Submitted by Márcio Maia (marciokjmaia@gmail.com) on 2016-08-15T19:43:22Z No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 3500941 bytes, checksum: 9147c179e539c66bda91be54cd5e19b2 (MD5) / Made available in DSpace on 2016-08-15T19:43:22Z (GMT). No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 3500941 bytes, checksum: 9147c179e539c66bda91be54cd5e19b2 (MD5) Previous issue date: 2016-04-29 / L'objectif de cette recherche était d'étudier les pratiques éducatives de Maria Eulalia Cantalice Cavalcante étaient importants pour le développement de l'éducation dans la ville Guarabira / PB et mettre en évidence les éléments de leur éducation et de formation à João Pessoa, dans la période 1920-1999 . Maria Eulalia est un éducateur, a 103 ans et vit dans la ville Guarabira / PB. Après la période de leur éducation et de préparation à la pratique de l'enseignement à João Pessoa, cet éducateur revient à Guarabira, où il a servi dans plusieurs écoles: Groupe scolaire Anthenor Navarro a fondé le Educandário de Santa Terezinha, ont travaillé à l'École Notre-Dame de la Lumière à l'école commerce technique Santo Antonio et de l'école d'État José Soares de Carvalho. Par conséquent, je préconise l'idée que la reconnaissance des pratiques Maria Eulalia est produite à partir du moment où elle était un enseignant formé au plus haut niveau de l'école normale de Paraiba instruction dans les premières décennies du XXe siècle, et devient contribuer au développement de l'éducation de la ville Guarabira, en particulier dans la préparation des étudiants à l'examen d'entrée. Grâce à ses cours, les étudiants de cela et d'autres villes voisines ont obtenu une bonne performance dans l'examen d'entrée brisant ainsi la barrière de leur accès à l'enseignement secondaire. Dans cette recherche, opto les hypothèses théoriques méthodologiques de l'histoire culturelle du Nouveau, qui permettent non seulement de comprendre un temps, en fixant la société analysée respective, mais révèlent aussi historiquement le rôle et la contribution de Maria Eulalia en tant qu'éducateur dans le débat éducatif en Paraiba. Aussi j'ai choisi de travailler avec Chartier (1994) qui traite des pratiques culturelles, et construit les notions de représentation, de la pratique et de la propriété comme un moyen de comprendre les objets historiques dans sa dimension culturelle, et Certeau (1994) qui met l'accent sur les gens «ordinaires», leur ruse et de la créativité. J'utilise la méthodologie de (auto) biographie et les contributions de Paul Thompson (1992) sur l'histoire orale. Les récits de Maria Eulalia sur leur éducation, la formation et l'expérience professionnelle étaient la principale source associée à leurs ordinateurs portables, des photographies, des livres, des magazines et des journaux disponibles dans vos souvenirs de chambre; et des entrevues avec leurs enfants, petite-fille, les anciens et les anciens enseignants. Maria Eulalia a complété le cours de formation à l'école normale officiel de Paraiba, quand un étudiant de ce cours ont participé à la deuxième semaine de l'éducation, et a gardé le Journal de l'éducation et l'emploi Magazine, tous deux de 1934. En Guarabira préparé leurs élèves à l'examen d'entrée, Il a participé en tant que membre de l'Organisation des Semaines pédagogiques et organisé des anciens livres, fonda des écoles et des cours et a été le premier secrétaire de la Société des professeurs de Guarabira primaire. / O objetivo geral desta pesquisa foi investigar quais práticas educativas de Maria Eulália Cantalice Cavalcante foram importantes para o desenvolvimento da escolarização na cidade Guarabira/PB, bem como destacar os elementos de sua escolarização e formação profissional em João Pessoa, no período compreendido entre 1920 a 1999. Maria Eulália é educadora, tem 103 anos e vive na cidade Guarabira/PB. Após o período de sua escolarização e preparação para o exercício do magistério em João Pessoa, essa educadora regressa a Guarabira, onde atuou em diversas escolas: Grupo Escolar Anthenor Navarro, fundou o Educandário Santa Terezinha, trabalhou no Colégio Nossa Senhora da Luz, na Escola Técnica de Comércio Santo Antônio e na Escola Estadual José Soares de Carvalho. Por isso, advoguei a tese de que o reconhecimento das práticas de Maria Eulália se deu a partir do momento em que ela foi uma professora formada no mais alto grau de instrução da Escola Normal da Paraíba, nas primeiras décadas do século XX, e passa a contribuir com o desenvolvimento da escolarização da cidade Guarabira, principalmente na preparação dos alunos para o exame de admissão. Através de suas aulas, os alunos desta e de outras cidades vizinhas obtinham um bom desempenho no exame de admissão quebrando assim a barreira para o acesso deles ao ensino secundário. Nesta pesquisa, opto pelos pressupostos teóricos metodológicos da Nova História Cultural, que permitem não apenas compreender uma época, através da configuração da respectiva sociedade analisada, mas também revelar historicamente a atuação e contribuição de Maria Eulália como educadora no debate educacional na Paraíba. Também optei por trabalhar com Chartier (1994) que aborda as práticas culturais, e constrói as noções de representação, prática e apropriação como forma de compreender os objetos históricos em sua dimensão cultural, e Certeau (1994) que focaliza as pessoas “ordinárias”, suas astúcias e criatividade. Utilizo a metodologia da (auto)biografia e as contribuições de Paul Thompson (1992) sobre a história oral. As narrativas de Maria Eulália sobre a sua escolarização, formação e atuação profissional foram a principal fonte, associados a seus cadernos, fotografias, livros, revistas e jornais disponíveis em seu quarto de memórias; bem como as entrevistas realizadas com seus filhos, neta, ex-alunos e ex-professores. Maria Eulália concluiu o Curso de Aperfeiçoamento na Escola Normal Oficial da Paraíba, quando aluna deste curso participou da Segunda Semana Pedagógica, e guardou a Revista de Ensino e a Revista Vagas, ambas de 1934. Em Guarabira preparou seus alunos para o exame de admissão, participou como membro da organização das Semanas Pedagógicas e organizou Grêmios Literários, fundou escolas e cursos e foi primeira secretária da Sociedade dos Professores Primários de Guarabira.

Cette étude mobilise trois histoires de vie afin d’étudier la construction des subjectivités de femmes biraciales au Québec en 2021. En plus de s’inscrire dans les études sociologiques de la famille, cette recherche dévoile également l’articulation d’un dialogue entre la littérature issue des mixed-race studies, les études critiques de la race, les études de la blanchité. Annexé au savoir expérientiel des répondantes, cela permet de mettre en lumière certains enjeux rencontrés face à l’articulation des identités raciales des femmes issues d’une union interraciale (Noire-blanche). Ainsi, les objectifs spécifiques de ce travail sont d’analyser les impacts de ces enjeux raciaux sur la construction du soi. Les concepts de la racialisation mouvante, voire aléatoire, la binarité de la race ainsi que l’invalidation des identités raciales dans divers espaces de socialisation sont particulièrement explorés. C’est avec un bref rappel historique du passé esclavagiste de la « Belle Province » (Québec) que je démontre que la domination blanche en tant que système est au fondement des stéréotypes raciaux socialement construits qui continuent à définir (ou de laisser se définir) les corps noir.e.s et biraciaux. Quoique cette emprise racialisante soit un frein aux articulations complexes des identités biraciales, cette recherche illustre qu’il est néanmoins possible, par le biais de la résistance et de l’agentivité, que des femmes biraciales construisent leurs subjectivités en dehors des cadres fixes, objectivants et imposés socialement.