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Classification interne du groupe bantoïde

Piron, Pascale January 1996 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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archéologie, traditions orales et ethnographie au nord du Cameroun: histoire de la région du Faro durant le dernier millénaire/archaeology, ethnography and oral traditions in northern Cameroon: history of the settlement in the region of Faro in the last millennium

Mezop Temgoua, Alice 19 May 2011 (has links)
A la limite entre le Cameroun et le Nigéria, la région du Faro est une zone d’extraordinaire diversité, tant du point de vue des populations que de la topographie. Pas moins de 13 groupes ethnolinguistiques y sont documentés, qui appartiennent à 3 grands ensembles linguistiques et se répartissent dans la plaine et les montagnes. Les données de la linguistique indiquent que les représentants des langues adamaoua seraient présents dans la plaine de la Bénoué et du Faro depuis environ quatre mille ans. Au niveau de l'ethnohistoire, on sait que les habitants des plaines sous soumis à l’autorité des Foulbé depuis deux siècles. Mais au delà de cette période, de nombreuses zones d'ombre demeurent. L’histoire des populations de cette partie du bassin de la Bénoué avant le 19ème siècle semblait donc hors d’atteinte, car la région du Faro restait vierge du point de vue archéologique. Dans ce travail, j’apporte par le biais d'une approche historique et comparative des éléments susceptible d’expliquer, d’une part la complexité qui caractérise le peuplement du Faro et, d’autre part, la façon dont le peuplement de cette région a évolué au cours du dernier millénaire. Il est également question de faire progresser la réflexion méthodologique, en évaluant la façon dont les modèles obtenus par l’archéologie peuvent être confrontés avec ceux qui se basent sur les traditions orales, les éléments de la culture matérielle actuelle et la linguistique. L’étude des traditions orales a permis de classer par ordre chronologique les éléments historiques importants et d’établir une histoire du peuplement durant ces derniers siècles. Elle confirme qu’il est possible de reconnaître des racines remontant au delà du 19ème siècle à la plupart des groupes qui peuplent encore la région aujourd’hui, ainsi que de nombreuses ruptures dans l’histoire du peuplement du Faro. Contrairement aux travaux antérieurs, la plus importante de ces fractures date du début du 19ème siècle, avec l’occupation des conquérants foulbé, qui ont provoqué l’insécurité généralisée, la division de la région en deux et les plus importantes déportations de populations des plaines vers les montagnes refuges. L’approche archéologique a permis d’établir la première séquence chrono-culturelle du Faro au cours du dernier millénaire. Si la présence d’un peuplement ancien dans la plaine était envisagée, l’étude archéologique apporte la preuve que des communautés humaines vivent dans le Faro depuis environ 1000 ans. A partir du 15ème siècle, des modifications surviennent. Celles-ci se manifestent surtout par l’apparition d’une nouvelle poterie ornée au Blepharis sp. Lorsque l’on compare la carte de distribution des sites associés à cette céramique, au trajet suivi par les Bata, qui remontent le cours du Faro en implantant des villages et à l’aire d’extension des langues tchadiques au Faro, il semble plausible que de nouvelles populations occupent la région vers le milieu du dernier millénaire de notre ère. Pour le 19ème siècle bien documenté par les traditions orales, les données archéologiques viennent renforcer l’idée d’une profonde rupture durant cette période. En abordant l’histoire du peuplement du Faro, il était nécessaire d’examiner le concept de l’ethnicité comme il est classiquement employé dans la région. D’une manière générale, l’étude conforte l’idée qu’il est très difficile d’aborder la profondeur historique des identités des groupes actuels. La confrontation entre les faits des cultures vivantes et les résultats archéologiques a permis d’évaluer les potentialités de raisonnements historique et comparatif. On ne peut que constater, dans cet exemple concret, le grand intérêt qu’il y a à fonder la reconstitution du passé sur de multiples sources.
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Magnétostratigraphie et sédimentologie des formations crétacées des bassins sédimentaires d'Hamakoussou et du Mayo Oulo-Léré au Nord-Cameroun (Fossé de la Bénoué) / Magnetostratigraphy and sedimentology in the cretaceaous formations of the Hamakoussou and Mayo Oulo-Léré basins, Northern Cameroon (Benue Trough)

Ntsama Atangana, Jacqueline 20 December 2013 (has links)
Les bassins sédimentaires d'Hamakoussou et du Mayo Oulo-Léré sont des bassins à sédiments continentaux. Ils se situent en territoire camerounais, dans le prolongement de la branche de Yola de direction Est-Ouest du Fossé de la Bénoué dont la mise en place est liée à l'ouverture de l'Atlantique Sud à partir de la dislocation du Gondwana. L'âge de ces bassins est basé sur des études biochronologiques les situant dans le Crétacé inférieur. La série sédimentaire est sensiblement la même dans les deux bassins, elle est constituée de dépôts fluviatiles à fluviolacustres montrant une alternance de grés, de siltite et d'argilite.Des prélèvements paléomagnétiques ont été effectués sur des niveaux fins situés dans la partie supérieure de la série sédimentaire de chaque section. Dans le bassin sédimentaire d'Hamakoussou, 50 échantillons sur 11 sites d'épaisseur égale à 69 m, ont été prélevés dans la localité de Djallou et 78 échantillons sur 20 sites d'une épaisseur de 511 m dans la localité d'Ourokessoum. Dans le bassin du Mayo Oulo-Léré, 116 échantillons sur 45 sites sur une épaisseur de 478 m ont été prélevés dans la localité de Tchontchi.La désaimantation progressive au champ alternatif et à la température de ces échantillons montre que les séries sédimentaires de ces bassins portent une aimantation primaire. Les directions d'aimantation ont permis de déceler une tectonique régionale marquée par un mouvement de rotation autour de l'axe vertical et un mouvement de translation des blocs. Les minéraux magnétiques porteurs de cette aimantation sont de faible, moyenne et de forte coercivité. Une séquence de trois polarités a été déterminée le long de chaque section du bassin d'Hamakoussou : une polarité inverse et deux polarités normales. Dans le bassin du Mayo Oulo-Léré, la section Mayo a livré deux polarités dont une normale et une, inverse. La séquence de polarités obtenue pour chaque coupe a été corrélée avec l'échelle de temps de polarités magnétiques. Les trois polarités des coupes du bassin d'Hamakoussou ont été corrélées avec les chrones M1 et M3 avec un âge compris entre 125 Ma et 128,11 Ma. La séquence d'inversions de la coupe du Mayo Oulo-Léré a été corrélée avec le chrone M1 avec un âge compris entre 125 Ma et 127,61 Ma. Le taux de sédimentation des dépôts du bassin d'Hamakoussou varie entre 5,5 cm/ma et 40,5 cm/ma et est de 38 cm/ma dans la section du Mayo Oulo-Léré. / Hamakoussou and Mayo Oulo-Léré sedimentary basins are extension of the executive branch of East-West Yola Benue Trough, whose formation is related to the opening of the South Atlantic from the dislocation of Gondwana, in the Cameroonian territory. An age range of lower Cretaceous to Barremian-Hauterivian limit has been assigned based on biochronological studies. The sedimentary sequence in both basins is composed upward finnings fluivial to fluviolacustrine deposits. The deposits present an alternation of fine grained sandstone, siltstone and mudstone overlying coarse sandstone which is underlain by micro-conglomerate to conglomerate facies at the base.A magnetostratigraphic study has been carried out on a fine sediments in the upper part of each sections. 50 samples from about 69.03 m thickness, were collected from 11 sites at Djallou and 78 samples, about 511.03 m thickness, were collected from 20 sites at Ourokessoum localities in the Hamakoussou basin ; and 116 samples, about 478.19 m thickness, collected from 45 sites at Tchontchi locality in the Mayo Oulo-Lere basin.Specimens subjected to progressive alternating field and thermal demagnetization show that the sedimentary sequences have a primary magnetization. The directions of magnetization indicate a regional tectonic marked by a rotation and translation block. Rock magnetic investigations reveal the presence of both high and low coercivity minerals. A sequence of three polarities was determined along each section of the Hamakoussou basin: one reversal polarity and two normal polarities, whereas two polarities: (normal and a reversal) were determined along Mayo section in the Mayo Oulo-Lere basin The three polarities sequences from the two sections from Hamakoussou basin are correlated with M1 and M3 Chrons and suggest an age between 125 and 128, 11 My. While the two polarities sequences from the Mayo Oulo-Lere basin are correlated with M1 Chron, and suggest an age between 125 and 127.61 My. The sedimentation rates of Hamakoussou basin deposits vary between 5.5 cm/kyr and 40.88 cm/kyr and 38.26 cm/kyr in the section of Mayo Oulo-Lere basin.
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Archéologie, traditions orales et ethnographie au nord du Cameroun: histoire du peuplement de la région du Faro durant le dernier millénaire / Archaeology, ethnography and oral traditions in northern Cameroon: history of the settlement in the region of Faro in the last millennium

Mezop Temgoua, Alice Lucie 19 May 2011 (has links)
A la limite entre le Cameroun et le Nigéria, la région du Faro est une zone d’extraordinaire diversité, tant du point de vue des populations que de la topographie. Pas moins de 13 groupes ethnolinguistiques y sont documentés, qui appartiennent à 3 grands ensembles linguistiques et se répartissent dans la plaine et les montagnes. Les données de la linguistique indiquent que les représentants des langues adamaoua seraient présents dans la plaine de la Bénoué et du Faro depuis environ quatre mille ans. Au niveau de l'ethnohistoire, on sait que les habitants des plaines sous soumis à l’autorité des Foulbé depuis deux siècles. Mais au delà de cette période, de nombreuses zones d'ombre demeurent. L’histoire des populations de cette partie du bassin de la Bénoué avant le 19ème siècle semblait donc hors d’atteinte, car la région du Faro restait vierge du point de vue archéologique. <p>Dans ce travail, j’apporte par le biais d'une approche historique et comparative des éléments susceptible d’expliquer, d’une part la complexité qui caractérise le peuplement du Faro et, d’autre part, la façon dont le peuplement de cette région a évolué au cours du dernier millénaire. Il est également question de faire progresser la réflexion méthodologique, en évaluant la façon dont les modèles obtenus par l’archéologie peuvent être confrontés avec ceux qui se basent sur les traditions orales, les éléments de la culture matérielle actuelle et la linguistique.<p>L’étude des traditions orales a permis de classer par ordre chronologique les éléments historiques importants et d’établir une histoire du peuplement durant ces derniers siècles. Elle confirme qu’il est possible de reconnaître des racines remontant au delà du 19ème siècle à la plupart des groupes qui peuplent encore la région aujourd’hui, ainsi que de nombreuses ruptures dans l’histoire du peuplement du Faro. Contrairement aux travaux antérieurs, la plus importante de ces fractures date du début du 19ème siècle, avec l’occupation des conquérants foulbé, qui ont provoqué l’insécurité généralisée, la division de la région en deux et les plus importantes déportations de populations des plaines vers les montagnes refuges.<p>L’approche archéologique a permis d’établir la première séquence chrono-culturelle du Faro au cours du dernier millénaire. Si la présence d’un peuplement ancien dans la plaine était envisagée, l’étude archéologique apporte la preuve que des communautés humaines vivent dans le Faro depuis environ 1000 ans. A partir du 15ème siècle, des modifications surviennent. Celles-ci se manifestent surtout par l’apparition d’une nouvelle poterie ornée au Blepharis sp. Lorsque l’on compare la carte de distribution des sites associés à cette céramique, au trajet suivi par les Bata, qui remontent le cours du Faro en implantant des villages et à l’aire d’extension des langues tchadiques au Faro, il semble plausible que de nouvelles populations occupent la région vers le milieu du dernier millénaire de notre ère. Pour le 19ème siècle bien documenté par les traditions orales, les données archéologiques viennent renforcer l’idée d’une profonde rupture durant cette période.<p>En abordant l’histoire du peuplement du Faro, il était nécessaire d’examiner le concept de l’ethnicité comme il est classiquement employé dans la région. D’une manière générale, l’étude conforte l’idée qu’il est très difficile d’aborder la profondeur historique des identités des groupes actuels.<p>La confrontation entre les faits des cultures vivantes et les résultats archéologiques a permis d’évaluer les potentialités de raisonnements historique et comparatif. On ne peut que constater, dans cet exemple concret, le grand intérêt qu’il y a à fonder la reconstitution du passé sur de multiples sources. <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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