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"La chance d'être là": Le travail dans la mode entre glamour et précarité

Mensitieri, Giulia 17 May 2016 (has links)
Cette thèse explore les formes de précarité dans le capitalisme contemporain à partir de la mode. Par une ethnographie menée auprès des travailleurs de «l’immatériel », à Paris et à Bruxelles (stylistes, mannequins, photographes, créateurs, journalistes, maquilleurs…), j’y explore le système de la mode, en analysant les circulations globales des imaginaires, des produits et des travailleurs, aussi bien que les productions de subjectivités et les modes d’assujettissement qui sont propres à cette industrie. Les restructurations du capitalisme du demi-siècle dernier ont fait de la mode « le rêve », à savoir la projection idéale des imaginaires capitalistes, mais aussi un horizon désirable pour les subjectivités que le capitalisme même produit. La thèse montre que, dans la mode, les productions d'imaginaires et les productions matérielles sont étroitement imbriquées. En outre, l’économie de la mode repose sur une règle du jeu selon laquelle les métiers et les prestations professionnelles les plus valorisés sont les moins payés. Le prestige et le pouvoir symbolique conférés par le fait d’« être là », dans la mode, y sont indissociables d’un certain degré de domination et de précarité.En allant au-delà de l’imaginaire d’exceptionnalité médiatisé de la mode, il ressort de l’enquête que les travailleurs eux-mêmes combinent esprit entrepreneurial, incorporation des dominations et précarité. Dans la mode, la subjectivité est utilisée aussi bien pour la composante créative du travail, que pour la gestion des émotions, du corps, et des relations, comme dans de nombreux autres secteurs des productions néolibérales. / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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O fetichismo do software livre e a reestruturação produtiva da atualidade / LE FÉTICHISME DE LOGICIEL ET LIBRE Y LA RESTRUCTURATION PRODUCTIVE DANS LES NOUVELLES

Serra Júnior, Gentil Cutrim 29 January 2015 (has links)
Submitted by Rosivalda Pereira (mrs.pereira@ufma.br) on 2017-05-29T18:11:02Z No. of bitstreams: 1 GentilCutrimSerra.pdf: 11131195 bytes, checksum: 24a57792b8f3099a5d0458781763e53a (MD5) / Made available in DSpace on 2017-05-29T18:11:03Z (GMT). No. of bitstreams: 1 GentilCutrimSerra.pdf: 11131195 bytes, checksum: 24a57792b8f3099a5d0458781763e53a (MD5) Previous issue date: 2015-01-29 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / Ce travail traite la relation contradictoire entre les Logiciels Libres et les Logiciels Propriétaires, montrant que, dans le contexte historique dans lequel s’intègre la problématique présentée, il y a une restructuration productive et dans celle-ci s’insère le phénomène étudié. Pour cela, il a été considéré que cette restructuration se présente comme réponse à une crise structurelle, et c’est dans ce contexte que surgit l’idéalisation de la collaboration en masse, avec l’unicité de développement de Logiciels Libres / Code Ouvert (LL / CO). Lors de cette exposition, cette restructuration productive est qualifiée comme un grand changement social et historique, qui implique la lutte de classes. Comme le montre cette étude, la plupart des concepts sur les LL / CO ont été inventés par les intellectuels organiques du capital, qui démontrent un signal clair avec les intérêts de classe, étant donné les transformations nécessaires à la bourgeoisie. De là, nous avons analysé les discours des défenseurs des Logiciels Libres, en précisant leur intérêt sur la di usion de règles des idéologies dominantes, qui attribuent aux technologies le pouvoirs d’émancipation et de l’indépendance de classe. Il a été observé que le récit de la collaboration de masse, présenté par de nombreux théoriciens comme une nouvelle forme d’organisation de la production, dont les technologies assumeraient un rôle central dans la société, falsifie les processus réels de transformation sociale, visant à rendre possible une plus grande accumulation du capital. Ainsi, il a été montré que dans le domaine de travail immatériel et de la collaboration en masse la lutte reste permanente. Il a été vérifié que, dans la perspective du discours d’une révolution technique et scientifique, où les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication sont placées comme instrumentale nécessaire à la collaboration sociale et économique, la collaboration productive de nature informationnelle vise à utiliser la main-d’oeuvre bénévole pour servir les intérêts capitaux, et que de cette manière, le résultat d’un travail collectif des employés et des bénévoles de ce processus, sous la coordination et le soutien financier du secteur public, privé et du secteur tier, devient la propriété de capital. Il a été constaté que, généralement, les codes d’informatiques en caractère libre sont englobés dans le capital, originant l’alimentation de développement de systèmes de licences restrictives, les systèmes dits propriétaires. Ainsi, il est devenu évident qu’un système informatique de type libre, même s’il semble être en marge de la logique du capital et le profit privé, devient fonctionnel aux nouvelles stratégies de restauration de la structure du capital. Il a été démontré, alors, que le Logiciel Libre et le Logiciel Propriétaire forment une unité, une relation organique, une relation dialectique fondée sur la création de l’usine de logiciel. Ainsi, au fur et à mesure qu’on développe un Logiciel Propriétaire, on développe également des Logiciels Libres et vice-versa. Ainsi, on prouve qu’il existe une unité entre la production de LL / CO et le développement de systèmes propriétaires, de sorte que l’un n’existe sans l’autre. C’est ce qui fait en ce que chaque grande invention dans le Logiciel Libre soit suivie par un incrément de Logiciel Propriétaire et que chaque complément dans le Logiciel Propriétaire, à son tour, conduit à de nouvelles inventions libres. Où il peut être conclu que la production collaborative de logiciels est intégrée dans l’univers de la mode de production capitaliste. / Este trabalho trata da relação contraditória entre o Software Livre e o Software Proprietário, mostrando que, no contexto histórico no qual está inserida a problemática apresentada, existe uma reestruturação produtiva e nela se insere o fenômeno pesquisado. Para isso, considerou-se que essa reestruturação apresenta-se como resposta a uma crise estrutural, e que é nesse contexto que surge a idealização da colaboração em massa, com a singularidade do desenvolvimento de Software Livre/Código Aberto (SL/CA). No decorrer desta exposição, essa reestruturação produtiva é qualificada como uma grande transformação social e histórica, que envolve luta de classes. Conforme mostrado neste estudo, a maioria dos conceitos a respeito do SL/CA foram cunhados por intelectuais orgânicos do capital, que demonstram uma clara sinalização com os interesses de classe, tendo em vista transformações necessárias à burguesia. A partir disso, analisou-se os discursos dos defensores do Software Livre, deixando claro o seu interesse em disseminar postulados das ideologias dominantes, as quais atribuem às tecnologias poderes emancipatórios e independência classista. Pôde-se observar que a narrativa da colaboração em massa, apresentada por muitos teóricos como uma nova forma de organização da produção, em que as tecnologias assumiriam um papel central na sociedade, mistifica os reais processos de transformação social, visando possibilitar uma maior acumulação para o capital. Assim, mostrou-se que no domínio do trabalho imaterial e da colaboração em massa a luta de classes continua permanente. Verificou-se que na perspectiva do discurso de uma revolução técnico-científica, onde as Novas Tecnologias da Informação e Comunicação são colocadas como o instrumental necessário para as transformações sociais e econômicas, a colaboração produtiva de cariz informacional busca utilizar a força de trabalho de voluntários para servir aos interesses do capital, e que, desta maneira, o resultado do trabalho coletivo dos assalariados e dos voluntários desse processo, sob a coordenação e o suporte financeiro de instituições públicas, privadas e do terceiro setor, torna-se propriedade do capital. Constatou-se que, de uma forma geral, os códigos computacionais de caráter livre são subsumidos ao capital, passando a alimentar o desenvolvimento de sistemas de licenciamento restritivo, os chamados sistemas proprietários. Deste modo, ficou claro que um sistema computacional do tipo livre, mesmo que aparentemente esteja à margem da lógica do capital e do lucro privado, torna-se funcional às novas estratégias de restauração da estrutura do capital. Demonstrou-se, então, que o Software Livre e o Software Proprietário formam uma unidade, uma relação orgânica, uma relação dialética fundada na criação da fábrica de software. Deste modo, à medida que se desenvolve o Software Proprietário, desenvolve-se também o Software Livre e vice-versa. Assim, prova-se que existe uma unidade entre a produção de SL/CA e o desenvolvimento de sistemas proprietários, de maneira que um não existe sem o outro. É isso o que faz com que toda grande invenção no Software Livre seja seguida de um incremento no Software Proprietário e que cada acréscimo no Software Proprietário, por sua vez, conduza a novas invenções livres. De onde pode-se concluir que a produção colaborativa de software está incorporada ao universo do modo de produção capitalista
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Les rapports entre les amateurs et les professionnels dans les sciences participatives basées sur Internet : une exploration de Foldit

Vidal, Ricardo 08 1900 (has links)
Cette recherche explore les rapports entre les amateurs et les professionnels scientifiques dans Foldit, une expérience de science participative sur Internet. Foldit est un jeu vidéo en ligne qui permet aux participants de trouver la façon dont les protéines se plient. Amateurs et professionnels de la science ont traversé une longue route colorée de partenariats et de démarcations. À l'heure actuelle, cette démarche se voit complexifiée par un environnement numérique qui relève le phénomène de la participation et la montée de la figure de l'amateur, notamment dans la production de connaissance. Si cette participation sur la Toile est considérée, par certains courants de pensée, comme le germe d'une nouvelle économie voire d'une nouvelle société (Benkler, 2006 ; Bauwens, 2012b), elle est aussi dénoncée par l'approche critique du capitalisme informationnel, comme une sorte de travail immatériel non rémunéré soumis à des relations d'exploitation (Moulier Boutang, 2007 ; Pasquinelli, 2010). Dans ce contexte, ce mémoire propose une exploration des sciences participatives, afin d'examiner les rapports qui s'établissent entre les acteurs de ces expériences productrices de connaissance et de données immatérielles. Ces rapports s'expriment à travers les échanges qui se déroulent sur le site web Foldit. La méthodologie qualitative mise en oeuvre a été complétée par l'observation de terrain et les entretiens semi-structurés avec des participants-joueurs et des membres de l'équipe scientifique du jeu. Les rapports trouvés dans Foldit se révèlent contextualisés, performatifs et sont façonnés par les compétences mises en jeu par les acteurs. Des rapports d'asymétrie, de coopération et de négociation sont repérés dans Foldit. Cette recherche veut contribuer ainsi à une meilleure compréhension des collectifs présents sur Internet ainsi que des rapports établis entre eux. / This project explores the relationships between amateur and professional scientists within Foldit, a participatory science project on the Internet. Foldit is an online game in which participants fold proteins in novel ways. The long history of cooperation and differentiation between amateurs and professionals in science is becoming increasingly complex in digital environments as « amateur » participation gains in importance and is channelled by Web-based platforms, notably in the production of knowledge. While participation on the Web is considered by some as providing the seeds of a new economy or even a new society (Benkler, 2006; Bauwens, 2012b), others associated with a critical approach to informational capitalism, decry this type of participation as unpaid immaterial labour, carried out in a relation of exploitation (Moulier Boutang, 2007; Pasquinelli, 2010). In this context, my thesis proposes an exploration of participatory science, with a view to examining the relationships that develop between the different actors involved in these knowledge - and data - production exercises. We identify these relationships between the members through analysis of the exchanges that they produce on the site. This qualitative research also draws on observation, and semi-structured interviews with both amateur players and members of the Foldit team. We conclude by proposing a performative view of the development of relationships in Foldit, which prove to be highly dependent upon contextual factors and shaped to a large extent by the skills of the various actors. In the particular context of the New Chapter, negotiations are marked by both asymmetry and cooperation. This research helps develop a better understanding of the development and maintenance of relationships in online collectives.

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