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Recherche exploratoire sur le leadership d'équipes et son utilisation en entrepriseRichard, Élodie 12 1900 (has links) (PDF)
Le but de cette recherche a été de savoir si le leadership expérientiel d'équipe existait et était utilisé dans les milieux professionnels. Pour atteindre ce but, nous avons réalisé une revue de littérature dans les domaines du leadership, tant situationniste que personnaliste. En nous basant sur ces formes de leadership, nous avons pu proposer la perspective du leadership expérientiel. La recherche s'est particulièrement appuyée sur les travaux de Kolb (1976, 1984) et de Fleishman (1955). Nous avions perçu des analogies entre ces deux modèles et voulions mettre à jour leur relation. Nous sommes ainsi parvenu à une définition sommaire de ce qu'était le leadership expérientiel, cela en mettant tout d'abord en relief les modes et les styles de leadership expérientiels présents en entreprise, et également en essayant de mettre en relief la manière dont les gestionnaires et cadres le mettent en pratique. Nous avons pu conclure que les quatre styles sont rencontrés chez la plupart de nos répondants, mais les styles favorisés peuvent être différents selon la nationalité des répondants.
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Élaboration d'une mesure intégrée de l'importance et présence de différentes composantes du style de gestion dans une perspective générationnelleLeconte, Catherine January 2012 (has links)
Le contexte actuel de turbulences économiques et de pénurie de main-d'oeuvre engendre le retard de départs en retraite ou, à l'inverse, le retour en emploi de travailleurs plus âgés. Ceci crée vraisemblablement une augmentation des pressions auprès des gestionnaires pour s'adapter rapidement afin de garantir la performance et la pérennité de l'organisation. En plus de la nécessité d'adapter les pratiques de gestion au contexte changeant, diverses générations cohabitent en emploi et ont des préférences en matière de pratiques de gestion engendrant un défi supplémentaire pour les gestionnaires. En ce sens, il leur est nécessaire de connaitre les comportements susceptibles de créer un impact particulier en fonction de la génération visée. À cet égard, la mesure du style de gestion prend toute son importance puisque, d'un volet pratique, intervenir auprès d'un gestionnaire pour développer de nouvelles façons de faire afin de créer un impact plus souhaitable sur ses ressources nécessite d'abord l'évaluation des comportements actuels pour jauger des besoins en coaching, par exemple. D'un volet empirique, il importe de valider l'impact de certains comportements de gestion, puis leur variation potentielle en fonction des générations. Cependant, l'étude du style de gestion a principalement porté sur les déterminants aux comportements apportant peu de précisions quant aux comportements de gestion concrets. Ainsi, les deux études proposées visent trois objectifs complémentaires : 1) la réalisation d'une mesure comportementale, francophone et intégrée du style de gestion, 2) la vérification des représentations des comportements de gestion en fonction de différentes générations et 3) la vérification de l'impact des comportements d'un gestionnaire, de même que des préférences générationnelles, sur plusieurs résultantes organisationnelles d'importance. Un échantillon de 1 121 participants recrutés dans deux organisations québécoises et auprès d'une firme en psychologie du travail et en ressources humaines a permis d'atteindre ces objectifs. La première étude a permis d'identifier 15 pratiques de gestion importantes pour tous les groupes à l'étude. La seconde étude a permis de valider à nouveau la structure en 15 facteurs de l'instrument et a fait ressortir l'apport positif des pratiques de gestion sur l'engagement, l'intention de quitter, l'habilitation et l'épuisement professionnel. De plus, il a été possible de déterminer que les générations ne répondent effectivement pas de la même façon aux comportements de leur supérieur. Les membres de la génération Y sont globalement plus engagés et habilités par les comportements de leur supérieur, alors que c'est l'inverse chez les Baby-boomers. Par ailleurs, on remarque que les perceptions et les réactions des différents groupes varient souvent en fonction linéaire de l'écart générationnel. Ces différences seraient donc davantage attribuables à un effet du stade de carrière qu'à l'appartenance générationnelle. Finalement, les résultats obtenus favorisent l'adaptation des gestionnaires au contexte actuel de l'emploi en leur fournissant d'abord un outil pour mesurer l'étendue comportementale de leur style de gestion, puis en fournissant des indicateurs clairs de comment adapter leurs pratiques en fonction des groupes d'individus pour obtenir les résultats organisationnels souhaités.
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Le style de gestion du personnel comme déterminant des comportements antisociaux observés au travailLeBrock, Philippe January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Responsabilité sociale et recrutement : une dynamique porteuse mais complexeLévesque, Sophie January 2008 (has links) (PDF)
Dans le contexte actuel, soit une économie du savoir, les ressources humaines sont de plus en plus considérées comme un avantage concurrentiel puisqu'elles permettent à l'entreprise non seulement d'atteindre ses objectifs, mais aussi de dominer la compétition. Conséquemment, les gestionnaires déploient un éventail de stratégies des plus créatives pour que leur entreprise se démarque des compétiteurs et ainsi favorise l'attractivité auprès des candidats potentiels. Dans cette perspective, nous nous sommes attardées au concept de responsabilité sociale de l'entreprise qui, selon plusieurs récentes études américaines, représente une plus value aux yeux des individus à la recherche d'un emploi et, par le fait même, d'un employeur de choix. Afin de mieux comprendre la relation entre ces deux variables et d'évaluer le potentiel d'attractivité de chacune des dimensions composant la responsabilisation sociale de l'entreprise, nous avons décidé de conduire des entrevues semi-dirigées avec des employés récemment embauchés de Cascades, une entreprise québécoise et chef de file en matière de gestion responsable. Nous voulions ainsi mettre à l'épreuve un modèle largement utilisé qui soutient que les relations avec les employés, la communauté, les femmes et les minorités, ainsi que le respect de l'environnement et la qualité des services et produits offerts dans une perspective de développement durable influencent favorablement la réputation organisationnelle, donc l'attractivité. Nos résultats ont corroboré en partie cette modélisation. En effet, l'ajout d'une variable de contrôle, soit la familiarité, a démontré que le degré de connaissance d'une personne envers une entreprise influençait de façon positive l'évaluation de la réputation organisationnelle. De plus, certaines contraintes socio-économiques telles que le taux de chômage et des facteurs individuels comme le niveau d'éducation et l'âge peuvent augmenter ou diminuer l'intérêt d'une personne envers la responsabilité sociale d'une entreprise et la réputation organisationnelle au cours d'un processus de recherche d'emploi. Il y a donc des variables modératrices à prendre en compte lorsque l'on analyse la relation entre la responsabilité sociale et l'attractivité organisationnelle. Cette recherche permet donc de conclure que l'adoption d'un style de gestion responsable peut augmenter l'attraction lorsque certaines conditions sont rencontrées. De plus, il apparaît que les jeunes adultes sont plus réceptifs et disposés à favoriser une entreprise qui affiche une performance sociale manifeste. Les principales limites de cette étude sont la généralisation limitée des résultats puisque notre échantillon se limite à une seule entreprise, ainsi que le recours à des données « post hoc » qui pourrait être biaisées suite à une évolution du discours ou de récentes expériences suite à l'embauche. Cependant, cette étude s'ancre dans la réalité corporative, contrairement aux autres études dans ce domaine qui procédaient par des simulations avec des étudiants en voie de graduer en gestion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Attractivité organisationnelle, Responsabilité sociale des entreprises, Stratégie, Avantages concurrentiels.
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Police et politique dans la gestion des foules : un cas d’étudeTuzza, Simone 08 1900 (has links)
Cette thèse propose un regard nouveau sur la relation entre police et politique afin de combler un manque de connaissance sur la tâche la plus « politique » du travail de police : la gestion des foules. Pour ce faire, l’objectif de la recherche vise donc à répondre à une problématique principale que l’on peut synthétiser ainsi : comment la police perçoit-elle les demandes des autorités gouvernementales et dans quelle mesure les policiers adhèrent-ils à leur rôle lors de la gestion des foules ? Pour répondre à cette question centrale, des sous-questionnements ont été formulés visant à comprendre : a) le fonctionnement de la chaine de commandement lors la gestion des foules en Italie, b) en ce qui concerne la chaine de commandement et au niveau du terrain, comment la police interprète son mandat face au maintien de l’ordre public; c) si la police (cadres dirigeants et agents sur le terrain) et les autorités gouvernementales partagent la même vision de la gestion de l’ordre public (ou non); d) et, si les attentes des autorités politique sont satisfaites par la police dans le mandat de la gestion de l’ordre public. Il s'agissait donc, non pas de définir le phénomène analysé, mais de mettre en évidence certaines de ses dimensions, ou plutôt, celles qui apparaissent moins explorées dans la littérature sur le sujet. Afin de répondre à ces questions, ce travail avancera une lecture de la police qui s’éloignera à la fois du critère de l’autonomie et de celui de la filiation de la police au pouvoir étatique (Brodeur, 1984). Selon la perspective interprétative de ce texte, les institutions policières font partie intégrante de la société, participent à ses tentatives d'organisation politique et de gouvernance (Palidda, 2010 ; 2000) et agissent en tant qu’« entrepreneurs moraux », en accord et de concert avec les institutions politiques (Becker, 1966). Du point de vue méthodologique, cette étude s’appuie sur 14 entrevues individuelles avec des membres des forces de police italiennes et des politiciens, 189 transcriptions de témoignages de policiers et politiciens dans le cadre du procès contre les manifestants No Tav, ainsi que sur 77 articles de presse. Traitant du rapport entre police et pouvoir politique qui semble être présent lors du policing protest, cette recherche a pour but ultime de comprendre comment la police résout les multiples tensions qui parcourent sa profession et qui sont particulièrement prégnantes dans le cadre de mobilisations citoyennes d’envergure, entre maintien de l’ordre et respect de la liberté d’expression ; mais aussi entre une police au service des citoyens et une police politique. En d’autres termes, cette étude essaye de mettre en lumière la complexité et les interconnexions du rôle de la police face à la gestion des foules, et en rapport à la politique. Le fil rouge que ce texte fera progressivement apparaître est celui du lien privilégié
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que le pouvoir politique instaure avec l’institution policière ainsi que le processus à l’origine de cette interaction. Pour ce faire, l’étude partira d'une analyse des différentes fonctions au sein de la chaîne de commandement de la police et en poursuivant la recherche de points de connexion avec l’univers politique – non seulement à l'intérieur des institutions policières, mais aussi à l'extérieur dans le cadre politique de référence où le lien entre police et politique trouve un terrain fertile, se nourrit et vienne se concrétiser –, axera l'analyse sur les aspects critiques que ce rapport amène au niveau opérationnel de la police. On constate que les exigences du pouvoir politique ont une influence directe dans les choix technico-opérationnels de la police, bien supérieure à ce que l’on aurait imaginé au départ. Cette étude dévoile une image relativement méconnue d’une police italienne qui doit se confronter aux enjeux des autorités gouvernementales afin de mener son mandat de maintien de l’ordre public. Autrement dit, la prétendue indépendance et la professionnalisation de la police italienne se révèlent inachevées et constituent un point sensible, surtout lorsqu'il s'agit d'analyser le fonctionnement du maintien de l'ordre public. Il s'ensuit que l'image de la police comme un organisme professionnel, indépendant et maître de ses propres choix opérationnels, doit être remise en cause, du moins en ce qui concerne le cas italien en question. / In order to fill a lack of knowledge about the most “political” task of police work: policing protest, this thesis proposes a new perspective on the relationship between police and politics. In order to do so, the objective of the research is to answer a main problem that can be summarized as follows: how do the police perceive the demands of governmental authorities and to what extent do police officers adhere to their role during policing protest? To answer this central question, sub-questions have been formulated to understand : a) the functioning of the chain of command during policing protest in Italy; b) with regard to the chain of command and at the field level, how the police interpret their mandate in relation to the management of public order; c) whether the police (both management and field agents) and government authorities share the same vision of public order management (or not); d) and, if expectations of the political authorities are met by the police in the mandate of public order activities. The aim was therefore not to define the phenomenon being analysed, but to highlight some of its dimensions, or rather, those that appear less explored in the literature on the subject. In order to answer these questions, this work will put forward a reading of the police which will move away from both the criterion of autonomy and that of the police's filiation to State power (Brodeur, 1984). According to the interpretative perspective of this text, police institutions are an integral part of society, participate in its attempts at political organization and governance (Palidda, 2010; 2000) and act as “moral entrepreneurs”, in agreement and in concert with political institutions (Becker, 1966). From a methodological point of view, this study is based on 14 face-to-face interviews with members of the Italian police force and politicians, 189 transcripts of testimonies of police officers and politicians in the trial against the No Tav demonstrators, as well as 77 press articles. Discussing the relationship between the police and political power that seems to be present during policing protests, the ultimate goal of this research is to understand how the police resolve the multiple tensions that run through their profession and which are particularly prevalent in the context of large-scale citizen mobilizations, between policing and respect for freedom of expression; but also between a police force at the service of citizens and a political police force. In other words, this study attempts to highlight the complexity and interconnections of the role of the police facing policing protest, and in relation to politics. The common thread that this text will gradually reveal is the privileged link that the political power establishes with the police institution and the process at the origin of this interaction. In order to do so, the study will start from an analysis of the different functions within the police
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chain of command and by continuing the search for points of connection with the political universe - not only within the police institutions, but also outside in the political frame of reference where the link between police and politics finds fertile ground, is nourished and comes to fruition -, the analysis will focus on the critical aspects that this relationship brings to the operational level of the police. It can be seen that the demands of political power have a direct influence on the technical-operational choices of the police, much more than one would have imagined at the outset. This study reveals a relatively unknown image of an Italian police force which must face the challenges of government authorities in order to carry out its mandate of maintaining public order. In other words, the alleged independence and professionalization of the Italian police is unfinished business and is a sensitive issue, especially when it comes to analysing the functioning of policing protest. It follows that the image of the police as a professional body, independent and in control of its own operational choices, must be called into question, at least as far as the Italian case in question is concerned.
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