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La référence dans le langage des sciences de la nature

Clémencon, Éric 21 October 2011 (has links)
La question à laquelle nous essayons de répondre est : comment les sciences réfèrent à des entités posées comme "réelles", extralinguistiques? Le problème est divisé en deux problématiques : par quels outils linguistiques les sciences assurent-elles la relation référentielle ? A quelles sortes d'entités (individus, classes, classes de classes) les sciences réfèrent-elles ? L'enquête prend la forme d'une analyse linguistique du langage des sciences de la nature. Nous commençons par étudier la structure des classifications. En effet, les lexiques scientifiques sont impliqués dans des systèmes formels, dont nous cherchons à montrer qu'ils sont justiciables de la théorie des types russellienne. Les 2nde et 3ème parties examinent ces lexiques normalisés et codifiés que sont les nomenclatures des sciences naturelles. Nous retraçons d'abord l'origine des nomenclatures biologique et chimique de Linné à Lavoisier. Nous exposons ensuite les débats nomenclaturaux et taxinomiques de la biologie systématique qui se sont déroulés au cours de la 2nde moitié du 20ème siècle. Cette présentation est centrée sur le "type nomenclatural" ou "type porte-nom" qui apparaît comme l'outil méthodologique par excellence par lequel la biologie assure la fonction référentielle des noms des espèces. Nous confrontons enfin le type nomenclatural au "stéréotype" de Putnam et cherchons à déterminer dans quelle mesure la théorie de la référence causale est utile pour clarifier la référence dans les sciences de la nature. / We try to answer the question: How do sciences refer to entities that are deemed "real", extralinguistic? The problem is two-fold: (i) What linguistic tools do sciences use in order to establish and ensure the relation of reference? (ii) What kinds of entities (individuals, classes ans classes of classes) do sciences refer to? Our enquiry takes the form of a linguistic analysis of the language of the natural sciences.The first step consists of a study of the structure of classifications. Actually, the scientific lexicons of entities have a distinctive feature: they are involved in formal systems, that is say, in nomenclatures. We purport to establish that Russell's theory of types provides a sound account of such systems. The 2nd and 3rd parts examine those standarized and codified vocabularies found in sciences. We first relate the origin of biological and chemical nomenclatures from Linnaeus to Lavoisier. We then present the nomenclatural and taxonomic debates conducted in the 2nd half of 20th century in systematic biology. This presentation focuses on the "nomenclatural type" or "name-bearer" as the major methodological tool by which biology fixes the reference of species's names. We conclude by comparing the nomenclatural type with the "stereotype" elaboratd by Putnam in the context of the causal theory of reference, and we try to determinate if and to what extend this theory can be useful in order to throw light on reference in the language of the natural sciences.
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Le traducteur en tant que médiateur culturel - L'exemple de Rifâ'a Al-Tahtâwî (1801-1873) / The Traslator as Cultural Mediator - The example of Rifâ'a At-Tahtâwî (1801-1873)

Azab, Lamiss 15 January 2015 (has links)
Malgré l’ancrage de la médiation et de la médiation culturelle en traductologie surtout depuis le Tournant Culturel, il manque encore à ces notions une définition traductologique arrêtée. Partant des apports provenant de différents domaines – notamment la communication culturelle – et prenant appui sur une théorie causale de la traduction, nous proposons une réflexion en trois temps sur le traducteur comme médiateur culturel et sur ses interventions délibérées, dans une approche identitaire, textuelle et fonctionnaliste. Nous sondons la particularité de la construction identitaire du traducteur, acteur marqué par sa formation linguistique et par ses normes socioculturelles d’origine, mais très empathique envers l’Autre et son système normatif. Dans ce premier volet, les stratégies traductives sont étudiées en miroir des stratégies identitaires déployées par le traducteur pour préserver cohérence et valorisation de sa construction identitaire. Ensuite, nous considérons le texte et le type de texte à traduire comme des créations culturelles que le traducteur re-présente à sa communauté, en lui rendant la différence abordable aux niveaux formel, lexical et discursif. Pour ce faire, il déploie une panoplie de stratégies traductives variant de la norme rédactionnelle la plus conformisante à la plus différenciatrice. Dans ce deuxième volet, la préface du traducteur est étudiée comme un lieu de médiation directe, pour informer et recommander la lecture. Enfin, nous analysons deux finalités traductives par lesquelles le traducteur agit sur l’identité culturelle de sa communauté par le biais de sa re-présentation : la formation intellectuelle et la déconstruction/re-construction identitaire. Que ce soit à travers de simples textes ou des institutions à caractère éducatif, l’objectif premier du traducteur est d’informer le lecteur et, par cette information, il agit sur la re-définition de fondements essentiels de sa construction identitaire. / Though mediation and cultural mediation seem to be enrooted in Translation Studies especially since the Cultural Turn, a specialized definition of these notions is still missing. Based on their definitions in other different domains – especially cultural communication – and on a causal theory of translation, we present a three-fold thesis on the translator as a cultural mediator and on his deliberate interventions. The three axes we develop here are based on identity, textual and functionalist approaches. First, we analyze the specificity of the identity of the translator seen as a construction that is not only marked by the linguistic formation and the sociocultural norms of his original community, but also by the actor’s empathy towards the Other and his system of norms. In this first fold, translation strategies are studied as mirrors of identity strategies the translator follows in order to keep the coherence and the valorization of his identity construction. Then, the texts and types of texts are considered as cultural creations that the translator re-presents to his community through making cultural differences understandable on the formal, lexical and discourse levels. To do so, he uses different writing norms from the most conforming to the most differentiating one. In this second fold, the translator’s preface is seen as a privileged place for a direct mediation, in which he already informs his reader about the translation he’s about to read and recommends the reading. Finally, we study two translation functions through which the translator acts on the cultural identity of his community based on his re-presentation of the text: the intellectual formation of the reader and the de-construction/ re-construction of his identity. By the means of a simple text or of an educational institution, the translator’s first aim is to inform the reader, and through this information, he acts on the re-definition of essential foundations of his identity construction.

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