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Les mots étrangers dans le théâtre de Shakespeare : pratique de l’hétérolinguisme et questions de traduction / Shakespeare’s “strange” words : heterolingual practice in Shakespeare’s drama and issues of translation

Lacroix, Mylène 19 November 2016 (has links)
Dans ses œuvres dramatiques, Shakespeare fait la part belle aux mots étrange(r)s, qu’il s’agisse de mots isolés, de phrases ou encore de scènes entières en langue étrangère. L’hétérolinguisme (Rainier Grutman) shakespearien se manifeste également par la présence dans ses pièces de variétés sociales ou régionales de l’anglais. Son importance est cependant moins quantitative que qualitative. En effet, les mots étrangers de Shakespeare font presque toujours l’objet d’une mise en scène, à une époque où la langue anglaise était elle-même en pleine quête identitaire. Leur rôle n’est jamais purement ornemental : ils déstabilisent et inquiètent la langue qui les accueille tout en entretenant avec elle une relation souvent ludique, comme en témoignent les nombreux jeux de mots interlinguistiques inventés par Shakespeare. Par ailleurs, la cohabitation des langues dans certaines de ses pièces entraîne parfois des opérations de traduction plus ou moins hasardeuses, qui font elles aussi l’objet d’une véritable mise en scène. En nous donnant à entendre les fréquents « dérapages » de la traduction, Shakespeare nous fait voir l’envers de la langue, qui court toujours le risque de devenir à son tour étrangère. La traduction des textes hétérolingues du dramaturge eux-mêmes n’est pas moins problématique. L’épreuve de l’« étranger au carré » lance en effet au traducteur un certain nombre de défis que cette thèse a pour vocation d’explorer. Néanmoins, si la pluralité des langues est d’ordinaire vécue comme une malédiction pour la traduction, elle représente également une chance pour la langue traduisante : contrainte de se « déprovincialiser », elle « se met à proliférer », selon les mots respectifs de Ricœur et de Berman. / If we understand “strange” in the former sense of “foreign, alien” as well as “unusual or surprising”, « strange words » play a significant role in Shakespeare’s drama, whether they take the form of single words, whole sentences or even entire scenes written in a foreign language. Shakespearian heterolingualism (Rainier Grutman) also encompasses social or regional varieties of English in the plays. Its importance, however, has less to do with quantity than quality. Indeed, Shakespeare’s “strange words” are highly theatrical and often take centre stage, in an age when the English language itself was beginning to define its identity. Their role is rarely ornamental—they destabilise and unsettle their host language even as they playfully interact with it, as is demonstrated by the many interlingual puns concocted by Shakespeare. Moreover, the cohabitation of languages in some of Shakespeare’s plays can sometimes lead to questionable acts of translation. As Shakespeare stages the frequent “slips” of translation, he unveils the other side of the English language, which always runs the risk of becoming foreign in its turn. The translation of Shakespeare’s heterolingual texts themselves is no less problematic. The trial of the doubly foreign presents the translator with a number of challenges that this thesis proposes to explore. Nevertheless, if the plurality of languages is usually perceived as a curse when it comes to translation, it also opens up opportunities for the translating language: forcefully “de-provincialised” (Ricoeur), the mother tongue begins to thrive.
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Figures de l’avarice et de l’usure dans les comédies : The Merchant of Venice de Shakespeare, Volpone de Jonson et L’Avare de Molière / Figures of avarice and of usury in the comedies : The Merchant of Venice by Shakespeare, Volpone by Jonson and L’Avare by Molière

Burtin, Tatiana 18 October 2011 (has links)
L’émergence d’un « ‘esprit’ capitaliste » (Weber) en Angleterre et en France au tournant des XVIe-XVIIe siècles a favorisé la reconfiguration des rapports entre avaritia et cupiditas, qui déterminent tout le champ sémantique de l’usure et de l’intérêt. Cette thèse postule que cette évolution est sensible dans la comédie française et anglaise de l’époque, et plus particulièrement chez les grands dramaturges qui ont marqué l’imaginaire collectif en mettant en scène des personnages avares. À partir d’un type comique issu à la fois du théâtre antique et du canon religieux bien établi dans l’Occident chrétien, l’appréhension nouvelle de l’argent comme objet et comme signe permet de construire une véritable figure moderne de l’avarice. Shylock, Volpone et Harpagon sont suspendus entre un or quasi divin, et l’univers plus ou moins connu de l’argent, qu’ils pensent maîtriser grâce à leur trésor. S’ils s’intègrent parfaitement à la fluidité moderne des échanges économiques, culturels et sociaux, ils participent aussi à leur dévalorisation, par une activité et un discours proprement usuraires. Leur entourage tente de soumettre cette « labilité » (Simmel) suscitée par l’économie de l’usurier-avare à un nouvel ordre, cosmique, éthique ou politique. Le conflit se résout devant la justice, instance discriminatoire externe et prétexte à la mise en abyme du jugement social. L’analyse finale de ces dénouements permet de comprendre le travail de chaque auteur sur la forme et la fonction du comique, à travers le texte, les genres, ou une esthétique de l’espace. Elle montre que chacun s’attache à valoriser l’apport de son art au public dans une période de crise socio-économique. / The emergence of a capitalist ‘spirit’ (Weber) in England and France at the turn of the sixteenth and seventeenth centuries played a leading role in reconfiguring the relation between avaritia and cupiditas which determine the whole semantic field of usury and interest. This thesis postulates that this evolution is perceptible in French and British comedy at that time, in particular for some of the playwrights who staged miserly characters imprinted in our collective imagination. Starting from a comic type as common in Greek and Roman drama as it was in the well-established religious canon in the Christian West, a new understanding of money as object and as sign leads to the construction of a truly modern figure of avarice.Shylock, Volpone (Mosca) and Harpagon, hang on to a almost divine idea of gold and the more or less known world of money, medium they think they control through their treasure, and which is about to become the universal equivalent of any good. Those characters fit perfectly into this modern dynamic of economic, cultural and social exchanges, but they also contribute, with their strictly usurious speech, to its depreciation. Their entourage tries to tame this « lability » of values (Simmel) generated by the economy of the usurer-miser to a new order – a cosmic, ethical or political order. Conflicts are resolved by a court of law, external discriminatory authority and pretext for the mise-en-abyme of social judgment. The analysis of these denouements allows one to understand the work of each author in the comic form and function, through the text, the genres, or an aesthetic of space. It shows how much each author strived to value the contribution of his art to the public, in a time of socio-economic crisis.
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Japanese Macbeth : Shakespeare's role on the international stage

Maxwell, Ashley-Marie 08 1900 (has links)
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Crime, histoire et politique : la représentation du régicide dans le théâtre anglais et français au tournant du XVIe et du XVIIe siècle / Crime, history and politics : to perform regicide in English and French theatre at the turn of sixteenth and seventeenth-century

Coulaud, Sandra 22 June 2017 (has links)
Crime d’actualité au tournant du XVIe et du XVIIe siècle, le régicide est un objet de spéculations et un fait d’actualité en France et en Angleterre. Dans les deux royaumes, on débat de cette question sur fond de schisme religieux. Des théoriciens politiques réinventent la manière de parler de ce crime pour le légitimer et les dramaturges s’emparent de ce sujet problématique. Jacques de Fonteny met en scène le meurtre d’Henri III, Claude Billard de Courgenay celui d’Henri IV, Montchrestien représente l’exécution de Marie Stuart, Shakespeare et Marlowe mettent en scène les meurtres de Richard II et d’Edouard II. Au théâtre, le régicide est a priori un spectacle efficace, propre à provoquer de vives émotions chez le spectateur. Pourtant, ces représentations ne vont pas de soi. Comment, en effet, représenter un crime aussi énorme dans un contexte de crise politique ? Comment justifier le spectacle d’un meurtre d’une actualité aussi brûlante ? Les dramaturges négocient constamment entre des contraintes idéologiques et esthétiques, parfois contradictoires, qui pèsent sur la représentation. Ils empruntent souvent le détour par l’histoire. Plus le crime est inefficace politiquement, et plus il est efficace sur scène. La tyrannie du prince justifie sa mise à mort. Ses fautes morales transforment le régicide en châtiment acceptable et sa déchéance rend la scène pathétique. Un récit permet fréquemment de raconter la mort que l’on ne peut pas montrer sans risquer de décevoir le public. / The regicide is a topical crime between the sixteenth and the seventeenth-century. It is an object of many reflections and an actual event for french and english people. In both kingdom, there are debates on this issue while the schism has begun a reality. Because of the controversy, it is possible to speack about régicide as a punishment. Playwrighters perform this problematic subject. Jacques de Fonteny represent the murder of Henri Ird, Claude Billard de Courgenay represent Henri IVrth’s one, Antoine de Montchrestien represent the execution of Marie Stuart, Shakespeare and Marlowe perform the murders of Richard IInd et Edward IInd. A priori, such subject can move the audience. Nevertheless, such a performance isn’t an evidence. How, indeed, can a playwrighter show such an enormous crime during troubled period ? How can he justify the show in a crisis context ? Playwrighters have to consider ideological and aesthetic restrictions, which are sometimes in contradiction, to perform the murder of the sovereign. In many cases, they rewright history. Because the crime is usually ineffective as a politic action, it is effective for dramatic art. Tyranny justify that the prince is murdered. Some moral failures make this one acceptable. And because the king is falling, he appears as a pathetic victim for the spectators. When it is difficult to show the crime scene, the regicide is described by a messenger.
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Figures de l'avarice et de l'usure dans les comédies : The Merchant of Venice de Shakespeare, Volpone de Jonson et L'Avare de Molière

Burtin, Tatiana 08 1900 (has links)
Réalisé en cotutelle avec l'Université de Paris Ouest Nanterre La Défense / L'émergence d'un « 'esprit' capitaliste » (Weber) en Angleterre et en France au tournant des XVIe-XVIIe siècles a favorisé la reconfiguration des rapports entre avaritia et cupiditas, qui déterminent tout le champ sémantique de l'usure et de l'intérêt. Cette thèse postule que cette évolution est sensible dans la comédie française et anglaise de l'époque, plus particulièrement chez les dramaturges qui ont marqué l'imaginaire collectif en mettant en scène des personnages avares. À partir d'un type comique issu à la fois du théâtre antique et du canon religieux bien établi dans l'Occident chrétien, l'appréhension nouvelle de l'argent comme objet et comme signe permet de construire une véritable figure moderne de l'avarice. Les protagonistes de chaque pièce, Shylock, Volpone (Mosca) et Harpagon, sont suspendus entre un or quasi divin, et l'univers plus ou moins connu de l'argent, medium en passe de devenir l'équivalent universel de tout bien, qu'ils pensent maîtriser grâce à leur trésor. S'ils s'intègrent parfaitement à la fluidité moderne des échanges économiques, culturels et sociaux, ils participent aussi à leur dévalorisation, par une activité et un discours proprement usuraires. Leur entourage tente de soumettre cette « labilité » des valeurs (Simmel) suscitée par l'économie de l'usurier-avare à un nouvel ordre, cosmique, éthique ou politique. Le conflit se résout devant la justice, instance discriminatoire externe et prétexte à la mise en abyme du jugement social. L'analyse des dénouements permet dès lors de comprendre le travail de chaque auteur sur la forme et la fonction de la comédie, à travers le texte, les genres, ou une esthétique de l'espace. Elle montre que chacun s'attache à valoriser l'apport de son art au public, dans une période de crise socio-économique. / The emergence of a capitalist ‘spirit’ (Weber) in England and France at the turn of the sixteenth and seventeenth centuries played a leading role in reconfiguring the relation between avaritia and cupiditas which determine the whole semantic field of usury and interest. This thesis postulates that this evolution is perceptible in French and British comedy at that time, in particular for some of the playwrights who staged miserly characters imprinted in our collective imagination. Starting from a comic type as common in Greek and Roman drama as it was in the well-established religious canon in the Christian West, a new understanding of money as object and as sign leads to the construction of a truly modern figure of avarice. Shylock, Volpone (Mosca) and Harpagon, hang on to a almost divine idea of gold and the more or less known world of money, medium they think they control through their treasure, and which is about to become the universal equivalent of any good. Those characters fit perfectly into this modern dynamic of economic, cultural and social exchanges, but they also contribute, with their strictly usurious speech, to its depreciation. Their entourage tries to tame this « lability » of values (Simmel) generated by the economy of the usurer-miser to a new order – a cosmic, ethical or political order. Conflicts are resolved by a court of law, external discriminatory authority and pretext for the mise-en-abyme of social judgment. The analysis of these denouements allows one to understand the work of each author in the comic form and function, through the text, the genres, or an aesthetic of space. It shows how much each author strived to value the contribution of his art to the public, in a time of socio-economic crisis.
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Figures de l'avarice et de l'usure dans les comédies : The Merchant of Venice de Shakespeare, Volpone de Jonson et L'Avare de Molière

Burtin, Tatiana 08 1900 (has links)
L'émergence d'un « 'esprit' capitaliste » (Weber) en Angleterre et en France au tournant des XVIe-XVIIe siècles a favorisé la reconfiguration des rapports entre avaritia et cupiditas, qui déterminent tout le champ sémantique de l'usure et de l'intérêt. Cette thèse postule que cette évolution est sensible dans la comédie française et anglaise de l'époque, plus particulièrement chez les dramaturges qui ont marqué l'imaginaire collectif en mettant en scène des personnages avares. À partir d'un type comique issu à la fois du théâtre antique et du canon religieux bien établi dans l'Occident chrétien, l'appréhension nouvelle de l'argent comme objet et comme signe permet de construire une véritable figure moderne de l'avarice. Les protagonistes de chaque pièce, Shylock, Volpone (Mosca) et Harpagon, sont suspendus entre un or quasi divin, et l'univers plus ou moins connu de l'argent, medium en passe de devenir l'équivalent universel de tout bien, qu'ils pensent maîtriser grâce à leur trésor. S'ils s'intègrent parfaitement à la fluidité moderne des échanges économiques, culturels et sociaux, ils participent aussi à leur dévalorisation, par une activité et un discours proprement usuraires. Leur entourage tente de soumettre cette « labilité » des valeurs (Simmel) suscitée par l'économie de l'usurier-avare à un nouvel ordre, cosmique, éthique ou politique. Le conflit se résout devant la justice, instance discriminatoire externe et prétexte à la mise en abyme du jugement social. L'analyse des dénouements permet dès lors de comprendre le travail de chaque auteur sur la forme et la fonction de la comédie, à travers le texte, les genres, ou une esthétique de l'espace. Elle montre que chacun s'attache à valoriser l'apport de son art au public, dans une période de crise socio-économique. / The emergence of a capitalist ‘spirit’ (Weber) in England and France at the turn of the sixteenth and seventeenth centuries played a leading role in reconfiguring the relation between avaritia and cupiditas which determine the whole semantic field of usury and interest. This thesis postulates that this evolution is perceptible in French and British comedy at that time, in particular for some of the playwrights who staged miserly characters imprinted in our collective imagination. Starting from a comic type as common in Greek and Roman drama as it was in the well-established religious canon in the Christian West, a new understanding of money as object and as sign leads to the construction of a truly modern figure of avarice. Shylock, Volpone (Mosca) and Harpagon, hang on to a almost divine idea of gold and the more or less known world of money, medium they think they control through their treasure, and which is about to become the universal equivalent of any good. Those characters fit perfectly into this modern dynamic of economic, cultural and social exchanges, but they also contribute, with their strictly usurious speech, to its depreciation. Their entourage tries to tame this « lability » of values (Simmel) generated by the economy of the usurer-miser to a new order – a cosmic, ethical or political order. Conflicts are resolved by a court of law, external discriminatory authority and pretext for the mise-en-abyme of social judgment. The analysis of these denouements allows one to understand the work of each author in the comic form and function, through the text, the genres, or an aesthetic of space. It shows how much each author strived to value the contribution of his art to the public, in a time of socio-economic crisis. / Réalisé en cotutelle avec l'Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

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