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Eye Gaze Does Not Attenuate Cognitive Load on 14-Month-Olds' Word-Object Associative Learning for Minimal PairsMills-Smith, Laura A. 13 June 2013 (has links)
It is well established in developmental science that 14-month-old infants have significant difficulty associating pairs of objects with pairs of words that differ by a single phoneme (i.e., minimal pairs). This study used a traditional switch procedure in two experimental conditions (i.e., no face versus face with shifting gaze) to habituate infants with objects and minimal pair labels. Additionally, infants participated in a joint attention task and parents completed questionnaires related to family demographics and infant health and development, to compare to switch task performance. It was expected that infants' difficulty with minimal pair associative learning would be replicated in the no face condition. It was also predicted that the addition of a female face and the cues it could provide would abate the challenge that this task typically presents. As a group, infants' performances in the two conditions were not significantly different from each other and were not significantly different from chance. Analyses explored the relations between switch performance, joint attention task performance and questionnaire data, resulting in a significant correlation between performance in the face condition of the switch task and number of ear infections (r = .62, p < .05). Taken together, the addition of a female face with shifting gaze to a challenging word learning task does not sufficiently attenuate the cognitive load created by the task. The implications of these results are discussed further. / Master of Science
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Les effets de la règle de la mise en échec sur les fonctions exécutives et l’état psychoaffectif de jeunes hockeyeurs au cours d’une saisonLortie, Jean-Christophe 08 1900 (has links)
Les athlètes issus des sports de contact sont initiés à différents impacts à un jeune âge. Alors que les commotions cérébrales semblent représenter un fléau pouvant affecter les fonctions cognitives à long terme, le rôle des impacts sous-commotions dans la possible neurodégénérescence du cerveau est négligé. Ces impacts sous-commotions sont répertoriés à une vélocité moindre et ne déclencheraient pas la cascade métabolique associée aux signes et symptômes d’une commotion cérébrale. Les impacts sous-commotions sont caractéristiques des sports comme le hockey, le football américain ou le soccer et ils se produisent à une plus grande fréquence que les commotions cérébrales. Ainsi, le cerveau absorbe ces impacts à profusion au cours d’une saison, voire d’une carrière. Au hockey, l’initiation à ces impacts se produit à l’adolescence avec la mise en échec. Les fonctions exécutives, responsables des tâches de planification, d’inhibition et de mémoire de travail, finissent de se développer vers la fin de l’adolescence. De plus, ces fonctions semblent être altérées à long terme à la suite d’une commotion cérébrale. À cet égard, l’objectif du projet était d’explorer les effets des impacts sous-commotions sur les fonctions exécutives ainsi que sur l’état psychoaffectif chez des hockeyeurs adolescents pratiquant différents types de mise en échec. Trente-huit participants âgés de 12 et 17 ans ont été recrutés. Ces participants ont été séparés selon le type de mise en échec pratiqué durant la saison, soit le contact physique (CP), la mise en échec progressive (MEP) ou la mise en échec complète (MEC). Leurs fonctions exécutives ont été évaluées à l’aide d’un paradigme forme-couleur de la tâche d’alternance. L’état psychoaffectif a été évalué à partir de questionnaires autoadministrés. Puis, le protocole s’est déroulé au début et à la fin de la saison de hockey. Une ANCOVA 3 × 2 × 2 n’a révélé aucune interaction, ni d’effet, entre le type de mise en échec pratiqué (CP; MEP; MEC), le fait d’avoir un historique de commotions cérébrales (HCC; sans HCC) et le temps durant la saison (Pré; Post) sur les résultats à la tâche d’alternance et les scores aux questionnaires psychoaffectifs. Ces résultats suggèrent que le type de mise en échec pratiqué, au cours d’une saison, ne serait pas suffisant pour affecter les fonctions exécutives et l’aspect psychoaffectif des adolescents. / Athletes from contact sports are introduced to repetitive subconcussive impacts at a young age. Although concussions represent a major concern in public health as they can alter cognitive functions, little is known about subconcussive impacts and the role they might have in the hypothetical neurodegenerescence of the brain. Subconcussive impacts are registered at a smaller velocity than concussive impacts and therefore are not associated with concussion-related sign or symptoms. However, these impacts occur at a higher frequency as they are part of contact sports like hockey, American football and soccer. The brain receives multiple subconcussive impacts during a season or an entire career. Adolescent hockey players are introduced to body checking at the age of 13-14 years old and brain functions like executive functions are not completely developed until the end of adolescence. Also, executive functions are responsible for task planning, inhibition and working memory. Moreover, these functions seem to be afflicted in the long term after one or multiple concussions. The purpose of this project was to explore the effects of subconcussive impacts on executive functions and the psycho-affective state of adolescent hockey players competing with different types of body checking rules. Thirty-eight participants were recruited from the age of 12 to 17 years. They were grouped according to the type of body checking rules they played with during the season, which were physical contact (PC), restrictive body checking (RBC) and full body checking (FBC). Executive functions were assessed using a colour-shape paradigm of the switch task. Psycho-affective state was assessed with self-reported questionnaires. Participants completed this protocol at the beginning and the end of their hockey season. A 3 × 2 × 2 ANCOVA did not reveal any interaction, nor main effect of the type of body checking (PC; RBC; FBC), history of concussion (HOC; no HOC) and time of the season (Pre; Post) on the results of the switch task and the self-reported questionnaires. Therefore, this suggests that the rule of body checking is not sufficient to cause any alteration of executive functions or any change in the psycho-affective state of adolescent hockey players.
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Les conséquences des commotions cérébrales sur le contrôle de la fréquence cardiaque par le système nerveux autonome durant une tâche cognitiveBellemare-Alford, Daphnée 08 1900 (has links)
La plupart des études portant sur les commotions cérébrales se sont principalement intéressées aux conséquences de ces dernières sur le cerveau lui-même. Or, le cerveau assure de nombreuses fonctions, étant notamment impliqué dans la régulation du rythme cardiaque. Récemment, des chercheurs ont donc étudié les conséquences de ces commotions cérébrales sur la régulation de la fréquence cardiaque par le cerveau durant un effort physique. Cependant, la majorité des athlètes qui subissent une commotion cérébrale doivent non seulement planifier leur retour au jeu, mais également prévoir un retour au travail ou aux études. Ainsi, l’objectif de ce projet de recherche est d’étudier les conséquences des commotions cérébrales sur la régulation de la fréquence cardiaque par le cerveau durant un effort cognitif. Onze athlètes universitaires ayant subi une commotion cérébrale ainsi que 14 athlètes n’ayant aucun historique de commotion cérébrale ont pris part à l’étude. Les athlètes du groupe commotion ont été évalués en moyenne 14,6 jours (± 7,4 jours) après leur blessure. La fréquence cardiaque des participants a été enregistrée au repos ainsi que durant un effort cognitif qui consistait en une tâche d’alternance (« switch task »). De courts segments de la fréquence cardiaque d’une durée de deux minutes, au repos et durant la tâche cognitive, ont été analysés. Les résultats montrent une augmentation significative de l’entropie approximative chez les athlètes du groupe contrôle durant la tâche cognitive (ρ < 0,05), tandis qu’aucune différence n’a été observée entre l’entropie approximative au repos et celle durant la tâche cognitive chez les athlètes du groupe commotion. Ces résultats suggèrent que des déficits neurologiques liés à la régulation de la fréquence cardiaque peuvent être observés durant une tâche cognitive chez des athlètes ayant récemment subi une commotion cérébrale. / Most studies have focused on the consequences of concussions on the brain itself. However, the brain performs many functions, including regulating heart rate. Therefore, researchers have begun studying the consequences of these concussions on the brain’s heart rate regulation during physical exertion. Most athletes who sustain a concussion need to plan for their return to play as well as a return to work or school. The purpose of this research project was to study the consequences of concussions on the brain’s regulation of heart rate during cognitive effort. This study involved 11 university athletes who sustained a concussion, as well as 14 athletes with no history of concussion. Concussed athletes were assessed an average of 14.6 days (± 7.4 days) after their injury. The participants’ heart rate was recorded at rest and during cognitive effort, which consisted of a switch task. Short segments lasting two minutes at rest and during cognitive task were analyzed. The results show a significant increase in the approximate entropy in the control group during the cognitive task (ρ <0.05), while no difference was observed between the approximate entropy at rest and during the cognitive task in the concussed athletes. These results suggest that neurological deficits related to heart rate regulation may be observed during cognitive task in athletes who recently sustained a concussion.
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