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Bildungsfernsehen : Entwicklung und Gestaltung audiovisueller Lernangebote /Schnell, Michael. January 2002 (has links) (PDF)
Univ., Diss--Köln, 2000.
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Assistance à l'indexation vidéo par analyse du mouvementEtievent, Emmanuel Jolion, Jean-Michel January 2004 (has links)
Thèse de doctorat : Documents Multimédia, Images et Systèmes d'Information Communicants : Villeurbanne, INSA : 2002. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p.136-141.
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L'utilisation de la reprise vidéo comme outil de rétroaction pendant le travail instrumental du guitariste de niveau collégialBoucher, Mathieu 22 January 2020 (has links)
L’apprentissage d’un instrument de musique requiert de nombreuses heures de travail que le musicien en formation réalise la plupart du temps seul, sans l’aide de son professeur. Les habiletés liées à ce contexte particulier de travail autonome ont été étudiées dans différents domaines d’apprentissage sous le nom d’habiletés d’autorégulation (Cleary et Zimmerman, 2001; Kuo, Walker, Schroder et Belland, 2014; Mega, Ronconi et De Beni, 2014; Zimmerman et Schunk, 2011). La capacité du musicien à s’autoévaluer efficacement et à choisir adéquatement ses stratégies en fonction d’unerétroaction sur son jeu instrumental est un aspect central du travail musical autorégulé (McPherson et Zimmerman, 2002). Toutefois, les efforts engendrés pour exécuter une prestation et la superviser simultanément peuvent s’avérer trop exigeants pour l’apprenant (Winne, 1995). C’est pourquoi Zimmerman (1995) suggère que l’apprenant effectue séparément ces deux tâches en enregistrant d’abord les prestations sur vidéo et en les visionnant ensuite, dans le but de pouvoir porter pleinement son attention sur chacune des deux tâches. À ce jour, peu d’études ont investigué l’utilisation de la reprise vidéo comme outil de rétroaction chez les musiciens. Cette étude doctorale visait donc à vérifier si une réaction réalisée à partir d’une reprise vidéo pouvait influencer certains des procédés cognitifs impliqués dans le travail autorégulé de musiciens en formation. Seize guitaristes inscrits au programme de musique d’une institution collégiale de la province de Québec ont accepté de participer à l’étude. Nous avons attribué aléatoirement les participants à un groupe expérimental (n = 8) et à un groupe contrôle (n = 8); ils devaient tous apprendre la même pièce durant dix séances de travail filmées d’une durée de 20 minutes chacune. Lors de ces séances, tous les participants (n = 16) devaient verbaliser leur pensée privée à voix haute lorsqu’ils s’arrêtaient de jouer. Ensuite, immédiatement après les séances de travail 3, 5, 7 et 9, tous les participants (n = 16) devaient enchainer la pièce ou une partie de la pièce devant la caméra et s’autoévaluer ensuite à voix haute. Puis, juste avant de commencer la séance de travail qui avait lieu après ces quatre enchainements, les participants du groupe expérimental (n = 8) étaient invités à visionner leur prestation sur vidéo et à l’autoévaluer de nouveau à voix haute. Nous avons comparé les commentaires d’autoévaluation formulés par les participants du groupe expérimental à la suite de leurs prestations et à la suite de leurs visionnements afin de vérifier s’ils s’étaient autoévalués différemment à la suite de leurs visionnements. Puis, nous avons comparé les verbalisations formulées et les stratégies utilisées par les participants des deux groupes pendant leurs séances de travail de la pièce. Nous voulions vérifier ici si les participants ayant visionné leurs prestations s’étaient autoévalués différemment et avaient adopté des stratégies différentes durant ces séances que les participants n’ayant pas visionné leurs prestations. Parmi les principaux résultats obtenus, il apparaît que les participants ayant eu accès à la rétroaction vidéo ont évalué des aspects différents de leur jeu instrumental après le visionnement de leur prestation enregistrée, comparativement à l’autoévaluation réalisée immédiatement après leur prestation. Les aspects mentionnés lors de la reprise vidéo étaient davantage orientés sur la position de leurs mains, sur l’interprétation et l’exécution instrumentale en général, alors que les aspects ayant trait aux étapes d’apprentissage de la pièce et au déroulement de leur prestation étaient moins fréquents. Par ailleurs, il ressort de l’analyse des verbalisations formulées pendant le travail instrumental que les participants du groupe expérimental (n = 8) ont progressivement modifié leur façon de s’autoévaluer au fil des séances de travail, entre autres en émettant moins de commentaires généraux d’appréciation pour favoriser davantage des commentaires liés à la résolution de problèmes. En outre, ces changements ont été plus importants chez les participants du groupe expérimental (n = 3) classés parmi les plus performants du groupe. Enfin, l’analyse des stratégies utilisées par les participants pendant l’apprentissage de la pièce a démontré que les participants ayant visionné leur prestation (n = 8) ont travaillé à un tempo plus lent lors des premières séances de travail, et ont joué des segments plus longs de l’œuvre plus tôt dans le processus d’apprentissage que ceux n’ayant pas visionné leurs prestations (n = 8). / The learning of a music instrument requires many hours of work that an aspiring musician typically undertakes alone, without the support of his or her teacher. The specific abilities associated with this particular context of autonomous work have been studied in various domains under the lens of self-regulated learning (Cleary & Zimmerman, 2001; Kuo, Walker, Schroder, & Belland, 2014; Mega, Ronconi, & De Beni, 2014; Zimmerman & Schunk, 2012). The musician’s capacity to self-evaluate efficiently and to choose the appropriate strategies on the basis of the feedback obtained while playing is a central aspect of self-regulated music learning (McPherson & Zimmerman, 2002). However, the concurrent efforts to perform and monitor the performance at the same time represent a challenge for any learner (Winne, 1995). To solve this issue, Zimmerman (1995) recommends videotaping the performance of the task and watching it afterwards to fully concentrate on each process. Little empirical research has focused on the use of video feedback in the preparation of a musical performance. This doctoral research thus aimed to explore whether the use of video feedback, which we refer in this study as the self-evaluation of video recordings of one’s own performance, could influence some specific cognitive processes implicated in the self-regulated practice of developing musicians. Sixteen guitarists enrolled in a music program in a college in the province of Québec agreed to participate in our study. The participants were randomly assigned to an experimental group (n = 8) and a control group (n = 8). All participants (n = 16) were asked to learn the same piece of music during ten practice sessions lasting 20 minutes each. During these practice sessions, the participants (n = 16) were asked to think aloud whenever they stopped playing. Immediately after the practices 3, 5, 7 and 9, all participants (n = 16) played the piece or any part they were able to perform while being video recorded, and provided self-evaluation comments afterwards. Before the practice session following each recording, the participants from the experimental group (n = 8) watched their recorded performance and once again provided self-evaluation comments. For this doctoral research, we compared the self-evaluation comments provided by the participants who used video feedback after each performance and after each viewing of the performance in order to verify if they self-evaluated differently after the viewing of the video-recordings of their performances. Afterwards, we compared the group of participants who used video feedback (the experimental group) with those who did not use video feedback (the control group), exploring whether self-regulation, represented by their think-aloud verbalisations and practice strategies, differed. The results revealed that the participants who used video feedback (i.e. the experimental group; n = 8) evaluated different aspects of their playing after the viewing of the video-recorded performances, as compared with their self-evaluations immediately after the performance itself. More specifically, they made more comments about the position of their hand, interpretation and instrumental execution in general, and fewer comments about the performance flow after viewing the video-recorded performances. Concerning the think aloud verbalisations during the practice sessions, the participants in the experimental group (n = 8) modified the way they self-evaluated while practising. More precisely, they made fewer think-aloud comments associated with a general appreciation of the playing and instead made more comments associated with problem solving as they were learning the piece, than the participants in the control group (n = 8). These changes were of a greatest amplitude among the higher-performing participants (i.e. those who had attained the highest grades in their performance examinations) from the experimental group (n = 3). Finally, the analysis of the strategies used by the participants while practising revealed that the participants who used video feedback (n = 8) practised at a slower tempo and played longer segments of the piece earlier in the learning process than the participants who did not use video feedback (n = 8).
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Medien im Kontext der religiös orientierten Bildungsarbeit eine Untersuchung zur Bildungsmedienentwicklung seit 1945 unter besonderer Berücksichtigung der audiovisuellen MedienRohloff, Björn January 2008 (has links)
Zugl.: Dortmund, Univ., Diss., 2008
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L'adaptabilité du droit d'auteur à l'évolution du financement du cinéma / The adaptability of the author's right through the evolution of the French film financingMonnerie, Cédric 30 June 2010 (has links)
Le thème de la recherche est né d'un constat : il existe un lien intime entre le droit d'auteur et le financement de l'oeuvre cinématographique. En effet, le producteur délégué, garant de la bonne fin de la fabrication et de la livraison du film, délivre à ses partenaires des autorisations d?exploitation en contrepartie desquelles il obtient des concours qui assurent la structuration financière du film. Coproducteurs, distributeurs, télédiffuseurs et autres exploitants sont ainsi, selon des formules diverses, autant de partenaires industriels et commerciaux, ayants droit et contributeurs financiers du film. A la question de la couverture financière d'un devis de fabrication, vient s'ajouter celle du financement de la trésorerie du film. Les bailleurs de fonds limitent habituellement leur risque à la commercialisation et n?entendent pas assumer le risque de fabrication. Le recours au crédit est, par conséquent, un aspect fondamental du financement du film. La propriété intellectuelle constitue alors la principale forme de valeur dans la composition des garanties et des moyens de paiement du cinéma. De fait, le droit d'auteur est la cause et l'objet des grands édifices juridiques et financiers du cinéma. A partir de ce constat, l'étude a pour ambition de rechercher l'aptitude du droit d'auteur à se dédoubler pour constituer une forme de propriété adaptée au financement des films tout en assurant la protection efficace des auteurs des oeuvres cinématographiques. Les difficultés de cette ubiquité résident dans le rapport d'opposition entre les fonctions assignées au droit d'auteur : l'intégrité artistique de l'oeuvre cinématographique procède de la préservation de la personne du créateur et dicte, en conséquence, une vision personnaliste du droit d'auteur ; les impératifs de la fabrication financière du film commandent de protéger la mission de production et reposent, en conséquence, sur une vision propriétariste du droit d'auteur. En réalité, le droit d'auteur français est avant tout un ensemble d'attributs d'ordre moral, intellectuel et patrimonial sanctionné par l'ordre public de protection de l'auteur. Un équilibre des protections de l'auteur et du producteur reste à trouver. Le contrat, comme outil d'anticipation, en est l'un des instruments. / The theme for this research originated in the realization that there is an intimate link between the author's rights and the financing of a feature film. Indeed, the "delegate" producer, as guarantor of the completion and delivery of the film, passes on to its partners the consents necessary for the exploitation of the film in consideration for the contributions which insure the financial structuring of such film. The co-producers, distributors, broadcasters and other exploitants are thus, so many industrial and business partners, rights holders and financial contributors to the film. To the issue of the financing of a budget must be added that of the cash flow. The fund providers usually limit their risks to the distribution of the film and do not intend to take on a production risk. Using credit is consequently a fundamental aspect of the financing of the film. In that context, intellectual property constitutes the principal form of asset to substantiate the securities and the means of payment of the film industry. The author's rights is thus the cause and subject matter of the great legal and financial structures of the film industry. From that realization, this research ambitions to / aspires to study the ability of the author's right to divide to form a sort of proprietary right fit for the financing of the films while insuring an efficient protection of the authors of cinematographic works. The complexity of such ubiquity resides in the opposing forces of the set functions of the author's rights: the artistic integrity of the work derives from the preservation of the creator and dictates a personal vision of the author's right. The constraints of the financial production of the film impose to protect the producer's mission and are grounded on a proprietary vision of the author's rights. In reality the French author's rights is above all an ensemble of moral, intellectual, financial features sanctioned by the public order of the protection of the author. The balance between the protection of the author and the producer remains to be found. The agreement, as an anticipation tool, is one of its instruments.
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Untersuchung der Erfolgsfaktoren fest installierter immersiv-audiovisueller Projektionen in KunstmuseenFritsche, Julia Carlotta 22 August 2022 (has links)
Diese Arbeit befasst sich mit der Frage, wie eine immersiv wirkende Projektion in Kunstmuseen
erfolgreich gestaltet werden kann und welche Faktoren dazu berücksichtigt werden
müssen. Dabei werden die Perspektiven der Besucher sowie der Umsetzer näher betrachtet.
Inhalt dieser Projektion können klassische Gemälde oder digitale Kunstwerke sein, die in
einer 360° Konstellation im Raum projiziert werden.
Zunächst wird der ökonomische Blick auf Kunstmuseen und Ausstellungen behandelt wie
auch auf immersiv-audiovisuelle-Projektionen eingegangen. Darauf folgt eine Betrachtung
der klassischen Erfolgsfaktorenforschung sowie der Erfolgsfaktoren von Kunstausstellungen.
Anhand dieser theoretischen Basis entwickelt die Autorin ein potenzielles Erfolgsfaktorenmodell,
das in einer praktischen Untersuchung mittels einer direkten, methodisch und
materiell gestützten Ermittlung überprüft wird. Hierfür werden zuerst Nutzerkommentare
auf einer Online-Bewertungsseite zum Thema immersiv-audiovisueller Projektionen
analysiert worauf sich eine Besucherbefragung in einem Kunstmuseum anschließt, die
eine immersiv-audiovisuelle Projektion (IAP) anbietet. Anhand zweier Experteninterviews
werden die potenziellen umsetzerbezogenen Erfolgsfaktoren überprüft.
Die Autorin dieser Arbeit konnte vier besucherbezogene Haupterfolgsfaktoren und 25
Erfolgsfaktoren herauskristallisieren. Auf umsetzerbezogener Seite sind es zehn Haupterfolgsfaktoren
sowie 27 dazugehörige Erfolgsfaktoren. Das Erfolgsfaktorenmodell basiert auf
dem Bestreben kulturpolitische sowie ökonomische Ziele zu erreichen.
Auf Basis dieser Erfolgsfaktoren werden Handlungsempfehlungen abgeleitet, die sich im
Rahmen dieser Arbeit vor allem an die Umsetzer einer IAP wie beispielsweise Kunstmuseen
deren Mitarbeiter oder Künstlerkollektive wenden.:I Theoretischer Teil
1 Einleitung
1.1 Ausgangspunkt und Motivation
1.2 Zielsetzung, Fragestellungen und Abgrenzung
1.3 Methodik und Aufbau der Arbeit
2 Das Kunstmuseum: zwischen Kunst und Ökonomie
2.1 Notwendigkeit des ökonomischen Blicks auf Kunstmuseen
2.2 Der ökonomische Blick auf Kunstmuseen
2.3 Ausstellungen und ihr Management
3 Immersiv-audiovisuelle Projektionen
3.1 Die Rolle der digitalen Medien in Museen
3.2 Immersion
3.3 Bedeutung immersiver Projektionsräume für Kunstmuseen
3.4 Umsetzung einer immersiv-audiovisuellen Projektion
3.5 Anbieter fest installierter IAPs in Kunstmuseen
4 Erfolgsfaktorenforschung
4.1 Die klassische Erfolgsfaktorenforschung
4.2 Erfolg von Kunstausstellungen
5 Entwicklung eines theoretischen Erfolgsfaktorenmodells für IAP
5.1 Transponierung der Erfolgsfaktoren
5.2 Potenzielle Hierarchisierung
5.3 Theoretisches Erfolgsfaktorenmodell
II Praktischer Teil
6 Methodik und Vorgehensweise
6.1 Forschungsfragen und Thesen
6.2 Methodik und Durchführung
7 Ergebnisse der Untersuchung
7.1 Analyse der Bewertungswebseite
7.2 Besucherbefragung
7.3 Experteninterviews
7.4 Zusammenfassung
8 Diskussion
8.1 Bewertung der Methodik und Limitationen
8.2 Bewertung der Ergebnisse
8.3 Implikationen für zukünftige Arbeiten
9 Handlungsempfehlungen
10 Fazit
11 Ausblick / This work deals with the question of how an immersive projection in art museums can be
successfully designed and which factors have to be taken into account. The perspectives of
the visitors as well as those of the implementers are examined more closely. The content of
this projection can be classical paintings or digital artworks, which are projected in a 360°
constellation in space.
First of all, the economic view of art museums and exhibitions is treated as well as immersive
audio-visual projections. This is followed by an examination of classical success factor
research and the success factors of art exhibitions. On the basis of this theoretical foundation,
the author develops a potential success factor model, which will be tested in a practical
investigation by means of a direct, methodically and materially supported determination. For
this purpose, user comments on an online evaluation page on the topic of immersive audiovisual
projections are first analysed, followed by a visitor survey in an art museum, which is
offered by an IAP. Based on two expert interviews, the potential implementation-related
success factors are examined.
The author of this work was able to crystallize four visitor-related main success factors and
25 associated success factors. On the implementer-related side, there are ten main success
factors and 27 associated success factors. The success factor model is based on the endeavour
to achieve cultural-political and economic goals.
On the basis of these success factors, action-orientated recommendations are derived, which
in the context of this work are addressed primarily to the implementers of an IAP, such as
art museums, their employees or artists’ collectives.:I Theoretischer Teil
1 Einleitung
1.1 Ausgangspunkt und Motivation
1.2 Zielsetzung, Fragestellungen und Abgrenzung
1.3 Methodik und Aufbau der Arbeit
2 Das Kunstmuseum: zwischen Kunst und Ökonomie
2.1 Notwendigkeit des ökonomischen Blicks auf Kunstmuseen
2.2 Der ökonomische Blick auf Kunstmuseen
2.3 Ausstellungen und ihr Management
3 Immersiv-audiovisuelle Projektionen
3.1 Die Rolle der digitalen Medien in Museen
3.2 Immersion
3.3 Bedeutung immersiver Projektionsräume für Kunstmuseen
3.4 Umsetzung einer immersiv-audiovisuellen Projektion
3.5 Anbieter fest installierter IAPs in Kunstmuseen
4 Erfolgsfaktorenforschung
4.1 Die klassische Erfolgsfaktorenforschung
4.2 Erfolg von Kunstausstellungen
5 Entwicklung eines theoretischen Erfolgsfaktorenmodells für IAP
5.1 Transponierung der Erfolgsfaktoren
5.2 Potenzielle Hierarchisierung
5.3 Theoretisches Erfolgsfaktorenmodell
II Praktischer Teil
6 Methodik und Vorgehensweise
6.1 Forschungsfragen und Thesen
6.2 Methodik und Durchführung
7 Ergebnisse der Untersuchung
7.1 Analyse der Bewertungswebseite
7.2 Besucherbefragung
7.3 Experteninterviews
7.4 Zusammenfassung
8 Diskussion
8.1 Bewertung der Methodik und Limitationen
8.2 Bewertung der Ergebnisse
8.3 Implikationen für zukünftige Arbeiten
9 Handlungsempfehlungen
10 Fazit
11 Ausblick
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L'audio-vision et l'enseignement des langues vivantesPervy, Adolphe 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Les images dans la communication télévisuelle de l'histoire : émission et réception : une expérience " Origines de l'Occident"Valois, Jeanne 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les images dans la communication télévisuelle de l'histoire : émission et réception : une expérience " Origines de l'Occident"Valois, Jeanne 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Das Unbekannte im Archiv? Audio- und Videoquellen: Zugänglichkeit und ErhaltungFröschl, Gabriele 13 June 2022 (has links)
Audiovisuelle Medien nehmen in Archiven – mit Ausnahme der einschlägigen Facharchive – eine Sonderstellung ein und führen aufgrund ihrer technischen Gegebenheiten oftmals eine Randexistenz. Die Bewertung dieser Archivalien für die Sammlung und die (digitale) Langzeitarchivierung hängt von Überlegungen ab, die sowohl inhaltliche als auch technische Faktoren mit berücksichtigen müssen.
Welche Schritte sind dazu notwendig? Was ist das Besondere an audiovisuellen Medien? Wie kann man sie in die digitale Welt überführen und was ist dabei zu beachten?
Am Beispiel der Österreichischen Mediathek, dem audiovisuellen Nationalarchiv in Österreich, werden einige dieser Arbeitsschritte dargestellt – die ein Beispiel für eine mögliche Arbeitsweise in Archiven, Museen und Sammlungen mit audiovisuellen Beständen darstellen können. / Audiovisual media occupy – with the exception of the relevant specialist archives – a special position in archives and often lead a marginal existence due to their technical circumstances. The evaluation of these archival materials for the collection and the (digital) long-term archiving depends on considerations that must take into account both content-related issues as well as technical issues.
What steps are necessary? What is special about audiovisual media? How can they be transferred to the digital world and what should be taken into account?
Using the example of the Österreichische Mediathek, the audiovisual national archive in Austria, some of these work steps are presented – which can be an example of a possible way of working in archives, museums and collections with audiovisual holdings.
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