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La convenance personnelle /

Paricard-Pioux, Sophie. January 2003 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit--Toulouse, 2001. / Bibliogr. p. 565-588. Index.
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Rousseau et le travail de la convenance /

Guénard, Florent. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Philos.--Paris 10, 2000. Titre de soutenance : L'idée de convenance dans la pensée de Jean-Jacques Rousseau. / Bibliogr. p. 549-563. Index.
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Saint Thomas d’Aquin et la possibilité d’un monde créé sans commencement / St. Thomas Aquinas and the possibility of a world created without beginning

Celier, Grégoire 04 June 2014 (has links)
La question d’un monde créé sans commencement ou, comme on le dit souvent, le problème de « l’éternité du monde », a été l’occasion d’une vive controverse entre les penseurs latins du XIIIe siècle, dont saint Thomas d’Aquin. Nonobstant sa foi avérée en une création avec un commencement, Thomas, théologien et philosophe catholique, s’est interrogé tout au long de sa carrière : « Aurait-il été possible que Dieu créât un monde sans commencement ? » Cette persévérance est suffisamment paradoxale pour attirer l’attention, d’autant que Thomas, en sa réponse, s’opposait à la grande majorité de ses contemporains.Après une courte partie introductive qui brosse à grands traits et sans prétention le contexte historique, sont donc présentés les onze textes thomasiens traitant de la durée du monde, et spécialement de la possibilité d’un monde créé sans commencement, en leur langue latine ainsi qu’en une traduction française originale. Puis sont analysés les arguments présentés par Thomas, et les questions qu’ils peuvent soulever. Si les rapports entre la philosophie et la foi, comme entre la philosophie et la science, entrent en ligne de compte, les notions de causalité naturelle et de causalité volontaire, de fini et d’infini, de création divine et d’action humaine, de temps et d’éternité, de démonstration rationnelle et d’argument de convenance, constituent le cœur de cette élucidation philosophique.Au terme de la démarche, il apparaît que, pour saint Thomas d’Aquin, si le monde, en fait, a été créé avec un commencement (c’est pour lui une certitude de foi), en droit il aurait pu être créé sans aucun commencement (et c’est pour lui une affirmation légitime de la raison). / The question of a world created without beginning or, as is often said, the problem of « the eternity of the world », was the occasion of a controversy between the latin thinkers of the thirteenth century, including St. Thomas Aquinas. Despite his unquestionable faith in a creation with a beginning, Thomas, catholic theologian and philosopher, wondered throughout his life : « Would it have been possible that God created a world without beginning ? » This perseverance is paradoxical enough to attract attention, especially as Thomas, in his reply, was opposed to the vast majority of his contemporaries.After a short and unpretentious introduction that describes historical context, eleven thomasians texts dealing with the duration of the world are presented, and especially the possibility of a world created without beginning, in the original latin and in a new french translation. Then the arguments given by Thomas are analyzed, as well as the issues they may raise. If the relationship between philosophy and faith, and between philosophy and science, are taken into account, the concepts of natural causality and voluntary causality, finite and infinite, divine creation and human action, time and eternity, rational demonstration and argument of convenience, are the heart of this philosophical elucidation.At the end of the process, it appears that, for Aquinas, if the world, in fact, was created with a beginning (this is for him a certainty of faith), nevertheless it could have been created without a beginning (and this is for him a legitimate statement of reason).
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La règle et l'écart. Paradoxe et évolution de la vraisemblance dans les discours sur la peinture (théorie de l'art et critique d'art) aux XVIIe et XVIIIe siècles / Rule and exception. Paradox and evolution of verisimilitude in discourses upon painting (art theory and criticism) in 17th-18th centuries France.

Burette, Stéphanie 19 December 2014 (has links)
Cette thèse propose l’examen des textes de théorie de l’art et de critique d’art portant sur la peinture en France, aux XVIIe et XVIIIe siècle, suivant l’angle de la vraisemblance. De nombreuses réflexions sur la légitimité de la critique de ceux qui ne pratiquent pas la peinture ont précédé la naissance de la critique d’art, et la question fait toujours débat au XVIIIe siècle. Or, la notion de vraisemblance, présente dans le discours des théoriciens (peintres ou non) du point de vue de la réalisation des œuvres, manifeste la prise en compte d’un regard porté sur le tableau, c’est-à-dire du point de vue de la réception : est-ce que l’ « on » peut croire à ce que le tableau représente ? Ce que nous souhaitons montrer est le rôle crucial que joue la vraisemblance dans la légitimation de la critique d’art. Si un spectateur, qui n’est pas peintre, n’est pas à même de juger la qualité du dessin ou du coloris dans une œuvre, il est en droit de dire si ce que le tableau lui présente est vraisemblable ou non.Notre étude cherche à comparer les différentes acceptions que le terme de vraisemblance prend sous la plume des théoriciens et des critiques, afin d’une part de mettre en évidence que cette notion est considérée des deux côtés comme une règle en peinture, et de préciser son évolution dans les discours au XVIIIe s. / This thesis offers to examine theory of art and art criticism texts about painting in 17th and 18th c. France, via the angle of verisimilitude. Numerous thoughts upon the legitimacy of the criticism of those who do not practice painting have preceded the birth of art criticism, and the debate is still going on during the 18th c. However, the notion of verisimilitude, present in art theory discourses (by painters or not) about the creation of an art piece, manifests that the perception of the painting by someone looking at it is taken into account, this time from the point of view of reception: can “one” believe what the painting shows? We aim at proving the crucial role of verisimilitude in giving art critic legitimacy. If a spectator – who is not a painter – has no legitimacy to judge the quality of drawing or colour in an art piece, he can say whether the painting is credible or not.We compare and study the several acceptations of verisimilitude in theorists and critics’ writings in order to highlight that the notion is considered as a rule of painting on both sides, and analyse its evolution in 18th c. discourses.
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L’euthanasie de convenance des animaux de compagnie : conceptualisation par les médecins vétérinaires de leurs responsabilités morales et professionnelles

Rathwell-Deault, Dominick 09 1900 (has links)
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