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Apostles and mothers : the company of St. Ursula in the seventeenth- and eighteenth-century Bordeaux, France /

Myhr, Mitylene Morrison. January 1999 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Texas at Austin, 1999. / Vita. Includes bibliographical references (leaves 439-458). Available also in a digital version from Dissertation Abstracts.
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Ursulines d'Anne de Xainctonge : 1606 : contribution à l'histoire des communautés religieuses féminines sans clôture /

Le Bourgeois, Marie-Amélie. January 2003 (has links)
Texte remanié: Th.--Théol.--Paris--Institut catholique, 1995. / CERCOR = Centre européen de recherches sur les congrégations et ordres religieux. Contient un choix de textes. Bibliogr. p. 426-440.
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L'administration seigneuriale derrière la clôture : les Ursulines de Québec et la seigneurie de Sainte-Croix (1639-1801)

Barthe, Jessica January 2015 (has links)
Bien que l’on connaisse les pratiques de gestion seigneuriale des communautés masculines de la Nouvelle-France, les communautés religieuses féminines sont surtout connues pour leurs contributions en matière d’éducation, de soins et d’entraide. Pourtant, elles ont détenu, au même titre que ces communautés masculines, des propriétés seigneuriales. Afin de combler le silence historique qui entoure l’administration seigneuriale des religieuses, ce mémoire présente le cas des Ursulines de Québec et de leur seigneurie de Sainte-Croix dont elles prennent possession en 1646. Cet événement marque l’union de deux mondes totalement différents. D’un côté, une communauté de femmes cloîtrées, de l’autre, un fief qui devra être colonisé, mis en valeur et administré, afin de permettre aux colons d’occuper le territoire. L’étude qui suit propose un regard nouveau sur cette situation unique, où des moniales sont appelées à jouer le rôle de seigneuresses. Prenant appui sur le concept d’agentivité, cette étude a pour objectif de comprendre en quoi le cloître et le genre ont influencé l’administration de la seigneurie de Sainte-Croix. S’inscrivant dans un cadre géographique particulier, le fief et sa gestion représentent un défi de taille pour les religieuses. Malgré les différents obstacles, comme la distance, elles entreprennent de concéder des terres qu’elles ne verront jamais. Cette absence finit par les rattraper et la population grandissante amène les religieuses à se départir de certaines responsabilités seigneuriales. Dès lors, on remarque une influence masculine grandissante et la gestion seigneuriale se modifie sous l’impulsion de Mère François-Xavier Taschereau.
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The New World Order: Ursulines, Music from the Court of Louis XIV, and Educational Outreach in Eighteenth-Century New Orleans

Pineda, Kim 29 September 2014 (has links)
When a group of Ursuline nuns arrived in New Orleans from Rouen in 1727 it significantly changed the sacred musical landscape in the Louisiana Territory of New France. The women brought with them their commitment to education, a tradition of using music in their worship, and music similar to that performed in the Chapelle Royale of Louis XIV. Before 1727 the practice of sacred music in New Orleans was practical and simple, established by Capuchin priests in 1725 with the construction of a school and a makeshift church. The construction of the Ursulines' own permanent building in 1734 allowed the nuns to further emphasize their commitment to education through music. After the Ursulines arrived in New Orleans, the first French settlers were from wealthy and noble families that had a need and yearning for homeland familiarity and culture. In 1730 the Ursulines solidified their educational mission in New Orleans by establishing a lay confraternity with a group of French women colonists that secured a bridge of continuity between the nuns, the religious culture of France, and the members of the colony. In 1754 the sisters were given a manuscript entitled Nouvelles Poésies spirituelles et morales, copied in Paris in 1736. Now known as the Ursuline Manuscript, the collection contains music by composers active in the reign of Louis XIV. It is not known if the manuscript was prepared specifically for the nuns, but by examining the music in this manuscript--which contains well-known instrumental works turned into sacred vocal parodies--I will demonstrate that regardless of the copyist's intention, the music in the manuscript filled a need for such a document given the physical and cultural landscape in which the collection found itself. I will also discuss the importance of the manuscript and its place in the study of music history in North America, including a comparison between French and other European musical practices that were maintained in the New World in the eighteenth and early nineteenth centuries.
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God's women : Sisters of Charity of Providence and Ursuline Nuns in Montana, 1864-1900 /

Schrems, Suzanne H., January 1992 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Oklahoma, 1992. / Includes bibliographical references (leaves 192-202).
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A new world community the New Orleans Ursulines and colonial society, 1727-1803 /

Clark, Emily J. January 1998 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Tulane University, 1998. / Includes bibliographical references (p. 359-378), abstract, and vita.
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Les propriétés foncières des Ursulines et le développement de Québec (1854-1935)

LeBel, Alyne 25 April 2018 (has links)
Jouissant d'un certain nombre de concessions gratuites de terres dès les débuts de la colonisation de la Nouvelle-France, les Ursulines de Québec se sont constituées un capital foncier relativement important qui assure leur survie même dans les jours sombres du début du XIXe siècle. Au fil des ans et des transformations politico-économiques du pays et de la région, la communauté a progressivement augmenté son patrimoine tout en s'adaptant au nouveau régime britannique, qui signifiait à terme la disparition du Régime seigneurial. Loin de s'accrocher aux méthodes administratives de l'Ancien Régime, les Ursulines, dès 1790, ont employé la technique du bail emphytéotique pour concéder leurs terres, ce qui était à la fois plus pratique et plus rentable que l'application stricte du Régime seigneurial. A l'Abolition formelle de ce dernier, en 1854, la communauté modifia totalement ses modes de gestion, et transforma les indemnisations versées par le gouvernement en biens immeubles au centre-ville de Québec. Elle adopta des méthodes plus "capitalistes" que patrimoniales, et consentit des baux-rentes que l'on peut assimiler, dans les grandes lignes, à des obligations hypothécaires. Au plan du développement urbain, les Ursulines utilisent leur pouvoir politique, et celui de l'archevêché, pour orienter la croissance de la ville en direction de deux de leurs propriétés, le village Sainte-Angèle, aujourd'hui le quartier St-Malo, et la haute-ville de Québec, siège d'une transaction "exemplaire" impliquant la communauté, les autorités religieuses, la compagnie de tramways, un entrepreneur privé, la ville de Québec et les gouvernements provincial et fédéral, à l'occasion de la transformation des Plaines d'Abraham en parc public, au début du XXe siècle. Dans ces deux cas, nous voyons les Ursulines tirer toutes les ficelle s disponibles pour obtenir des faveurs particulières en échange de la cession de terrains pour la construction de rue et même de voies ferrées sur leurs propriétés. Ainsi cette communauté donne un indice du pouvoir économique de l'Eglise au Québec, un aspect non étudié de sa domination sociale pendant plus d'un siècle. Un mot, enfin, des sources utilisées pour la rédaction de cette thèse: elles proviennent de trois fonds encore inexploités de la part des historiens, soit les Archives privées de la communauté des Ursulines, des Archives municipales de Québec, non publiées, et du Bureau d'Enregistrement du Gouvernement du Québec. On a ainsi pu, à partir des premières, refaire l'inventaire des propriétés des religieuses, et les situer, grâce aux données du trésorier de la ville traitées par ordinateur, dans leur contexte global. Les informations glanées au BEQ, de leur côté, apportent un éclairage légal et officiel aux diverses transactions étudiées. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les propriétés foncières des Ursulines et le développement de Québec (1854-1935)

LeBel, Alyne 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Floating cloisters and femmes fortes : Ursuline missionaries in Ancien Régime France and its colonies /

Keller-Lapp, Heidi M. January 2005 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of California, San Diego, 2005. / Vita. Includes bibliographical references (leaves 375-395).
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L'évolution du dispositif défensif sur le flanc gauche du bastion des Ursulines à Québec

Giroux, Pierre 25 April 2018 (has links)
Le flanc gauche du bastion des Ursulines fut fouillé à deux reprises; nous énumérerons tout d'abord les principaux motifs qui justifièrent ces campagnes de fouilles. La première fouille fut menée par Pierre Chénier, durant les mois de juin et juillet 1975. L'intérêt de cette opération consistait en une reconnaissance du potentiel archéologique de ce secteur. L'objectif global qui occasionna cette prospection archéologique s'inscrivait dans le cadre d'un programme quinquennal de mise en valeur des fortifications de Québec. Outre ce premier aspect, la fouille avait un but plus particulier, soit vérifier et dater la présence sur le terreplein d'un système de soutènement latéral des terres des banquettes similaire à celui mis au jour fortuitement sur le flanc droit du bastion des Ursulines en novembre 1972. La deuxième saison de fouille eut lieu pendant l'été de 1978. Cette campagne avait pour but immédiat de compléter les données archéologiques concernant le parapet où une embrasure avait été mise au jour en 1975. Ceci devait nous permettre par la suite de comprendre l'ensemble du dispositif défensif. Il s'agissait donc d'enregistrer le plus d'éléments susceptibles de faciliter la compréhension des divers phénomènes ayant affecté le parapet et, par conséquent, celle de l'utilisation de ce flanc, lequel constitue en fait l'élément de base de notre recherche. Nous devons mentionner que le flanc gauche du bastion des Ursulines est actuellement un des rares flancs de l'enceinte ouest dont le parapet est complètement remblayé et qui ne comporte par conséquent aucune embrasure. Ce fait suscite une question d'intérêt immédiat, à savoir pourquoi et depuis quand ce flanc n'est-il plus équipé? Voyons maintenant les points d'intérêt de cette recherche. Il faut premièrement signaler que l'évolution du dispositif défensif sur le flanc gauche du bastion des Ursulines ne prend de l'importance que si nous envisageons cette section de l'enceinte ouest de Québec comme une composante d'un de ses cinq fronts défensifs. Il s'agit du plus long, soit celui situé entre les capitales des bastions Saint-Louis et des Ursulines. Ce front comprend la face et le flanc gauche du bastion des Ursulines, la courtine reliant ce bastion au bastion Saint-Louis, le flanc et la face droite de ce dernier. Il faut souligner ici la possibilité d'une concentration de troupes sur ce front défensif car il était appuyé par une esplanade située derrière le bastion des Ursulines et la courtine. Celle-ci était en outre pourvue de deux poternes et de la porte Saint-Louis. C'est en tentant d'établir la corrélation entre les sources de documentation autant historiques qu'archéologiques concernant ce front défensif, que nous comptons en retracer l'évolution et en comprendre le fonctionnement. Nous devons toutefois souligner que, comme l'investigation archéologique a touché exclusivement le bastion des Ursulines et plus particulièrement le flanc gauche, notre travail se veut avant tout un essai. Il s'agira premièrement de présenter les données archéologiques enregistrées sur le flanc gauche du bastion des Ursulines; par la suite, nous les mettrons en relation avec la documentation écrite et figurée couvrant les périodes française, britannique et canadienne qui concerne non seulement ce flanc, mais aussi l'ensemble du système dont il fait partie, soit son front défensif. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012

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