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Krieg der Zeichen : die visuelle Politik Johanns ohne Furcht und der armagnakisch-burgundische Bürgerkrieg /

Slanička, Simona. January 1900 (has links)
Diss.--Philosophisch-Historische Fakultät--Universität Basel, 1998. / Bibliogr. p. 347-359. Index.
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Perrinet Gressart et François de Surienne agents de l'Angleterre et de la Bourgogne avec la France, sous le règne de Charles VII /

Bossuat, André. January 1936 (has links)
Th.--Lettres--Paris, 1936.
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La guerre, le Prince et ses sujets. Les finances des Pays-Bas bourguignons sous les règnes de Marie de Bourgogne et de Philippe le Beau (1477-1506) / The War, the Prince and his Subjects. The Finances of the Burgundian Netherlands under the Reigns of Mary of Burgundy and Philipp the Fair (1477-1506)

Sablon du Corail, Amable 02 December 2017 (has links)
Entre 1477 et 1493, l’État bourguignon traversa la plus grave crise de son existence. Face à Louis XI, les successeurs de Charles le Téméraire durent d’abord défendre l’intégrité territoriale de leurs possessions. À l’intérieur de celles-ci, ils furent confrontés aux revendications des villes de Flandre et de Brabant, porteuses d’un projet politique fondé sur l’autonomie urbaine. Au contexte politique très difficile, s’ajoute une conjoncture défavorable, en raison du très haut niveau des salaires, et donc du coût de la guerre, à la fin du XVe siècle. Les structures financières et militaires de l’État bourguignon montrèrent très vite leurs limites, obligeant les capitaines de Maximilien de Habsbourg à vivre d’expédients, de réquisitions et de pillages. Après la défaite des rebelles de Flandre, de Hollande et de Brabant, l’État bourguignon, désormais recentré sur les Pays-Bas, poursuivit son intégration sous le règne de Philippe le Beau. L’acceptation d’une fiscalité commune, débattue dans les assemblées représentatives des principautés et aux États généraux, est au cœur de ce processus. / Between 1477 and 1493, the Burgundian state was confronted with the most serious crisis of its history. Against Louis XI, the successors of Charles the Bold had to defend the territorial integrity of his heritage. Within the Burgundian Netherlands, they were challenged by the claims of the largest Flemish and Brabantine cities, who promoted a political agenda based on urban autonomy. Besides the political background, the economic environment raised other difficulties, owing to the general high level of wages, which dramatically increased the cost of war at the end of the XVth century. The fiscal and military structures of the Burgundian state quickly found their limits and collapsed several times, forcing Maximilian’s captains to live by one’s wits, requisitioning supplies, extorting money or plundering the countryside, so that the inability of the medieval state to lastingly finance war invariably led to outbursts of violence. After the defeat of the Flemish-Brabantine revolt, the political integration of the Habsburg-Burgundian Netherlands made continuous progress. The rise of a common tax system, discussed at the States-General, without offending the strong particularism of the Netherlands principalities, played a crucial role in this process.
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Marie de Bourgogne et le Grand Héritage : l’iconographie princière face aux défis d'un pouvoir en transition (1477-1530) / Mary of Burgundy and the Great Heritage : princely iconography facing the challenges of power in transition

Karaskova, Olga 21 March 2014 (has links)
Marie de Bourgogne (1457–1482), fille unique de Charles le Téméraire et de ce fait « la plus grande héritière qui fust de son temps », a jusqu’ici attiré assez peu d’attention de la part des spécialistes du XVe siècle. Une figure ambiguë, dont l’image oscille entre deux concepts opposés : une duchesse faible et inexpérimentée, qui ne joua qu'un rôle de pion dans la grande partie diplomatique entre l’Empire et la France, – ou bien une princesse résolue et indépendante qui savait ce qu'elle voulait et réussit à imposer sa volonté, Marie reste généralement dans l'ombre de ses proches parents. Il semble bien que cette attitude envers la duchesse est surtout le fait de la politique de ses descendants et successeurs, qui employaient son image dans leurs propres intérêts. Désireux de légitimer la transition du pouvoir de la Maison de Valois à celle des Habsbourg, ils ont opté pour la représentation de Marie comme héritière de Bourgogne, dame noble et pieuse dévouée à son mari et à sa famille, et non comme une femme de pouvoir. Cette image de la princesse semble être si puissante que souvent les historiens furent amenés à croire que l’œuvre politique sous le règne de Marie était principalement l'affaire de son époux. Ils concentrèrent alors leur attention sur Maximilien, le faisant ainsi – volontairement ou non – le héros principal de l'épopée bourguignonne pendant les années de crise qui ont suivi la mort du Téméraire. Or la réalité fut plus complexe. Jamais réellement retirée de la vie politique, ne cessant de voyager à travers ses pays afin d'assurer et affirmer l'omniprésence de l'autorité ducale, suivant de près les affaires politiques, Marie prit aussi un soin tout particulier à la création et la promotion de son image. La jeune duchesse qui, dès son accès inattendu au pouvoir en janvier 1477, dut affronter les attaques et les intrigues de Louis XI ainsi que les émeutes de ses sujets, fut de toute évidence parfaitement consciente, non seulement d’être la dernière héritière de la glorieuse maison de Bourgogne-Valois, mais encore d’être en position de faiblesse de par sa condition de femme. Elle chercha alors des réponses adéquates à ses défis – réponses militaires et diplomatiques ainsi qu’« iconographiques ». Ses ambitions, de souligner les liens dynastiques, d’appuyer la légitimité de sa succession et de son pouvoir suo jure, d’affirmer ses droits aux pays bourguignons, ainsi que d’asseoir son autorité sur les sujets indociles, ont influencé considérablement sa conséquente politique de représentation. Une étude de cette politique, fondée sur le regroupement inédit d’œuvres littéraires, historiographiques et iconographiques, et leur analyse, nous permettra d’abord de souligner la construction et l’évolution symbolique de l’image de Marie de Bourgogne en tant que femme régnante, mais aussi de reconsidérer une période de l’histoire de l’État bourguignon, celle de la transmission du pouvoir de la maison de Valois de Bourgogne à la dynastie des Habsbourg. / Mary of Burgundy (1457-1482) as ruler seems to be rather a non sequitur topic for a study as her short reign – sandwiched between those more important of her belligerent father, Charles the Bold, and her imposing spouse, Maximilian of Austria – is often marginalized by researchers. A somewhat ambiguous figure, whose image hovers somewhere in the space limited by two opposing concepts – an inexperienced and weak duchess, a mere pawn in the great political game played between France and the Holy Roman Empire, and a self-determined young princess who knew what she wanted and managed to dictate her will, praised by her biographers, Mary still remains generally in the shade of her nearest kinsmen despite the abundant publications concerning the Duchy of Burgundy.This attitude towards Mary was mainly formed by the politics of her successors and descendants, who employed her image in their own interests; eager to legitimize the transition of power from the House of Valois to that of the Habsburgs, they opted for the representation of Mary as the heiress of Burgundy, a noble and pious lady devoted to her family, and not as an independent sovereign. This image of “Mary the Rich” appears to be so powerful that often historians focus their attention primarily on Maximilian, thus – involuntarily or not – making him the main hero of the Burgundian epic of the crisis years. The real situation was, however, more complex. Never in fact retired from political life, never ceasing to travel across her lands in order to ensure and state the ubiquity of ducal authority, Mary was taking great care in creating and promoting her image, sending out to her contemporaries easily recognizable signs communicating her strong sense of who she was and how she wished to be seen. Recollected and examined with closer attention, these symbolic messages could depict a different image of this “lady of the country”, who was “revered and feared more than her husband”, according to the omniscient Philippe de Commynes, and reveal the clear political and cultural intentions she wanted to convey. Based on a number of important works of literature, history and iconography associated with the duchess as well as on various accounts on her, provided either by her contemporaries or – in a certain manner – by herself, principally through performing highly symbolic acts or through artistic commissions, the present research aims thus to reassess the person and the actual role of Mary of Burgundy in the history of the Burgundian state.
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Les Français à Constance : Participation au concile et construction d’une identité nationale (1414-1418) / The French in Constance (1414 – 1418) : the participation in the Council and the building of a national identity

Vallery-radot, Sophie 17 May 2011 (has links)
Le concile de Constance est convoqué par le pape Jean XXIII en vue de mettre un terme au schisme qui déchire la chrétienté occidentale depuis 1378. Les Pères conciliaires sont également désireux de réformer l’Église et de mettre un terme aux abus qui y règnent. En tout état de cause, rien ne laisse supposer d’un premier abord que le concile de Constance soit l’occasion pour les Français qui s’y trouvent d’affirmer et de construire leur identité nationale. Pourtant, l’organisation du concile en nations favorise le regroupement des Français et rend nécessaire des prises de décisions communes. Entre 1415 et 1417, si les divergences existent entre les membres de cette nation composite, le sentiment national et la défense d’intérêts communs prennent une place croissante. Par ailleurs, la translation de la guerre de Cent Ans au concile rend les relations des nations anglaise et française de plus en plus conflictuelles. L’alliance du roi des Romains Sigismond avec Henri V isole les Français au concile. Face à toutes ces difficultés, la plus grande partie des membres de la nation française tend à s’unir et à faire corps autour de l’ambassade de Charles VI. Au nom de la loyauté envers la couronne, l’ambassade du roi de France cherche à prendre le contrôle de la nation française et à orienter ses décisions de façon à les rendre conformes aux intérêts du roi. / Pope John XXIII convened the oecumenical council of Constance to end the schism splitting the western Christianity since 1378. The council Fathers were also eager to reform and rid the Church of the prevailing influence peddling. Anyhow, at first glance nothing suggested that the council of Constance would give the attending French party an opportunity to assert and build up their national identity.Still, the council’ organisation around nations prompted the French to pool together and called for common stances in decision-making. Between 1415 and 1417, while differences still existed amongst the members of this composite nation, a feeling of national loyalty and the fight for common interests became increasingly important.In addition, due to the emergence of the 100 years’ war in the midst of the council, the French-English relationships became ever more conflicting. The French were isolated in the council as a result of the Roman king Sigismond’ alliance with Henry V.As a result of these mishaps, most members of the French nations felt prompted to unite and stand solidly behind Charles VI’ ambassadors.In the name of their pledge of allegiance to the Crown, the French king’s embassy endeavoured to gain control of, and orientate the French nation’s decision in a sense favouring the king’s interest.
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En .I. lieu desert, plain de montagnes : les images et la commande d’oeuvres d’art pour les chartreuses médiévales (fin du XIe siècle - début du XVIe siècle) / En .I. lieu desert, plain de montaignes : images and commissions of works of art for medieval charterhouses (end of the 11th century - beginning of the 16th century)

Dagalita, Cristina 26 November 2015 (has links)
Après la fondation de la première chartreuse en 1084 par Bruno de Cologne dans les Alpes, ces monastères, installés au départ dans des sites isolés, furent réputés pour leur austérité. Les moines, qui faisaient vœu de silence, vivaient reclus dans leur cellules la plupart du temps, ne se retrouvant que deux fois par jour pour célébrer la messe. Dans ce cadre, qui a donné lieu à une architecture spécifique, les premières mentions d’œuvres d’art, dans la législation, apparaissent dans la deuxième moitié du XIIIe siècle. Cette période correspondait à la fois à une modification de la structure de l’ordre, prenant en compte l’accroissement du nombre des maisons, et aux premières fondations à proximité des villes. Le rapprochement des centres urbains allait déterminer une relation nouvelle entre les chartreux et leurs bienfaiteurs, exprimée dans les donations d’œuvres d’art en vue de la commémoration. Si de la chartreuse de Vauvert, établie près de Paris en 1259, subsistent surtout des relevés de plaques de fondation et de tombeaux, les commandes d’œuvres d’art pour les chartreuses princières et royales de Champmol et de Miraflores, destinées à recevoir les tombeaux de leurs fondateurs, étaient plus variées. L’implication des chartreux dans l’aménagement du décor de leurs maisons est attestée par les sources. Elle peut être observée lorsqu’ils recevaient les dons d’œuvres d’art de la part de plusieurs bienfaiteurs et elle prend un sens particulier quand les frères commandaient eux-mêmes des tableaux. Dans la spiritualité des chartreux, les œuvres d’art avaient un rôle au sujet duquel les moines, en participant à leur création, pouvaient nous renseigner. / Following the foundation of the first charterhouse by Bruno of Cologne, in 1084, in the Alps, these monasteries, established at first in solitary places, were well-known for their austere conditions. The monks, which had taken a vow of silence, lived isolated in their cells most of the time, meeting each other only twice a day, to celebrate mass. In these monasteries, characterized by their own architecture, the first mentions of artworks, in the legislation, date from the second half of the 13th century. At that time, the structure of the order was being revised by taking into account the multiplication of the charterhouses. Furthermore, the first foundations near cities were then established. This proximity to urban centres would determine a new relationship between Carthusians and their benefactors, visible through the donations of works of art for commemoration. From the charterhouse of Vauvert, established near Paris in 1259, have been preserved mostly drawings of memorial tablets or tombs. Nonetheless, for the princely and royal charterhouses of Champmol and Miraflores, that were to house the tombs of their founders, the commissions of works of art were more varied. The Carthusians’ participation in building the appearance of their monasteries is attested by the sources. This fact may also be observed when the Carthusians received donations of works of art from several benefactors and a special significance is attached to it when the brothers themselves commissioned paintings. In Carthusian spirituality, works of art had a role about which the monks, by involving themselves in their creation, could inform us.
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Estoit moult belle et poissant: artillerie, artisans et pouvoir princier dans les pays bourguignons, v. 1450-1493 / Estoit moult belle et poissant: Ordnance, Craftsmen and Princely Power in the Burgundian Netherlands, 1450-1493

Depreter, Michaël 27 August 2014 (has links)
Consacrée à l’organisation de l’artillerie des ducs de Bourgogne, cette thèse met en perspective la modernisation du matériel et la professionnalisation du personnel de l’arme au cours de la seconde moitié du XVe siècle. Les transformations fondamentales auxquelles l’artillerie est alors sujette, définissant largement son utilisation pour les trois siècles à venir, semblent tributaires de décisions politiques autant sinon plus que d’évolutions techniques que le pouvoir princier devait stimuler. <p><p>En une première partie sont analysés les modes de décision, de financement et de contrôle d’une arme en plein essor. L’implication personnelle des ducs, Charles le Hardi/Téméraire en tête, est patente. Mais, le développement d’une administration particulière s’impose. La spécialisation de ce personnel est révélée par l’analyse prosopographique. L’artillerie acquiert alors une certaine autonomie au niveau de la gestion des stocks matériels et des ressources financières et humaines. <p><p>La seconde partie est consacrée au matériel. Les politiques d’acquisition des armes à feu, des munitions et du matériel auxiliaire (affûts, manteaux, outillage divers) témoignent d’une prise en main progressive de la production :on assiste à l’émergence, encore timide certes, d’une première « industrie d’État ». Quittant le château ducal, le parc d’artillerie des princes bourguignons rejoint des lieux plus adaptés à son stockage, à son entretien, voire à sa fabrication :c’est la naissance de l’arsenal moderne – un des premiers à l’échelle de l’Europe occidentale. Il est alors possible, pour les gestionnaires comme pour l’historien, d’évaluer la puissance de frappe des ducs. Celle-ci est tributaire de deux facteurs :le nombre de bouches à feu, d’une part, la standardisation des calibres, influençant les cadences de tir, de l’autre. Tant au niveau quantitatif que qualitatif, l’état-major bourguignon mène de réels efforts qui doivent permettre à l’artillerie ducale d’éluder les inconvénients politiques et militaires d’un emprunt aux communes et aux seigneurs. <p><p>Le troisième volet de l’étude concerne les hommes animant les structures de l’artillerie. Il s’agit d’un ensemble d’artisans-soldats ayant un rôle dans la conception, la fabrication et la manipulation de l’arme. Les modalités de leur recrutement révèlent la volonté du pouvoir princier de s’attacher les meilleurs spécialistes. Un corps ordinaire aux effectifs encore minces, certes, est alors constitué, complété en temps de guerre par un appel aux métiers urbains et par la réquisition d’une abondante main-d’œuvre sur le pays. <p><p>Au final, si le gouvernement de Philippe le Bon en révèle les prémices, l’émergence de nouvelles conceptions relatives à la gestion d’une arme en pleine croissance doit attendre le règne de Charles le Hardi. L’efficacité de l’artillerie ducale, devenant un véritable instrument au service du pouvoir central, devait s’en trouver accrue. Pourtant, suite aux défaites de ce duc, un recul des conceptions de l’arme est perceptible. Sans pour autant abandonner entièrement la poursuite des visées de son prédécesseur, Maximilien doit composer avec des moyens financiers et humains inférieurs. Le pouvoir central devint alors à nouveau plus dépendant des pouvoirs communaux et seigneuriaux avec lesquels il fallait négocier, dans le domaine de l’artillerie comme en tant d’autres… <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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