencies and banks influence community banks' activities. We show how intermediary organizations support the institutionalization of community development banks (CDBs) through diffusing these organizations in different communities, performing external institutional work with governments and public banks at national and local levels, and accomplishing internal institutional work through structuring CDBs and CDB networks. / Doctorat en Sciences économiques et de gestion / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'innovation managériale et la modernisation des entreprises

Vandewattyne, Jean 24 March 1998 (has links)
<p align="justify">Partant du mouvement managérial de remise en cause de l'organisation classique aussi appelée bureaucratie mécaniste ou encore entreprise taylorienne et fordienne qui a pris vigueur au début des années 80, l'architecture de cette thèse se structure en trois parties étroitement interdépendantes.</p><p><p><p align="justify">La première partie porte sur l'innovation managériale, c'est-à-dire sur les doctrines et les outils de gestion qui, à partir de la fin du siècle passé et du début de ce siècle, ont façonné l'histoire du management. Le regard porté conduit à relativiser voire à rompre avec certains lieux communs. Ainsi force est de constater que l'entreprise classique a fait l'objet au cours du temps d'un certain nombre de critiques, d'un certain nombre de tentatives d'aménagement voire même de dépassement. Notons toutefois que, par rapport aux tentatives précédentes, celle qui a débuté au début des années 80 apparaît beaucoup plus profonde au niveau des intentions et surtout beaucoup plus largement partagée par les managers. Par ailleurs, la lecture avancée insiste sur la dimension cyclique de l'histoire du management. Enfin, concernant la période actuelle, l'idée de mode est réfutée au profit de celle d'un construit étalé dans le temps.</p><p><p><p align="justify">La deuxième partie est consacrée à une étude de cas portant sur une grande entreprise sidérurgique. L'analyse faite s'articule autour du concept de bloc sociotechnologique dont la paternité revient à Pierre Bouvier (Le travail au quotidien: une démarche socio anthropologique, Paris, PUF, 1989). Dans cette optique, l'histoire récente de l'entreprise peut être posée comme celle du passage d'un bloc à un autre, c'est-à-dire d'une articulation relativement cohérente entre des variables différentes sociale, économique, politique, technologique. à une autre. Pour le faire ressortir, trois histoires connexes ont été relatées et analysées en détail:</p><p><p><p align="justify">La première histoire est micro-économique. Elle fait une large place à la crise comme élément de rupture par rapport au passé et aux restructurations successives qu'elle a entraînées. Sur la durée, celles-ci sont particulièrement révélatrices de l'évolution des rapports de force entre les acteurs. Elles mettent également en lumière les "dégâts" humains et sociaux provoqués par la modernisation.</p><p><p><p align="justify">La deuxième histoire est relative à l'évolution technologique. En sidérurgie, comme dans la plupart des secteurs traditionnels, les nouvelles technologies de l'information et de la communication sont venues véritablement bouleverser les univers de travail. A ce niveau, l'analyse s'est centrée sur les multiples effets socio-organisationnels liés à l'informatisation des outils.</p><p><p><p align="justify">La troisième et dernière a trait à la modernisation managériale. Dans le cas particulier de l'entreprise, elle débute à la fin des années 70 avec l'arrivée d'un nouveau directeur général. Toutefois, ce n'est qu'au début des années 80 que la volonté de renouveau managérial commence réellement à se concrétiser avec le développement des cercles de qualité et de progrès. Par la suite, l'entreprise ne cessera d'innover. Ainsi, vers la fin des années 80, la direction adopte la qualité totale comme mode de management. Dans ce cadre, elle multiplie les nouveaux concepts et les nouveaux outils de gestion: plan d'amélioration de la qualité, assurance qualité, topomaintenance, statistical process control, prime de progrès, etc. Enfin, après avoir réalisé d'importantes économies et fiabilisé son processus de production, vers le milieu des années 90, la direction témoigne d'une volonté de repenser son mode d'organisation et de gestion du personnel. Ainsi, par exemple, il est de plus en plus question d'organisation apprenante ou qualifiante.</p><p><p><p align="justify">Chacune de ces innovations a fait l'objet d'une présentation et d'une analyse socio-organisationnelle approfondie. Sans entrer dans les détails, soulignons cependant que la mise en oeuvre d'une nouvelle organisation du travail et d'une gestion individualisée des carrières vient en quelque sorte finaliser l'émergence d'un nouveau bloc sociotechnologique.</p><p><p><p align="justify">Quant à la troisième partie, elle est consacrée à une lecture théorique de l'innovation managériale à partir des concepts de l'analyse stratégique. Toutefois, la mobilisation du cadre théorique développé par Michel Crozier et Erhard Friedberg a également conduit à en souligner certaines limites dont le rejet de la dimension historique de l'organisation et de ses acteurs.</p><p><p> / Doctorat en sciences sociales, Orientation sociologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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