Spelling suggestions: "subject:"troubles effectifs"" "subject:"troubles affectif""
1 |
Analyse des maladies complexes : les troubles affectifs bipolaires /Gobeil, Lise, January 1900 (has links)
Thèse (M.Med.Exp.) -- Université Laval, extensionné à l'Université du Québec à Chicoutimi, 1999. / Bibliogr.: f. [90]-99. Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
|
2 |
Le traitement des émotions dans la dépression composante neurovégétative et discursive /Paraskeva, Stella Blanchet, Alain January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Psychologie et psychopathologie clinique : Paris 8 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 322-375.
|
3 |
L'influence de craintes intrapsychiques et de la symptomatologie psychopathologique sur l'intimité interpersonnelleLemay, Danielle 23 March 2022 (has links)
La présente étude a poursuivi deux objectifs principaux: (1) déterminer l'influence sur l'intimité de cinq craintes intrapsychiques postulées par Feldman (1979) et (2) examiner le rôle potentiellement médiateur des craintes intrapsychiques dans la relation entre la psychopathologie et l'intimité. Ces évaluations ont tenu compte de l'influence sur l'intimité de six variables sociodémographiques. Deux objectifs secondaires ont été (1) de comparer les relations entre la psychopathologie, les craintes et l'intimité observées chez des individus suivis par un professionnel en santé mentale à celles observées chez des individus non consultants et (2) d'examiner l'influence du statut marital sur l'intimité et sur la présence de craintes auprès de ces mêmes groupes. Enfin, l'expérience de l'intimité est explorée selon une perspective phénoménologique. Les résultats de cette étude ont démontré que les craintes de se dévoiler, de la fusion et d'être attaqué contribuent significativement, bien que modestement, à la prédiction de l'intimité et que les craintes intrapsychiques n'exercent pas un rôle médiateur dans la relation entre la pathologie et l'intimité. De plus, le revenu, le sexe, la scolarité et le statut marital des participants contribuent également à la prédiction de l'intimité. Les relations entre la pathologie, les craintes et l'intimité ne s'avèrent pas significativement plus élevées chez les individus suivis par un professionnel en santé mentale que chez les individus non suivis. De même, le statut marital ne s'avère pas influencer significativement ni le niveau d'intimité ni la présence de craintes chez ces deux groupes. Enfin, l'analyse qualitative a révélé que l'intimité représente essentiellement une proximité affective où l'on se sent à l'aise de se révéler complètement.
|
4 |
Interactions entre troubles du langage et troubles psychoaffectifs comment intervenir pour préparer l'entrée dans l'écrit ? /Dréan, Gaëlle Huet, Annick. January 2008 (has links)
Mémoire d'orthophonie : Médecine : Nantes : 2008. / Bibliogr.
|
5 |
Efficacité des psychothérapies de la dépression selon le nombre de séances : une méta-régressionRouault, Olivier 18 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / Le nombre de séances de psychothérapie est une donnée essentielle à prendre en compte dans le domaine de l'évaluation des psychothérapies. Le but de cette étude est de déterminer si pour une catégorie de troubles spécifiques, les troubles de l'humeur, le nombre de séances de psychothérapie est un facteur déterminant dans l'efficacité des psychothérapies. Plus spécifiquement deux questions de recherche ont été abordées. Premièrement, évaluer si un nombre très réduit de séances de psychothérapies est efficace dans le traitement des troubles de l'humeur. Deuxièmement déterminer si, pour les différents types de psychothérapies ayant fait l'objet d'essais cliniques dans le cadre des troubles de l'humeur, l'efficacité des interventions est associée au nombre de séances. La méthode employée est une méta-analyse, à partir des études disponibles dans la littérature, complétée d' une méta-régression où la variable nombre de séances est rapprochée de la taille d'effet. L'étude montre tout d'abord que les thérapies très courtes (moins de six séances) sont efficaces pour le traitement des troubles de l'humeur. Ensuite les résultats indiquent que, toutes thérapies confondues, le nombre de séances et associé à la taille d'effet. Plus spécifiquement, pour les thérapies psychodynamiques et interpersonnelles le nombre de séances est associé à la taille d'effet. Ce n'est pas le cas pour les thérapies cognitives comportementales et les thérapies comportementales stricto sensu. Ces résultats peuvent être pris en compte dans les formats de psychothérapie qui peuvent être proposés aux clients selon leurs besoins et les caractéristiques de leur trouble de l'humeur.
|
6 |
Anxiété, éthylisme, motivation et performance cognitive à la suite d'une réduction de la sérotonine cérébrale chez les souris mutantes TPH2Lemay, Francis 20 April 2018 (has links)
Les troubles affectifs tels que l’anxiété et la dépression majeure sont les troubles psychiatriques les plus diagnostiqués au monde. Parmi leurs causes potentielles figurent le stress chronique et des dysfonctions du système nerveux central, telles que des mutations génétiques. Une mutation de l’enzyme tryptophane hydroxylase 2, responsable de la première étape de la synthèse de la sérotonine cérébrale, a été associée chez l’humain à une forme sévère de dépression majeure à comorbidités multiples. La présente thèse propose d’étudier les effets comportementaux de cette mutation chez la souris. Dans un premier article, deux paradigmes expérimentaux servent à évaluer l’anxiété de souris mutantes (HO) et de souris contrôles (WT) et une tâche d’apprentissage spatial mesure la performance cognitive de ces souris. La réaction anxieuse et les performances cognitives des souris sont également observées suite à un stress chronique récent de contention d’une durée de deux heures par jour, pendant quatre jours consécutifs. Le second article examine la motivation des souris HO à consommer du sucrose ou de la quinine, ainsi que leur préférence pour l’alcool et leur motivation à en consommer. Les expériences effectuées démontrent que les souris HO sont plus anxieuses et présentent des déficits de performance cognitive plus importants que les souris WT. Ces dernières réagissent au stress chronique par des comportements anxieux et des performances cognitives similaires à ceux des souris HO non stressées. Les souris HO ne sont pas affectées par le stress. La motivation appétitive (sucrose) et aversive (quinine) des souris HO ne diffère pas de celle des souris WT et leur préférence pour l’alcool est la même. Cependant, lorsque la solution d’alcool est mélangée à de la quinine, la rendant amère et aversive, les souris HO en consomment davantage que les souris WT, ce qui suggère une motivation accrue pour l’alcool. Ces résultats renforcent l’idée qu’un lien entre l’anxiété et la consommation d’alcool serait modulé par la sérotonine et suggèrent que les déficits cognitifs consécutifs à une réduction de la sérotonine sont modulés en partie par l’anxiété résultante. Les implications de l’absence de réponse au stress des souris HO sont également discutées. / Affective disorders such as anxiety and major depression are the most frequently diagnosed psychiatric disorders in the world. Among their potential causes are chronic stress and central nervous system dysfunctions, such as genetic mutations. A mutation in the rate limiting enzyme of brain serotonin synthesis, tryptophan hydroxylase 2, was associated with a severe form of major depression with multiple comorbidities in humans. The present thesis proposes to study the behavioral effects of this mutation in mice. In a first article, the anxiety level of mutant mice (HO) was assessed using two experimental paradigms. Their cognitive performances were also observed using a spatial learning task. Then, the anxious reactions and cognitive performances of mice were assessed following a recent restraint chronic stress which lasted two hours per day for four straight days. In a second article, their motivation to drink sucrose or quinine, as well as their preference for alcohol and their motivation for drinking it in aversive conditions were assessed. The experiments demonstrate that HO mice were more anxious and presented deficits in cognitive performances when compared to mice not carrying the mutation (WT). WT mice reacted to chronic stress by showing anxious behaviors and cognitive performances similar to those of unstressed HO mice, whereas HO were not affected by stress. The motivation of HO mice did not differ from that of WT for sucrose and quinine, and their preference for alcohol was similar. However, when the alcohol solution was mixed with quinine, making it bitter and aversive, HO mice consumed more of it than WT, suggesting a higher level of motivation for alcohol. These results reinforce the notion that the link between anxiety and alcohol consumption is modulated by serotonin and suggest that cognitive deficits observed following serotonin reduction would be partly modulated by the resulting anxiety. The implications of HO mice’s absence of response to chronic stress are also discussed.
|
7 |
Intervention psychologique pour améliorer l'humeur des hommes atteints d'un cancer de la prostate avancé : une étude préliminaireRioux, Dominique. 19 May 2021 (has links)
L’efficacité de la thérapie cognitive est bien démontrée pour traiter la dépression dans la population générale, mais n’a jamais été vérifiée auprès d’hommes atteints d’un cancer de la prostate. L’objectif de cette étude pilote est d’évaluer l’efficacité de la thérapie cognitive pour l’humeur dépressive auprès de quatre hommes atteints d’un cancer de la prostate avancé à l’aide d’un protocole à cas unique expérimental A-B à niveaux de base multiples. Les résultats des analyses de séries chronologiques portant sur des données quotidiennes montrent que la thérapie cognitive améliore significativement la tristesse chez trois des quatre participants ainsi que l’anxiété et la fatigue chez deux des quatre participants. Les analyses visuelles des courbes illustrant les données recueillies hebdomadairement appuient ces résultats en montrant une amélioration de l’humeur dépressive, de l’anxiété, du sommeil, de la fatigue et de la qualité de vie chez trois des quatre participants. La thérapie cognitive pour l’humeur dépressive semble donc être associée à des bénéfices pour plusieurs patients dans cette population.
|
8 |
Étude du développement de l'indépendance émotionnelle en tant que dimension de l'autonomie chez les adolescentsBoucher, Louis-Philippe 25 April 2018 (has links)
Si l'un des buts premiers de l'éducation est de former des êtres autonomes comme on se plaît à le dire dans les programmes de formation, encore faut-il savoir exactement quelle réalité recouvre ce concept d'autonomie et en quoi le développement des individus en est affecté. La période de l'adolescence est généralement considérée comme une période particulièrement difficile à traverser pour les jeunes des sociétés fortement industrialisées (Erikson, 1959, 1966, 1968, 1970). Plusieurs recherches tendent â montrer que l'acquisition de l'indépendance, voire l'autonomie pose effectivement des problèmes particuliers â cette période (Goodman, 1969; Hurlock, 1968; Bandura et Walters, 1959, 1963; Walters et Parke, 1964; Chickering, 1964, 1967; Moses, 1968; Norton, 1970). Notre expérience dans l'enseignement nous a permis de nous rendre compte qu'il n'est pas surprenant qu'il en soit ainsi. D'une part, on demande aux jeunes de se conformer à des normes, des valeurs et des attentes du monde adulte, et d'autre part, d'être eux-mêmes, d'être indépendants, d'être responsables, en somme, de s'autodéterminer. Ce qui, d'après Moses (1968, p. 71) conduit presque inévitablement à un conflit chez l'adolescent entre le désir de sécurité rattaché â la dépendance originelle de ses parents et la poussée croissante pour acquérir son indépendance ou pour réaliser son besoin d'autonomie. Le prolongement des études jusqu'à un âge assez avancé a pour effet d'amplifier ce problème. Les jeunes sont, en effet, maintenus dans un état de dépendance financière, légale et émotionnelle à une période où ils devraient exercer leur liberté et leurs responsabilités (Goodman, 1969). L'implantation de nos grands complexes polyvalents au niveau secondaire loin de résorber le conflit le pose avec encore plus d'acuité. Car, face à la complexité du système, il devient plus difficile de permettre la satisfaction des besoins, des aspirations personnelles et la prise des responsabilités (Heath, 1970). Nous pouvons d'ailleurs constater chez beaucoup d'adolescents un état avancé d'insatisfaction qui se manifeste, soit par de la révolte, voire de la contestation contre le système établi, soit par une fuite des responsabilités ou un conformisme béat. Les jeunes sont-ils en mesure d'assumer les responsabilités et la liberté d'expression qu'ils réclament, se demandent les différents agents d'éducation (professeurs, parents, administrateurs, etc..) ? En d'autres mots, sont-ils suffisamment "matures" pour être autonomes ou pour s'autodéterminer ? Partagés entre les valeurs traditionnelles de discipline, d'obéissance, de conformité et les valeurs nouvelles de participation, de responsabilité et d'autonomie, ces agents d'éducation ne semblent pas pouvoir répondre adéquatement à ces questions, et par conséquent établir une action éducative qui permettrait d'atteindre efficacement cet objectif, â savoir, rendre les individus autonomes. Etant une période de remise en question des valeurs reçues, de détachement des parents, de recherche du sens de l'identité, etc., l'adolescence nous apparaît être une période importante de mise en place de qualités développementales favorables â la conquête de l'autonomie. La question qui se pose alors est de savoir comment on les acquiert. En d'autres termes, comment se fait-il que certaines personnes deviennent autonomes et d'autres peu ? Jusque dans quelle mesure des adolescents de 14 à 18 ans peuvent être autonomes ? Quels stades de développement doivent-ils réussir ? Quelle action éducative favoriserait ce type de développement ? Afin d'apporter des éléments de réponse â ces questions, cette étude se donne les objectifs suivants:
1) Comprendre les étapes du développement personnel (dépendance â la maturité);
2) Préciser le concept d'autonomie;
3) Explorer quelques aspects du développement de l'autonomie chez l'adolescent. Pour atteindre ces objectifs, nous verrons dans un premier chapitre, par quelles étapes un individu passe de la dépendance a la maturité (de l'enfance à l'adolescence), puis après un bref inventaire des recherches pertinentes au développement de l'autonomie chez l'adolescent, nous tenterons à partir d'essais théoriques â la fois psychologiques et sociologiques de dégager les comportements de l'individu autonome. Nous rendrons opérationnel ce concept d'autonomie â l'aide de la théorie de Chickering (1970) qui veut que ce développement ait cours par étapes successives. Dans le second chapitre, nous préciserons la démarche expérimentale de la recherche, â savoir d'abord l'échantillon et la population, puis l'instrument de mesure, et enfin les procédures statistiques utilisées pour la vérification des hypothèses. Le dernier chapitre sera consacré â la présentation et a l'analyse des résultats en tenant compte des réserves formulées au sujet de la validité et de la fiabilité de l'instrument. De ces données, nous tenterons de dégager un certain nombre de principes aptes â servir de lignes directrices à des applications éducatives. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
|
9 |
Conduites parentales de contrôle et sentiments dépressifs chez l'enfantBouzigon, Michèle 27 January 2021 (has links)
Plusieurs études indiquent que les pratiques parentales seraient reliées aux sentiments dépressifs de l'enfant. La présente étude vise à vérifier une série d'hypothèses à propos des conduites de contrôle. Celles-ci pourraient constituer un bon prédicteur des sentiments dépressifs et seraient perçues différemment par les membres de la famille. Quatre cent six enfants et leurs parents ont répondu à des questionnaires sur leur perception des conduites de contrôle et les enfants ont rempli un questionnaire évaluant leurs sentiments dépressifs. Les hypothèses sont testées par des analyses de régressions multiples. Les résultats indiquent que les conduites de contrôle prédisent 13% de la variance des sentiments dépressifs, mais que seules les perceptions des enfants quant au contrôle contribuent de façon significative. Ces résultats sont discutés en fonction de l'interdépendance des dimensions, des différences sexuelles et des hypothèses concernant l'impact des perceptions.
|
10 |
Liens entre les difficultés comportementales et affectives et l’étendue du vocabulaire réceptif chez les enfants sourds : comparaison avec un échantillon normatifFilion, Rachel 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Le présent mémoire vise à documenter l’occurrence des difficultés au niveau du vocabulaire et des problèmes de comportement chez un échantillon d’enfants sourds oralistes québécois (n = 22) et vérifier si, le cas échéant, leurs difficultés comportementales peuvent s’expliquer par les difficultés langagières. Pour ce faire, un groupe d’enfants sourds québécois est comparé à un groupe tiré d’un échantillon normatif d’enfants québécois ayant une audition normale (n = 44), et ce, sur le plan de l’étendue du vocabulaire et des difficultés comportementales. Premièrement, les résultats montrent que les performances à l’Échelle de Vocabulaire en Images Peabody (EVIP) des enfants sourds se situent à l’intérieur des limites normatives franco-canadiennes, mais ils présentent un vocabulaire moins étendu par rapport au groupe de comparaison. Deuxièmement, des corrélations entre la performance des enfants sourds à l’ÉVIP et la sévérité de la surdité, l’âge du diagnostic et du premier appareillage ont été examinées afin d’identifier l’origine de ces différences. Comme une corrélation significative et positive entre la performance langagière et l’âge du diagnostic a été observée (contrairement à ce qui est rapporté dans la littérature scientifique), un examen plus approfondi des données a mené au retrait d’un enfant de l’analyse statistique. Ce retrait a fait en sorte qu’aucune corrélation significative avec le langage n’a été observée lors de la nouvelle analyse, donc aucune explication ne peut être avancée concernant l’origine de ces différences. Troisièmement, les comportements ont été mesurés à l’aide du QECS (Questionnaire d’Évaluation des Comportements Sociaux). Les participants présentent significativement plus de problèmes extériorisés que le groupe de comparaison, sans toutefois présenter plus de problèmes internalisés. Quatrièmement, l’analyse de régression suggère que les habiletés langagières jouent effectivement un rôle dans la fréquence des troubles externalisés et ce, peu importe si les enfants sont sourds ou non. En fait, une fois que le niveau de vocabulaire est pris en considération, les différences entre les enfants sourds et les enfants entendants quant aux comportements extériorisés disparaissent, ce qui suggère que cette différence était principalement attribuable aux différences langagières.
|
Page generated in 0.0674 seconds