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Une reine épistolaire. Les usages de la lettre et leurs effets dans l’action diplomatique de Catherine de Médicis, 1559 1589 / A Writing Queen. Uses And Effects of Letter in Diplomacy in the Age of Catherine de Medici, 1559-1589

Gellard, Matthieu 27 November 2010 (has links)
Si Catherine de Médicis a fait l’objet d’une attention jamais démentie de la part des historiens, aucune recherche n’a jamais été menée sur un aspect pourtant central de son action politique : la diplomatie. Or, elle a abondamment écrit entre l’avènement de François II le 10 juillet 1559 et sa propre mort le 5 janvier 1589 : il reste aujourd’hui 5 958 lettres d’une correspondance dont le rythme n’a jamais réellement fléchi pendant ces trois décennies. La part extérieure encore conservée représente quant à elle 2 454 pièces et forme une source centrale pour comprendre la politique étrangère menée par la reine mère. Toutefois, dans le cadre de cette étude, les dépêches de Catherine de Médicis aux résidents français ainsi que les réponses qu’elle reçoit d’eux ont surtout été abordées comme un objet d’histoire plus encore que comme un témoignage des négociations diplomatiques. L’intérêt s’est donc porté sur l’épistolarité comme moyen de gouvernement à une époque où l’éloignement entre les acteurs fait de la lettre, qui dans le domaine diplomatique prend le nom de dépêche, le seul lien qui les unit. / Historians have always been interested by Catherine de Medici but no research has even been produced on a central aspect of her action: diplomacy. Yet, she has written an enormous amount of letters from the accession to the throne of her son François II in 1559 to her own death in 1589 and we still have 5 958 letters from a correspondence that has never weakened during three decades. Among them, we can find 2 454 foreign letters, that forms a central object to understand the foreign policy decided by the Queen Mother. Yet, during this work, the letters written by Catherine de Medici to the French ambassadors and the replies she received from them has mainly been considered as an historical object more than a testimony of diplomatic negotiations. Therefore, the interest has been focused on epistolarity as a means of government in a time when distance between actors makes the letter to be the only link between them.
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Représenter la France à la cour des tsarines. Les deux ambassades de Joachim-Jacques de La Chétardie de 1739 à 1744 / Representing France at the czarina’s court. The two embassies of Joachim-Jacques, marquee of La Chétardie, from 1739 to 1744

Warlin, Jean-Alfred 16 December 2017 (has links)
Le marquis de La Chétardie est le premier envoyé de la France en Russie à être revêtu du caractère d’ambassadeur. Cet honneur, naguère refusé à Pierre le Grand, a été accordé à sa nièce Anna, quoique ce fût au décours du premier conflit armé entre les deux pays. Son séjour à Petersbourg révéla ses qualités mais aussi ses limites ; en effet, ce courtisan achevé, courtois, expert en conversation et en réceptions mondaines, obsédé par un cérémonial pointilleux, a raté toutes les entreprises qu’il avait envisagées. A l’opposé, certaines de ses initiatives lui ont valu des désaveux. Impliqué modérément dans le coup d’État qui mit Élisabeth sur le trône, il ne profita pas longtemps de la faveur acquise à cette occasion. Il avait mal estimé les ressources des belligérants russes et suédois ; quelques maladresses, dont son gouvernement portait plus que lui la responsabilité, associées à la xénophobie exacerbée des Russes, suffirent à transformer le favori en paria ; il se vit refuser par la souveraine la médiation initialement promise dans le conflit en cours, et dut solliciter son rappel. Revenu en France, il y élabora un projet, qui fit long feu, d’alliance franco-russo-suédoise, qui devait remplacer le système des « barrières », sacrifier la Pologne et bouleverser le système établi. Son second séjour fut funeste et bref, son combat contre le vice-chancelier Bestoutcheff ne pouvant se terminer que par la chute de l’un d’eux. Ce fut lui qui fut expulsé, ayant péché par excès de confiance dans son chiffre. Ainsi, la première ambassade de France en Russie se terminait-elle dans la confusion ; La Chétardie, malgré sa séduction, avait échoué dans sa mission et dans ses grands projets. / The marquis de La Chétardie was the first French envoy to Russia invested with the title of ambassador. This honor, denied to Peter the Great, was accorded to his niece Anna, although the two countries were then engaged in their first armed conflict. La Chétardie’s mission in St. Petersburg revealed both his qualities and weaknesses. A polished, experienced courtier, an expert conversationalist at home in fashionable gatherings and punctilious about court ceremonial, he failed at every project he undertook. Nevertheless, some of these failures were not his alone. Having played a minor role in the coup d’état that put Elisabeth on the throne, he acquired a favor from which he was unable to profit for long. He miscalculated the resources of Russian and Swedish belligerents. Several blunders connected to the exacerbated xenophobia of the Russians, although less his responsibility than his government’s, made him a pariah. Having been denied the role of mediator promised by the sovereign during the ongoing conflict, he was obliged to request his recall. Upon returning to France, he developed a project for an alliance among France, Russia, and Sweden that would have replaced the system of « barriers, » sacrificed Poland, and overturned the prevailing diplomatic system. His second mission was unhappy and brief as a result of his conflict with the Vice-Chancellor Bestoutchef, a conflict that could only end in the fall of one of them. It was La Chétardie who was removed because of his overconfidence in the security of his codes. Thus did the first French embassy to Russia end in confusion. Despite his seductive appeal, La Chétardie had failed in his mission and grand projects.

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