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STORIA, RELIGIONE E SCIENZA NEGLI ULTIMI SCRITTI DI ERNEST RENAN (HISTOIRE, RELIGION ET SCIENCE DANS LES DERNIERS ÉCRITS D'ERNEST RENAN)

Paone, Domenico 30 March 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse est consacrée à la philosophie des dernières années d'Ernest Renan, de 1880 à 1892, période où la pensée du philosophe oscille constamment entre deux tendances : un relativisme blasé et parfois pessimiste, et la foi dans le déterminisme d'une philosophie de l'histoire forte. En suivant la pensée de Renan à travers trois thèmes capitaux – l'histoire, la religion et la science – l'étude cherchera à saisir la portée de ces hésitations dans le contexte de la crise de l'idéalisme et des certitudes positives qui domine sa réflexion pendant ces années. La première partie sera ainsi consacrée au cadre théorique dans lequel se développe la philosophie de Renan et tentera une interprétation des métamorphoses des différentes figures de la dialectique de son discours, à partir de l'antagonisme fondamental entre spiritualisme et matérialisme. La deuxième partie étudiera l'évolution de la catégorie du religieux et l'analyse de la position d'hégémonie qu'elle arrivera à conquérir parmi les autres principes de la philosophie de Renan. La troisième et dernière partie examinera les transformations du rôle et de la fonction de la science face à la crise du fondement transcendant. L'analyse s'appuiera sur l'étude des derniers ouvrages publiés par Renan (L'Avenir de la science, l'Histoire du peuple d'Israël, l'Examen de conscience philosophique, les Feuilles détachées) qui seront confrontés avec une série de notes manuscrites et de fragments inédits des années 1890-1892, provenant notamment du Fonds Renan de la Bibliothèque nationale de France.
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Jean-Baptiste Arban, du cornet à la baguette : un musicien français du XIXè siècle aux multiples talents / Jean-Baptiste Arban, from the cornet to the conductor's baton : a French multi-talented musician of the 19th century

Canin, Xavier 25 January 2016 (has links)
Rares sont les musiciens de la famille des cuivres qui ignorent de nos jours le nom de Jean-Baptiste Arban (1825-1889). Son attachement au cornet à pistons et au Conservatoire de Paris a cependant relégué dans l’ombre ses autres activités : composition, enseignement, direction d’orchestre et entrepreneuriat. Afin de les faire mieux connaître, nous avons pu réunir une importante documentation issue d’archives, publiques et privées, ainsi que de la presse de son temps. Ces documents nous ont permis de mettre en évidence l’ensemble des faits relatifs à sa vie et à son œuvre, concernant tout un pan de la vie parisienne, de la monarchie de Juillet à la IIIe République. Comptant quelque 700 entrées, le catalogue d’œuvres que nous avons établi illustre aussi la richesse de sa production musicale, principalement liée à la danse et au divertissement. En retraçant le parcours atypique de cette célèbre figure musicale du XIXe siècle, de sa jeunesse passée à Lyon dans une famille d’artificiers à la direction des bals de l’Opéra, l’auteur de cette thèse espère apporter une contribution efficace à l’histoire de la société française de cette époque. / Few brass musicians today are not familiar with the name of Jean-Baptiste Arban (1825-1889). However, his commitment to the cornet as well as to the Conservatoire may have overshadowed his other activities: composition, musical education, conducting and entrepreneurial actions. In order to make them known, we have managed to collect substantial information from private and public archives and extracts of contemporary press. Such documents have allowed us to bring to the fore all the events connected with his life in Paris from the July Monarchy to the Third Republic. With about 700 entries, this catalogue illustrates how rich his musical production was (mainly linked to dance and entertainment). Thanks to such a review of the atypical career of this famous figure of music in the 19th century, going from his youth in a family of firework makers in Lyon to conducting dance at the Opera House, the writer of this thesis expects to make a significant contribution to the history of French society in those days.
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La Revue de Paris (1829 -1834) : un "panthéon où sont admis tous les cultes" / The Revue de Paris (1829-1834) : a "pantheon where are admitted all the cults"

Cousin, Guillaume 30 November 2018 (has links)
Cette thèse propose la première étude de la Revue de Paris depuis sa création en avril 1829 jusqu’à sa vente en mai 1834 et a pour but de définir l’identité de ce périodique littéraire.La première partie de cette thèse tente ainsi de replacer « La Revue de Paris en son temps ». Tout d’abord, dans une approche qui appartient au domaine de la sociologie de la littérature, l’auteur recrée le tissu social constitué par les hommes qui dirigent la Revue, par ceux qui lui permettent d’exister financièrement, et enfin par ceux qui y publient. Cette première approche sociologique fait apparaître la profonde diversité des collaborateurs : dès le début, la Revue de Paris s’affirme comme un « panthéon où son admis tous les cultes ». Cette métaphore, qui donne son sous-titre à cette thèse, est tirée du texte liminaire qui annonce la création de l’Album, en novembre 1829 et donne une indication de l’éclectisme qui préside au choix des auteurs dont les articles sont publiés. La lecture de la Revue sous un angle politique, qui constitue le deuxième chapitre de cette thèse, laisse apparaître un ancrage libéral de la Revue. La Revue participe à sa façon à la chute de Charles X. La Revue de Paris se situe au centre-droit. D’abord favorable au nouveau régime, la Revue se fait de plus en plus critique envers l’orléanisme, et le choix de Pichot d’abandonner la « Revue politique » ne fait que confirmer l’éloignement grandissant entre la Revue de Paris et le régime de Juillet.Enfin, cette première approche de l’identité de la Revue analyse sa place dans le champ de la presse littéraire entre 1829 et 1834. Au moment de sa création, la Revue est considérée par son créateur comme la version française des Reviews et Magazines britanniques. Entre 1829 et 1834, et contrairement à ce qu’affirme la longue tradition critique qui fait de la Revue des deux mondes la principale revue littéraire du début des années 1830, la Revue de Paris est le véritable modèle de l’époque.À la fin de cette première partie, les approches combinées de la sociologie littéraire, de la politique et de l’histoire de la presse amène l’auteur à donner une première définition de la Revue de Paris : elle est éclectique, mondaine, libérale et se situe tout en haut de la « pyramide » de la presse littéraire. Au cours de ses cinq années d’existence, elle a été le plus grand périodique littéraire français. Il s’agit alors, après avoir replacé la Revue en son temps, d’interroger le cœur même de la Revue, c’est-à-dire les articles qu’elle publie. Faisant le choix de traiter tout d’abord la création littéraire, l’auteur analyse les textes sous l’angle générique. La création littéraire de la Revue traite les grands thèmes de la littérature de 1830, et en ce sens la Revue est le miroir de son époque. Néanmoins, s’il n’y a pas à proprement parler de « littérature Revue de Paris », la Revue doit être considérée comme un creuset des genres littéraires. Concernant la nouvelle, elle trouve dans la Revue des réalisations dont la variété repose essentiellement sur l’hybridité. Parce qu’elle offre aux auteurs une grande liberté créative, la Revue se définit comme un panthéon où l’imagination se concrétise dans des formes narratives plurielles. Au contraire, la production dramatique est dominée par le genre du proverbe. Quant à la poésie, elle apparaît comme la partie littéraire la plus faible. Cet ensemble est dominé par des auteurs majeurs et mineurs du romantisme, à tel point que l’on peut considérer la Revue de Paris comme une revue romantique. Néanmoins, la partie critique oblige à nuancer cette analyse : la critique littéraire de la Revue de Paris laisse apparaître une critique parfois violente du romantisme. La condamnation morale de la littérature se fait de plus en plus insistante au fil des mois, LA revue romantique par excellence se révèle être le « panthéon où sont admis tous les cultes », qu’ils soient romantiques ou antiromantiques. En réalité, la Revue est le miroir de son époque. / This dissertation proposes the first study of the Revue de Paris since its creation in April 1829 until its sale in May 1834 and aims to define the identity of this literary periodical.The first part of this thesis attempts to replace "The Revue de Paris in its time". First of all, in an approach that belongs to the field of sociology of literature, the author recreates the social fabric constituted by the men who lead the Journal, by those who allow it to exist financially, and finally by those who publish there. This first sociological approach shows the deep diversity of the collaborators: from the beginning, the Revue de Paris is affirmed as a "pantheon where are admitted all the cults". This metaphor, which gives its subtitle to this thesis, is taken from the introductory text that announces the creation of the Album, in November 1829 and gives an indication of the eclecticism that governs the choice of authors whose articles are published. The reading of the Review from a political angle, which constitutes the second chapter of this dissertation, reveals the liberalism of the Review. The Review participates in its own way to the fall of Charles X. The Revue de Paris is located in the center-right. Initially favorable to the new regime, the Review is becoming increasingly critical of Orleanism, and the choice of Pichot to abandon the "Political Review" only confirms the growing distance between the Revue de Paris and the July polity. Finally, this first approach to the identity of the Review analyzes its place in the field of the literary press between 1829 and 1834. At the time of its creation, the Review is considered by its creator as the French version of British Reviews and Magazines. Between 1829 and 1834, and contrary to what affirms the long critical tradition that makes the Revue des deux mondes the main literary review of the early 1830s, the Revue de Paris is the true model of the time. The combined approaches of literary sociology, politics and the history of the press lead the author to give a first definition of the Revue de Paris: it is eclectic, mundane, liberal and is at the top of the "pyramid" of the literary press. During its five years of existence, it was the largest French literary periodical. It is then, after having replaced the Review in its time, to question the very heart of the Review, that is to say the articles it publishes.Making the choice to treat literary creation first, the author analyzes texts from the generic point of view. The literary creation of the Revue deals with the great themes of the literature of 1830, and in this sense the Review is the mirror of its time. Nevertheless, if there is not, strictly speaking, a "Revue de Paris literature", the Review must be considered as a crucible of literary genres. Concerning the short story, it find in the Review of the achievements whose variety rests essentially on the hybridity. Beyond its simple entertaining function, the short story is a success mainly based on its plasticity, which allows it to be both exotic and historical, exotic and fanciful, historical and frantic ... Because it offers authors a great creative freedom, the Revue defines itself as a pantheon where the imagination is concretized in plural narrative forms. On the contrary, dramatic production is dominated by the genre of the proverb. As for poetry, it appears as the weakest literary part. This set is dominated by major and minor authors of Romanticism, so much so that one can consider the Revue de Paris as a romantic review. Nevertheless, the critical part makes it necessary to qualify this analysis: the literary criticism of the Revue de Paris reveals a sometimes violent critique of romanticism. The moral condemnation of literature is becoming increasingly insistent over the months, THE ultimate romantic review proves to be the "pantheon where are admitted all the cults", whether romantic or anti-romantic. In fact, the Review is the mirror of its time.

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