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La Katalepsis des staseis gréco-hellenistiques à la lumière de la doctrine d'Epicure / The katalepsis of Greco-Hellenistic stases in the light of the doctrine of Epicurus

Youssouf Maiga, Moussa 24 June 2013 (has links)
Vers la fin du IVe siècle av. J-C., des tyrans macédoniens sont érigés en dieux (théoï). C’est en face d’une telle bassesse politique manifestée par les Athéniens que le philosophe du Jardin, Épicure (341-271 av. J.-C.), put légitimement s’interroger sur la garantie de la sécurité (asphaleia), de la liberté et du bonheur en cette période de désarroi. Dans sa perspective, il appert qu’avec des tyrans débauchés, qui ne poursuivent que des désirs superfétatoires (richesse, pouvoir, honneur, gloire, royauté, etc.), et qui sont en perpétuelle guerre les uns contre les autres, la sécurité (asphaleia) n’est possible nulle part, sauf dans les murs clos du Jardin en banlieue d’Athènes. Par leur apolitisme, Épicure et ses disciples assument contre l’extérieur, contre la foule et les institutions politiques, leur lathè biôsas (« vis caché »). À l’heure des interrogations sur la concrétisation de la sécurité dans nos propres États, la katalepsis des staseis gréco-hellénistiques permet de montrer avec une lumière nouvelle que le philosophe du Jardin fut un précurseur de la zététique de la sécurité (asphaleia) politique aussi bien intérieure qu’extérieure. En partant des allégations de Cicéron et de Plutarque, que nous pensons injustifiées, nous sommes parvenu à entrevoir qu’en arrière-plan du « vivre caché » d’Épicure et des épicuriens, se loge une préoccupation centrale à l’époque hellénistique, à savoir le souci d’Épicure pour la sécurité de l’entité politique condition sine qua non de la sécurité, de la vie de plaisir et de sagesse, qui caractérisent la communauté des amis du Jardin. Eu égard à l’échec politique de Démétrios Poliorcète qui n’a pas su garantir la tranquillité (hésuchia) et la sécurité (asphaleia) de la polis athénienne, Épicure formule la thèse implicite d’un monarque qui assurera la sécurité et la tranquillité, quitte à user utilement et pragmatiquement de la force. Cette philosophie politique de l’utilité de la force au service de l’ordre et de la sécurité de l’état fut le credo de l’épicurien Jules César. A travers le triomphe politique de Jules César se dévoile selon nous le pragmatisme de la philosophie politique d’Épicure, voire sa Realpolitik dont le substrat est l'utilitas. / At the end of the IVe century B.-C., Macedonians tyrants are been elevated like gods (théoï). It on the face of this political lowness showed by the Athenians that the garden philosopher, Epicurus (341-271 B.-C.), could rightfully interrogate himself about the security guaranteed (asphaleia), on the liberty and happiness at this anxious period. In the Epicurus view, it’s obvious that with debauched tyrants, who pursue only some superfluous desires (wealth, power, glory, honour, kingship, etc.) and in perpetual war against each other, the security (asphaleia) isn’t possible anywhere, except inside the walls closed of the Garden located at Athens suburbs. By their apolitical attitude, Epicurus and his disciples assume against outside, against the crowd and the political institutions, their lathè biôsas (“ unnoticed life”).At the time of interrogations on the security materialization in our own states, « The katalepsis of staseis gréco-hellenistics on the light of Epicurus doctrine » allows to show in a new light that the Garden philosopher had been a precursor of politics security zetetic (asphaleia) as well interior than outside. Following to the allegations of Cicero and Plutarch, that we think are unjustified, we are attained to forsee that in background of Epicurus “ unnoticed life” and epicureans, lodge an crucial preoccupation during the hellenistic period, specifically the worry of Epicurus for the political security, sine qua non condition of the security, of the pleasure life and wisdom, which characterize the community of Garden Friends. In consideration of the political failure of Demetrius Poliorcete who hasn’t be able to guarantee the tranquility (hésuchia) and the security (asphaleia) of the Athenian polis, Epicurus formulate implicitly the thesis of a monarch who will ensure the security (asphaleia) and the quietness (hésuchia), in the risk to employ usefully and pragmatically strength. This political philosophy of strength usefully for the maintaining of order and state security has been the creed of the epicurean Julus Cesar. Through the political triumph of Julus Cesar appear greatly according us, the pragmatism of Epicurus political philosophy, and even his Realpolitik, of which substratum is utilitas.
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Au croisement des pensées de Hannah Arendt et de Michel Foucault sur le social, le biopouvoir et la gouvernementalité

St-Pierre, Émilie January 2008 (has links) (PDF)
Le présent mémoire effectue une lecture critique du libéralisme au croisement des pensées de Hannah Arendt et de Michel Foucault sur les concepts de l'avènement du social, du biopouvoir et de la gouvernementalité. En misant sur la complémentarité des analyses arendtienne et foucaldienne, cet essai cherche à démontrer que le libéralisme est à l'origine du recul de la politique qui caractérise nos sociétés occidentales modernes. Ce mémoire traite de la valorisation moderne de la vie pensée comme une forme d'instrumentalisation de l'être humain pour le développement économique; il traite de l'importance accordée à la sécurité comme étant la manifestation d'une logique de «défense de la société» qui vise le déploiement du libéralisme, la société étant le corrélat du libéralisme. En lien avec ces sujets, il traite de la politique moderne pensée selon le registre de l'administration; il s'intéresse à la vision arendtienne et foucaldienne qui présente le libéralisme comme une domination de l'économie sur la politique. En posant le primat de l'agir politique comme a priori tel que le conçoit Hannah Arendt, cet essai conclut que le libéralisme est impolitique parce qu'il renforce l'autorégulation et le contrôle des individus dans une logique de domination économique qui mine l'agir politique el la liberté politique. Par l'individualisme, l'autonomie el l'autorégulation qu'il demande pour fonctionner, il engendre un repli sur soi et favorise la perte d'un monde commun, rapprochant nos sociétés des sociétés de masse amorphes et apolitiques décriées par Arendt parce qu'elles préparent le sol au totalitarisme. Le présent mémoire est un essai en théorie politique qui jongle aux abords des conceptions du pouvoir, de la politique, de l'économie et du social telles que pensées par Hannah Arendt et Michel Foucault. Il s'inscrit à l'intérieur des limites «spatiales» et «temporelles» de la pensée politique occidentale et de la modernité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Avènement du social, Biopouvoir, Gouvernementalilé, Libéralisme, Impolitique.
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La Katalepsis des staseis gréco-hellenistiques à la lumière de la doctrine d'Epicure

Youssouf maiga, Moussa 24 June 2013 (has links) (PDF)
Vers la fin du IVe siècle av. J-C., des tyrans macédoniens sont érigés en dieux (théoï). C'est en face d'une telle bassesse politique manifestée par les Athéniens que le philosophe du Jardin, Épicure (341-271 av. J.-C.), put légitimement s'interroger sur la garantie de la sécurité (asphaleia), de la liberté et du bonheur en cette période de désarroi. Dans sa perspective, il appert qu'avec des tyrans débauchés, qui ne poursuivent que des désirs superfétatoires (richesse, pouvoir, honneur, gloire, royauté, etc.), et qui sont en perpétuelle guerre les uns contre les autres, la sécurité (asphaleia) n'est possible nulle part, sauf dans les murs clos du Jardin en banlieue d'Athènes. Par leur apolitisme, Épicure et ses disciples assument contre l'extérieur, contre la foule et les institutions politiques, leur lathè biôsas (" vis caché "). À l'heure des interrogations sur la concrétisation de la sécurité dans nos propres États, la katalepsis des staseis gréco-hellénistiques permet de montrer avec une lumière nouvelle que le philosophe du Jardin fut un précurseur de la zététique de la sécurité (asphaleia) politique aussi bien intérieure qu'extérieure. En partant des allégations de Cicéron et de Plutarque, que nous pensons injustifiées, nous sommes parvenu à entrevoir qu'en arrière-plan du " vivre caché " d'Épicure et des épicuriens, se loge une préoccupation centrale à l'époque hellénistique, à savoir le souci d'Épicure pour la sécurité de l'entité politique condition sine qua non de la sécurité, de la vie de plaisir et de sagesse, qui caractérisent la communauté des amis du Jardin. Eu égard à l'échec politique de Démétrios Poliorcète qui n'a pas su garantir la tranquillité (hésuchia) et la sécurité (asphaleia) de la polis athénienne, Épicure formule la thèse implicite d'un monarque qui assurera la sécurité et la tranquillité, quitte à user utilement et pragmatiquement de la force. Cette philosophie politique de l'utilité de la force au service de l'ordre et de la sécurité de l'état fut le credo de l'épicurien Jules César. A travers le triomphe politique de Jules César se dévoile selon nous le pragmatisme de la philosophie politique d'Épicure, voire sa Realpolitik dont le substrat est l'utilitas.
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La "ville intelligente" : de l'utopie urbaine au populisme technologique / Smart city : from urban utopia to techno-populism

Rabot, Éric 10 January 2019 (has links)
L’enjeu de la thèse est de repérer et caractériser la circulation, à travers l’utopie de la « ville intelligente », d’un discours favorable à une gestion des affaires publiques apparemment dépolitisée, mais aux multiples soubassements idéologiques : le « populisme technologique ». Cette recherche en sciences de l’information et de la communication explore les différentes significations attribuées à la « ville intelligente », envisagée comme une « formule dans le discours » (Krieg-Planque, 2009). Nous nous interrogerons sur le statut d’utopie pouvant être attribué à la « ville intelligente », à la croisée des utopies urbaines (Picon, 2000 ; Riot-Sarcey, 2002) d’une part, et des utopies technoscientifiques et communicationnelles d’autre part (Breton, 1997 ; Musso, 2003 ; Mattelart, 1999). A cette fin, nous nous appuierons sur l’analyse des discours ayant pour objet la « ville intelligente » en France, sur la période de 2010 à 2017, et plus particulièrement sur l’étude de trois cas de projets de « ville intelligente », dans les villes et métropoles de Nice, Lyon et Paris. / The aim of the thesis is to identify and characterize the circulation, through the utopia of the "smart city", of a discourse favorable to an apparently depoliticized management of public affairs, but with multiple ideological bases: "technological populism" ". This research in information and communication sciences explores the different meanings attributed to the "smart city", considered as a "formula in the discourse" (Krieg-Planque, 2009). We will examine the utopian status that can be attributed to the "intelligent city", at the crossroads of urban utopias (Picon, 2000 ; Riot-Sarcey, 2002) on the one hand, and techno-scientific and communication utopias on the other part (Breton, 1997 ; Musso, 2003 ; Mattelart, 1999). To this end, we will rely on the analysis of the discourses on the smart city in France, from 2010 to 2017, and more particularly on the study of three cases of "smart city" projects, in the cities and metropolises of Nice, Lyon and Paris.

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