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Kleinbäuerlicher Nassreisanbau in Bas-Fonds der Côte d'Ivoire, Westafrika /Mund, Jan-Peter. January 2004 (has links)
Diss.--Mainz--Johannes Gutenberg-Universität, 2002. / Bibliogr. p. 265-281. Index.
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Rhamphicarpa fistulosa : infestation dans les bas-fonds rizicoles de la Région des Savanes (Togo) et étude des interactions hôte-parasite / Rhamphicarpa fistulosa : infestation in lowland rice fields of the Savannah Region (Togo), and study of the host-parasite interactionsHoungbédji, Tossimidé 18 November 2016 (has links)
Une des contraintes biotiques majeures de la riziculture de bas-fond au nord du Togo est l’adventice parasite Rhamphicarpa fistulosa (Hochst.) Benth. Afin d’évaluer les options stratégiques pour contrôler efficacement R. fistulosa, notre étude a été conduite avec comme principaux objectifs : 1) l’identification de la répartition de R. fistulosa et l’étude des facteurs qui favorisent son infestation, 2) l’étude de l’impact des niveaux d’infestation sur la flore adventice du riz, et 3) la caractérisation des interactions hôte-parasite et de leurs impacts sur le développement de l’hôte et les performances reproductives du parasite. A l’issu des prospections de terrain, les plus fortes infestations ont été retrouvées sur des sols majoritairement à texture sableuse et très pauvres en matière organique. Une flore adventice très diversifiée a été retrouvée en présence de R. fistulosa, certaines adventices pouvant être parasitées et constituer éventuellement un réservoir pour accroître le stock semencier du parasite. En conditions contrôlées, R. fistulosa se développe et se reproduit aussi bien sur le riz que sur la tomate, alors que le soja retarde la reproduction du parasite. La germination des graines de R. fistulosa est maximale en présence de graines de plantes cultivées ou adventices. Les graines nouvellement récoltées ont une dormance de plus de six mois, mais leur germination a été stimulée par la présence de phytohormones. En conclusion, les meilleures stratégies de lutte doivent impliquer le contrôle par les semis tardifs, les rotations culturales avec les légumineuses comme le soja, l’arachide ou le niébé, et les cultures maraîchères. / Main biotic constraints to rain-fed lowland rice cultivation in northern Togo include the parasitic weed Rhamphicarpa fistulosa (Hochst.) Benth. In order to evaluate efficient strategies to control R. fistulosa, our study was performed taking into account the following main objectives: 1) Identification of the distribution of R. fistulosa and study of the factors favouring its infestation, 2) Study of the impacts of infestation levels on rice weed communities, and 3) Characterization of the host-parasite interactions and their impacts on the host development and the parasite reproduction. Following fields investigations, highest infestations were observed on sandy soils with low levels of organic matter.In addition, weed flora found in the presence of R. fistulosa was much diversified and some weeds were found to been parasitized and could possibly constitute reservoirs to increase the seed stock of the parasite. In controlled experiments, R. fistulosa grown and reproduced better on rice and tomato crops, than on soybean which delayed the reproduction of the parasite. Germination of R. fistulosa seeds was stimulated in presence of cultivated crops or weeds. New collected seeds shown six months dormancy but their germination was stimulated in presence of phytohormones. In conclusion, the best strategies to control R. fistulosa must include delayed sowing, crop rotation with leguminous species (i.e. soybean, peanut or cowpea) and vegetable cropsKeywords: Rhamphicarpa fistulosa, rice, lowland, parasitism, host-parasite interaction, weeds.
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Mise au point d'une méthode d'évaluation systémique d'impact des projets de développement agricole sur le revenu des producteurs. Etude de cas en région kpèlè (République de Guinée)Delarue, Jocelyne 14 June 2007 (has links) (PDF)
L'évaluation d'impact des projets de développement est aujourd'hui dominée par les méthodes quantitatives : expérimentales ou quasi-expérimentales. Elles sont toutefois difficilement applicables aux projets de développement agricoles, et elles ne permettent pas de quantifier l'impact sur toute la durée de vie des réalisations. Cette thèse propose une nouvelle méthode, l'évaluation systémique d'impact. Elle permet à la fois de comprendre les processus par lesquels l'impact se matérialise et de quantifier rigoureusement l'impact des projets de développement agricole sur le revenu des producteurs. L'analyse repose notamment sur la compréhension des dynamiques agraires et des stratégies des agriculteurs, et permet de quantifier l'impact ex-post mais également d'en modéliser ex-ante l'évolution pour les années suivantes.<br /> L'évaluation systémique d'impact est appliquée à deux grands types de projets en Guinée forestière : les projets d'aménagements de bas-fonds et un projet agro-industriel de plantations de palmiers à huile et d'hévéas. Ces deux études de cas démontrent notamment l'importance de ne pas se contenter de rechercher un impact moyen sur les ménages : l'existence d'impacts fortement différenciés par système de production est l'une des principales conclusions de cette thèse.
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