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Restoring manomin (wild rice): a case study with Wabaseemoong Independent Nations, OntarioKuzivanova, Valeria 14 March 2016 (has links)
This thesis focuses on manomin (wild rice) ecocultural restoration by Wabaseemoong Independent Nations (WIN) in Northwestern Ontario. Ecocultural restoration includes the recovery of habitats and re-establishment of relationships between WIN and manomin. The objectives are to: 1) Describe the past and present state of rice-related practices in WIN and changes of the 20th century 2) Select and document a restoration site(s) 3) Identify the possibilities for the involvement of school students in the restoration process 4) Design a prototype for a wild rice camp that contributes to relationship re-establishment. The main pillars of the WIN restoration process - traditional ecological knowledge (TEK), site selection, involvement of children and young people, and transformative learning experienced by adult participants of a wild rice camp – are the main study components. The project is guided by a design-based methodology with data gathered through interviews, design workshops, participant observation, and biophysical methods. / May 2016
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Les situations de compromission. Regards professionnels sur les interventions auprès des Premières NationsRobitaille, Martine 04 May 2011 (has links)
Parmi les minorités présentes au Canada, les communautés Premières Nations ont longtemps vécu et continuent à vivre des expériences qui les placent aux marges de la société canadienne. Récemment pourtant, une éclaircie est apparue, notamment en ce qui concerne les Centres Jeunesse au Québec. Des dispositifs ont ainsi été mis en place pour aider les intervenants à prendre des décisions qui prennent davantage en compte les réalités culturelles des communautés Premières Nations. Dans ce contexte, nous avons trouvé intéressant d’observer un de ces dispositifs pour comprendre où, quand et comment la culture Anishinaabeg des Premières Nations apparaît dans les décisions des intervenants quand ils sont confrontés à des situations de compromission et ce, aux stades de l’orientation et de l’application des mesures prises dans ce type de dossier.
À partir d’une approche ethnométhodologique de notre matériau empirique (entretiens et observations participantes), nous avons ainsi pu tirer cinq grands enseignements au sujet du processus décisionnel qui est suivi en matière de compromission (par processus décisionnel, nous n’entendons pas les décisions liées à l’évaluation du dossier mais seulement celles qui touchent à l’orientation et à l’application des mesures prises dans ledit dossier) : 1) La culture Anishinaabeg des Premières Nations prend différents visages selon l’acteur professionnel qui la mobilise et le contexte dans lequel il la mobilise ; 2) La culture Anishinaabeg des Premières Nations joue différents rôles (secondaire ou absent) dans le processus décisionnel en matière de compromission ; 3) Quand la culture Anishinaabeg des Premières Nations joue un rôle informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche différencialiste; 4) Quand la culture « blanche » joue un rôle formel ou informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche normalisante; et 5) Qu’elles soient formelles ou informelles, les approches différencialiste et normalisante présentent des impasses comme des ouvertures.
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Les situations de compromission. Regards professionnels sur les interventions auprès des Premières NationsRobitaille, Martine 04 May 2011 (has links)
Parmi les minorités présentes au Canada, les communautés Premières Nations ont longtemps vécu et continuent à vivre des expériences qui les placent aux marges de la société canadienne. Récemment pourtant, une éclaircie est apparue, notamment en ce qui concerne les Centres Jeunesse au Québec. Des dispositifs ont ainsi été mis en place pour aider les intervenants à prendre des décisions qui prennent davantage en compte les réalités culturelles des communautés Premières Nations. Dans ce contexte, nous avons trouvé intéressant d’observer un de ces dispositifs pour comprendre où, quand et comment la culture Anishinaabeg des Premières Nations apparaît dans les décisions des intervenants quand ils sont confrontés à des situations de compromission et ce, aux stades de l’orientation et de l’application des mesures prises dans ce type de dossier.
À partir d’une approche ethnométhodologique de notre matériau empirique (entretiens et observations participantes), nous avons ainsi pu tirer cinq grands enseignements au sujet du processus décisionnel qui est suivi en matière de compromission (par processus décisionnel, nous n’entendons pas les décisions liées à l’évaluation du dossier mais seulement celles qui touchent à l’orientation et à l’application des mesures prises dans ledit dossier) : 1) La culture Anishinaabeg des Premières Nations prend différents visages selon l’acteur professionnel qui la mobilise et le contexte dans lequel il la mobilise ; 2) La culture Anishinaabeg des Premières Nations joue différents rôles (secondaire ou absent) dans le processus décisionnel en matière de compromission ; 3) Quand la culture Anishinaabeg des Premières Nations joue un rôle informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche différencialiste; 4) Quand la culture « blanche » joue un rôle formel ou informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche normalisante; et 5) Qu’elles soient formelles ou informelles, les approches différencialiste et normalisante présentent des impasses comme des ouvertures.
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Les situations de compromission. Regards professionnels sur les interventions auprès des Premières NationsRobitaille, Martine 04 May 2011 (has links)
Parmi les minorités présentes au Canada, les communautés Premières Nations ont longtemps vécu et continuent à vivre des expériences qui les placent aux marges de la société canadienne. Récemment pourtant, une éclaircie est apparue, notamment en ce qui concerne les Centres Jeunesse au Québec. Des dispositifs ont ainsi été mis en place pour aider les intervenants à prendre des décisions qui prennent davantage en compte les réalités culturelles des communautés Premières Nations. Dans ce contexte, nous avons trouvé intéressant d’observer un de ces dispositifs pour comprendre où, quand et comment la culture Anishinaabeg des Premières Nations apparaît dans les décisions des intervenants quand ils sont confrontés à des situations de compromission et ce, aux stades de l’orientation et de l’application des mesures prises dans ce type de dossier.
À partir d’une approche ethnométhodologique de notre matériau empirique (entretiens et observations participantes), nous avons ainsi pu tirer cinq grands enseignements au sujet du processus décisionnel qui est suivi en matière de compromission (par processus décisionnel, nous n’entendons pas les décisions liées à l’évaluation du dossier mais seulement celles qui touchent à l’orientation et à l’application des mesures prises dans ledit dossier) : 1) La culture Anishinaabeg des Premières Nations prend différents visages selon l’acteur professionnel qui la mobilise et le contexte dans lequel il la mobilise ; 2) La culture Anishinaabeg des Premières Nations joue différents rôles (secondaire ou absent) dans le processus décisionnel en matière de compromission ; 3) Quand la culture Anishinaabeg des Premières Nations joue un rôle informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche différencialiste; 4) Quand la culture « blanche » joue un rôle formel ou informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche normalisante; et 5) Qu’elles soient formelles ou informelles, les approches différencialiste et normalisante présentent des impasses comme des ouvertures.
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Anishinaabeg Women's Wellbeing: Decolonization through Physical ActivityMcguire-Adams, Tricia 04 April 2018 (has links)
Settler colonialism has detrimental effects on the health and wellbeing of Indigenous peoples, as seen, for example, in the disproportionately high rates of chronic diseases experienced among Indigenous peoples. Indigenous peoples in Canada experience higher levels of ill health related to obesity, diabetes, and other chronic conditions than non-Indigenous people. Indigenous women experience greater incidents of chronic disease than men and are thus particularly vulnerable to ill health. Current research has focussed on documenting the health disparities between Indigenous and non-Indigenous peoples. While insightful, health disparity research reproduces settler colonial discourses of erasure and provides no meaningful or lasting solutions for addressing these disparities, thus demonstrating the need for Indigenous-led thinking regarding potential solutions. Therefore, the guiding research question for my dissertation was, “Can physical activity that encompasses a decolonization approach be a catalyst for regenerative wellbeing for Anishinaabeg women?” Using Indigenous feminist theory that is informed by Anishinaabeg gikendaasowin, I looked to the dibaajimowinan of Anishinaabeg women, Elders, and urban Indigenous women, which occurred in three stages of research and culminated in five publishable papers. In the first stage of research, I interviewed seven Anishinaabekweg who are exemplars of decolonized physical activity. In the second stage of research, I held a sharing circle with eight Elders from Naicatchewenin in Treaty #3 territory. In the last stage of research, I implemented Wiisokotaatiwin with 12 urban Indigenous women with the Odawa Native Friendship Centre, my community partner.
The results of my research revealed that wellbeing for Indigenous women can be improved through decolonized physical activity, remembering Anishinaabeg stories, and building community in urban spaces. More specifically, these activities are important resistance tools that can lead to meaningful ways of addressing embodied settler colonialism and can also make strong contributions to Indigenous health research. Overall, my research showcased how Anishinaabeg gikendaasowin can be used as a foundation to improve Indigenous women’s health and wellbeing.
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Les situations de compromission. Regards professionnels sur les interventions auprès des Premières NationsRobitaille, Martine January 2011 (has links)
Parmi les minorités présentes au Canada, les communautés Premières Nations ont longtemps vécu et continuent à vivre des expériences qui les placent aux marges de la société canadienne. Récemment pourtant, une éclaircie est apparue, notamment en ce qui concerne les Centres Jeunesse au Québec. Des dispositifs ont ainsi été mis en place pour aider les intervenants à prendre des décisions qui prennent davantage en compte les réalités culturelles des communautés Premières Nations. Dans ce contexte, nous avons trouvé intéressant d’observer un de ces dispositifs pour comprendre où, quand et comment la culture Anishinaabeg des Premières Nations apparaît dans les décisions des intervenants quand ils sont confrontés à des situations de compromission et ce, aux stades de l’orientation et de l’application des mesures prises dans ce type de dossier.
À partir d’une approche ethnométhodologique de notre matériau empirique (entretiens et observations participantes), nous avons ainsi pu tirer cinq grands enseignements au sujet du processus décisionnel qui est suivi en matière de compromission (par processus décisionnel, nous n’entendons pas les décisions liées à l’évaluation du dossier mais seulement celles qui touchent à l’orientation et à l’application des mesures prises dans ledit dossier) : 1) La culture Anishinaabeg des Premières Nations prend différents visages selon l’acteur professionnel qui la mobilise et le contexte dans lequel il la mobilise ; 2) La culture Anishinaabeg des Premières Nations joue différents rôles (secondaire ou absent) dans le processus décisionnel en matière de compromission ; 3) Quand la culture Anishinaabeg des Premières Nations joue un rôle informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche différencialiste; 4) Quand la culture « blanche » joue un rôle formel ou informel dans le processus décisionnel en matière de compromission, elle se fait toujours dans une approche normalisante; et 5) Qu’elles soient formelles ou informelles, les approches différencialiste et normalisante présentent des impasses comme des ouvertures.
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L’impact de l’instauration de la centrale hydroélectrique Caribou Falls sur la communauté One Man Lake située dans le nord-ouest de l’OntarioTrepanier, Cheralee 07 January 2019 (has links)
La présente recherche porte sur l’histoire coloniale canadienne des peuples autochtones, plus précisément celle du développement économique et de l’exploitation des richesses hydrauliques. En 1957, l’augmentation de la demande d’électricité par la population et les industries à distance lointaine mène à la construction de la centrale hydroélectrique de Caribou Falls, située sur la rivière English, localisée dans le nord-ouest de l’Ontario. Au cours des trente années suivantes, la population ojibwée de One Man Lake subit des séquelles d’effets direct et indirect entraînées par le barrage. La création du réservoir provoque plus spécifiquement des impacts environnementaux qui produisent des effets néfastes sur la sécurité, la santé, l’économie et le tissu social de la communauté et entraînent la réinstallation forcée de la population et la destruction d’un cimetière ancestral.
Cette thèse tente de prouver que la relation intime que les Ojibwes entretiennent avec leur terre ancestrale est perturbée et que les structures sociales et économiques sont désagrégées lorsque la commission d’hydroélectricité de l’Ontario termine la construction de la centrale en 1958. Dans le but d’enrichir ce projet, plusieurs cartes ont été créées à l’aide des logiciels de système d’information géographique (SIG) afin de démontrer visuellement l’histoire de la région et le bouleversement que la centrale impose sur la communauté de One Man Lake.
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