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Introduction à une biographie de Mgr Thomas Cooke

Marie-Stanislas-du-Sacré-Coeur, 09 August 2019 (has links)
Avant propos : L’intérêt particulier que nous portons à l’histoire régionale nous a fait entreprendre le présent travail. Son but est de rappeler les débuts de la carrière du premier évêque des Trois-Rivières, Mgr Thomas Cooke. Nous en tenant aux années 1792 à 1835, soit de sa naissance à son arrivée è. la cure des Trois-Rivières, nous avons essayé, è travers sa vie et le jeu des événements, d’étudier les aspects de son apostolat. Les sources se sont faites rares surtout en ce qui a trait aux origines de la Famille Cooke et aux années d’enfance de Thomas. Nous les avons contrôlées dans la mesure du possible. Le biographe contemporain de Mgr Cooke, Mgr Napoléon Caron, P.D., sous le pseudonyme de Meinier, publia dans L’Opinion Publique Montréal, en date du 30 mai et du 6 juin 1872, une notice biographique de l’évêque des Trois- Rivières, décédé le 31 mars 1870. Nous croyons ses données conforme à la vérité historique. Nous avons consulté la Vie de Mgr Cooke extraite de l'Histoire des Ursulines des Trois-Rivières par Sœur Marguerite-Marie o.s.u. C'est l'ouvrage le plus considérable consacré à Mgr Cooke. L'auteur essaie visiblement d'auréoler celui qui fut, pendant plusieurs années, le père aimé de la Communauté. Œuvre qui se veut à la fois poétique, laudative et historique, la Vie de Mgr Cooke nous a toutefois orientée dans nos recherches. Nous avons pu retrouver la majeure partie de la correspondance de M. Cooke avec les évêques de Québec. Les lettres qu'il échangea avec M. Desjardins, procureur de l'évêché de Québec, sont particulièrement intéressantes. Nous avons utilisé les statistiques des archives paroissiales de Rivière-Ouelle, Caraquet, Nipisiguit, Néguac, Burnt-Church, Bartibog et St-Ambroise de la Jeune-Lorette. Dans plusieurs paroisses, les registres ont péri dans des incendies. C'est le cas, par exemple, de Nelson et Petit-Rocher. Nous avons compilé, dans les livres que nous avons examinés, 2203 baptêmes, 513 sépultures et 773 mariages signés par M. Cooke. A Bathurst-Ouest (Nipisiguit), nous avons retrouvé le "Cahier des résolutions de paroisse et comptes de la fabrique de la mission de la Sainte-Famille de Nipisiguit”. Il porte la signature de M. Cooke pour les années 1817, 1818, 1819 et 1821. A St-Ambroise-de-la-Jeune-Lorette (Loretteville), un Cahier d’annonces nous a permis de suivre M. Cooke à travers son ministère paroissial de 1832 à 1835. Nous exprimons notre reconnaissance à Mgr Albert Tessier, P.D. qui nous a généreusement ouvert les portes des Archives du Séminaire St-Joseph des Trois-Rivières, de même qu’è. M. l’abbé Jean-Marie Beauchemin, archiviste à l’Archevêché de Québec. Partout, au cours de nos recherches, nous avons reçu l’accueil le plus sympathique. Nous désirons remercier M. Marcel Trudel, Docteur ès Lettres, professeur h. l’institut d’Histoire de l’Université Laval, qui nous a guidée et encouragée dans notre travail. Nous voulons également témoigner notre gratitude à notre Communauté qui nous a accordé les moyens d’entreprendre cette thèse et nous a facilité les voyages et les démarches nécessaires h sa préparation. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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La privatisation des Forges du Saint-Maurice, 1846-1883 : adaptation, spécialisation et fermeture

Bédard, Michel 25 April 2018 (has links)
Cette thèse concerne le devenir des Forges du Saint-Maurice depuis leur privatisation jusqu'à leur disparition. Le traitement s'effectue en deux chapitres : l'un concerne les années 1846 à 1862 l'autre les années 1863 à 1883. La rétrospective historique des Forges du Saint-Maurice, servant d'introduction au premier chapitre, témoigne que c'est essentiellement l'intérêt public que considère l'Etat lorsqu'il décide de vendre l'établissement au secteur privé et de supprimer son monopole sur les fiefs Saint-Etienne et Saint-Maurice. En effet, depuis quelques années, les terres se font plus rares et les villages avoisinants souffrent de surpopulation. Par leurs représentations auprès des autorités, les habitants les informent qu'ils aimeraient bien s’établir sur ces terres publiques réservées à l'usage exclusif de l'exploitant de la fonderie. D'autre part, les Forges du Saint-Maurice requièrent des innovations techniques pour accroître leur rendement. Le locataire refuse de les effectuer car il craint de perdre ses investissements lors de la prochaine criée de son bail. Les efforts d'adaptation des propriétaires aux nouvelles conditions d'exploitation caractérisent les années 1846 à 1858. Le nouveau propriétaire et ses successeurs conçoivent difficilement l'exploitation de l'établissement sans un territoire sous leur contrôle pour garantir les approvisionnements en combustible et en minerai. C'est pourquoi, malgré l'obligation de concéder des terres aux personnes qui en demanderont, ils se portent acquéreurs des fiefs Saint-Etienne et Saint-Maurice. Cet achat s'avère d'ailleurs judicieux puisqu'il leur permet d'exercer des pressions sur le gouvernement pour obtenir une réduction du prix d'achat, le report du remboursement de leurs dettes et l'octroi d'une réserve de terres. Ces concessions débouchent sur des investissements pour améliorer le rendement des Forges. La production augmente et se diversifie mais la conjoncture et les divergences entre les partenaires mettent un terme à leurs efforts. Le deuxième chapitre rend compte de la spécialisation de la production et de la fermeture de l'établissement. L'abandon et l'inactivité des Forges du Saint-Maurice, durant environ cinq ans, déprécient leur valeur. Flairant une bonne affaire, John McDougall les achètent ainsi que celles de l'Islet sises à proximité. Ne disposant, à l'encontre de ses prédécesseurs, d'aucun territoire pour ses matières premières, il décide d'en constituer un par une politique d'achat de terres. Grâce au soutien financier de son frère de Montréal et a une conjoncture favorable, il se spécialise dans la production de fonte en gueuse qu'il vend presque entièrement à une fonderie montréalaise qui la transforme en roues de chemin de fer. En 1867, le père forme avec ses fils la John McDougall and Sons. Cette société exploite les deux établissements durant huit ans, augmente la superficie de son territoire et construit des kilns pour améliorer le processus de carbonisation du bois. Les emprunts substantiels auprès de la Banque de Québec et l'implication accrue de l'oncle montréalais amènent cette société à céder ses actifs et passifs à la G. et A. McDougall. En raison de la mévente du fer consécutive à la crise économique en cours, cette firme n'a d'autre choix que de fermer les Forges de l'Islet et d'interrompre la production aux Forges du Saint-Maurice. En 1880, le fils de l'endosseur montréalais devient l'unique propriétaire des lieux. La reprise des activités économiques et la demande accrue pour les roues de chemin de fer l'encouragent à construire un deuxième haut fourneau aux Forges et à transformer sa fonte en gueuse en produits finis dans une fonderie louée à Trois-Rivières. Les Forges du Saint-Maurice semblent en voie de survivre encore quelques années jusqu'à ce qu'un jugement de la Cour Suprême contre l'endosseur principal vienne précipiter leur disparition. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les Forges du Saint-Maurice : les débuts de l'industrie sidérurgique au Canada, 1730-1883 / Débuts de l'industrie sidérurgique au Canada, 1730-1883

Samson, Roch 24 April 2018 (has links)
Les Forges du Saint-Maurice témoignent de l'implantation de la sidérurgie ancienne en Nouvelle-France au XVIIIe siècle, à quelques kilomètres au nord de Trois-Rivières. Leur fondation donne lieu à l'établissement d'une « usine à fers » ou de « grosses forges », suivant les désignations de l'époque, au coeur de la forêt de la Mauricie où abonde, sous forme de veines de surface, le minerai de fer « des marais » ou « des savanes ». L'entreprise, fondée par le seigneur François Poulin de Francheville en 1730, prend d'abord l'allure d'une petite forge utilisant le procédé de réduction directe du minerai. Mais, entre 1736 et 1739, grâce à l'implication financière du ministère de la Marine, on remplace cette modeste installation par un « établissement de forge complet » comportant haut fourneau et forges, suivant son concepteur le maître de forges champenois Olivier de Vézin, qui adopte le procédé de réduction indirecte du minerai utilisant le charbon de bois comme combustible. Cet établissement donne naissance à la première communauté industrielle au Canada qui ne disparaîtra qu'en 1883. Cette thèse a pour but d'étudier les Forges du Saint-Maurice comme une industrie issue de l'univers particulier de la sidérurgie ancienne dont elle constitue une réplique dans le milieu colonial du XVIIIe et du XLXe siècle. Elle s'appuie sur les résultats de la recherche historique et archéologique entreprise au sein de Parcs Canada depuis la création du lieu historique national des Forges-du-Saint-Maurice en 1973. L'approche théorique s'inscrit dans un courant scientifique qui vise à comprendre et à caractériser les formes industrielles de production qui se manifestent avant l'Industrialisation comme telle. Cette thèse propose de rendre raison de la mise en oeuvre, du fonctionnement, de l'évolution et du destin de la première industrie sidérurgique au Canada en examinant toutes les dimensions nécessaires aux opérations de l'entreprise dans le contexte évolutif de ses 150 années d'existence. Une telle démarche conduit à mieux comprendre la sidérurgie ancienne et les conditions de la viabilité de ce milieu industriel dans le contexte colonial canadien. Dans une portée plus générale, cette thèse contribue à un domaine d'études qui tend à renouveler l'histoire de l'industrialisation et en particulier celle de l'industrie avant l'Industrialisation. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Analyse de contenu du journal Bas-Canada

Legendre, Roland. 25 April 2018 (has links)
Le 9 avril I656, le Canadien informait ses lecteurs qu'il avait reçu "le prospectus d'un journal qui devait être publié aux Trois-Rivières par Doucet et Cie". Il annonçait ainsi la naissance du Bas-Canada fondé par Georges-Isidore Barthe le 3 avril I856. Georges-Isidore, fils du capitaine Joseph Barthe et de Marie Tapin, était né à Restigouche au Nouveau-Brunswick le 16 novembre 1834. H fit ses études primaires dans sa paroisse et vint poursuivre ses études classiques au Séminaire de Nicolet. Par la suite il opta pour le droit et après avoir fait une partie de sa cléricature à l'étude de Napoléon Bureau de Trois-Rivières et l'avoir terminée à celle de George et Andrew Robertson de Montréal, il est admis au barreau le 16 octobre I856. La fondation du Bas-Canada marquait donc la première expérience de Barthe dans le monde du journalisme. Cependant Georges-Isidore recevra une précieuse collaboration de son frère Joseph-Guillaume. Ce dernier, de dix-huit ans son aîné, a vu le jour à Carleton le 16 mars 1816. Après des études classiques à Nicolet, il s'initia aux éléments de la médecine qu'il abandonna pour le droit. En 1837, à 21 ans, mêlé au mouvement insurrectionnel, il donna â la presse et en particulier au Fantasque de Nicolas Aubin quelques odes patriotiques qui lui valurent d'être emprisonné à Montréal le 2 janvier 1839, sous l'accusation d'avoir écrit en faveur de Papineau et des exilés des Bermudes. Remis en liberté, il se fit inscrire au barreau. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Une industrie et son village : les forges du Saint-Maurice, 1729-1764

Fortier, Marie-France 25 April 2018 (has links)
Malgré de nombreuses tentatives de la part d'administrateurs coloniaux conscients, dès les débuts de la colonie, de l'importance de l'industrie lourde pour une jeune collectivité, ce n'est qu'en 1729 que sont établies les premières Forges en Nouvelle-France. Les Forges du Saint-Maurice sont d'abord gérées par leur initiateur, François Poulin de Francheville qui s'associe subséquemment à quatre autres personnages de la colonie. Au décès de Francheville, l'établissement est repris en main par deux associés de la précédente compagnie auxquels se joignent un nouvel administrateur et deux maîtres de forge français. De sérieuses erreurs techniques, une administration à distance et des difficultés ouvrières conduisent cette association â la faillite financière en 1741.L'industrie connaît dès lors une régie d'Etat jusqu'en 1760, moment où elle passe sous le contrôle du régime militaire britannique. Pendant ces trente (30) années d'administration française sont apparus sur les bords de la rivière Saint-Maurice une industrie et son village. Un ensemble industriel, composé d'un haut-fourneau et de deux forges avec les constructions qui leur sont connexes servent à la transformation du minerai de fer. Des bâtiments résidentiels et de services sont à l'usage de la communauté ouvrière contribuant au fonctionnement de l'entreprise. Un édifice aux dimensions imposantes, surnommé la grande-maison, constitue le centre nerveux de cette agglomération par les multiples fonctions qui s'y concentrent. Les liens qui unissent l'entreprise et ceux qu'elle emploie sont très étroits. Tissés au fil même de l'évolution de l'industrie, ils sont marqués par ses exigences. La structure administrative et celle du travail s'inspirent directement des besoins de production. L'importante communauté ouvrière, à laquelle se joignent femmes et enfants, est essentiellement hiérarchisée selon le métier exerce. Le mode de vie, enfin, tant sur le plan des préoccupations aussi quotidiennes que l'habitation, l'alimentation et le vêtement que sur celui du comportement social et économique est relie aux particularismes de l'industrie. Cette profonde interdépendance marquera de façon définitive l'établissement des Forges du Saint-Maurice et de leur village. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La séquence d'utilisation de la terre Pachirini, au site de la place d'Armes des Trois-Rivières (CcFd-19) : fin XVIᵉ - fin XVIIIᵉ siècles

Duguay, Françoise 03 August 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 24 juillet 2023) / Notre thèse s'appuie sur une réflexion amorcée en lien avec une mention historique connue de tous : celle de Laviolette, le père fondateur des Trois-Rivières, et la date de 1634. Le questionnement quant à cet énoncé est basé sur le fait que les évènements surgissent rarement du néant. Il a conduit à utiliser des données archéologiques (vestiges structuraux, strates de sols et collection), ethno-historiques, historiques et biophysiques, afin de reconstruire une séquence évènementielle étoffée et d'identifier les acteurs en présence, ainsi que leurs activités. Le site archéologique d'échantillonnage pour éclairer notre questionnement gravite autour de la terre initialement concédée en 1648 à Charles Pachirini, un chef algonquin ; cette ancienne propriété est intégrée au parc de la place d'Armes (code Borden : CcFd-19 ; lieu classé en 1960). Les données archéologiques et ethno-historiques concordent pour démontrer la présence de deux groupes ethniques à cet emplacement, depuis au moins la fin du XVIᵉ siècle : Autochtones et Français. En effet, les Trois-Rivières servaient de lieu de regroupement estival à diverses nations algonquiennes ce qui permettaient les échanges entre elles, mais aussi avec des groupes iroquoiens. Ces échanges peuvent impliquer le transfert de biens, mais aussi de trais culturels et de technologie. Les Français y viennent à prime abord en été pour le commerce des fourrures, avant d'y implanter un poste de traite fortifié en 1634. Un bourg prendra ensuite forme, à partir des années 1650. La terre Pachirini est incluse dans cette évolution car partiellement scindée en censives urbaines attribuées à des colons français, notamment en bordure de la rue Saint-Louis, ce qui permettra l'émergence d'une spécialisation dans l'utilisation de l'espace. Trois de ces lots ont fournis des indices archéologiques, ceux initialement attribués à : Barthelémy Bertaut, Jacques Aubuchon et Michel Pelletier dit Laprade. L'emplacement connu sous le toponyme de « place d'Armes » deviendra la première place du marché, lieu où l'on peut se procurer biens, denrées et services. Le tout se fait en parallèle avec une utilisation de l'emplacement par les peuples autochtones, qui y disposent d'un bâtiment fixe et où ils installent également des campements du printemps jusqu'à l'automne. Cela fait de la place d'Armes un centre de rencontre et d'échange, dont l'accès est relativement public. Le tout se poursuit depuis les années 1650 jusqu'à la fin du XVIIIᵉ siècle, moment où la décision est prise de déplacer la place du marché vers l'ouest et de retirer l'ensemble du bâti sur la terre Pachirini initiale. L'inclusion de données archéologiques permet d'apprécier le fait que la trame événementielle des Trois-Rivières est beaucoup plus complexe que ne le laisse croire une prémisse réductrice, imprimée tel un dogme dans l'historiographie locale. Par contre, la notion d'espace public se poursuit quant à elle à travers les siècles et ce jusqu'à ce jour, car la place d'Armes demeure un lieu d'accès public, sous la forme d'un parc municipal. L'aspect collectif semble y avoir primauté et s'être perpétué dans l'inconscient collectif, sans faire l'objet d'une évaluation critique sur la nature de cet état de fait. / Our thesis is constructed around the well-known historical assertion that Laviolette is the founding father of Trois-Rivières, in 1634. Something in the story seemed to be missing, for such events rarely occur out of the blue. Questioning this statement led to the use of archaeological data (structural remains, soil strata, artifacts and ecofacts), as well as ethnohistorical, historical and environmental data in order to trace an expanded sequence of events, in an effort to identify the people involved and their activities. Our archaeological sample was collected on a piece of land conceded in 1648 to an Algonkian chief, Charles Pachirini, land which is now included in Place d'Armes park (Borden code: CcFd-19; protected by law since 1960). Archaeological and ethnohistorical data demonstrate that two ethnic groups, First Nations and French, had shared the use of this area from at least the end of the XVIth century. Indeed, Trois-Rivières used to be a traditional summer gathering centre for various Algonkian nations, who also had contacts with Iroquoians. Such gatherings were used for the exchange of goods, but most probably also of cultural traits as well as technology. French traders first came into the mix to initiate fur trade, which led to the establishment of a fortified trading post in 1634. A village started developing during the 1650's, a process which included space use specialization on Pachirini's land after plots were allotted to French settlers. Three of these plots are included in our archaeological sample, the ones initially allocated to: Barthelémy Bertaut, Jacques Aubuchon and Michel Pelletier dit Laprade. The park now named "Place d'Armes" would become Trois-Rivières' first market place, where one could acquire goods, food and services. Such activities took place alongside Aboriginal groups, who had the use of a permanent building and could also build encampments there during summer; such common usage qualifies Place d'Armes as a public space. The pattern went on from the 1650's to the end of the XVIIIᵗʰ century, when the market place was transferred westward, leading to the dismantling of all buildings from what used to be Pachirini's land. Including archaeological data in the historical sequence's modelling brings forth the fact that Trois-Rivières' history is far more complex than the reductive premise that has become dogma. However, the notion that the area called "Place d'Armes" is considered a public space has lived on through the ages, even to this day, since the municipal park is still a common gathering place. It is as if the notion of a public space has made its way into the collective unconscious mind, as a primordial idea never submitted to a critical assessment of its cause.

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