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La Responsabilité pénale dans l'ancien droit : XVIe-XVIIIe siècle... /Laingui, André. January 1970 (has links)
Thèse--Droit--Rennes, 1967. / Bibliogr. p. 351-359. Index.
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Les inscriptions latines de la Régence de Tunis à travers le témoignage de F. Ximenez / Latin inscriptions of the Regency of Tunis throw the manuscripts of F. XimenezGonzález Bordas, Hernán 29 April 2015 (has links)
Cette thèse porte sur l’activité épigraphique de F. Ximenez, administrateur de l’hôpital trinitaire de Tunis qui, entre 1720 et 1735, a entrepris plusieurs excursions dans la Régence. Ses ouvrages sont restés inédits pour la plupart et, bien qu’ils aient été dépouillés à l’occasion de la publication du huitième volume du Corpus Inscriptionum Latinarum (CIL), une relecture s’avérait nécessaire. En effet, plusieurs des informations relatives aux inscriptions n’avaient pas été relevées, tandis que d’autres n’avaient pas été interprétées de manière satisfaisante. Ces informations concernent les caractéristiques des monuments épigraphiques, leur localisation ainsi que les conditions de leur découverte. Les erreurs d’interprétation faites lors du dépouillement des manuscrits de F. Ximenez ont mené à la création de doublons, mais ont conduit également à situer la provenance de certaines inscriptions loin du site qui leur correspond. Afin de mieux cerner les itinéraires empruntés par F. Ximenez pour déterminer les sites de provenance des inscriptions, il a été indispensable de consulter des cartes archéologiques tant anciennes que récentes et de se rendre sur le terrain afin de suivre les pas de cet auteur et ainsi reconstituer ceux de ses parcours qui apparaissaient comme les plus obscurs. De même, la relecture des manuscrits de F. Ximenez et la comparaison avec les textes des voyageurs qui lui étaient contemporains ont permis de reconstituer les stemmata de la tradition manuscrite des inscriptions. Il s’agissait d’analyser la transmission des informations entre les antiquaires de l’époque et de rendre à chacune des parties en cause ce qui lui était dû. Ces comparaisons nous ont mené à analyser les motivations et les intérêts de F. Ximenez relativement aux inscriptions anciennes. Qu’est-ce qui l’intéresse principalement dans les épigraphes ? Quels types de données collecte-t-il les concernant et quelles informations tente-t-il de déduire à partir de ces documents ? Comment en fait-il les relevés ? Ces aspects nous ont permis de mieux situer F. Ximenez au sein des antiquaires de son époque ; pour cela, il a d’ailleurs été nécessaire d’étudier la réception par quelques-uns de ces antiquaires. Quelle était l’opinion de ces savants le concernant ? Comment se sont-ils servis des informations que F. Ximenez a recueillies ? / This thesis deals with the epigraphical activity of F. Ximenez, the administrator of the Trinitarians hospital at Tunis who, between 1720 and 1735, undertook several excursions in the interior of the Regency. Most of his work remains unpublished, and even and even after being dissected for the publication of the Corpus Inscriptionum Latinarum (CIL), a re-reading have been proved to be necessary. Indeed, a certain amount of the information on the inscriptions was yet to be discerned and a significant part extracted from it hasn’t been correctly interpreted. They concern the features of the epigraphical monuments as well as their localisations and the conditions of their discovery. The major blunders committed interpreting the manuscripts of F. Ximenez have created duplications of inscriptions and have let researchers think that some inscriptions came from what it tourned out to be the wrong places. In order to draw up the itineraries of F. Ximenez and to determine the sites of origin of the inscriptions it has been essential to consult the ancient and recent archeological maps, along with a field visit in the country in order to follow his steps, shedding light on the case of his more unclear journeys. This new reading of the manuscripts of F. Ximenez and the comparison with the works of the contemporary travellers have also allowed to recreate the stemmata of the manuscript tradition of inscriptions. The aim has been to analyse the transmission of information between the antiquarians of that time and give back to all of the parties involved what was due to each one of them. These comparisons have led us to analyse the reasons and the interests of F. Ximenez with regard to the ancient inscriptions. What's his main interest concerning the epigraphs? What kind of data does he gather from them and what kind of information does he try to deduce from them? How does he take the tracings? These approaches have allowed to place F. Ximenez within the antiquarians of his time, but in order to do this it has been essential to study the reception which some of them have made of the manuscripts of F. Ximenez. What was the opinion of those scholars on F. Ximenez? How did they use the data he has gathered? We have attempted to answer these as well as other questions in this thesis.
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La règle et l'écart. Paradoxe et évolution de la vraisemblance dans les discours sur la peinture (théorie de l'art et critique d'art) aux XVIIe et XVIIIe siècles / Rule and exception. Paradox and evolution of verisimilitude in discourses upon painting (art theory and criticism) in 17th-18th centuries France.Burette, Stéphanie 19 December 2014 (has links)
Cette thèse propose l’examen des textes de théorie de l’art et de critique d’art portant sur la peinture en France, aux XVIIe et XVIIIe siècle, suivant l’angle de la vraisemblance. De nombreuses réflexions sur la légitimité de la critique de ceux qui ne pratiquent pas la peinture ont précédé la naissance de la critique d’art, et la question fait toujours débat au XVIIIe siècle. Or, la notion de vraisemblance, présente dans le discours des théoriciens (peintres ou non) du point de vue de la réalisation des œuvres, manifeste la prise en compte d’un regard porté sur le tableau, c’est-à-dire du point de vue de la réception : est-ce que l’ « on » peut croire à ce que le tableau représente ? Ce que nous souhaitons montrer est le rôle crucial que joue la vraisemblance dans la légitimation de la critique d’art. Si un spectateur, qui n’est pas peintre, n’est pas à même de juger la qualité du dessin ou du coloris dans une œuvre, il est en droit de dire si ce que le tableau lui présente est vraisemblable ou non.Notre étude cherche à comparer les différentes acceptions que le terme de vraisemblance prend sous la plume des théoriciens et des critiques, afin d’une part de mettre en évidence que cette notion est considérée des deux côtés comme une règle en peinture, et de préciser son évolution dans les discours au XVIIIe s. / This thesis offers to examine theory of art and art criticism texts about painting in 17th and 18th c. France, via the angle of verisimilitude. Numerous thoughts upon the legitimacy of the criticism of those who do not practice painting have preceded the birth of art criticism, and the debate is still going on during the 18th c. However, the notion of verisimilitude, present in art theory discourses (by painters or not) about the creation of an art piece, manifests that the perception of the painting by someone looking at it is taken into account, this time from the point of view of reception: can “one” believe what the painting shows? We aim at proving the crucial role of verisimilitude in giving art critic legitimacy. If a spectator – who is not a painter – has no legitimacy to judge the quality of drawing or colour in an art piece, he can say whether the painting is credible or not.We compare and study the several acceptations of verisimilitude in theorists and critics’ writings in order to highlight that the notion is considered as a rule of painting on both sides, and analyse its evolution in 18th c. discourses.
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