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Lexis ludens : wordplay and the book of Micah /Petrotta, Anthony J. January 1991 (has links)
Texte remanié de: Diss.--University of Sheffield. / Bibliogr. p. 155-163. Glossaire. Index.
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Jeux de langageHesbois, Laure. January 1985 (has links)
Th.--Lett.--Paris 10, 1983.
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Auguste des mots : Sol et les théories modernes du jeu de motsRacette, André January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Studien zu einer Linguistik des Wortspiels : das Wortspiel im "Canard enchaîné" /Hausmann, Franz Josef, January 1974 (has links)
Inaug. _ Diss.--Philosophische Fakultät--Saarbrücken, 1972. / Bibliogr. p. 131-151. Index.
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Das Wortspiel und seine Übersetzung in slavische Sprachen /Timković, Ulrike. January 1990 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fachbereich Ost- und aussereuropäische Sprach- und Kulturwissenschaften--Frankfurt am Main--Johann Wolfgang Goethe-Universität, 1989.
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Esperanto et jeu de mots dans l'œuvre de Raymond Schwartz : 1894-1973 /Lloancy, Marie-Thérèse. January 1900 (has links)
Th. 3e cycle--Linguist.--Paris 5, 1985.
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Les fractales du sensRichet, Bertrand 18 November 2011 (has links) (PDF)
Le présent document est à la fois le bilan d'une vingtaine d'années de recherche en linguistique anglaise et en traductologie, recherche portant sur des thèmes aussi divers que les jeux de mots et les références culturelles dans Astérix, les interjections et les énoncés interjectifs, les nombres et les énumérations ou encore les questions alternatives, et, ce qui vise aussi à synthétiser ces différents approches, une réflexion sur la représentation qui prend appui sur un objet originellement mathématique, les fractales, dont on peut penser qu'elles constituent un outil pertinent d'analyse pour rendre compte à la fois des textes et des fonctionnements linguistiques. A partir d'un passage en revue des problématiques abordées dans les différents travaux, il est proposé une représentation dynamique de l'organisation du sens qui, du point à la ligne et à l'enroulement, construit une complexité croissante du dire et du regard sur le monde. Par le jeu de la récursivité et de l'homothétie interne, le sens déploie dans un foisonnement apparent ses ramifications dans la linéarité des discours, entrelacs complexe et fascinant dont les fractales, précisément, permettent sinon de rendre compte, du moins d'apprécier les réalisations, c'est-à-dire d'en accepter les formes et d'en estimer la valeur. Du fourmillement des données à la perception d'échos se dévoile ainsi l'essence de l'être au monde, que linguistes et traductologues, par leurs approches complémentaires, contribuent à mettre au jour.
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La traduction de la littérature chinoise contemporaine en France (1981-2012) : état des lieux, stratégies de traduction, problèmes et réflexions / The translation of Chinese contemporary literature in France (1981-2012) : state of play, translation strategies, problems and reflectionsMeng, Yinghua 02 December 2017 (has links)
La littérature chinoise contemporaine, presque inconnue il y a une trentaine d’années en France, commence aujourd’hui à occuper une place que l’on ne peut plus ignorer. Notre étude, qui présentera d’abord un panorama de la traduction et de la réception de cette littérature en France (1981-2012), s’efforcera ensuite d’explorer en détail des aspects techniques de la traduction : étudier les stratégies mises en place, mettre en valeur les efforts tentés par les traducteurs et analyser des difficultés et problèmes de traduction existants. Une telle recherche descriptive et analytique portera sur six objets de traduction, qui constituent toutes des défis traductologiques : “graphie et dessin des caractères chinois’’, “jeux de mots’’, “proverbes’’, “xiehouyu’’, “onomatopées’’ et “discours direct sub-libre’’, ceci dans le cadre de trente-quatre traductions de sept écrivains contemporains : Mo Yan 莫言, Su Tong 苏童, Yu Hua 余华, Bi Feiyu 毕飞宇, Chi Li 池莉, A Cheng 阿城 et Jia Pingwa 贾平凹. L’exploration des stratégies s’effectuera dans une approche dialectique qui va bien au-delà des dichotomies théoriques opposant radicalement l’auteur et le lecteur. En étudiant convergences, diversités et complexités de pratiques, nous tenterons d’apporter un éclairage sur des facteurs qui influencent ou régissent l’agir du traducteur, et ceci de façon ciblée selon chacun des six objets étudiés. Loin de vouloir dresser une liste des inadéquations, pertes ou erreurs de traduction, ou encore donner des injonctions, nous espérons attirer l’attention sur les réelles contraintes ou difficultés que les traducteurs du chinois rencontrent durant leur travail, et susciter des occasions de réflexion. / Chinese contemporary literature, while almost unknown thirty or more years ago in France, begins to occupy a place we can non longer ignore. In the present work, after presenting a panorama of the translation and the reception of this literature in France (1981-2012), we will try to explore in detail some technical aspects of its translation : strategies used by the translators and the efforts they make when facing translation problems. Being a descriptive and analytical research, it will deal with six translation objects : “spelling and image of Chinese characters’’, “wordplay’’, “proverbs’’, “xiehouyu’’, “onomatopoeia’’ and “sub free direct discourse’’, taking into account thirty four translations of seven Chinese contemporary writers : Mo Yan 莫言, Su Tong 苏童, Yu Hua 余华, Bi Feiyu 毕飞宇, Chi Li 池莉, A Cheng 阿城 and Jia Pingwa 贾平凹. The analysis of different strategies will be done in an dialectic approach which aims to overcome theoretical dichotomies opposing radically the author and the reader. While studying convergences, diversities and complexities of methods, we will try to shed light on factors that influence or govern the choices of the translator, in a targeted manner, according to each of the six studied objects. Far from establishing a list of unsuitable choices, losses and translation mistakes or issuing instructions, we wish to draw attention to the real constraints or difficulties that translators of the Chinese language come across during their work, and offer opportunity for thought.
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Les mots étrangers dans le théâtre de Shakespeare : pratique de l’hétérolinguisme et questions de traduction / Shakespeare’s “strange” words : heterolingual practice in Shakespeare’s drama and issues of translationLacroix, Mylène 19 November 2016 (has links)
Dans ses œuvres dramatiques, Shakespeare fait la part belle aux mots étrange(r)s, qu’il s’agisse de mots isolés, de phrases ou encore de scènes entières en langue étrangère. L’hétérolinguisme (Rainier Grutman) shakespearien se manifeste également par la présence dans ses pièces de variétés sociales ou régionales de l’anglais. Son importance est cependant moins quantitative que qualitative. En effet, les mots étrangers de Shakespeare font presque toujours l’objet d’une mise en scène, à une époque où la langue anglaise était elle-même en pleine quête identitaire. Leur rôle n’est jamais purement ornemental : ils déstabilisent et inquiètent la langue qui les accueille tout en entretenant avec elle une relation souvent ludique, comme en témoignent les nombreux jeux de mots interlinguistiques inventés par Shakespeare. Par ailleurs, la cohabitation des langues dans certaines de ses pièces entraîne parfois des opérations de traduction plus ou moins hasardeuses, qui font elles aussi l’objet d’une véritable mise en scène. En nous donnant à entendre les fréquents « dérapages » de la traduction, Shakespeare nous fait voir l’envers de la langue, qui court toujours le risque de devenir à son tour étrangère. La traduction des textes hétérolingues du dramaturge eux-mêmes n’est pas moins problématique. L’épreuve de l’« étranger au carré » lance en effet au traducteur un certain nombre de défis que cette thèse a pour vocation d’explorer. Néanmoins, si la pluralité des langues est d’ordinaire vécue comme une malédiction pour la traduction, elle représente également une chance pour la langue traduisante : contrainte de se « déprovincialiser », elle « se met à proliférer », selon les mots respectifs de Ricœur et de Berman. / If we understand “strange” in the former sense of “foreign, alien” as well as “unusual or surprising”, « strange words » play a significant role in Shakespeare’s drama, whether they take the form of single words, whole sentences or even entire scenes written in a foreign language. Shakespearian heterolingualism (Rainier Grutman) also encompasses social or regional varieties of English in the plays. Its importance, however, has less to do with quantity than quality. Indeed, Shakespeare’s “strange words” are highly theatrical and often take centre stage, in an age when the English language itself was beginning to define its identity. Their role is rarely ornamental—they destabilise and unsettle their host language even as they playfully interact with it, as is demonstrated by the many interlingual puns concocted by Shakespeare. Moreover, the cohabitation of languages in some of Shakespeare’s plays can sometimes lead to questionable acts of translation. As Shakespeare stages the frequent “slips” of translation, he unveils the other side of the English language, which always runs the risk of becoming foreign in its turn. The translation of Shakespeare’s heterolingual texts themselves is no less problematic. The trial of the doubly foreign presents the translator with a number of challenges that this thesis proposes to explore. Nevertheless, if the plurality of languages is usually perceived as a curse when it comes to translation, it also opens up opportunities for the translating language: forcefully “de-provincialised” (Ricoeur), the mother tongue begins to thrive.
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Al-Ma‘arrī ou l’Art d’écrire sous la censure : l’exemple de Risālat al-ṣāhil wa-l-šāḥiğ, « L’Épître du cheval et du mulet » / Al-Ma‘arrī and the art of writing under censorship : the example of Risālat al-ṣāhil wa-l-šāḥiğ, "Letter of a horse and a mule"Raoux, Joumana 27 November 2009 (has links)
Longtemps soupçonné d’hérésie, ’Abū al-‘Alā’ al-Ma‘arrī, auteur du nord de la Syrie ayant vécu à cheval entre le IVe/Xe et le Ve/XIe siècles, fut disculpé à la fin du XIXe siècle par les précurseurs de la Nahd{a. Féru de la langue arabe, muni d’un style inaccessible au premier abord, la question qui se pose aujourd’hui est celle de savoir s’il faut se fier à ses contemporains ou à l’opinion d’hommes qui vécurent plusieurs siècles plus tard. Le présent travail a pour but de tenter de comprendre le langage de cet auteur et d’essayer de savoir pour quelles raisons un homme brillant par son intelligence et ses connaissances se borna à rédiger ce qui ressemble à une fable animalière anodine.Une analyse détaillée du texte révèle un ensemble de jeux de mots, d’allusions historiques, d’anecdotes et de citations coraniques qui tissent un deuxième texte en filigrane à travers l’épître, lequel s’avère être, d’une part, une critique véhémente contre toute religion, l’islam et son représentant le prophète Muh{ammad en particulier et, d’autre part, des conseils adressés au prince ‘Azīz al-Dawla, gouverneur indépendantiste d’Alep sous le règne des Fatimides, l’encourageant à prendre les armes et à propager les idées du maître. La véritable croyance de l’auteur reste cependant peu définie en dehors d’un refus de tout système religieux, désigné comme étant des mécanismes mis en place pour duper les gens simples d’esprit, et d’une foi inébranlable que la mort n’est autre qu’un sommeil sans suite.La technique d’écriture d’al-Ma‘arrī semble être un savant mélange de la technique bédouine de la tawriya dont l’usage primitif était d’échapper à la censure ou à la persécution et une inspiration de l’ouvrage pehlevi Kalīla wa-Dimna, un miroir des princes par excellence. / ’Abū al-‘Alā’ al-Ma‘arrī who lived in the North of Syria between the 4th and the 5th century was suspected of heresy for a long time, and was finally cleared by the Nahd{a pioneers at the end of the 19th century. Extremely keen on the Arabic language and provided with an intricate style of writing, the question today is whether to believe his contemporaries or the opinion of men who lived centuries later. The present study tries to understand the author’s language and why such a brillant cultivated man wrote what looks like a trivial animal fable.A detailed analysis of the text reveals a succession of puns, hints to historical events, anecdotes and coranic quotes which grow into a second text interwoven throughout the « Epistle of a Horse and a Mule ». This latter appears to be, on the one hand, a vehement criticism towards religion, islam and Muh{ammad its prophet, and, on the other hand, advice given to Aleppo’s governor, ‘Azīz al-Dawla, who though allegied to the Fatimids, has a tendency toward independence, encouraging him to take arms and propagate the masters ideas. Nevertheless, the real faith of the author remains undetermined except for his refusal of all religious system viewed by him as mechanisms set to fool simple souls, and his belief that death is nothing but an endless sleep.Al-Ma‘arrī’s writing technique appears to be a refined combination of the bedouin’s technique tawriya which originally served as a means to escape censureship or even repression, and inspired by the pehlevi work of Kalila wa-Dimna, princes advice if ever there was.
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