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Agriculture, territoire et développement durable. Analyse systémique d'une agriculture littorale sous pression touristique : l'exemple de la Balagne en Corse

Tafani, Caroline 10 December 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objet l'analyse des conditions de la durabilité de l'agriculture d'une campagne de nouvelle ruralité, la Balagne maritime touristique au nord-ouest de la Corse. Considérant qu'un développement agricole durable repose sur des exploitants agricoles qui ont les capacités de pratiquer une agriculture multifonctionnelle, et que leurs pratiques sont largement conditionnées par le jeu des acteurs autour de la place et des fonctions de l'agriculture dans le territoire, une analyse systémique de la problématique est menée. Celle-ci s'appuie sur le concept de système agraire, alors inscrit dans un méta-système territorial. La présentation de ce cadre méthodologique et pratique réactualisé fait l'objet de la première partie de la thèse. Il est ensuite montré dans une seconde partie comment les interactions dynamiques entre des événements d'ordres démographiques, socio-économiques et politiques ont conduit à transformer la société horto-pastorale des années 1950 en territoire mixte, rural touristique : l'agriculture, entre pression foncière et valorisation touristique du patrimoine rural, y est au cœur d'enjeux contradictoires. Ces résultats sont notamment issus d'une étude statistique très précise des données SAFER Corse sur la période 1998-2008, ainsi que de l'analyse des plans et projets d'aménagement rural. La troisième partie expose enfin le fonctionnement technico-économique des systèmes de production agricole, et met en exergue que les exploitants qui répondent à, et tirent profit de la demande touristique de patrimoine rural possèdent un usage garanti du foncier exploité. Pourtant, si la maîtrise foncière est une condition nécessaire à un développement durable, elle n'est pas suffisante. Pour conclure, des pistes pour améliorer la durabilité de l'agriculture en Balagne sont suggérées.
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Entre ville et forêt : le futur de l'agriculture amérindienne en question. Transformations agraires en périphérie de São Gabriel da Cachoeira, Nord-ouest amazonien, Brésil

Eloy, Ludivine 10 December 2005 (has links) (PDF)
Cette thèse est une étude des recompositions de l'agriculture amérindienne autour d'une petite ville d'Amazonie. On montre que les pratiques agricoles sont moins déterminées par la densité démographique que par les trajectoires familiales de migration jusqu'à la ville, via divers modes d'appropriation des espaces-ressources et de captation de revenus monétaires dans le cadre de réseau de parenté élargis. Les agriculteurs sélectionnent des techniques agricoles exogènes et adaptent leurs pratiques traditionnelles. Si on constate des cas de spécialisation vers le marché, les stratégies familiales de diversification sont plus courantes. Les territorialités en réseau permettent de pallier la rareté croissante des ressources naturelles, et de satisfaire de nouvelles aspirations. L'agriculture d'abattis-brûlis joue un rôle central dans ces recompositions territoriales, car, de par sa souplesse, elle se combine dans l'espace et dans le temps aux autres activités. Ces innovations replacent les amérindiens en acteurs centraux de la création de la modernité dans leurs territoires.
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Evolution de l'occupation du sol et de l'environnement fluvial en haute vallée du Rhône (Ain, Isère), du Néolithique à l'époque moderne

Gaucher, Grégory 16 September 2011 (has links) (PDF)
Ce travail de thèse étudie les interactions entre les sociétés anciennes et un milieu fluvial localisé dans une microrégion de la vallée du Haut-Rhône français (Isle Crémieu et Bas Bugey). On a cherché à comprendre les rythmes et les processus d'évolution de cet anthroposystème fluvial sur le temps long, c'est-à-dire comment s'emboîtent et s'ajustent les systèmes social et fluvial. Il nous a fallu reconstituer les évolutions de l'hydrosystème, et celles des modes d'exploitation du milieu par les sociétés humaines depuis le Néolithique. Pour atteindre ces objectifs, nous avons mis en ouvre une approche pluridisciplinaire qui intègre les sciences humaines (archéologie, histoire, géographie) et les sciences paléoenvironnementales (géoarchéologie, archéobotanique et archéozoologie). Les résultats obtenus nous ont permis de discuter des imbrications des causalités climatiques et humaines sur l'évolution du milieu fluvial. Ils nous ont également permis d'estimer l'influence des changements de l'hydrosystème sur les modes d'occupation du sol (peuplements, systèmes agraires...). Il a en conséquence été question de la gestion du risque fluvial par les sociétés pré-protohistoriques et historiques.
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CHRONIQUE D'UNE CRISE AGRAIRE ANNONCÉE<br />Étude comparée des transformations des systèmes agraires et des dynamiques d'échanges transfrontaliers entre Haïti et la République Dominicaine - le cas de la filière banane plantain -

Freguin - Gresh, Sandrine 17 June 2005 (has links) (PDF)
L'étude comparée des systèmes agraires et des modes de commercialisation des bananes plantain de l'Arcahaie en Haïti et la vallée du Yaque del Sur en République Dominicaine, a été l'objet de cette recherche. Son objectif a consisté à analyser le processus historique de développement des systèmes de production dans ces deux régions. Il s'agissait à la fois de comprendre les raisons de la spécialisation dans la production de banane plantain, produit à la base du régime alimentaire des deux pays, et d'analyser le fonctionnement technique et les résultats économiques des systèmes de production ainsi que l'organisation des filières de commercialisation. Ceci a permis d'expliquer pourquoi la banane dominicaine arrive à très bas prix sur le marché de Port-au-Prince depuis une dizaine d'années, venant y concurrencer la banane haïtienne. La compréhension des transformations passées et de la situation actuelle devait permettre d'établir des<br />hypothèses quant aux perspectives d'évolution des agricultures et des échanges de part et d'autre de la frontière.<br />Cette recherche a été conduite sur la base d'une analyse-diagnostic de l'agriculture, axée sur l'étude de la place de la banane dans des systèmes de production parfois complexes, et d'une analyse filière dans les deux régions. Elle a reposé sur un travail de terrain approfondi : lecture de paysage, entretiens avec des producteurs et différents agents économiques de la filière. Nous avons mis en évidence que la libéralisation des échanges a eu un rôle majeur dans la spécialisation bananière. Alors que les systèmes de production s'articulaient sur des combinaisons complexes de cultures et d'élevages,<br />l'ouverture économique a conduit les agriculteurs à se spécialiser, par manque d'autres alternatives ; leurs systèmes de production ont été simplifiés et sont ainsi devenus très vulnérables sur le plan agronomique. La productivité plus faible du<br />travail, liée aux superficies réduites que travaillent les paysans haïtiens malgré de fortes valeurs ajoutées par hectare, et l'acquittement d'une rente foncière élevée, conduisent à la cherté du plantain de l'Arcahaie par rapport à celui de la vallée du Yaque del Sur. Comme les commerçants récupèrent un pourcentage équivalent du prix final, et malgré un fonctionnement distinct des deux filières, les bananes haïtiennes sont moins compétitives sur le marché port -au-princien; la concurrence de la banane dominicaine a eu pour conséquence une grave crise agraire.<br />Cette recherche se situe donc au coeur de la question des conséquences négatives de la mondialisation des<br />échanges agricoles sur les pays du Sud et aborde celle de la résolution de cette crise agraire, sans précédent dans l'histoire des paysanneries quisqueyennes.
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" Un sac de riz vide ne tient pas debout ". Dynamiques agraires régionales et marginalisation de la paysannerie sierra-léonaise.

Palliere, Augustin 02 July 2014 (has links) (PDF)
En Sierra Leone, la marginalisation de l'agriculture est une composante essentielle de la crise économique, sociale et politique dont la manifestation la plus tragique a été la guerre civile entre 1991 et 2001. À l'échelle nationale, le secteur agricole représente toujours la majorité des actifs, mais la production alimentaire a chuté depuis les années 1970. Parallèlement au développement du secteur diamantifère, les importations massives de riz à bas coût ont dévalorisé le travail des producteurs nationaux. Cette marginalisation se poursuit avec l'émergence, récente, d'un secteur agro-industriel financé par des capitaux internationaux. A l'échelle d'une petite région, cette crise des agricultures paysannes se décline selon une trajectoire spécifique. La diversité de la mosaïque paysagère témoigne de la transformation profonde des modes d'exploitation du milieu. Les paysans combinent la culture sur brûlis historique avec la riziculture inondée, le billonnage des savanes, les plantations pérennes, ... La pression démographique a pesé sur ces dynamiques mais c'est la marchandisation des rapports sociaux qui a constitué la tendance déterminante. Les grands groupes domestiques, structurés par les rapports lignagers, ont éclaté. Aujourd'hui, les échanges de force de travail entre producteurs sont à l'origine de disparités économiques non négligeables. Cependant, dans des conditions d'intégration économique défavorables, la productivité du travail a stagné voire à reculé. De ce fait, la persistance de rapports sociaux d'antériorité, notamment l'adoption enfantine comme modalité d'accumulation, limite les processus de différenciation au sein de la paysannerie.
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« Un sac de riz vide ne tient pas debout » : dynamiques agraires régionales et marginalisation de la paysannerie sierra-léonaise / « An empty bag cannot stand upright » : local agrarian dynamics and marginalisation of the peasantry in Sierra Leone

Palliere, Augustin 02 July 2014 (has links)
En Sierra Leone, la marginalisation de l'agriculture est une composante essentielle de la crise économique, sociale et politique dont la manifestation la plus tragique a été la guerre civile entre 1991 et 2001. À l'échelle nationale, le secteur agricole représente toujours la majorité des actifs, mais la production alimentaire a chuté depuis les années 1970. Parallèlement au développement du secteur diamantifère, les importations massives de riz à bas coût, ont dévalorisé le travail des producteurs nationaux. Cette marginalisation se poursuit avec l'émergence, récente, d'un secteur agro-industriel financé par des capitaux internationaux.A l'échelle d'une petite région, cette crise des agricultures paysannes se décline selon une trajectoire spécifique. La diversité de la mosaïque paysagère témoigne de la transformation profonde des modes d'exploitation du milieu. Les paysans combinent la culture sur brûlis historique avec la riziculture inondée, le billonnage des savanes, les plantations pérennes, … La pression démographique a pesé sur ces dynamiques mais c'est la marchandisation des rapports sociaux qui a constitué la tendance déterminante. Les grands groupes domestiques, structurés par les rapports lignagers, ont éclaté. Aujourd'hui, les échanges de force de travail entre producteurs sont à l'origine de disparités économiques non négligeables. Cependant, dans des conditions d'intégration économique défavorables, la productivité du travail a stagné voire à reculé. De ce fait, la persistance de rapports sociaux d’antériorité, notamment l'adoption enfantine comme modalité d'accumulation, limite les processus de différenciation au sein de la paysannerie. / In Sierra Leone, the marginalization of the agriculture is inherent to the economic, social and political crisis that embroiled the country into a tragic civil war between 1991 and 2001. While, at the national scale, the agricultural sector still represents the larger part of the workforce, the food production has declined since the 1970s. Massive low cost rice imports, fuelled by the development of the diamond industry, have devalued the work of the national producers. Such marginalization continues with the recent emergence of agro-industrial units financed by international capitals.At the regional scale, the crisis of the peasant agriculture has followed a specific trajectory. The diversity of the landscape mosaic reflects the profound changes that affected the farming systems. Local farmers combine the historical slash and burn farming with swamp rice cropping, mounds cropping in savannah and tree plantations. Even if population pressure has impacted these dynamics, it is the commodification of social relations that was the decisive trend. The large domestic groups, structured by lineages, have broken up. Nowadays the labor exchanges between producers explain significant economic disparities. However, under unfavorable economic integration conditions, labor productivity has stagnated or even declined. Then, the persistence of social relations of precedence, including child fosterage as a form of accumulation, restricts the scope of the differentiation processes within the peasantry.
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Du riz et des arbres – L'élimination de l'agriculture d'abattis-brûlis, une constante politique au Laos

Olivier, Ducourtieux 13 March 2006 (has links) (PDF)
L'agriculture d'abattis-brûlis est aujourd'hui pratiquée par 40 à 500 millions de paysans dans les régions tropicales. Depuis plus d'un siècle, un discours dominant condamne ce mode de production ; qualifié d'archaïque et peu productif, il serait une cause majeure de déforestation.<br />L'étude du système agraire de Phongsaly, petite région du Nord Laos, a permis d'appréhender la diversité et la rationalité des pratiques paysannes d'abattis-brûlis, qui se sont différenciées au cours de l'histoire récente du fait d'une intervention croissante de l'Etat. Les résultats locaux sont cohérents avec la revue de la bibliographie existante : la plupart des critiques de ce système de production s'avèrent infondées. Quand elles participent à la déforestation, ce qui n'est pas systématique, les agricultures d'abattis-brûlis en rotation n'y jouent qu'un rôle limité ; l'exploitation forestière et les agricultures pionnières en sont les principales causes. La complexité et la logique des systèmes agraires d'abattis-brûlis sont classiquement méconnues par les groupes sociaux tiers. Les pratiques des essarteurs, généralement des montagnards et de minorités ethniques, sont évaluées par des habitants des plaines en fonction de leurs préoccupations et des utilités qu'ils assignent à la forêt et la montagne. Les scientifiques n'apportent que rarement un éclairage rigoureux et objectif dans ces débats au sein desquels abondent trop souvent les lieux communs. L'agriculture paysanne contribuant souvent positivement à la gestion de l'environnement, il convient de la revaloriser. Les politiques agricoles devraient donc prendre en compte les savoirs et l'expérience des paysans pour la gestion durable des ressources naturelles. L'unique possibilité pertinente est l'association des paysans à l'élaboration et la mise en œuvre des interventions publiques.
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Du riz et des arbres : L'élimination de l'agriculture d'abattis-brûlis, une constante politique au Laos

Ducourtieux, Olivier 03 1900 (has links) (PDF)
L'agriculture d'abattis-brûlis est aujourd'hui pratiquée par 40 à 500 millions de paysans dans les régions tropicales. Depuis plus d'un siècle, un discours dominant condamne ce mode de production; qualifié d'archaïque et peu productif, il serait une cause majeure de déforestation. L'étude du système agraire de Phongsaly, petite région du Nord Laos, a permis d'appréhender la diversité et la rationalité des pratiques paysannes d'abattis-brûlis, qui se sont différenciées au cours de l'histoire récente du fait d'une intervention croissante de l'Etat. Les résultats locaux sont cohérents avec la revue de la bibliographie existante: la plupart des critiques de ce système de production s'avèrent infondées. Quand elles participent à la déforestation, ce qui n'est pas systématique, les agricultures d'abattis-brûlis en rotation n'y jouent qu'un rôle limité; l'exploitation forestière et les agricultures pionnières en sont les principales causes. La complexité et la logique des systèmes agraires d'abattis-brûlis sont classiquement méconnues par les groupes sociaux tiers. Les pratiques des essarteurs, généralement des montagnards et de minorités ethniques, sont évaluées par des habitants des plaines en fonction de leurs préoccupations et des utilités qu'ils assignent à la forêt et la montagne. Les scientifiques n'apportent que rarement un éclairage rigoureux et objectif dans ces débats au sein desquels abondent trop souvent les lieux communs. L'agriculture paysanne contribuant souvent positivement à la gestion de l'environnement, il convient de la revaloriser. Les politiques agricoles devraient donc prendre en compte les savoirs et l'expérience des paysans pour la gestion durable des ressources naturelles. L'unique possibilité pertinente est l'association des paysans à l'élaboration et la mise en œuvre des interventions publiques.
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Mise au point d'une méthode d'évaluation systémique d'impact des projets de développement agricole sur le revenu des producteurs. Etude de cas en région kpèlè (République de Guinée)

Delarue, Jocelyne 14 June 2007 (has links) (PDF)
L'évaluation d'impact des projets de développement est aujourd'hui dominée par les méthodes quantitatives : expérimentales ou quasi-expérimentales. Elles sont toutefois difficilement applicables aux projets de développement agricoles, et elles ne permettent pas de quantifier l'impact sur toute la durée de vie des réalisations. Cette thèse propose une nouvelle méthode, l'évaluation systémique d'impact. Elle permet à la fois de comprendre les processus par lesquels l'impact se matérialise et de quantifier rigoureusement l'impact des projets de développement agricole sur le revenu des producteurs. L'analyse repose notamment sur la compréhension des dynamiques agraires et des stratégies des agriculteurs, et permet de quantifier l'impact ex-post mais également d'en modéliser ex-ante l'évolution pour les années suivantes.<br /> L'évaluation systémique d'impact est appliquée à deux grands types de projets en Guinée forestière : les projets d'aménagements de bas-fonds et un projet agro-industriel de plantations de palmiers à huile et d'hévéas. Ces deux études de cas démontrent notamment l'importance de ne pas se contenter de rechercher un impact moyen sur les ménages : l'existence d'impacts fortement différenciés par système de production est l'une des principales conclusions de cette thèse.
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Migrations internationales, restructurations agraires et dynamiques associatives en pays soninké et haalpulaar (1975-1990), essai d'anthropologie du changement social et du développement

Lavigne Delville, Philippe 27 June 1994 (has links) (PDF)
Ce travail propose une interprétation des dynamiques actuelles de changement social dans la zone sahélienne d'émigration internationale (pays soninké et haapulaar, à cheval entre le Sénégal, le Mali et la Mauritanie), resituées dans une perspective de longue durée. La ruine des formations sociales précoloniales soninke et haalpulaar a réorienté leurs économies vers les migrations, et, depuis les années 60-70, les migrations vers la France. Les transferts financiers des migrants sont devenus le coeur de la régulation de l'économie domestique. Le contrôle de ces transferts est devenu un enjeu, que les notables ont cherché à contrôler, à travers le regroupement des migrants dans des "villages-bis" dans les foyers d'immigrés. Au niveau villageois, les revenus migratoires ont recomposé les stratégies économiques des familles, que ce soit pour accumuler, ou éviter la désaccumulation. L'agriculture occupe désormais un rôle secondaire, même là où, comme au Fuuta Toro, les périmètres irrigués créés par l'Etat ont permis d'accroître la capacité de production. La relative marginalisation de l'activité agricole n'est cependant pas un effet mécanique de la dépendance à la migration, mais le fruit de stratégies différenciées. Les projets de développement financés par les migrants sont à la fois des investissements collectifs et des façons de gérer l'extraversion. En migration comme au village, les associations locales apparaissent comme de nouveaux modes d'action collective, sur les affaires publiques locales. Elles sont en même temps des arènes dans la compétition politique et sur le sens du terme "développement"

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