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Trade liberalization, competition and market structure : theory and empirical evidence / Libéralisation du commerce, concurrence et structure du marché : théorie et preuve empirique

Elewa, Aya 06 July 2017 (has links)
Étant donné les caractéristiques du nouveau système du commerce international, il est important de revoir la théorie du commerce international dans un cadre d’économie industrielle (IO) qui capture la nature internationale de cartels, l’existence des firmes multiproduits, les interactions stratégiques entre les firmes (structure du marché oligopolistique) et l’hétérogénéité entre les firmes en matière de leur taille (grande vs. petites) afin de tirer des conclusions sur le fait que si la libéralisation du commerce sera suffisante pour encourager la concurrence ou plutôt une politique de concurrence rigoureuse devrait être appliquée en même temps afin de garantir un environnement concurrentiel et donc améliorer le bien-être. Plus précisément, les interactions stratégiques entre les entreprises jouent un rôle important dans l’évaluation de l’effet concurrentiel de la libéralisation du commerce. Cette étude vise à analyser, tout d’abord, comment l’ouverture commerciale et, par conséquent, la baisse des tarifs affectent le niveau de concurrence, la structure du marché, la formation des cartels et, par conséquent le niveau des prix. Deuxièmement, d’étudier comment le commerce affecte le comportement des firmes. L’utilisation des modèles théoriques et des données sur les firmes égyptiennes pour analyser ces questions me permettent de tirer des conclusions sur la substituabilité entre la politique de libéralisation du commerce et la politique de concurrence. Les résultats montrent que, dans un contexte de collusion entre les firmes, l’ouverture au commerce peut induire une augmentation du niveau des prix. De plus, les résultats montrent que les firmes multiproduits ajustent leur portefeuille de produit selon les caractéristiques des destinations. Enfin, proposant une structure de marché mixte quand on analyse le comportement des firmes multiproduits, montre que la mondialisation affecte la structure du marché par le biais de la sortie des petites firmes. Les effets pro-concurrentiels d’ouverture commerciale ne sont pas si évidents. Une politique de concurrence rigoureuse est indispensable afin de dissuader les comportements anticoncurrentiels. / Given the features of the new trade system, it is important to reconsider international trade theory in an Industrial Organization (IO) framework that captures the international nature of cartels, the existence of multi-product firms, strategic interactions between firms (oligopolistic market structure) and the heterogeneity between firms in terms of size (large vs. small firms) to draw conclusions on whether trade liberalization will be sufficient to enhance competition or should a rigorous competition policy be applied at the same time to ensure competition and hence welfare promotion. More precisely, strategic interactions between firms play an important role in assessing the competitive effect of trade liberalization.This study aims to analyze, first, how trade liberalization and, hence, a decline in trade costs affect the level of competition, market structure and cartel formation in the market and, hence the price level. Second, how trade openness affects firms’ behavior. Building theoretical model and using firm-level data from Egypt to analyze these questions allow me to draw conclusions on the substitutability between trade liberalization and competition policy. Findings show that trade openness, in a context of collusion between firms, may induce an increase in the level of price when there are sufficiently large firms in the market. Overall, evidence on a change in multi-product firms’ choice of product mix with tougher competition and larger market size in the destination is revealed. Finally, using a mixed market structure when analyzing multi-product firms’ behavior, shows that globalization affects the market structure through inducing the exit of small firms. Pro-competitive effects of trade openness were not so clear, a rigorous competition policy is crucial to deter anti-competitive behaviors with increasing trade liberalization.
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Essays in International Trade

Steingress, Walter 12 1900 (has links)
Dans ma thèse doctorale, j'étudie trois facteurs importants qui caractérisent le commerce international : les différences technologiques entre les pays, les barrières à l'entrée sous la forme de coûts fixes et la migration internationale. Le premier chapitre analyse si les différences technologiques entre les pays peuvent expliquer la spécialisation dans le commerce international entre les pays. Pour mesurer le niveau de la spécialisation, je calcule les index de concentration pour la valeur des importations et des exportations et décompose la concentration totale dans la marge de produits extensive (nombre de produits commercialisés) et la marge de produits intensive (volume de produits commercialisés). En utilisant des données commerciales détaillées au niveau du produit dans 160 pays, mes résultats montrent que les exportations sont plus concentrées que les importations, que la spécialisation se produit principalement au niveau de la marge intensive du produit, et que les économies plus grandes disposent d'importations et d'exportations plus diversifiées, car elles commercialisent plus de produits. Compte tenu de ces faits, j'évalue la capacité du modèle Eaton-Kortum, le principal modèle de la théorie ricardienne du commerce, pour représenter les preuves empiriques. Les résultats montrent que la spécialisation à travers l'avantage comparatif induit par les différences de technologie peut expliquer les faits qualitatifs et quantitatifs. De plus, j'évalue le rôle des déterminants clés de la spécialisation : le degré de l'avantage comparatif, l'élasticité de la substitution et la géographie. Une implication de ces résultats est qu'il est important d’évaluer jusqu'à quel point la volatilité de production mesurée par la volatilité du PIB est motivée par la spécialisation des exportations et des importations. Étant donné le compromis entre l'ouverture du commerce et la volatilité de production, les bénéfices tirés du commerce peuvent s'avérer plus faibles que ceux estimés précédemment. Par conséquent, les politiques commerciales alternatives telles que l'ouverture graduelle au commerce combinée à la diversification de la production pour réduire la concentration de l'exportation peuvent se révéler être une meilleure stratégie que l'approche du laissez-faire. En utilisant la relation entre la taille du marché et l’entrée de firmes et produits, le deuxième chapitre évalue si les barrières à l'entrée sous la forme de coûts fixes à exporter sont au niveau de la firme ou au niveau du produit. Si les coûts fixes se trouvent au niveau de la firme, la firme multiproduits a un avantage de coût de production par rapport aux autres firmes parce qu’elles peuvent diviser les coûts fixes sur plusieurs produits. Dans ce cas, le commerce international sera caractérisé par peu de firmes qui exportent beaucoup des produits. Si les coûts fixes sont au niveau du produit, l’entrée d’un produit est associée avec l’entrée de plusieurs firmes. La raison est qu’une fois que la première firme entre et paye les coûts fixes du produit, elle crée un effet d’entrainement qui réduit les coûts fixes pour des firmes rivales. Dans ce cas, le commerce international sera caractérisé par plusieurs firmes qui vendent des variétés différentes du même produit. En utilisant des données détaillées provenant de 40 pays exportateurs à travers 180 marchés de destination, mes résultats montrent que les barrières à l'entrée se trouvent principalement au niveau du produit. Un marché plus large favorise l'expansion d'un plus grand nombre d’entreprises au sein d'une catégorie de produit plutôt que de permettre aux entreprises produisant plusieurs produits de croître dans une gamme de produits. En regardant la différence entre le nombre d'exportateurs au sein d'une catégorie de produit dans des destinations données, je trouve que le taux d'entrée de firmes augmente significativement après qu'un produit entre la première fois dans le marché. J'en déduis donc que le premier entrant réduit les coûts fixes pour les firmes suivantes. Mes recherches démontrent également que malgré une plus grande compétition sur le marché du produit, les entreprises disposent de revenus d'exportation supérieurs et sont plus susceptibles de rester sur les marchés internationaux. Ces résultats sont cohérents avec l’hypothèse que l’effet d’entrainement incite l'entrée de firmes rivales et permettent aux entreprises de produire à plus grande échelle. Cette recherche dévoile un nombre de conclusions importantes. D'abord, les politiques commerciales encouragent l'entrée de nouveaux produits, par exemple, en promouvant des produits dans les marchés de destination entraînant ainsi des retombées qui se traduiront par un taux de participation plus élevé de l'entreprise et une croissance de l'exportation. Deuxièmement, les consommateurs du pays importateur peuvent bénéficier de prix plus bas pour le produit en réduisant les barrières techniques du commerce. Troisièmement, lorsque l'on effectue des expérimentations politiques sous la forme de réduction des coûts commerciaux, il est de coutume de considérer uniquement une baisse des coûts marginaux et d'évaluer les répercussions sur le bien-être du consommateur. Cependant, un élément important des accords commerciaux est la réduction des barrières techniques au commerce grâce à la négociation de normes communes pour un produit. Négliger l'existence des barrières à l'entrée et les conséquences des réaffectations de l'industrie affaiblit l'impact des réformes commerciales. Le troisième chapitre prend en compte le rôle de l'information dans la facilitation du commerce international. Les immigrants réduisent les coûts de transaction dans le commerce international en fournissant des informations sur les possibilités d'échange avec leur pays d'origine. En utilisant des données géographiques détaillées sur l'immigration et les importations aux États-Unis entre 1970 et 2005, je quantifie l'incidence qu'ont les nouveaux immigrants sur la demande pour les importations de biens intermédiaires aux États-Unis. Pour établir le lien cause à effet entre le commerce et la migration, j’exploite l'important afflux d'immigrants d'Amérique centrale après l'ouragan Mitch. Les résultats montrent que l'augmentation de dix pour cent d'immigrants a fait croître la demande pour les importations de biens intermédiaires de 1,5 pour cent. Mes résultats sont robustes aux problèmes de la causalité inverse ou la décision d’émigrer est causée par des opportunités de faire du commerce. / In my PhD thesis I study three factors that shape international trade patterns: technological differences across countries, entry barriers in the form of fixed costs and international migration. The first chapter analyses whether technology differences across countries can explain specialization patterns in international trade. To measure specialization, I compute concentration indexes for the value of exports and imports and decomposes the overall concentration into the extensive product margin (number of products traded) and intensive product margin (volume of products traded). The results show that exports are more concentrated than imports, specialization occurs mainly in the volume of trade and larger economies have more diversified exports and imports because they trade more products. I then evaluate the ability of the Eaton-Kortum model, the workhorse model of Ricardian trade theory, to account for the observed facts. The results show that technology-induced specialization through comparative advantage can explain the qualitative and quantitative facts. The key determinants of specialization are the degree of comparative advantage, the elasticity of substitution and geography. Based on the relationship between entry and market size, the second chapter evaluates whether fixed costs are at the firm or at the product level. Within an empirical framework, I argue that fixed costs at the firm level induce a cost advantage for multi-product firms and international trade will be characterized by few firms selling many products. On the other hand, if fixed costs are at the product level, product entry is accompanied with lots of firms entry and international trade will be characterized by many firms selling different varieties of the same product. Using detailed product level data from 40 exporting countries to 180 destination markets, the results indicate that entry barriers operate at the product level. The key implication of the product fixed cost is that the firm that pays the fixed cost creates a positive externality that lowers entry costs for rival exporters and increases firm entry. Looking at firm entry within products across time and destinations, I find evidence consistent with these spillover effects. Combined these results have important implications for the effects of trade policy on market structure and on the resulting gains from trade in the exporting as well as in the importing country. The third chapter considers the role of migration in facilitating international trade. Immigrants can increase international trade by shifting preferences towards the goods of their country of origin and by reducing bilateral transaction costs. Using geographical variations across US states for the period 1970 to 2005, we quantify the impact of immigrants on intermediate goods imports. We address endogeneity and reverse causality - which arises if migration from a country of origin to a US state is driven by trade opportunities between the two locations - by exploiting the exogenous allocation of refugees within the US refugee resettlement program. Our results are robust to an alternative identification strategy, based on the large influx of Central American immigrants to the United States after hurricane Mitch. We find that a 10 percent increase in recent immigrants to a given US state raises intermediate imports from those immigrants' country of origin by 1.5 percent.

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