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La libération du travailleur : étude en trois thèmes de la pensée de Maurice Zundel /Richard, Jacinthe, January 2004 (has links) (PDF)
Mémoire (M.A.)--Université du Québec à Trois-Rivières, 2004. / Bibliogr.: f. [167]-173. Également disponible en format microfiche et PDF.
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La Pensée théologique de Maurice Zundel : pauvreté et libération /Donzé, Marc, Habachi, René, January 1981 (has links)
Thèse--Théologie--Rome--Pontifica università gregoriana, 1979. / Bibliogr. p. 323-328.
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La pensée théologique de Maurice Zundel : pauvreté et libération /Donzé, Marc, Habachi, René, January 1998 (has links)
Th. univ.--Théologie--Rome--Univ. grégorienne de Rome. / Bibliogr. p. 339-346.
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Sous le sceau de la relation (Un témoin pour aujourd'hui : Maurice Zundel) / Un témoin pour aujourd'huiMaheux, Paolo 14 January 2022 (has links)
La relation constitue le cadre de notre approche de la pensée de Maurice Zundel. Elle trouve toute sa densité dans l'Être même de Dieu qui est Pauvreté: Il n'a de prise sur lui-même qu'en se donnant. Posant d'abord les deux pôles de la relation (l'Homme et Dieu), nous déploierons la réalité de ce Dieu qui vient à la rencontre de l'Homme en Jésus et en l'Église. Exaucement de la relation, le "oui" de l'Homme déborde les cadres explicites et parfois ambivalents de l'expression religieuse; il s'incarne dans une recherche profonde où, passant du "moi-robot" au "moi-origine", l'Homme est invité à la liberté du don, sous la chaleur de cet Amour qui est le secret de sa vie. Le mystère de la Croix nous révèle que l'Homme peut seul exaucer Dieu et c'est sa réponse qui décide de lui-même, des autres, de l'univers et de Dieu. La Pauvreté Divine exprime la radicalité de la vie de relation en Dieu, un Dieu qui fait de l'Homme l'autre de sa Vie. La relation est le pays de toute réalité et d'abord de l'Homme. Tout est sous le sceau de la Relation.
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Éthique et mystique : élucidation de l'acte théologique au revers d'une qualification chrétienne de la moralePouliot, Étienne 11 April 2018 (has links)
La question du rapport entre éthique et mystique est adressée à l'?uvre de Maurice Zundel. En vertu d'un conflit manifeste des interprétations et d'une difficulté récurrente à interpréter ce discours non systématique, il est démontré en quoi et pourquoi cette question ne concerne pas d'abord ni surtout le projet d'une qualification de la morale chrétienne, mais bien plutôt celui de l'élucidation des conditions de l'acte théologique. Un rapport rigoureusement intérieur, non plus extérieur, entre éthique et mystique en représente le point tournant. Une problématique radicale est ainsi reconstituée de manière formelle ; elle concerne la mise en discours (énonciation) dans et par l'acte de lecture, c'est-à-dire la réflexivité du geste interprétatif. Le discours théologique se révèle ainsi comme étant produit et validé par la spiritualité, en constituant une éthique de la parole.
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Avoir à être le bien en personne chez Zundel : esquisse d'une éthique pour qu'elle soit au meilleur d'elle-mêmeBérubé, Réjean 24 April 2018 (has links)
La prise de conscience des limites de l'éthique dans son statut séculier et le senti-ment de distance plus ou moins douloureux, plus ou moins déchirant, entre les as-pirations à une vie chrétienne authentique et les quelconques résultats de nos pratiques quotidiennes, nous a conduit à plonger dans l'œuvre de Zundel. Aux confins de la réflexion anthropologique et théologique de celui-ci, la possibilité d'une éthique qui passe par une nouvelle sagesse nous est apparue : celle qui résulte du témoignage de ce que la personne devient quand elle fait l'expérience de la rencontre de Dieu. Pour Zundel, il paraît important de mettre en lumière que le bien, ce n'est pas d'abord quelque chose à faire, mais Quelqu'un à aimer. La cheville ouvrière et les fils qui tissent et sous-tendent toute la démarche zundélienne gravitent autour de cette expérience qui donne à la personne d'être le bien, c'est-à-dire, d'être à la fois origine et témoignage de ce qu'elle devient, approche novatrice en ce sens qu'elle suppose dans ses éléments essentiels la perspective d'une mystique qui surdétermine l'éthique de convenance en l'introduisant dans l'économie créaturale de « Quelqu'un à aimer ». La naissance de la personne en Dieu concorde avec la naissance de Dieu en la personne, et c'est à cette jonction que l'éthique de convenance se mue en une éthique qui se confond avec la sagesse chrétienne dont la forme achevée est la mystique. Son œuvre donne d'abord une première impression d'obscurité. Une manière de dissiper cette impression a consisté, au long des relectures, à recueillir les innombrables pépites d'or qu'elle contient et à repérer des points de convergence; or, ces points de convergence semblent être aussi ceux où coïncident devenir de la personne et témoignage de ce qu'elle devient quand elle fait l'expérience de la rencontre de Dieu. Si sinueuse qu'en soit l'organisation, cette œuvre pointe inéluctablement vers cette rencontre de l'homme et de Dieu. Elle porte sur les conditions préalables d'une expérience détachée de toute assignation particulière, bien que concrètement destinée à s'inscrire en une mystique qualifiée de réaliste dans notre pleine existence physique. L'examen des différentes facettes de ces pépites aux mille reflets met en évidence que la personne devient le prolongement en gratuité d'une Gratuité-source qui est pour Zundel l'amen d'une éthique au meilleur d'elle-même. Ce que Zundel ne cesse de répéter, par le tranchant de son propos, est que la personne ne peut naître à elle-même que dans sa relation à Quelqu'un qui n'est pas elle, mais qui est au plus intérieur d'elle-même. Cette nouvelle naissance (Jn 3,3-8) est ce qui va lui permettre de révéler ce Quelqu'un par l'intermédiaire de l'art, de la science et de la relation interpersonnelle. Il convient donc de penser la personne en termes d'émergence, à partir de son existence hic et nunc, c'est-à-dire une émergence suspendue à l'expérience de la rencontre de Dieu. Et c'est à partir de cette expérience que la personne devient ce qu'elle a à être et révèle Celui qui l'habite. Dieu se manifeste qu'à même la transformation, voire la transsubstantiation de l'homme. Selon Zundel, une éthique dont la cellule germinative est l'amour ne se présente pas comme un corpus de nouvelles règles qui remplaceraient celles qui sont issues des éléments procéduraux et formels des grandes philosophies et théologies morales. L'amour est au principe de l'éthique par excellence. Il se montre en personne. Il se fait jour en elle et par elle. Il convertit en quelque sorte le « devoir » et le « se devoir» en témoignage. Il donne à la personne d'être le sanctuaire de Dieu. « Qui se donne à Dieu devient capable de donner Dieu. » (Zundel, M., L'homme passe l'homme, p. 105).
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