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Klassiker des (Kinder)-Grusels schöpfen neue Lebenskraft. Eine mundartliche Renaissance

January 2015 (has links)
abstract: ABSTRACT (English) Heinrich Hoffmann`s renowned Struwwelpeter and the famous Grimm brothers' fairy tales have been the subject of exhaustive pedagogical and psychological scrutiny. By means of shocking and fascinating literary elements Struwwelpeter's revolutionary didactic horror-comedy as well as the instructive horror-fantasy inherent in fairy tales are able to cast an enchanting, enlightening spell on their audience. However, both Hoffmann's and the Grimm's adventurous stories have suffered harsh criticism particularly owing to their often gruesome, macabre and unrealistic subject matter. Notwithstanding the barrage of denunciating objections, the remarkable longevity of Fidgety Philip, Little Red Riding Hood and Co appears to know no bounds, as their ingenious formula for success comprising captivatingly shocking, spine-tingling elements of both entertaining and educational value continues to inspire contemporary adaptations. Several German dialects have also discovered and devoted themselves to the magical world of Hoffmann's chaotic rascals and the Grimm's fascinating fairy tale characters in furtherance of enlivening them with the identity, culture and local flavor of their respective region. The current study aims to demonstrate the extent to which dialectal adaptations of the aforesaid tales succeed in not only revitalizing the original narratives including their pedagogical and psychodynamic quintessence but also in capturing the readers' hearts by virtue of their intimate parlance/phraseology. This particular philological approach illustrates the symbiotic interaction between regional German dialects and well-known (children's) Horror-stories. ABSTRACT (German) Bisher waren sowohl der renommierte Struwwelpeter Heinrich Hoffmanns als auch die berühmten Märchen der Brüder Grimm Objekte erschöpfender pädagogischer und psychologischer Betrachtungen. Die revolutionäre didaktische Gruselkomik der struwwelpetrigen Abenteuer sowie die lehrhafte Gruselphantastik der Märchen vermögen vermittels ihrer schockierenden und zugleich faszinierenden Elemente Menschen jeden Alters in ihren verzaubernden, lebenserhellenden Bann zu ziehen. Allerdings mussten die hoffmannschen und grimmschen Geschichten insbesondere auf Grund grausamer, wirklichkeitsfremder Inhalte auch als Zielscheibe heftigster Kritik fungieren. Nichtsdestotrotz scheint der steilen Karriere von Zappelphilipp, Rotkäppchen und Co keine Grenzen gesetzt, denn ihre raffinierte Erfolgsformel bestehend aus unterhaltsam-belehrenden Schock- und Zaubermotiven inspiriert stets neue Adaptionen. So haben auch die deutschsprachigen Mundarten längst das skurille sowie zauberhafte Reich der chaotischen Lausbuben und Märchencharaktere für sich entdeckt, um diese mit der jeweils eigenen regionalkolorierten Identität und Kultur zu beseelen. Im Rahmen dieser Arbeit gilt es nun zu demonstrieren, inwiefern es den dialektalen Petriaden und Märchenversionen gelingt, nicht nur die Erzählungen samt ihrer pädagogisch sowie psychodynamisch wertvollen Kerngehalte zu neuem Leben zu erwecken, sondern sich darüber hinaus in anheimelnder Weise die Herzen der Leserschaft zu erobern. Diese einzigartige philologische Perspektive beleuchtet die Erfolg versprechende Wechselwirkung zwischen den ortsspezifischen Sprachgeflechten und den (Kinder)-Gruselklassikern. / Dissertation/Thesis / Masters Thesis German 2015
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Comique et sadisme : les représentations du corps dans le Struwwelpeter de Heinrich Hoffmann

Jacob, Carmélie 02 1900 (has links) (PDF)
Paru à Francfort en 1845, le Struwwelpeter de Heinrich Hoffmann se présente comme le précurseur des albums illustrés pour la jeunesse, ayant pour principal objectif d'amuser l'enfant : le texte est conçu sous forme de comptines, et accompagné d'illustrations qui permettent à son destinataire de comprendre l'histoire même s'il n'est pas en âge de lire. L'œuvre, destinée au jeune lecteur (ou auditeur), n'est pas dépourvue d'enseignement moral ni de cruauté ; au contraire, les scénarios surprennent par leur violence, celle-ci étant justement fonction du comique. Ce que montre notre mémoire, c'est comment les manifestations de la corporéité, mise en mots comme en images, créent cette émergence du comique à travers le plaisir pulsionnel (sadisme, oralité, castration, etc.). Dans un premier chapitre, nous jetons un regard sur la manière dont la poésie enfantine d'Hoffmann déclenche le comique par sa mise en scène de la corporéité, par ses effets de répétition. Des jeux de langage tels que les rimes, les onomatopées, les assonances et les allitérations sont omniprésents dans le Struwwelpeter, et il est nécessaire d'observer leur fonctionnement pour voir à quel point la forme est prédominante, ou, pour le dire comme Bergson, à quel point « le corps pren[d] le pas sur l'âme ». De même, nous analysons les images en concordance avec le discours, pour montrer que les personnages illustrés, aux allures de marionnettes ou d'automates, désamorcent la violence des récits pour laisser place au rire. Le deuxième chapitre fait quant à lui ressortir le côté irrévérencieux du comique d'Hoffmann, en inversant le haut et le bas corporel (Bakhtine). Notre objet présente ce caractère grotesque du corps qui fascine l'enfant : images caricaturales, extrémités prolongées et exagérées, postures scatologiques et hygiène négligée, et nous voyons que c'est aussi le grobianisme, pendant germanique du grotesque, qui est mis à l'œuvre dans le Struwwelpeter. Enfin, le dernier chapitre s'attarde à la transgression des tabous, qui passe elle aussi par la question du corps : corps morcelé, battu, castré, enterré... et pourtant drôle. Nous voyons à partir des théories freudiennes que la sexualité, la mort et la violence occupent toutes trois des places de choix dans l'album, et qu'en représentant ces thèmes de façon aussi explicite, Hoffmann suscite le plaisir d'une transgression de l'interdit, d'autant qu'il daube dans son œuvre certains rites et cérémonials associés au deuil. Cette levée de nombreux tabous a soulevé des questions chez plusieurs critiques, mais elle n'en reste pas moins la raison première du succès rapide et durable du Struwwelpeter auprès des enfants d'Allemagne et d'ailleurs, bien qu'il reste encore méconnu au Québec. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Struwwelpeter, Crasse-tignasse, Pierre l'ébouriffé, littérature pour la jeunesse, album illustré, comique, sadisme, corporéité, culture germanique.

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