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Les enjeux de la sauvegarde du patrimoine culturel matériel en Iran depuis 1997 jusqu'en 2015 / The stakes in the protection of the material cultural heritage in Iran since 1997 until 2015

Nekouie Naeenie, Nasim 23 November 2017 (has links)
La Révolution de 1979 a provoqué en Iran une vague de méfiance à l’égard des autres pays et l’hostilité envers les États-Unis a mis le pays dans une position conflictuelle avec le monde occidental. Avec l’affaire de la prise d’otages en novembre 1979, les relations entre l’Iran, les États-Unis et l’Europe ont été coupées. Tout cela n’a pas été sans conséquences sur la conservation du patrimoine culturel : si Persépolis a échappé à la destruction, en revanche le mausolée de Reza Shah a été complétement détruit par les révolutionnaires. Cependant des démarches effectuées par les spécialistes eurent pour résultat l’enregistrement pour la première fois de trois monuments historiques de l’Iran sur la liste du patrimoine mondial : Tchogha Zanbil près de Suse, Persépolis dans la province de Fars et la place de Naghsh-e-Jahan à Ispahan. Malheureusement, le déclenchement subit de la guerre avec l’Irak n’a pas laissé le temps de mettre en place les mesures de protection et pendant huit ans les sites et les monuments historiques de l’Iran ont subi quantité de dégâts.Après la guerre, jusqu’en 1997, le gouvernement de M. Rafsandjani entreprit de relever les ruines résultant de « la Guerre Imposée ». Mais l’inflation, qui pourtant ne fut à aucun moment supérieure à ce qu’elle avait été pendant « l’époque de la Construction », entraîna peu à peu la dépréciation de la monnaie et l’augmentation des inégalités sociales. Cette situation, qui empira jusqu’au gouvernement de M. Rohani, fit qu’on porta moins d’attention au patrimoine culturel. En fait, après la Révolution de 1979, les biens du patrimoine culturel de l’Iran ont été répartis en deux groupes : ceux qui pouvaient être considérés comme le patrimoine religieux, et ceux qui, antérieurs à la conquête musulmane de la Perse, n’avaient aucun rapport avec la spiritualité musulmane chiite. Les investissements pour la restauration et la protection des monuments du premier groupe n’ont été faits que pour propager le chiisme et dans le but d’influencer de plus en plus l’opinion publique, déjà sensible à la question de la religion et aux miracles des imams chiites. Cependant, bien qu’appartenant à ce groupe, certaines mosquées historiques et des caravansérails n’intéressent pas les organismes culturels du pays, du fait de leur faible rentabilité. En soi, la meilleure solution pour réaliser les plans de sauvegarde des monuments historiques serait la participation de la population, mais l’étude du lien entre la société et le gouvernement montre qu’une telle coopération dépasse largement le seul domaine culturel et prend aujourd’hui en Iran un sens politique. / The Revolution of 1979 in Iran leaded to a wave of distrust of the other lands and to hostility towards the United States. It put the land also into a situation of confrontation with western world. The hostage-taking in November 1979 resulted in a breakup of relations between Iran, the United States and Europe. All of this has not been without effect on the heritage conversations.If Persepolis escaped the destruction, but Reza Shah’s Mausoleum was completely demolished by revolutionists. However the employment of specialists had an outcome, that for the first time three historical monuments of Iran were put on the list of UNESCO-world heritage site: Tchogha Zanbil near Susa, Persepolis in Fars-province and Naghsh-e Jahan Square (world-image) in Esfahan. Unfortunately the sudden outbreak of war with Iraq allowed no time for protection-sanction and for 8 years the historical cities and monuments of Iran have been much more damaged.After the war, the government of Akbar Rafsanjani committed to rebuild the ruins resulted by imposed war. But never higher as “period of construction”, the inflation leaded gradually to a currency debasement, also to an increase in social inequality. Got worse till 11. government, this situation made the people pay less attention to cultural heritage.After the revolution of 1979, the cultural goods of Iran were separated into two groups, on the one hand, the ones regarded as religious heritage and on the other hand, the ones built before the Muslims’ conquest with no deal with shiitic spirituality. The investment for protection of monuments in the first group aimed to dissemination of Shiism thus the public opinion, which has already been sensitive to the religion issues and the miracle of shiitic imams, should be influenced. But a few historical mosques and caravansaries belonged to this group, due to its low profitability didn’t interest the culture-organization.The best solution to ensure the preservation of historical monuments should be the involvement of population. However the investigations of the relation between society and government showed, that such a cooperation goes far beyond the cultural field and has a political meaning in society.
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Trabalho e Fé: A cruz da menina e o patrimônio cultural voltado ao turismo religioso na Cidade de Patos 1993 a 2010. / Work and Faith: Cross of the girl and the cultural patrimony focused on religious tourism in the City of Patos from 1993 to 2010.

SIRINO, Jean François de Figueiredo. 09 October 2018 (has links)
Submitted by Johnny Rodrigues (johnnyrodrigues@ufcg.edu.br) on 2018-10-09T16:19:41Z No. of bitstreams: 1 JEAN FRANÇOIS DE FIGUEIREDO SIRINO - DISSERTAÇÃO PPGH 2012..pdf: 3723737 bytes, checksum: 25366e372fbd8f7f49237dd50c927502 (MD5) / Made available in DSpace on 2018-10-09T16:19:41Z (GMT). No. of bitstreams: 1 JEAN FRANÇOIS DE FIGUEIREDO SIRINO - DISSERTAÇÃO PPGH 2012..pdf: 3723737 bytes, checksum: 25366e372fbd8f7f49237dd50c927502 (MD5) Previous issue date: 2012-03-30 / Cette thèse discute le tourisme religieux dans leur imbrication avec le patrimoine culturel dans la ville de Patos, avec le locu de d'étude est le Sanctuaire de la Croix fille, situé à la ville vers l'intérieur supérieur de Paraíba. Notre délai est de 1993 à nos jours, même si à certains moments, nous sommes obligés de retourner dans les décennies précédentes afin de mieux expliquer les faits. Pendant ce temps, nous comprenons les changements qui se produisent à partir de la constructiondu sanctuaire pour le pouvoir politique en 1993, ces transformations qui entrent dans le champ du visible et sensible. Dans cette perspective, nous observons les intérêts politiques impliqués dans la construction du sanctuaire religieux de la jeune fille croisée, en tenant compte de la réaction de la population de Patos en relation avec le spectacle de la foi depuis 1993, l'année de l'inauguration du parc et de nouvelles sensibilités générés par la suíte. Compte tenu du fait qu’um changement est survenu dans la cartographie urbaine de Patos, et à tour de rôle, fondé nouvelle sociabilité. Enfin, la recherche de réponses à nos questions au sujet de l'émergence du tourisme religieux dans la ville de Patos, nous avons pris quelques sources différentes historiographiques, y compris: des livres de mémoire, des histoires orales de la mémoire, des romans, des journaux et des photographies. En dialogue avec cette diversité de sources de preuve la méthode de chercheur et historien Carlo Ginsburg a eté instimable. Une étude qui apporte La possibilite de penser dês biens religieux em tant que patrimoine culturel immatériel d’um groupe comme la ville de Patos. / A presente dissertação discuti o turismo religioso em seu imbricamento com o patrimônio cultural na cidade de Patos, tendo como locus de estudo o Santuário Religioso Cruz da Menina, localizado na saída da cidade em direção ao alto sertão paraibano. Nosso recorte temporal vai de 1993 à atualidade, embora que em determinados momentos, sejamos obrigados a retornar em décadas anteriores para melhor explicar os fatos. Nesse ínterim, procuramos perceber as transformações ocorridas a partir da construção do santuário pelo poder político em 1993, transformações essas que adentram o campo do visível e do sensível. Nessa perspectiva, buscamos observar os interesses políticos envolvidos na construção do santuário religioso da cruz menina, levando em conta a reação da população de Patos no que diz respeito à espetacularização da fé a partir de 1993, ano de inauguração do parque e das novas sensibilidades geradas a partir daí, haja vista que, ocorreu uma mudança na cartografia urbana de Patos, e por sua vez, fundaram novas sociabilidades. Enfim, na busca por respostas para as nossas perguntas sobre o aparecimento do turismo religioso na cidade de Patos, nos servimos de diferentes fontes historiográficas, entre elas: livros de memória, relatos orais de memória, romances, jornais e fotografias. No diálogo com essa diversidade de fontes o método indiciário do pesquisador e historiador Carlo Ginsburg foi de grande valia. Um estudo que trás a possibilidade de pensar os bens religiosos enquanto patrimônio cultural imaterial de um grupo, como no caso da cidade de Patos.

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