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Die bayerischen Industrie- und Handelskammern im Wiederaufbau 1945 bis 1948 : zwischen amerikanischen Demokratisierungswillen und eigener Selbstverwaltungstradition /

Fuchs, Rainer, January 1988 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät für Geschichts- und Kunstwissenschaften--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 1984/1985.
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Le Régime financier des Chambres de commerce /

Baratier, Valery. January 1939 (has links)
Th. : Droit : Aix-Marseille : 1939.
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Kammern in Not : zwischen Anpassung und Selbstbehauptung : die Stellung der Industrie- und Handelskammern in der Auseinandersetzung um eine neue politische und wirtschaftliche Ordnung 1945-1956 : Dargestellt am Beispiel rheinischer Kammern und ihrer Vereinigungen auf Landes-, Zonen- und Bundesebene /

Weise, Jürgen, January 1900 (has links)
Diss.--Volkswirtschaft--Köln, 1988. / Bibliogr. p. 339-353.
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La Chambre de Commerce de Paris, 1803-1852. Un « corps consultatif » entre représentation et information économiques

Lemercier, Claire 17 December 2001 (has links) (PDF)
Supprimées en 1791 comme parties du système corporatif, les Chambres de Commerce sont rétablies en 1802 et une Chambre est créée à Paris en 1803. Son statut n'en fait ni une association spontanée, ni un véritable organe administratif. Ses membres s'opposent à tout rétablissement des corporations et des règlements. Souvent banquiers, également présents au Tribunal de Commerce, au Conseil Municipal, à la direction de la Banque de France, ils créent de nouvelles pratiques institutionnelles en réponse aux nombreuses demandes de conseil et d'information du gouvernement. De façon en général discrète, la Chambre de Commerce de Paris intervient sur les questions douanières ou de transports, mais aussi sur la gestion de la Bourse ou la création d'un nouveau droit commercial. Sur ces questions, il lui arrive de s'opposer aux politiques économiques de l'Empire ou de la Restauration, mais elle reste toujours consultée, comme seule source possible sur certains problèmes. Les banquiers libéraux qui l'avaient dirigée la quittent après 1830 et surtout 1840, laissant la place à des négociants puis des fabricants d'articles de luxe, plus intéressés par la fourniture de services aux commerçants, mais qui restent liés au monde de l'économie politique. Ces hommes se trouvent confrontés à de nouvelles questions sociales et ont à décider s'ils sont les représentants des « patrons » et non plus de l'économie en général. Ils ont longtemps prétendu défendre l'intérêt général du commerce parisien, voire national, mais après 1848, la plupart se disent représentants d'une branche particulière. A ce moment, l'électorat de la Chambre est élargi, et les « chambres syndicales » qui ont repris certaines fonctions des corporations commencent à y jouer un rôle important. Enfin, la Chambre acquiert quant à elle une nouvelle légitimité grâce à une enquête statistique sur l'industrie parisienne, que le gouvernement n'avait jamais pu réaliser lui-même.<br />L'histoire de la Chambre est avant tout celle d'un corps intermédiaire – dans un pays et une période où cette notion est loin d'aller de soi. L'étude de cette véritable reconstruction d'une architecture institutionnelle, après la Révolution française et au fil des changements de régimes politiques, est avant tout centrée sur les pratiques de l'institution (modes de recherche d'information, interactions entre membres dans la préparation des rapports, émergence de fonctions de service pour la Chambre...), sans négliger les débats idéologiques concernant l'organisation et la représentation du monde économique (rétablissement des corporations en particulier). L'étude à été menée partir des riches archives de la Chambre (procès verbaux et dossiers thématiques), de recherches concernant ses membres, principalement en termes de carrière institutionnelle et de cumuls de mandats, et de nombreuses sources imprimées touchant aux dossiers traités par la Chambre.<br />Dans un premier temps, une étude, en partie quantitative, du travail de l'institution et des carrières de ses membres permet de définir une chronologie propre à la Chambre et de poser des hypothèses concernant les motivations de ceux que l'institution intéresse (membres, mais aussi interlocuteurs dans l'administration et dans le monde économique). Une présentation chronologique s'attache ensuite notamment à l'analyse fine de périodes de changement (1828-1832, 1848-1852). Dans ces moments, les membres de l'institution apparaissent acteurs de leur histoire, avec une certaine autonomie pour redéfinir leurs règles de fonctionnement ; mais ils sont aussi soumis à la concurrence d'autres institutions et à des chocs extérieurs (émergence de chambres syndicales, révolutions politiques, actualité nouvelle de la question sociale...). Au fil des travaux de la Chambre émergent enfin certains dossiers d'histoire économique (régulation des transactions boursières, contrôle a posteriori des sociétés anonymes, modes d'encouragement des exportations...) et d'histoire des statistiques sur lesquels l'étude de l'institution ouvre des pistes nouvelles.
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Territoire et répertoire du lobbying patronal : le cas des Chambres de commerce et d'industrie en Rhône-Alpes / Territory and directory of employer's lobbying : the case of chambers of commerce and industry in Rhône-Alpes

Andriamasinoro, Vakana Miaina 28 November 2014 (has links)
"Le pouvoir n'est rien, seule compte l'influence". Cette pensée du philosophe grec Hérodote constitue le points de départ et le fil conducteur de la présente recherche. Elle pose l'idée de l'influence qui fait partie intégrante du processus décisionnel. La décision politique contemporaine obéit à ce même principe, celui d'un pouvoir qui ne peut plus décider seul, sans concertation, sans choisir de subir la pression des lobbies de toute nature qui se constituent à l'occasion d'une décision (Giuliani, 1991). Le lobbying, en tant qu'activité d'influence, apparaît alors comme un phénomène indissociable de la décision publique. Pour déterminer l'État, il faut alors prendre en considération les « rapports de forces mouvants » (Culpepper et al., 2006) qui y existent. En France, lobbying et groupes d'intérêt connaissent un discrédit qui tend à ignorer le rôle qu'ils peuvent jouer dans les politiques publiques. Les Chambres de commerce et d'industrie font partie de ces groupes qui restent méconnus malgré leur mission de représentation de l'intérêt économique des entreprises. Il est alors intéressant de rendre compte de ce lobbying dans le contexte français à travers l'usage qu'en font les Chambres de commerce et d'industrie. La recherche représente un double intérêt : celui d'étudier un acteur de politique publique original et le répertoire d'action qu'il mobilise pour tenter d'influer sur la décision publique. Ainsi, si Robert Dahl s'interrogeait de savoir « qui gouverne » (1961), il nous apparaît important de nous demander aussi : « comment gouverner » et « avec qui gouverner » aujourd'hui ? Notre recherche vise alors à répondre à la problématique : dans quelle mesure un groupe d'intérêt peut-il concrètement agir sur le processus de politique publique ? Ainsi, pourrons-nous analyser ce que le groupe, notamment ses moyens d'action, enseignent sur le fonctionnement de l'action publique contemporaine, car comme l'avait affirmé Arthur Bentley dès 1908 dans son célèbre ouvrage The process of government : A study of social pressure : « Quand le groupe est expliqué, tout est expliqué ». / As Greek philosopher said: "Power is nothing, influence only countsé". This is the starting point and the thread of this research. It puts down the idea of influence, which is an integral part of the decision-making. The contemporary political decision obeys the same principle, that of a power who cannot decide alone, without consultation, without choosing to undergo the pressure of lobbies of all kinds that are formed in the occasion of a decision (Giuliani, 1991). The lobbying, as an activity of influence, appears then as an inseparable phenomenon of the public decision. In order to determine the State, it is therefore necessary to take into account the "unstable balance of power" (Culpepper et al., 2006) that exists there. In France, lobbying and interest groups are experiencing a discredit which tends to ignore the role that they can play in the public policies. The Chambers of commerce and industry are part of those groups that remain unknown despite their task of representing the economic interests of companies. It is therefore interesting to report this type of French lobbying through the use made from the Chambers of commerce and industry. Our research presents a double interest: to study an original actor of public policy and also the directory of action which he mobilizes in order to try to influence the public decision. So, if Robert Dahl questioned in 1961 about "who governs", it seems important nowadays to wonder about: "how to govern" and "with who"? Our research aims then to answer the following question: to what extent an interest group can concretely act on the public policy process and what does it teach us about the functioning of the contemporary public action? Thus, we can analyze what the group, and in particular its means of action, can teach us about the functioning of the contemporary public action, because as noted by Arthur Bentley, in 1908, in his famous book entitled The process of government: A study of social pressure: “When group is explained, everything is explained”.
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Socio-histoire d'une entreprise éducative : le développement des Ecoles supérieures de commerce en France (fin du XIXe siècle-2010)

Marianne, Blanchard 23 October 2012 (has links) (PDF)
Ce travail étudie un groupe d'établissement d'enseignement supérieur français, les Ecoles supérieures de commerce (ESC), de la fin du XIXe siècle à 2010, en se focalisant tout particulièrement sur les cinquante dernières années de cette période. A travers une approche socio-historique, il analyse le développement de ces établissements qui constituent un modèle à part dans l'enseignement supérieur français, de par leur statut privé et leur proximité avec les chambres de commerce, leur système de recrutement ou encore de leur mode organisation proche de celui des entreprises. En empruntant aussi bien au néo-institutionnalisme qu'à la sociologie des organisations, il s'agit de dépasser une vision fonctionnaliste expliquant l'essor et les évolutions de ces écoles comme autant de réponses à des demandes exprimées par la sphère économique et par les étudiants. A partir du dépouillement d'archives, d'analyses statistiques et d'entretiens, cette thèse met en évidence des logiques d'actions et des intérêts propres aux établissements étudiés, ainsi que les stratégies qui ont pu être mises en œuvre pour les faire apparaître comme des formations légitimes. De fait, le retour sur les premières décennies de fonctionnement des ESC montre qu'à l'origine l'existence de telles écoles n'avait rien d'évident et que ce n'est que très progressivement qu'elles ont pu se faire reconnaître comme utiles, voire nécessaires, pour accéder à certaines professions et positions sociales. Par ailleurs, le choix de se focaliser sur un groupe réduit d'écoles liées par un jeu complexe de relations où se mêlent liens réglementaires, coopération plus ou moins formalisée et concurrence, permet de mettre en évidence les processus d'imitation et d'homogénéisation mais aussi les logiques de différenciation et de hiérarchisation, qui ont contribué à façonner ces établissements, parfois indépendamment des demandes externes. Contribution à l'histoire des institutions scolaires, ce travail permet en outre d'éclairer les transformations en cours dans le champ de l'enseignement supérieur français, à travers un questionnement sur le financement des écoles étudiées, l'évolution du recrutement des étudiants ou encore leur internationalisation.

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