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Utilisation et fonction de la reproduction photographique d'oeuvres d'art dans les écrits sur l'art d'André Malraux : formes et représentations de l'histoire de l'art

Pageard, Camille 07 January 2011 (has links) (PDF)
Après la Second Guerre mondiale, André Malraux publie en 1951 Les Voix du silence chez Gallimard, refonte en un volume des trois tomes de Psychologie de l'art édités par Albert Skira entre 1947 et 1950. Partant du constat que les reproductions d'oeuvres d'art permettent de constituer un " musée imaginaire " dépassant les divisions géographique et historique des musées et des oeuvres, l'auteur développe une théorie de l'art transgéographique et transhistorique dans une relation serrée avec l'iconographie. Malraux s'inscrit ainsi dans une histoire de l'histoire de l'art dont le propos en images contient une théorie liée à la monstration des oeuvres par la reproduction photographique. " Le musée imaginaire " est ici considéré comme un exposé de méthode informé par la lecture des textes de Walter Benjamin. C'est alors la méthodologie historique dans son rapport avec la forme de l'écrit qui peut être saisi, son travail sur l'image lui permettant de construire une théorie propre, mais aussi de représenter visuellement son histoire de l'art de manière " cinématique ". A partir de là, c'est l'histoire de la photographie et de l'édition d'histoire de l'art qui se révèle. Son utilisation de la reproduction photographique s'inscrit en effet dans le cadre d'une réflexion sur le médium même de diffusion du discours sur l'histoire de l'art en proposant une forme éditée jouant avec les codes du genre éditorial. Une série de comparaisons avec les ouvrages de Georges Bataille, de René Huyghe, de Georges Duthuit, d'Ernst Gombrich et de John Berger permet d'en révéler la spécificité et de situer les textes de Malraux au sein d'une de l'histoire de l'histoire de l'art.
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ZERO et le devenir immatériel de l’art à l’épreuve de la technique, 1958-1964 / ZERO and the dematerialization of art through the prism of technology, 1958-1964

Joly, Noémi 28 April 2017 (has links)
ZERO apparaît le 24 avril 1958 à l’occasion de la septième « exposition d’un soir » qui a lieu à Düsseldorf, dans l’atelier d’Otto Piene et de Heinz Mack. La thématique de cette exposition, « Le tableau rouge », rejoint celle du premier numéro de cette nouvelle revue d’artistes, ZERO. S’ensuivent deux autres numéros, respectivement sortis en octobre 1958 (« Vibration ») et en juillet 1961 (« Dynamo »). Autour de la revue pilotée par Mack et Piene se nouent alors différents projets collaboratifs et expositions collectives, à partir desquels ZERO devient une sorte d’échangeur entre plusieurs tendances nées au tournant des années 1950-1960. Cette recherche monographique a pour ambition première de renouveler les perspectives sur une revue et une mouvance artistique peu étudiées en France, et ce à partir de la question de l’immatériel réfractée au prisme de la technique. L’optimisme technologique présumé de ZERO est réexaminé à l’aune du « discours autorisé », de la poïétique des œuvres, de l’expérience esthétique et de leur réception critique. Dès lors, les œuvres et les discours dévoilent une image bien moins nette du passé, tissée de contradictions, qui traduit d’une part la difficile négociation d’un tournant sociétal marqué par la mécanisation et l’automation, l’information, l’accélération et la menace nucléaire et, d’autre part, l’ambition pour l’art dynamique (vitaliste) et « idéaliste » de ZERO de jouer un rôle actif dans la définition de l’époque, en s’adressant aux imaginaires et en occupant les territoires de l’expérience sensible. / ZERO was created on the 24th of April 1958, on the occasion of the seventh « Night Exhibition », which took place in Otto Piene’s and Heinz Mack’s studio in Düsseldorf. The theme of this exhibition, « The Red Painting » was the same as the inaugural edition of ZERO, a new artist magazine. Following this initiative, two other issues were published, one dedicated to “Vibration” (October 1958), the other to “Dynamo” (July 1961). Various collaborative projects and collective exhibitions revolved around the magazine edited by Mack and Piene, from which ZERO became a platform between several tendencies which had come into being by the early 1960s. This study aims at renewing and enriching knowledge of both a magazine and a movement that have not been the subject of any extensive examination so far. For this purpose, this research focuses on the immaterial art of ZERO as refracted through the prism of technology. ZERO’s alleged technological optimism is explored by the light of the “authorized discourses”, the poietic of the works of art, their aesthetic experience and their critical reception. Therefore, the works of art and the discourses reveal a far less clear picture of the past, which is not free of discrepancies. On the one hand, this reflects the complex issue of dealing with societal shifts characterized by mechanization and automation, information, acceleration, nuclear threat; and, on the other hand, this demonstrates the ambition for ZERO’s both dynamic (vitalist) and “idealistic” art to play an active role in defining the spirit of the era by addressing imaginaries and by occupying territories of sensitive experience.

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