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Interactions entre troubles du langage et troubles psychoaffectifs comment intervenir pour préparer l'entrée dans l'écrit ? /Dréan, Gaëlle Huet, Annick. January 2008 (has links)
Mémoire d'orthophonie : Médecine : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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Conduites parentales de contrôle et sentiments dépressifs chez l'enfantBouzigon, Michèle 27 January 2021 (has links)
Plusieurs études indiquent que les pratiques parentales seraient reliées aux sentiments dépressifs de l'enfant. La présente étude vise à vérifier une série d'hypothèses à propos des conduites de contrôle. Celles-ci pourraient constituer un bon prédicteur des sentiments dépressifs et seraient perçues différemment par les membres de la famille. Quatre cent six enfants et leurs parents ont répondu à des questionnaires sur leur perception des conduites de contrôle et les enfants ont rempli un questionnaire évaluant leurs sentiments dépressifs. Les hypothèses sont testées par des analyses de régressions multiples. Les résultats indiquent que les conduites de contrôle prédisent 13% de la variance des sentiments dépressifs, mais que seules les perceptions des enfants quant au contrôle contribuent de façon significative. Ces résultats sont discutés en fonction de l'interdépendance des dimensions, des différences sexuelles et des hypothèses concernant l'impact des perceptions.
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Liens entre les difficultés comportementales et affectives et l’étendue du vocabulaire réceptif chez les enfants sourds : comparaison avec un échantillon normatifFilion, Rachel 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Le présent mémoire vise à documenter l’occurrence des difficultés au niveau du vocabulaire et des problèmes de comportement chez un échantillon d’enfants sourds oralistes québécois (n = 22) et vérifier si, le cas échéant, leurs difficultés comportementales peuvent s’expliquer par les difficultés langagières. Pour ce faire, un groupe d’enfants sourds québécois est comparé à un groupe tiré d’un échantillon normatif d’enfants québécois ayant une audition normale (n = 44), et ce, sur le plan de l’étendue du vocabulaire et des difficultés comportementales. Premièrement, les résultats montrent que les performances à l’Échelle de Vocabulaire en Images Peabody (EVIP) des enfants sourds se situent à l’intérieur des limites normatives franco-canadiennes, mais ils présentent un vocabulaire moins étendu par rapport au groupe de comparaison. Deuxièmement, des corrélations entre la performance des enfants sourds à l’ÉVIP et la sévérité de la surdité, l’âge du diagnostic et du premier appareillage ont été examinées afin d’identifier l’origine de ces différences. Comme une corrélation significative et positive entre la performance langagière et l’âge du diagnostic a été observée (contrairement à ce qui est rapporté dans la littérature scientifique), un examen plus approfondi des données a mené au retrait d’un enfant de l’analyse statistique. Ce retrait a fait en sorte qu’aucune corrélation significative avec le langage n’a été observée lors de la nouvelle analyse, donc aucune explication ne peut être avancée concernant l’origine de ces différences. Troisièmement, les comportements ont été mesurés à l’aide du QECS (Questionnaire d’Évaluation des Comportements Sociaux). Les participants présentent significativement plus de problèmes extériorisés que le groupe de comparaison, sans toutefois présenter plus de problèmes internalisés. Quatrièmement, l’analyse de régression suggère que les habiletés langagières jouent effectivement un rôle dans la fréquence des troubles externalisés et ce, peu importe si les enfants sont sourds ou non. En fait, une fois que le niveau de vocabulaire est pris en considération, les différences entre les enfants sourds et les enfants entendants quant aux comportements extériorisés disparaissent, ce qui suggère que cette différence était principalement attribuable aux différences langagières.
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Relation entre les troubles affectifs et les difficultés scolaires chez les jeunes atteints d'ataxie récessive spastique de Charlevoix-Saguenay et ayant un quotient intellectuel normal /Lévesque, Karine, January 2004 (has links)
Thèse (M.Ps.) -- Université du Québec à Chicoutimi, 2004. / "Mémoire présenté à l'Université du Québec à Chicoutimi comme exigence partielle de la maîtrise en psychologie offerte à l'Université du Québec à Chicoutimi en vertu d'un protocole d'entente avec l'Université du Québec à Trois-Rivières." Comprend des réf. bibliogr. : f. 103-108. Document électronique également accessible en format PDF.
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Développement des fonctions exécutives, langage et problèmes socioaffectifs chez l'enfant : une approche multidimensionnelle et longitudinaleThériault-Couture, Frédéric 19 July 2024 (has links)
Les fonctions exécutives (FE) sont des habiletés cognitives de haut niveau impliquées dans le contrôle volontaire des émotions, des pensées et des comportements. Ces fonctions cognitives sont cruciales pour l'adaptation et le fonctionnement optimal de l'enfant dans plusieurs sphères. Bien qu'elles émergent vers l'âge d'un an, leurs trajectoires développementales et leurs liens avec d'autres sphères importantes du développement de l'enfant durant la deuxième année de vie s'avèrent méconnus. À l'aide d'une approche longitudinale à mesures répétées, l'objectif de cette thèse composée de deux études empiriques était de mieux comprendre les trajectoires de développement des FE et leurs relations avec le langage et les problèmes socioaffectifs durant la deuxième année de vie. Trois composantes des FE (mémoire de travail, inhibition et flexibilité cognitive), le vocabulaire réceptif et expressif et les problèmes socioaffectifs de l'enfant ont été évalués à trois reprises entre l'âge de 11 et 32 mois à l'aide de mesures reconnues et validées au sein d'une cohorte de 170 enfants issus de la communauté. Les résultats de la thèse ont mis en lumière une croissance significative de la mémoire de travail, de l'inhibition et de la flexibilité cognitive durant la deuxième année de vie. Ils ont aussi montré que de meilleures compétences langagières à un âge aussi précoce qu'un an sont associées à des capacités d'inhibition et de flexibilité cognitive plus optimales et que ces liens persistent dans le temps. En s'appuyant sur deux approches statistiques complémentaires, soit l'analyse de courbes de croissance multiniveaux et de modèles autorégressifs croisés, la thèse a également révélé qu'une meilleure capacité d'inhibition est associée de manière persistante à moins de problèmes socioaffectifs durant la deuxième année de vie ainsi qu'à une augmentation moindre de ces problèmes vers la fin de cette période développementale, soit entre 19 et 28 mois. Elle a aussi démontré que cette relation est unidirectionnelle, la capacité d'inhibition étant prédictive de l'évolution des problèmes socioaffectifs et non l'inverse. En somme, les résultats de la thèse suggèrent que l'inhibition agirait comme un facteur de protection dans le développement des problèmes socioaffectifs, alors que les capacités langagières constitueraient des piliers pour le développement de l'inhibition et de la flexibilité cognitive. Les deux études qui composent la thèse appuient aussi l'importance d'adopter une approche multidimensionnelle qui distingue les différentes composantes exécutives puisque les associations entre celles-ci, le langage et les problèmes socioaffectifs varient selon les composantes examinées. En conclusion, la thèse souligne la pertinence de se pencher sur le développement précoce des FE et leurs relations avec d'autres sphères majeures du développement de l'enfant dès la deuxième année de vie. Elle soulève aussi la nécessité de poursuivre les efforts de recherche afin de mieux comprendre les mécanismes qui sous-tendent les liens précoces entre les FE, le langage et les problèmes socioaffectifs. Les résultats de la thèse ont plusieurs implications théoriques et pratiques et mènent à des pistes de recherches futures qui sont discutées à la lumière des écrits pertinents. / Executive functions (EF) are higher-level cognitive abilities involved in the voluntary control of emotions, thoughts, and behaviors. EF are crucial for children's adaptation and optimal functioning across various spheres. Although they begin to emerge during the first year of life, their developmental trajectories and associations with other important spheres of development remain largely misunderstood during toddlerhood. Using a longitudinal design with repeated measures, the main objective of this doctoral thesis, encompassing two empirical studies, was to identify the developmental trajectories of EF and their associations with language and social-emotional problems during the second year of life. Three components of child EF (working memory, inhibitory control, and cognitive flexibility), child receptive and expressive vocabulary, and social-emotional problems were assessed at three time points between the ages of 11 and 32 months using well-validated measures within a community sample of 170 children. The findings of the thesis highlighted significant growth in working memory, inhibitory control, and cognitive flexibility during the second year of life. They also demonstrated that greater language skills during toddlerhood are associated with better inhibitory control and cognitive flexibility capacities, and that these links persist over time. Relying on two complementary statistical approaches, namely multilevel growth modeling and cross-lagged panel modeling, the thesis further revealed that greater inhibitory control capacity is persistently associated with fewer social-emotional problems during toddlerhood, as well as with a lesser increase in these problems towards the end of this developmental period (between 19 and 28 months). It also showed that this longitudinal association is unidirectional, with inhibitory control being predictive of later social-emotional problems and not the reverse. Overall, the results of the thesis suggest that inhibitory control acts as a protective factor in the development of social-emotional problems, while language abilities are foundational for the development of inhibitory control and cognitive flexibility. The thesis also supports the importance of using a multidimensional approach that distinguishes different EF components, as the associations between language and social-emotional problems vary according to the specific EF component examined. In conclusion, the thesis underscores the relevance of focusing on the early development of EF and their relations with other major developmental spheres from the second year of life. The thesis also highlights the necessity of pursuing research efforts to elucidate the mechanisms underlying the links between EF, language, and social-emotional problems. The thesis has several theoretical and practical implications and leads to future research avenues that are discussed in light of relevant literature.
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