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Etude de la zone monétaire optimale de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine / Analysis of the West African Economic and Monetary Union optimum currency area

Garofalo, Ludovic 11 December 2014 (has links)
Depuis 1939, une partie des pays de l'Afrique de l'Ouest a pour monnaie le Franc CFA d'Afrique de l'Ouest. Ces pays constituent, de fait, une zone monétaire. La dévaluation du CFA de 1994 marque le passage d'une convertibilité automatique à une convertibilité partielle. Il est alors légitime de s'interroger sur l'optimalité de cette zone monétaire surtout dans un contexte où la Zone Euro connaît elle même des difficultés.Elle a pour ambition de s'interroger sur l'optimalité de la zone monétaire l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine. L'étude a donc pour objectif d'identifier si cette zone monétaire est une Zone Monétaire Optimale, (ZMO) au sens de MUNDELL (1961). L'objet d'étude soulevé ici portera plus particulièrement sur l'analyse des critères de faisabilité d'une ZMO et le passage à des critères de soutenabilité. Les critères de premier rang d'une ZMO, déterminés par les auteurs précurseurs de littérature sur la question dans les années 1960 et 1970, constitués principalement par les apports de MUNDELL, (1961).Notre travail propose de ne pas se limiter à la définition donnée par MUNDELL, même si cette théorie s'applique à juste titre pour des pays candidats à l'adhésion. Dans ce cas la Loi du Prix Unique permet de caractériser la fixité du taux de change comme étant une condition nécessaire de premier rang. Cette condition de premier ordre est non suffisante pour justifier de la soutenabilité et durabilité d'une zone. La fixité des monnaies est la deuxième condition retenue. La monnaie unique devient alors un choix rationnel qui se justifie par les avantages qu'elle procure aux pays qui l'adoptent. / Ome of the West African countries have adopted the CFA Franc (Franc of African Financial Communities) as their currency in 1939. These countries hence form a monetary zone. The devaluation of the French CFA in 1994 marked the passage from an automatic convertibility to a partial convertibility. It seems legitimate to consider the optimality of the West-African currency area - especially in a context where the Euro zone itself faces difficulties.This thesis aims to identify whether this area is indeed an optimal currency area as defined by MUNDELL in 1961. The object of study raised here will focus more particularly on the analysis of the feasibility of an OCA (Optimum currency area) and on the passage to sustainability criteria. The primary criteria of an OCA -- as determined by the founding authors in the literature of the 1960s and 1970s on the issue, MUNDELL being the main contributor (1961). This study however does not restrict itself solely to the definition given by MUNDELL, even though his theory applies rightly to countries which are candidates to entry into the union. In this case, the Law of one Price (Loop) can characterize the fixity of the exchange rate as a primary necessary condition. This proviso however is not sufficient to justify the sustainability and durability of an area. In case this latter condition is not met, the other condition is the fixity of currencies. The unique currency then becomes a rational choice which is justified by the advantages it procures countries which adopt it.
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La convergence au sein d’une union monétaire : approches par la dynamique des prix et le taux de change d’équilibre. / Convergence within a monetary union : approaches through price dynamics and equilibrium exchange rates.

Guerreiro, David 26 October 2012 (has links)
Cette thèse analyse la convergence au sein d’une union monétaire par l’intermédiaire de la dynamique des prix et des taux de change d’équilibre. Dans le premier chapitre nous présentons les caractéristiques générales des zones monétaires, ainsi que l’historique de celles que nous étudions : l’UEM et la zone CFA. Le deuxième chapitre traite de la convergence des prix au sein de la zone euro par le biais de modèles à transition lisse. La convergence est non-linéaire, et les vitesses d’ajustements sont différentes selon les pays. Ceci s’explique par les différences dans l’évolution de la compétitivité-prix, les rigidités du marché du travail, mais aussi les schémas de spécialisation. Le troisième chapitre évalue la validité de la Parité des Pouvoirs d’Achat absolue au sein de l’UEM à travers des tests de racine unitaire et de cointégration en panel de deuxième et de troisième générations. Dans l’ensemble, la dynamique des prix apparaît hétérogène et dépendante des périodes d’évolution de l’UEM ainsi que des groupes de pays considérés. Le quatrième chapitre relie les déséquilibres externes à la crise de la dette souveraine que connait l’UEM depuis 2009. Nous montrons que lorsqu’un pays appartenant à une union monétaire fait face à un déséquilibre externe vis-à-vis d’un autre pays membre, l’écart de taux d’intérêts correspondant tend à s’accroître. De plus, lorsque ces déséquilibres persistent, ils peuvent déclencher une crise de la balance des paiements. Enfin le dernier chapitre s’intéresse à la pérennité de la zone CFA. En comparant cette dernière à un échantillon composé d’autres pays d’Afrique Subsaharienne, nous mettons en évidence que malgré son non-respect des critères d’optimalité, la zone CFA a favorisé les équilibres internes et externes, et facilité les ajustements aussi bien au niveau de l’ensemble de la zone, qu’au niveau individuel. Ceci laisse penser que cette union est soutenable. / This thesis analyses the convergence among a monetary union through the price dynamics and the equilibrium exchange rates. In the first chapter we introduce the main characteristics of the monetary areas, as well as the history of those under study: the EMU and the CFA franc zone. The second chapter deals with the price convergence inside the Eurozone via smooth transition regressions. This process is non-linear, and adjustment speeds are dissimilar depending on the countries. It is explained by the differences in the evolution of price competitiveness, labor market rigidities, but also specialization patterns. The third chapter investigates the validity of the absolute Purchasing Power Parity within EMU thanks to second and third generation panel unit root and cointegration tests. On the whole, price dynamics seems to be heterogeneous and depends on the EMU period and group countries considered. The fourth chapter links external disequilibria to the sovereign debt crisis experienced by EMU since 2009. We exhibit that when a country belonging to a monetary union faces an external disequilibrium relative to its main partner, the interest rates spread tends to increase. Moreover, when these disequilibria are persistent, they may trigger a balance of payments crisis. Finally, the last chapter pays attention to the permanence of CFA franc zone. By comparing the latter to a sample of other Sub-Saharan African countries, we evidence that the CFA franc zone has fostered external and internal balances, facilitated adjustments in the zone as a whole, as well as in each of its member, even if it does not fulfill the optimality criteria. This suggests that the union is sustainable.
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Régimes monétaires et politiques conjoncturelles de stabilisation dans l'espace économique européen : une analyse théorique et empirique / Monetary regimes and macroeconomic stabilization policies within the European economic area : a theoretical and empirical analysis

Legrand, Romain 12 December 2013 (has links)
La mise en place de l'Euro en 1999 a constitué un événement économique majeur pour les Etats européens. La crise financière de 2007, puis la crise de la dette souveraine en 2010, ont amené à remettre en question la pérennité de la zone Euro, et la capacité de certains de ses membres à respecter leurs engagements vis-à-vis de la monnaie unique. Les mesures d'austérité mises en oeuvre au sein de l'Union Economique et Monétaire dans le contexte actuel de crise peuvent constituer pour certains Etats une tentation supplémentaire pour quitter la monnaie unique et recouvrer leur indépendance monétaire et fiscale. Une sortie de la zone Euro de la Grèce, voire d'autres Etats membres en difficulté (Portugal, Irlande, Italie, et Espagne) n'est aujourd'hui plus un scénario à exclure. Cette thèse se propose de considérer la question du régime monétaire optimal, régime de change flexible ou union monétaire, pour les 17 pays de la zone Euro, dans le cadre des crises financières et de dettes souveraines qui les affectent actuellement. Le premier chapitre est général et vise à démontrer formellement la survenue d'une rupture structurelle due au passage à la monnaie unique en 1999. Il montre qu'une telle rupture s'est bien produite pour les pays de la zone Euro autour de l'année 1992, qui a marqué l'adoption du traité de Maastricht et la mise en place des critères de convergence pour l'adoption de l'Euro. Cette rupture n'est pas partagée par les trois pays européens qui ont préservé leur monnaie (Royaume-Uni, Suède, et Danemark). Le second chapitre constitue le coeur de ce travail. Il présente le modèle de référence utilisé pour mener la comparaison entre les deux régimes monétaires considérés pour la zone Euro. Il s'agit d'un modèle à deux pays intégrant des rigidités financières dans le cadre des transactions interbancaires conclues entre les Etats membres. Le modèle, une fois étalonné pour la zone Euro, suggère que les rigidités financières peuvent jouer un rôle considérable dans la dynamique de ces Etats, les chocs affectant les économies partenaires pouvant contribuer de manière significative à la dynamique nationale. Les simulations numériques préliminaires de crise financières menées sur le modèle ne permettent pas d'apporter de réponse concluante quant aux performances des deux régimes monétaires envisagés, le régime de change flexible semblant amener une stabilité accrue, là où une union monétaire permet une récupération plus rapide suite à la crise initiale. Le dernier chapitre remplit un double objectif. Il propose d'abord un critère de bien-être formel pour l'évaluation des performances respectives des deux régimes considérés. Il développe également un certain nombre d'extensions au modèle de référence, afin d'intégrer la dette souveraine, et les politiques de crédit (Covered Bonds Purchase Programme et Securities Markets Programme) mises en place par la BCE depuis le début de la crise. Les résultats montrent qu'en l'absence de politiques interventionnistes de la part de la Banque Centrale Européenne, une grande majorité des Etats de la zone Euro (15 sur 17) bénéficieraient d'un plus haut niveau de bien-être dans un régime de change flexible. Toutefois, les conclusions s'inversent dans le cadre du Securities Markets Programme, où les Etats membres deviennent alors majoritairement favorables au régime d'union monétaire. Celà suggère que la BCE a un rôle à jouer au sein de l'espace monétaire Européen qui va au-delà de sa fonction première d'instigatrice de la politique monétaire. / The introduction of the Euro currency in 1999 represented a major event for the European economies. The 2007 financial crisis and the subsequent 2010 sovereign debt crisis have led to question the sustainability of the Euro area and the capacity of certain member states to fulfil their commitments with respect to the single currency. The numerous austerity plans implemented within the Economic and Monetary Union in the current context of crisis constitute additional arguments for certain states to leave the single currency and retrieve their fiscal and monetary independences. It is not unconceivable anymore for countries such as Greece, Portugal, Ireland, Italy and Spain (the PIIGS) to envisage exiting the Euro area. This thesis considers the issue of determining the optimal monetary regime  flexible exchange rates or monetary union  for the 17 Eurozone countries, accounting for the current financial and sovereign debt crises. Chapter 1 is general and aims at formally establishing the occurrence of a structural break attributable to the 1999 passage to the single currency. It shows that such a break did take place for Euro area countries around 1992, the year which marked the adoption of the Maastricht Treaty and the settlement of the convergence criteria for the Euro. This break is not shared by the three European States which chose to preserve their own currencies (the United Kingdom, Sweden and Denmark). Chapter 2 constitutes the core of this work. It introduces the benchmark model used to perform the comparison between the two monetary regimes considered for the Euro area. It features a two-country open-economy model integrating financial frictions through cross-border interbank markets. Once calibrated for the Euro area, the model suggests that financial rigidities may play a substantial role in the dynamics of Eurozone economies, with a potentially significant impact of shocks affecting the partner economies over national developments. Preliminary financial crisis simulations run on the model prove inconclusive to assess the performances of the two monetary regimes contemplated. On the one hand, the flexible exchange rate regime results in improved stability, but on the other hand the monetary union typically allows for faster recovery following the initial crisis trigger. The third and final chapter meets a double purpose. It first proposes a formal welfare criteria to assess the respective performances of the two monetary regimes under consideration for the Euro area. It then augments the benchmark model with a number of extensions, so as to integrate sovereign debt and the diverse credit policies (Covered Bonds Purchase Programme and Securities Markets Programme) implemented by the ECB since the beginning of the crisis to the basic framework. The results show that absent credit policies, a vast majority of Euro area members (15 out of 17) would enjoy higher welfare levels under a flexible exchange rate regime. These conclusions nevertheless reverse under the Securities Markets Programme, where a majority of member states then favour the monetary union. This suggests that the ECB has a role to play for the Euro area which goes beyond its primary function of monetary policy maker.

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