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Posthumous Queer Articulations and Rhetorical Agency: The Case of David WojnarowiczShumake, Jessica L. January 2013 (has links)
This project is an archival case study of the multimedia artist and writer David Wojnarowicz. I discuss Wojnarowicz's legacy as a queer activist and public intellectual to explore the potential of his posthumous rhetorical agency. I define "posthumous rhetorical agency" as a process enacted by the living to facilitate the participation of the deceased in public life. I emphasize that developing a theory of posthumous rhetorical agency can fuel the "momentum of the archival turn" while also deepening a "commitment to the queer turn" in rhetorical studies (Morris and Rawson; Crichton). I establish that Wojnarowicz's archive possesses the ability to reach into the future with remarkable velocity to contribute to his posthumous agency because he drew on extant queer kinship networks and engaged multiple mediums as a visual artist, writer, musician, performance artist, and filmmaker. I extend Avery Gordon's position that haunting differs from trauma because haunting produces a "something-to-be-done" quality, which leads to an engagement with the present and a desire "to reveal and learn from subjugated knowledge." I argue that Wojnarowicz's legacy has a "something-to-be-done" quality about it. His legacy stands as an indictment of a nation lulled into apathetic indifference and cowed into fear of social difference: at a national level when the AIDS epidemic began, politicians and corporations were inexcusably slow to respond because the disease was assumed to infect only gay men and other "high risk" populations. Thus, in understanding Wojnarowicz's suffering - as an individual and, to take this line of argument further, as part of a collective of people with AIDS who died due to the US government's neglect of a public health crisis from which the "general public" was assumed to be safe - one can conceive of his posthumous legacy as a positive and needful presence that calls attention to the value of integrating a partially erased or forgotten history more fully into the nation's history. I conclude that a viable theory of posthumous rhetorical agency must attend to issues of how to responsibly and justly represent the work of those who have been systematically excluded, censored, or erased from the historical record.
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Cru ; suivi de Cruauté nécessaire : le devoir d'une vérité autobiographique chez Guibert, Dustan et RémèsLeroux, Mathieu 04 1900 (has links)
Situé entre entre le roman et le récit personnel, Cru. prend la forme d'un aller-retour entre fiction et autobiographie. Le texte, construit à l'aide d'une écriture syncopée et brute, présente deux personnages homosexuels à l'ère « post-sida », alors que ceux-ci tentent de comprendre ce que veut dire « être un homme » dans un contexte social où le mépris (envers les autres et soi-même) est encore présent, mais peut-être encore plus pernicieux qu'auparavant, parce que camouflé sous l'idée d'une acceptation globale. Au final, Cru. soulève la délicate question du droit à la vérité dans une démarche autobiographique et celle de l'implication de la cruauté dans un récit qui ne concerne pas que l'auteur, mais son entourage aussi.
Cruauté nécessaire : le devoir d'une vérité autobiographique chez Guibert, Dustan et Rémès est un essai qui vise l'analyse de différents procédés se rattachant à l'écriture autobiographique homosexuelle des années 1990, particulièrement aux textes appartenant à la littérature du sida. Si l'autobiographie vise, dans une certaine mesure, le dévoilement de la vérité, comment ne pas parler de cruauté alors que les auteurs qui la pratiquent y vont de révélations qui ne concernent pas qu'eux? Si le processus d'écriture autobiographique se veut bénéfique, le résultat est-il purement diabolique?
Il faudra d'abord, évidemment, définir ce que l'on entend par « vérité » et « cruauté » (lire « bénéfique » et « maléfique »). En ce qui concerne le Bien et le Mal, les textes de Bataille et Nietzsche contribueront à définir deux concepts qui peuvent, souvent, être relatifs. En confrontant les textes des trois auteurs français – tous séropositifs au moment de l'écriture – à différentes théories autobiographiques (Doubrovsky, Lejeune, Miraux) et identitaires (Foucault, Schecter, Butler), et à certains écrits sur le devoir et la responsabilité (Donner, Brooks), l'on tentera de démontrer que la cruauté dont Guibert, Dustan et Rémès font preuve est essentielle à l'écriture autobiographique. / A mix between a novel and a personal journal, Cru. is a cross-section between fiction and autobiography. The text, built around a type of writing that is dry and sometimes brutal, presents two gay characters in the « post AIDS » era, who are trying to figure out what it's like to be a man in a social context where contempt (towards others, as well as self-loathing) still exists. Perhaps even more than before, because this contempt is hidden under a false global acceptance.
In the end, Cru. raises questions about the definition of « truth » in an autobiographical approach and the implication of cruelty in a literary piece that not only concerns the writer, but it's surrounding too.
Cruauté nécessaire : le devoir d'une vérité autobiographique chez Guibert, Dustan et Rémès is an essay that analyses the stakes at work in gay autobiographical writings of the 1990's, especially AIDS-related literature. If one of the main aspects of autobiography is to disclose the truth, how can we not talk about cruelty when the writers are revealing things that concern not only themselves? If the whole process of autobiography involves « healing », how can we not see the final product as « painful »?
It will be relevant to first define what we mean by « truth » and « cruelty » (also « good » and « evil »). Regarding Good and Evil (le Bien et le Mal), Bataille and Nietzsche's writings will help us define two concepts that are, way too often, relative. When confronting the three French writers that we are studying here – all HIV-positive when writing their texts – with different theories on autobiography (Doubrovsky, Lejeune, Miraux), identity (Foucault, Schecter, Butler), obligation and responsibility (Donner, Brooks), we will seek to demonstrate that the cruelty used by Guibert, Dustan and Rémès is, in fact, essential to the autobiographical writing process.
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Cru ; suivi de Cruauté nécessaire : le devoir d'une vérité autobiographique chez Guibert, Dustan et RémèsLeroux, Mathieu 04 1900 (has links)
Situé entre entre le roman et le récit personnel, Cru. prend la forme d'un aller-retour entre fiction et autobiographie. Le texte, construit à l'aide d'une écriture syncopée et brute, présente deux personnages homosexuels à l'ère « post-sida », alors que ceux-ci tentent de comprendre ce que veut dire « être un homme » dans un contexte social où le mépris (envers les autres et soi-même) est encore présent, mais peut-être encore plus pernicieux qu'auparavant, parce que camouflé sous l'idée d'une acceptation globale. Au final, Cru. soulève la délicate question du droit à la vérité dans une démarche autobiographique et celle de l'implication de la cruauté dans un récit qui ne concerne pas que l'auteur, mais son entourage aussi.
Cruauté nécessaire : le devoir d'une vérité autobiographique chez Guibert, Dustan et Rémès est un essai qui vise l'analyse de différents procédés se rattachant à l'écriture autobiographique homosexuelle des années 1990, particulièrement aux textes appartenant à la littérature du sida. Si l'autobiographie vise, dans une certaine mesure, le dévoilement de la vérité, comment ne pas parler de cruauté alors que les auteurs qui la pratiquent y vont de révélations qui ne concernent pas qu'eux? Si le processus d'écriture autobiographique se veut bénéfique, le résultat est-il purement diabolique?
Il faudra d'abord, évidemment, définir ce que l'on entend par « vérité » et « cruauté » (lire « bénéfique » et « maléfique »). En ce qui concerne le Bien et le Mal, les textes de Bataille et Nietzsche contribueront à définir deux concepts qui peuvent, souvent, être relatifs. En confrontant les textes des trois auteurs français – tous séropositifs au moment de l'écriture – à différentes théories autobiographiques (Doubrovsky, Lejeune, Miraux) et identitaires (Foucault, Schecter, Butler), et à certains écrits sur le devoir et la responsabilité (Donner, Brooks), l'on tentera de démontrer que la cruauté dont Guibert, Dustan et Rémès font preuve est essentielle à l'écriture autobiographique. / A mix between a novel and a personal journal, Cru. is a cross-section between fiction and autobiography. The text, built around a type of writing that is dry and sometimes brutal, presents two gay characters in the « post AIDS » era, who are trying to figure out what it's like to be a man in a social context where contempt (towards others, as well as self-loathing) still exists. Perhaps even more than before, because this contempt is hidden under a false global acceptance.
In the end, Cru. raises questions about the definition of « truth » in an autobiographical approach and the implication of cruelty in a literary piece that not only concerns the writer, but it's surrounding too.
Cruauté nécessaire : le devoir d'une vérité autobiographique chez Guibert, Dustan et Rémès is an essay that analyses the stakes at work in gay autobiographical writings of the 1990's, especially AIDS-related literature. If one of the main aspects of autobiography is to disclose the truth, how can we not talk about cruelty when the writers are revealing things that concern not only themselves? If the whole process of autobiography involves « healing », how can we not see the final product as « painful »?
It will be relevant to first define what we mean by « truth » and « cruelty » (also « good » and « evil »). Regarding Good and Evil (le Bien et le Mal), Bataille and Nietzsche's writings will help us define two concepts that are, way too often, relative. When confronting the three French writers that we are studying here – all HIV-positive when writing their texts – with different theories on autobiography (Doubrovsky, Lejeune, Miraux), identity (Foucault, Schecter, Butler), obligation and responsibility (Donner, Brooks), we will seek to demonstrate that the cruelty used by Guibert, Dustan and Rémès is, in fact, essential to the autobiographical writing process.
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Constructed Bodies, Edited Deaths: The Negotiation of Sociomedical Discourse in Autothanatographers’ Writing of Terminal IllnessHane-Devore, Tasia Marie January 2011 (has links)
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