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Relations entre les caractéristiques de l'intervention, l'alliance thérapeutique et la qualité de vie des personnes intégrées dans un programme de suivi intensif dans la communauté

Charbonneau, Nicole January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The recovery perspective in assertive community treatment : how is it done and what does it mean to services users and service providers?

Khoury, Emmanuelle 08 1900 (has links)
No description available.
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Les facteurs qui facilitent et entravent le cheminement vers l'intégration sociale des personnes ayant des troubles mentaux graves et recevant des services d'une équipe de suivi intensif dans la communauté

Bergeron-Leclerc, Christiane 17 April 2018 (has links)
Quarante ans après les débuts de la désinstitutionalisation, les personnes ayant des troubles mentaux graves font partie des groupes les plus exclus socialement. En dépit des efforts déployés pour démystifier la maladie et dissiper les préjugés qui l'entourent, ceux-ci semblent bien vivants, amenant chez les personnes ayant les troubles les plus graves à vivre des difficultés relatives à l'intégration à l'emploi, la participation à des activités de loisirs, l'accès à un logement décent et le développement de relations sociales satisfaisantes. Pourtant, lorsqu'elles sont questionnées à l'égard de leurs désirs, leurs préférences sont nettes: vivre dans la communauté et s'y intégrer. Afin de faire face aux conséquences de la désinstitutionalisation et faciliter les parcours de vie communautaire des personnes ayant les troubles mentaux graves, est né au début des années 1970, un modèle d'intervention nommé le suivi intensif en équipe dans la communauté (modèle ACT). D'abord implanté et disséminé à travers les États-Unis, ce modèle d'intervention prend de l'expansion au Québec depuis la fin des années 1990. Connu principalement pour ses effets liés à la réduction de la durée et de la fréquence des hospitalisations, le modèle a également démontré, au fil des études évaluatives, des effets intéressants au plan psychosocial. Cependant, en dépit des effets observés, on en connait peu l'impact du modèle au plan de l'intégration sociale : pourtant, il s'agit de l'objectif ultime de ce type de programme. C'est donc dans l'optique d'en apprendre davantage sur les facteurs qui facilitent et font obstacle à l'intégration sociale des personnes recevant des services d'une équipe de suivi intensif dans la communauté qu'a été entreprise la présente étude. Cette étude qualitative exploratoire a été réalisée auprès des intervenants (n=5) et des usagers (n=9) de l'équipe ACT de l'Institut universitaire en santé mentale de Québec. À travers la réalisation d'entrevues semi-dirigées et de l'étude des dossiers des usagers, les facteurs d'influence sur l'intégration sociale des personnes ayant des troubles mentaux et recevant des services de suivi intensif ont été identifiés. Les résultats de cette étude mettent en évidence la contribution de trois types de facteurs en ce qui concerne l'atteinte ou non d'un niveau satisfaisant d'intégration sociale : (a) les facteurs individuels (ex. autonomie dans la vie quotidienne et domestique, avoir des rêves, consommation d'alcool et de drogues, efficacité des stratégies d'adaptation, gravité des symptômes, reconnaissance et acceptation de la maladie), (b) les facteurs environnementaux (emploi, loisirs, pauvreté et relations sociales) et (c) les facteurs liés au programme et à l'intervention (choix et relation de confiance). Les résultats obtenus, s'ils doivent être interprétés à la lumière de certaines limites découlant du devis méthodologique appliqué, appellent à poursuivre les travaux dans l'optique de déterminer le poids des différents facteurs identifiés, en ce qui concerne l'intégration sociale. En conclusion de cette étude, des recommandations pour l'amélioration de la pratique du suivi intensif en équipe dans la communauté sont proposées. / Forty years after the beginning of deinstitutionalization, people with severe mental illnesses still belong to the most socially excluded groups. Despite social and political efforts to demystify mental illness and to dissipate the prejudices which surround it, those seem quite alive, leading people having the most serious disorders to living difficulties related to integration with employment, participation in leisure activities, access to decent housing and developing satisfactory social relations. However, when these persons are questioned with regard to their desires, their preferences are clear: they want to live and be integrated in the community. To face the consequences of deinstitutionalization and facilitate community life for people living with serious mental disorders, a program named Assertive Community Treatment (ACT) was born in the early 1970s. Initially developed and disseminated throughout the United States, this program has been growing in Quebec since the end of the 1990s. Known mainly for reducing the duration and frequency of hospitalization, the model also showed some interesting effects on a psychosocial level. However, in spite of the effects observed, little is known concerning the impact of the program on social integration. Thus, this exploratory qualitative study was designed to learn more about the factors which facilitate or hinder social integration among people receiving ACT services, and involved mental health professionals (n=5) and consumers (n=9) of a Quebec City ACT team. Through the analysis of semi-structured interviews and medical records, the factors of influence on the social integration of people with mental disorders receiving services from this program were identified. The findings highlight the contribution of three types of factors with regards to social integration: (a) individual factors (e.g., autonomy in daily and domestic life, having aspirations, alcohol and drug consumption, effectiveness of the coping strategies, symptom severity, recognition and acceptance of the disease), (b) environmental factors (employment, leisure, poverty and social relations) and (c) clinical factors (choice and relationship of trust). The results, even if they must be interpreted in light of methodological limitations, point to the need for further studies to determine the weight of the various factors identified here, with regard to social integration. In the conclusions drawn from this study, recommendations for the improvement of the practice of ACT are proposed.
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Pratiques d'intervention postcarcérales et intégration sociale des contrevenants adultes ayant un trouble mental : point de vue des intervenants communautaires du Québec

Frève Laverdière, Philippe 18 April 2018 (has links)
Jusqu'à ce jour, peu d'études québécoises ont porté sur l'intervention postcarcérale des personnes contrevenantes ayant un diagnostic de trouble mental. Or, étudier le suivi en communauté de ces ex-détenus constitue un sujet de recherche des plus pertinents si l'on veut être en mesure d'identifier des pistes de solutions en ce qui a trait à l'intervention facilitant l'intégration sociale. S'appuyant sur le point de vue et l'expérience d'intervenants communautaires de deux organismes, PECH et Diogène, et sur les théories de l'intégration sociale, cette étude se veut une exploration des pratiques d'intervention réalisées à l'extérieur de l'établissement carcéral auprès des contrevenants d'âge adulte ayant un diagnostic de trouble mental provenant de deux régions du Québec. Dans le cadre de ce mémoire, nous avons rencontré onze intervenants communautaires de Québec et de Montréal, qui oeuvrent auprès d'utilisateurs de services possédant la double caractéristique d'avoir un trouble psychiatrique et un passé d'incarcération. À partir d'entrevues semi-structurées, nous avons été en mesure d'identifier le cadre général d'intervention, les formes d'intervention privilégiées et les conceptions de l'intégration sociale. À cet effet, bien que l'intégration sociale soit vue par les répondants comme une finalité difficile à atteindre pour plusieurs utilisateurs de services, elle demeure toutefois possible. Le suivi communautaire offert par les deux organismes échantillonnés prend surtout la forme d'un accompagnement personnalisé où le type de soutien et les services varient en fonction des besoins de la personne suivie. En effet, les pratiques professionnelles des intervenants rencontrés s'inscrivent dans une philosophie d'intervention où l'autonomie et la volonté de la personne suivie sont centrales et façonnent le déroulement de l'intervention. De plus, la collaboration des répondants de cette étude a permis de déceler des barrières et des défis qu'ils peuvent rencontrer dans le suivi postcarcéral et dans l'intégration sociale des utilisateurs de services. L'intégration sociale des personnes suivies est complexe et découle de l'interaction entre plusieurs acteurs qui peuvent influencer positivement ou négativement cette intégration. Les principaux constats révèlent que le fait de trouver un logement, d'obtenir des soins de santé continus, de garder une motivation personnelle et de créer un lien de confiance entre la personne aidante et la personne aidée font partie des barrières et des défis avec lesquels doivent conjuguer les intervenants lorsqu'ils tentent d'accompagner et de soutenir les utilisateurs de services.
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Le travail social en troisième ligne psychiatrique : la perception des travailleurs sociaux

Leclerc, Annabelle 24 April 2018 (has links)
Cette recherche qualitative vise à mieux connaître la pratique des travailleurs sociaux dans le contexte de la 3e ligne psychiatrique. La perspective des travailleurs sociaux est centrale dans l’étude, comme le démontre la question de départ : quelles significations les travailleurs sociaux associent-ils à leurs activités professionnelles ? Méthodologie : Des entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec dix (10) travailleurs sociaux de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec (IUSMQ) d’avril à juin 2015. Ces entrevues comprenaient deux volets : (1) la pratique des travailleurs sociaux en 3e ligne psychiatrique à l’IUSMQ ; (2) un récit de pratique à l’aide d’un exemple clinique concret. Les transcriptions des entrevues ont été soumises à une analyse thématique des contenus fondée sur une grille de codification combinant des catégories prédéterminées et des catégories émergentes du matériel. Résultats et discussion : Le thème central issu de nos analyses est la notion de lien, qui serait au cœur des pratiques de travail social : les liens que les travailleurs sociaux créent, préservent ou rétablissent avec les usagers, les familles, les autres intervenants et les différents partenaires. Les travailleurs sociaux actualisent des rôles différents dans le cadre de leurs diverses activités en 3e ligne psychiatrique. Or, la compréhension de leur rôle dans les diverses équipes interdisciplinaires influence le déroulement de la collaboration ainsi que l’atteinte des objectifs établis avec la clientèle. Les récits de pratique soulignent que la gestion des cas cliniques de 3e ligne nécessite l’intervention de plusieurs partenaires et demandent l’utilisation de nouvelles approches d’intervention. Les collaborations constructives et efficaces ainsi que l’inclusion des familles dans les interventions complexes apportent un grand appui dans l’actualisation du plan d’intervention ou de sortie des usagers. Enfin, les diverses formes de soutien clinique, l’accès aux formations et la flexibilité du travail réalisé facilitent le travail au quotidien. Mots-clés : travail social, troisième ligne, santé mentale, psychiatrie. / This qualitative study aims to extend the knowledge about social work in third line (i.e., hospital-based and specialized) psychiatric services. The outlook of social workers is central in our study as we asked these professionals about the meaning of their duties at work. Interviews were conducted with mental health social workers from the Mental Health Institute of Quebec City. From April to June 2015, 10 social workers were interviewed. They answered a semi-structured questionnaire divided in two sections: (1) social work practice in third line psychiatry; and (2) a practice narrative centered on an actual clinical example. Thematic content analysis based on a codification table with predetermined and emerging categories was conducted. Results and discussion: The central theme of our analysis pertains to the notion of linking, which is viewed as central to social work practices: ties created, preserved, or re-established by social workers, and involving users, families, other practitioners, and other various partners. Social workers enact various roles in third line psychiatric settings. Significantly, the way their role is understood in interdisciplinary teams influences the continuity of the collaboration itself, as well as the achievement of the goals established with clients. The case-centered practice narratives underline that clinical management in third line psychiatric settings need interventions from different collaborators and demand the use of new intervention approaches. Constructive and effective collaborations along with the addition of families in complex interventions provide great support in the realization of the users’ intervention plan or discharge plan. For social workers, the diverse forms of clinical supports, training accessibility and work flexibility facilitate their tasks. Keywords: social work, hospital practice, mental health, psychiatry.

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