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Élaboration et validation d'un questionnaire d'identification des stratégies de développement utilisées pour relever les défis de gestionMartel, Sandra January 2010 (has links)
Il existe plusieurs questionnaires destinés à soutenir les gestionnaires au niveau du développement de leurs compétences. Toutefois, la plupart ne font pas référence à des situations d'apprentissage concrètes liées au travail. Or, il semble que les compétences de gestion s'acquièrent principalement sur le terrain. Afin de pallier à cette lacune, la présente recherche propose un outil, le Questionnaire sur les défis de gestion et les stratégies de développement.Il s'appuie sur le postulat théorique que le gestionnaire développe ses compétences dans l'action à travers diverses situations et plus particulièrement lorsqu'elles lui posent un défi.Il est actif dans son processus d'apprentissage et se développe en activant des stratégies de développement. Une version préliminaire de l'outil a d'abord été construite et présentée à trois gestionnaires. Leurs commentaires ont permis d'élaborer une version expérimentale web. Au total, l'outil a été administré à 71 gestionnaires comportant des caractéristiques différentes et provenant d'organisations diverses. À l'aide du questionnaire, les participants ont d'abord identifié trois défis rencontrés dans l'exercice de leurs fonctions, parmi une liste de 44. En référant à chacun d'eux, ils ont ensuite évalué l'utilité de 41 stratégies de développement sur une échelle de type Likert. Les résultats de la recherche démontrent que les propriétés métriques de l'outil sont satisfaisantes pour être utilisé auprès des gestionnaires qui souhaitent développer les compétences liées à leur rôle. Les résultats apportent aussi un éclairage concernant l'apprentissage des compétences de gestion. Ainsi, il semble que peu importe le défi rencontré, travailler sur ses perceptions, se fixer un objectif précis et rechercher du feed-back et des opinions constituent des stratégies utiles pour faire face aux défis. Les résultats indiquent aussi que le contexte particulier dans lequel s'inscrit le défi fait quelque peu varié l'utilité perçue des stratégies de développement. Ce qui démontre aussi l'importance d'une approche individualisée en matière de développement des compétences.
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Vulnérabilité et résilience des petites économies insulaires en développement / No English title availableGoavec, Claire 29 June 2016 (has links)
L'allocation peu optimale de l'Aide Publique au Développement, la performance avérée de certaines des Petites Économies Insulaires en Développement ainsi que le problème de définition de ce groupe de pays nous amènent à nous poser la question suivante : le traitement spécifique des PEID de la part des institutions internationales est-il justifié ? Nous nous sommes de prime abord focalisés sur les caractéristiques intrinsèques de ces petites économies, qui les rendent a priori plus exposées aux chocs externes. La première partie de notre analyse a ainsi eu pour but d'évaluer la vulnérabilité économique de ces territoires. Certaines des économies étant reconnues comme vulnérables affichent des résultats de performance économique et sociale remarquables. Afin de tenir compte de ce paradoxe, nous nous sommes attachés à quantifier cette performance de développement, de manière à aborder notre second thème : la performance de résilience de ces territoires. Notre analyse nous permet quelques constats intéressants. Premièrement, la définition des concepts est un réel problème. Deuxièmement, bien qu'avérée, la vulnérabilité des PEID se trouve nuancée par le changement de construction de l'Indicateur de Vulnérabilité Économique que nous proposons. Troisièmement, la performance économique et sociale de certaines économies insulaires est indéniable. Quatrièmement, bien que le caractère résilient des PEID soit confirmé par notre analyse, cette résilience est particulièrement hétérogène au sein de ce groupe de pays. Enfin, l'étude des stratégies de développement de ces îles nous a conduits au constat suivant : il ne peut exister de stratégie commune à ces territoires différents. / The non-optimal allocation of Official Development Assistance, the performance of some Small Island Developing Economies and the problem of definition of this group of countries lead us to ask the question : is the special treatment of SIDE from international institutions justified? First, we focused on the intrinsic characteristics of these small economies, which are a priori more exposed to external shocks. The first part of our analysis consists to assess the economic vulnerability of these territories. Some economies, recognized as vulnerable, are economically and socially efficient. To account for this paradox, we devoted to quantify the development performance to address our second topic: the resilience performance of these territories.Our analysis allows some interesting findings. First, the definition of concepts is a real problem. Second, the vulnerability of SIDE is nuanced by the construction change of the Economic Vulnerability Indicator that we propose. Third, the economic and social performance of some island economies is undeniable. Fourth, although the resilient nature of SIDE is confirmed by our analysis, this resilience is especially heterogeneous within this group of countries. Finally, the study of the development strategies of these islands allows the following conclusion: there can be no common strategy in these territories.
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Impôts fonciers locaux et stratégies de développement territorial : le cas du foncier bâti communal en France / Local property taxes and territorial development strategies : the case of the french communes property tax on buildingsMingou, Christian Nala 10 November 2011 (has links)
Le système fiscal local direct français a connu, au cours de ces dernières années, des bouleversements notoires. La taxe professionnelle, qui autrefois constituait la principale source de revenus des communes, après avoir été plusieurs fois l'objet de réformes ou de tentatives de réformes, a été finalement supprimée et remplacée (Loi de Finances pour 2010) par de nouvelles impositions (CET, IFER…). Quant à la taxe d'habitation, elle a, depuis 2000, quasiment perdu de sa pertinence et sa crédibilité comme mode d'imposition à l'échelle locale. Aujourd'hui, l'intérêt pour les collectivités locales, en général, et les communes, en particulier semble, sans doute, se porter sur le foncier bâti, qui n'est rien d'autre que la troisième taxe qui complète le tableau des principaux impôts directs locaux français. La taxe foncière sur les propriétés bâties, grâce aux nombreuses qualités (techniques, juridiques, urbanistiques, économico-spatiales) qu'elle présente en matière d'imposition locale, semble offrir plusieurs possibilités de développement aux communes. En effet, la taxe foncière sur les propriétés bâties rentre dans la catégorie des impôts dits « fonciers » qui sont considérés, par plusieurs auteurs (universitaires, élus locaux, élus nationaux, organisations internationales telles que l'OCDE), comme de bons impôts, voire comme des impôts optimaux. Aussi, la taxe foncière sur les propriétés bâties est un impôt qui peut bien prêter, surtout dans le long et le moyen terme, à des politiques de développement local, d'autant que ses bases, touchant à la fois les ménages et les entreprises, semblent être prêtes pour ces enjeux autour desquels se définissent aujourd'hui les stratégies (économiques et spatiales) de développement territorial : politique de logement (ZAC habitat), politique de développement économique (commerces, bureaux, services, activités industrielles ou entreposage, etc.), étalement urbain, densification urbaine / The French local tax system has been live, over the last few years, notable changes. Business tax, which once was the main source of income of Communes, after being repeatedly subjected to reforms or attempts at reform, was finally removed and replaced (Finance Act 2010) by new taxes (TEC, IFER…). As for the Local residence tax, it has since 2000, almost lost its relevance and credibility as a form of taxation at the local level. Today, interest in local government, in general, and the Communes, in particular, seems no doubt be focused on the Property tax on buildings, which is nothing other than the third tax which complete the picture of French major local direct tax. Property tax on buildings, thanks to the many qualities that it has in terms of local taxation (technical, legal, urban planning, economic and spatial), seems to offer more development opportunities to the Communes. Indeed, the property tax on buildings falls into the category of taxes known as “land taxes” that are considered by several authors (academics, local councillors, national politicians, international organizations such as OECD) as good taxes or optimal taxes. Also, Property tax on buildings is a tax that can pay well, especially as its bases, affecting both households and businesses, seem to be ready for these challenges around which define, today, the territorial development strategies (economic and spatial): housing policies, economic development policies (shops, offices, storage, etc.), urban sprawl, urban densification
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Impôts fonciers locaux et stratégies de développement territorial : le cas du foncier bâti communal en FranceMingou, Christian Nala 10 November 2011 (has links) (PDF)
Le système fiscal local direct français a connu, au cours de ces dernières années, des bouleversements notoires. La taxe professionnelle, qui autrefois constituait la principale source de revenus des communes, après avoir été plusieurs fois l'objet de réformes ou de tentatives de réformes, a été finalement supprimée et remplacée (Loi de Finances pour 2010) par de nouvelles impositions (CET, IFER...). Quant à la taxe d'habitation, elle a, depuis 2000, quasiment perdu de sa pertinence et sa crédibilité comme mode d'imposition à l'échelle locale. Aujourd'hui, l'intérêt pour les collectivités locales, en général, et les communes, en particulier semble, sans doute, se porter sur le foncier bâti, qui n'est rien d'autre que la troisième taxe qui complète le tableau des principaux impôts directs locaux français. La taxe foncière sur les propriétés bâties, grâce aux nombreuses qualités (techniques, juridiques, urbanistiques, économico-spatiales) qu'elle présente en matière d'imposition locale, semble offrir plusieurs possibilités de développement aux communes. En effet, la taxe foncière sur les propriétés bâties rentre dans la catégorie des impôts dits " fonciers " qui sont considérés, par plusieurs auteurs (universitaires, élus locaux, élus nationaux, organisations internationales telles que l'OCDE), comme de bons impôts, voire comme des impôts optimaux. Aussi, la taxe foncière sur les propriétés bâties est un impôt qui peut bien prêter, surtout dans le long et le moyen terme, à des politiques de développement local, d'autant que ses bases, touchant à la fois les ménages et les entreprises, semblent être prêtes pour ces enjeux autour desquels se définissent aujourd'hui les stratégies (économiques et spatiales) de développement territorial : politique de logement (ZAC habitat), politique de développement économique (commerces, bureaux, services, activités industrielles ou entreposage, etc.), étalement urbain, densification urbaine
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