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Prise de traitements hormonaux et risque de mélanome cutané dans les cohortes prospectives E3N et EPIC / Exogenous Hormone Use and Cutaneous Melanoma Risk in the E3N and EPIC Prospective Cohorts

Cervenka, Iris 28 November 2019 (has links)
L’hypothèse de l’hormono-dépendance du mélanome cutané est en débat dans la littérature depuis de nombreuses années. Dans ce contexte, il est essentiel de mieux connaître l’influence potentielle de la prise de traitements hormonaux sur le risque de ce cancer.L’objectif de ce projet de thèse était d’étudier l’influence de la prise de traitements hormonaux (contraceptifs oraux, traitements de l’infertilité, progestatifs pris seuls avant la ménopause et traitements hormonaux de la ménopause) sur le risque de mélanome cutané chez les femmes.Le projet a été conduit principalement à partir de la cohorte prospective E3N (Étude épidémiologique auprès de femmes de l’Éducation nationale) portant sur environ100 000 femmes âgées de 40 à 65 ans à l’inclusion en 1990. L’étude E3N inclut des données détaillées sur le profil pigmentaire, l’exposition solaire et la prise de traitements hormonaux des participantes, ainsi que sur la survenue éventuelle de mélanome cutané, dont les cas ont été confirmés par histologie (761 cas confirmés entre 1990 et 2011). Des données complémentaires sur l’exposition solaire, disponibles pour une fraction de la cohorte E3N, ont également été utilisées. Ces données détaillées sont issues de l’enquête cas-témoin nichée E3N-SunExp menée en 2008. Les analyses ont ensuite été étendues au consortium de cohortes européennes prospectives EPIC (European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition), sur près de 334 500 femmes parmi lesquelles 1 734 cas de mélanomes incidents ont été diagnostiqués.Les résultats mettent en évidence des associations modestes entre la prise de traitements hormonaux et le risque de mélanome et ne soutiennent pas l’hypothèse de l’hormono-dépendance de ce cancer. Cependant, ils suggèrent un comportement d’exposition intentionnelle aux UV chez leurs utilisatrices, ce qui ouvre une nouvelle perspective pour les recherches futures dans ce domaine. / The hypothesis of a hormonal dependence of cutaneous melanoma has been debated in the literature over past decades. Within this context, it is critical to increase our knowledge on the influence of exogenous hormone use on the risk of this cancer.The aim of this project was to explore the influence of hormonal treatments (oral contraceptives, fertility drugs, premenopausal use of progestogens, and menopause hormone therapy) on the risk of cutaneous melanoma in women.The project was mainly based on the large E3N (Étude épidémiologique auprès de femmes de l’Éducation Nationale) prospective cohort, which included about 100,000 women aged 40-65 years at inclusion in 1990. The cohort collected data on pigmentary phenotype, sun exposure, hormonal treatment use, and medical data including cutaneous melanomas, which were ascertained through pathology reports (761 incident cases between 1990 and 2011). Additional information on sun exposure, available for a portion of the E3N cohort, was used. These detailed data were collected as part of the E3N-SunExp case-control study launched in 2008.Analyses were extended to the EPIC consortium (European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition), which includes about 334 500 women and 1,734 incident melanoma cases.The results arising from this project show modest associations between exogenous hormone use and melanoma risk and suggest no strong direct influence of hormones on melanoma development. However, results suggest intentional UV exposure behaviors in exogenous hormone users, which opens new perspectives for future investigations in this field.
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Facteurs hormonaux et anthropométriques associés à la dépression chez la femme en post-ménopause : résultats de la cohorte E3N / Hormonal and anthropometric factors associated with depression in postmenopausal women : results from the E3N cohort

Perquier, Florence 14 January 2014 (has links)
Contexte – La dépression est le trouble mental le plus répandu, mais son étiologie et les facteurs de risque qui lui sont associés demeurent encore largement inconnus, notamment en post-ménopause. Une influence des facteurs hormonaux et anthropométriques est fortement suggérée sur le risque de symptômes dépressifs (SDS) mais pourrait être différente selon que les SDS en post-ménopause ont été précédés d’un antécédent de trouble psychologique (SDS récurrents) ou non (SDS isolés). Objectif – Les données de la cohorte française E3N ont été utilisées pour évaluer les associations entre les facteurs reproductifs endogènes, l’utilisation de traitements hormonaux de la ménopause (THM), les mesures anthropométriques, la corpulence au cours de la vie, et le risque de SDS chez les femmes post-ménopausées. Résultats – Nos résultats suggèrent que la parité est associée à une diminution de risque, tandis que l’irrégularité des cycles en pré-ménopause et les antécédents de symptômes de la ménopause sont associés à un augmentation de risque de SDS en post-ménopause. Une ménopause plus tardive pourrait avoir un effet bénéfique sur le risque de SDS isolés ou précédés d’un premier trouble en post-ménopause. Notre étude n’a cependant pas mis en évidence d’effet bénéfique à long terme des THM sur les SDS, bien que, chez les utilisatrices en cours, la durée de prise de traitement et la voie orale étaient associées à une diminution de risque de SDS isolé. Un poids ou un indice de masse corporelle élevé n’étaient associés qu’aux SDS récurrents. En revanche, les femmes de plus faible poids ou ayant un faible indice de masse corporelle, mais aussi celles ayant un rapport tour de taille/tour de hanches élevé, avaient un risque augmenté de SDS. Enfin, nos résultats suggèrent que des facteurs anthropométriques précoces, tels qu’un poids de naissance élevé ou une forte corpulence dans l’enfance, peuvent également être associés au risque de SDS isolés en post-ménopause. Les femmes ayant un faible poids de naissance ou dont la corpulence augmentait fortement à la puberté pourraient d’autre part être à risque de SDS récurrents.Conclusion – Notre étude suggère que les associations entre les facteurs hormonaux et anthropométriques et les SDS en post-ménopause dépendent de l’histoire psychologique des femmes et proposent ainsi de nouvelles hypothèses. Ces résultats demandent cependant à être reproduits dans des études prospectives qui permettraient d’apporter de nouveaux arguments en faveur de la causalité. / Background – Depression is the most common mental disorder, but its etiology and associated risk factors in postmenopausal women remains largely unknown. A relationship between hormonal or anthropometric factors and severe depressive symptoms (SDS) has been suggested but could vary according to whether postmenopausal SDS are preceded by a psychological disorder (recurrent SDS) or not (isolated SDS).Objective – We used data from the French E3N cohort to examine the associations of endogenous reproductive factors, the use of menopausal hormone therapy (MHT), different anthropometric measures and body silhouettes throughout life with the risk of SDS in postmenopausal women.Results – Our results suggest that parity is associated with a lower risk, and that menstrual cycle irregularity and menopausal symptoms are associated with a higher risk of postmenopausal SDS. A later age at menopause could have a beneficial effect on isolated SDS or when SDS are preceded by a first psychological disorder in postmenopause. Our study was not able to show an inverse association between long-term MHT use and SDS, although longer MHT duration or oral MHT could have a beneficial effect on isolated SDS in women who were currently using MHT. A higher weight or body-mass index were only associated with recurrent SDS. However, women with a low weight or a low body-mass index, as well as those with a high waist-to-hip ratio had a higher risk of SDS. Finally, our results suggest that early anthropometric factors, such as a high birth weight or a high body-size in childhood could also be associated with a higher risk of isolated SDS. On the other hand, women with a low birth weight or whose silhouette grew strongly at puberty could be at higher risk of recurrent SDS.Conclusion – Our study suggest that associations between hormonal and anthropometric factors and postmenopausal SDS could differ according to women psychological history. New results of large prospective studies are warranted to argue for causality.
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Facteurs hormonaux et anthropométriques associés à la dépression chez la femme en post-ménopause : Résultats de la cohorte E3N

Perquier, Florence 14 January 2014 (has links) (PDF)
Contexte - La dépression est le trouble mental le plus répandu, mais son étiologie et les facteurs de risque qui lui sont associés demeurent encore largement inconnus, notamment en post-ménopause. Une influence des facteurs hormonaux et anthropométriques est fortement suggérée sur le risque de symptômes dépressifs (SDS) mais pourrait être différente selon que les SDS en post-ménopause ont été précédés d'un antécédent de trouble psychologique (SDS récurrents) ou non (SDS isolés). Objectif - Les données de la cohorte française E3N ont été utilisées pour évaluer les associations entre les facteurs reproductifs endogènes, l'utilisation de traitements hormonaux de la ménopause (THM), les mesures anthropométriques, la corpulence au cours de la vie, et le risque de SDS chez les femmes post-ménopausées. Résultats - Nos résultats suggèrent que la parité est associée à une diminution de risque, tandis que l'irrégularité des cycles en pré-ménopause et les antécédents de symptômes de la ménopause sont associés à un augmentation de risque de SDS en post-ménopause. Une ménopause plus tardive pourrait avoir un effet bénéfique sur le risque de SDS isolés ou précédés d'un premier trouble en post-ménopause. Notre étude n'a cependant pas mis en évidence d'effet bénéfique à long terme des THM sur les SDS, bien que, chez les utilisatrices en cours, la durée de prise de traitement et la voie orale étaient associées à une diminution de risque de SDS isolé. Un poids ou un indice de masse corporelle élevé n'étaient associés qu'aux SDS récurrents. En revanche, les femmes de plus faible poids ou ayant un faible indice de masse corporelle, mais aussi celles ayant un rapport tour de taille/tour de hanches élevé, avaient un risque augmenté de SDS. Enfin, nos résultats suggèrent que des facteurs anthropométriques précoces, tels qu'un poids de naissance élevé ou une forte corpulence dans l'enfance, peuvent également être associés au risque de SDS isolés en post-ménopause. Les femmes ayant un faible poids de naissance ou dont la corpulence augmentait fortement à la puberté pourraient d'autre part être à risque de SDS récurrents.Conclusion - Notre étude suggère que les associations entre les facteurs hormonaux et anthropométriques et les SDS en post-ménopause dépendent de l'histoire psychologique des femmes et proposent ainsi de nouvelles hypothèses. Ces résultats demandent cependant à être reproduits dans des études prospectives qui permettraient d'apporter de nouveaux arguments en faveur de la causalité.

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