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Karner-Kapellen in Deutschland : Untersuchungen zur Baugeschichte und Ikonographie doppelgeschossiger Beinhaus-Kapellen /

Zilkens, Stephan. January 1900 (has links)
Diss. : Architektur : Köln : 1983. - Bibliogr. p. 273-317. -
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Das Grabbild des Peter Paul Rubens in der Jakobskirche zu Antwerpen /

Söding, Ulrich. January 1986 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Würzburg--Philosophische Fakultät, 1985. / Bibliogr. p. 280-295. Table des peintures de Rubens présentées dans l'ouvrage.
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La capilla de música de la iglesia colegial de Antequera en la segunda mitad del siglo XVIII, el magisterio de José Zameza y Elejalde /

Díaz Mohedo, María Teresa. January 2004 (has links)
Tesis, 2003. / Sources et bibliogr. p. 179-198. Contient 2 oeuvres de J. Zameza en fin de vol.
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La cappella musicale della cattedrale di Malta nel diciassettesimo e diciottesimo secolo /

Bruni, Franco, January 2000 (has links)
Th. Etat--Musicologie--Paris-4, 1998. / La couv. porte le titre en français : "La chapelle musicale de la cathédrale de Malte au XVIIe et XVIIIe siècle" [sic]. Catalogue des manuscrits (vol. 2) conservés à Mdina p. 4-124. Incipit musicaux p. 125-291. Dépouillement des archives de Mdina p. 3-178. Bibliogr. (vol.1) p. 314-324. Index.
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Recherches sur les prieurés réguliers, monastiques et canoniaux des anciens diocèses de Chalon et Mâcon : (Xe - XIVe siècles) / Research on regular priories, monastic and canonic in the formes dioceses of Chalon and Mâcon from the 10th to the 14th centuries

Defontaine, Patrick 25 October 2013 (has links)
L’étude présentée est le résultat d’un inventaire des établissements prieuraux présents dans les anciens diocèses de Chalon et Mâcon, étroitement dépendants de la métropole de Lyon. Cet ensemble territorial correspond à l’axe de l’ancien royaume de Bourgogne.Sur les 183 prieurés retenus, il n’y en a que 69 relevant de Cluny, tous les autres appartenant à d’autres familles monastiques ou canoniales de l’ordre de Saint Augustin. La majorité de ces prieurés est l’objet d’une primo-occurrence dans les sources à la jonction des IXe Xe siècles. Les données récoltées ont permis d’établir une carte d’implantation en format poster annexée à la thèse, et un répertoire des sources qui sont en majorité manuscrites en latin. Les prieurés ont construit 200 églises ou chapelles. Les unes étaient réservées à l’usage exclusif des moines, les autres avaient une fonction mixte partagée avec les paroisses. L’étude sur le terrain a porté sur les aspects architecturaux extérieurs et intérieurs, les décors sculptés des chapiteaux et bas-reliefs ou tympans, ainsi que les fresques les plus significatives des 99 édifices restés debout. La vie interne des prieurés est rythmée par la prière régulière des heures canoniales. Il a eté possible de comparer plusieurs manuscrits liturgiques, dont le bréviaire de Saint-Victor-sur-Rhins, aux enluminures célèbres. L’origine sociale des moines, moniales et chanoines est majoritairement issue des familles féodales environnantes qui représentent également les parents à l’origine des plus nombreuses et riches donations. On a également trouvé l’intervention de milieux bourgeois, d’agriculteurs aisés et également quelques serfs. Le respect des règles et coutumes officielles s’associe à un vœu de stabilité qui interdit le passage des moines et chanoines d’une dépendance abbatiale à une autre. On a la preuve d’une coopération de ces clercs réguliers avec les prêtres séculiers dans la cura animarum des fidèles et dans l’encadrement des pèlerinages locaux nombreux et bien identifiés dans les bienfaits attendus par les pratiquants. Les prieurés sont souvent entourés par des enceintes et fortifications ou directement installés dans des châteaux que les moines construisent ou achètent. Ces constructions conçues à l’origine à titre de protection vis-à-vis des féodaux accapareurs transforment les prieurs en seigneurs ecclésiastiques peu différents des laïcs sur le plan juridique. Ils pratiquent rarement des affranchissements, mais exercent leurs droits, semble-t-il, avec plus de souplesse. Les moines et chanoines n’ont pas pratiqué de défrichement, car pour l’essentiel, celui-ci avait été réalisé en période gallo- romaine. Ils sont à l’origine d’aménagements ruraux par la création de chemins, ponts, canaux pour moulins et pêcheries.Tout en favorisant la culture de la vigne, ils ont gardé un équilibre avec la céréaliculture, l’élevage et l’exploitation des forêts. Des documents précis permettent de relever des écarts de conduite par rapport aux règles monastiques et canoniales. Il s’agit essentiellement de l’appât du gain, de vols, d’incontinence et concubinage, de non récitation des heures canoniales, de voies de fait envers des confrères ou des supérieurs. Ces fautes sont relativement rares, comparativement à cellesconnues dans d’autres diocèses. Le recensement de l’effectif global des moines et des chanoines donne un nombre évolutif total variant entre 580 et 720 personnes. Une tendance à la strate inférieure est surtout liée aux conséquences de la peste noire et de la guerre de cent ans au XIVe siècle. Ce siècle est également celui de la papauté d’Avignon puis du grand schisme d’occident. Cette période est marquée par le désordre lié à la nomination de prieurs attachés au pontife avignonnais, mais plus soucieux de percevoir les revenus des prieurés que d’en assurer l’entretien et la direction spirituelle. / The study presented here is the result from an inventory of the priories in the former dioceses of Chalon and Macon, closely dependent on the metropolis of Lyon .This territory corresponds to the main roads of the former realm of Burgundy. Among the 183 priories which have been retained, only 69 depended on Cluny, all the others belonged to the other monastic or canonic families of St Augustine’s order. The majority of these priories was mentioned for the first time by sources from late ninth and beginning of tenth century.The data collected have allowed to draw a map of the implanted sites in the form of a poster attached to the thesis and an index of the sources which are, for the most part, hand-written in latin. Priories built 200 churches or chapels. Some were reserved exclusively to the use of munks, others had a mixed function shared between parishes. The work in the field rested on outside and inside architectural aspects, the carved decorations of the capitals and low-reliefs or tympanums, together with the most significative frescoes of the 99 buildings still existing. The life inside the priory was rythmed by the regular prayers of the canonic hours. It has been possible to compare several liturgic manuscripts, among which the Saint Victor-sur-Rhin breviary with its famous illuminations.The social background of the munks, sisters and canons was mainly from the neighbouring feudal families which also represented the parents who gave the most numerous and important donations . We have also found donations made by middle-class families, wealthy farmers and some villeins. The respect of the rules and official customs was to be associated with a vow of stability which prevented the passage of munks and canons from dependence on one abbey to another. Proof has been made of a operation of these secular clerics with secular priests in the cur animanum of the congregation and in the supervision of local pilgrims, and well identified for the services expected of them by churchgoers. Priories were often surrounded by walls and fortifications or directly set in castles they built or bought. These buildings originally designed as a protection against acquisitive squires turned priors into clerical squires, not very different from laymen on a judicial level. They rarely carried out “emancipations” but they exercised their rights, so it seems, with more flexibility. Munks and canons didn’t proceed to the clearing of land because, for the most part , it had been done in the gallo-roman times .They started country-planning , making lanes, bridges, canals for windmills and fisherie . While promoting the cultivation of vineyards, they maintained a balance with the cultivation of cereal, cattle raising and the exploitation of forests. Detailed documents allow us to note lapses of conduct concerning monastic and canonic rules: mostly the lure of profit making, thefts, lack of restraint, concubinage, not reciting canonic hours ,assaulting fellow members and superiors. These faults were relatively rare compared to those known in other dioceses. The census of the global number of munks and canons amounted to a number varying from 580 to 720 people .A tendency to recruit in lower classes was mainly due to the consequences of the Black Plague and the Hundred years’war in the 14th century. The century was also the time when the Papacy was in Avignon then of the Big Schism in Occident.This was a time of disorder linked to the appointment of priors under the authority of the Pope in Avignon ,more interested in receiving the incomes of priories than insuring the maintenance and their spiritual authority . The canonic priories were composed of a minimum of 4 members whereas the monastic priories were often inhabited by 2 or 3 lay brothers .It happened that only one munk was present with the title and responsibilities of the management of what seemed to be a farm like any other.
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Prier à la campagne : art et dévotion dans les chapelles de villas romaines de la Contre-Réforme

Caron-Roy, Fannie 12 1900 (has links)
Au moment où se poursuit l’établissement des princes de l’Église dans la campagne romaine par la construction de somptueuses villas, le Concile de Trente (1545-1563) adopte une série de décrets qui entendent réaffirmer les dogmes catholiques et réformer les mœurs du clergé, critiqués par les protestants. Puisque la villa est perçue au 16e siècle comme un lieu où le fidèle peut faire l’expérience d’une retraite spirituelle, ce mémoire souhaite lever le voile sur les pratiques dévotionnelles suburbaines post-tridentines. Pour ce faire, les cycles picturaux de trois chapelles de villas romaines dont la décoration a été réalisée à la suite de cet important concile sont examinés : la chapelle du palazzo Farnese à Caprarola, appartenant au cardinal Alessandro Farnese (1520-1589), la chapelle de la villa d’Este à Tivoli, construite pour le cardinal Ippolito II d’Este (1509-1572), et la chapelle de la villa Mondragone à Frascati, commanditée par le cardinal Marco Sittico Altemps (1533-1595) pour le pape Grégoire XIII (1502-1585). Il s’agit de vérifier l’impact des pratiques dévotionnelles sur le choix des décors dans ces lieux de culte privés. S’attarder à la perception du regardeur de l’époque et au rapport spirituel du public à l’image implique que nous analysions notre corpus à l’aide d’un cadre anthropologique. / The taste for countryside palaces among the Princes of the Church was already well established when the Council of Trent (1545-1563) moved to counter the protestant Reformation. This council asserted catholic dogmas and significantly reformed clerical mores. In this context, villas are seen as the perfect stage to realize spiritual ambitions. This thesis thus studies extra-urban devotional practices by examining three chapels in countryside palaces around Rome decorated after the Council of Trent: Cardinal Alessandro Farnese’s (1520-1589) chapel in his villa at Caprarola; the Villa d’Este chapel at Tivoli built for Cardinal Ippolito II d’Este (1509-1572); and the Villa Mondragone chapel at Frascati, ordered by Cardinal Marco Sittico Altemps (1533-1595) for Pope Gregory XIII (1502-1585). We seek to examine the influence of contemporary devotional practices on the iconographic cycles in the private sphere. The public’s perception and spiritual response to the frescoes will be probed through an anthropological approach to images.
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Recherches sur les prieurés réguliers, monastiques et canoniaux des anciens diocèses de Chalon et Mâcon : (Xe - XIVe siècles)

Defontaine, Patrick 25 October 2013 (has links) (PDF)
L'étude présentée est le résultat d'un inventaire des établissements prieuraux présents dans les anciens diocèses de Chalon et Mâcon, étroitement dépendants de la métropole de Lyon. Cet ensemble territorial correspond à l'axe de l'ancien royaume de Bourgogne.Sur les 183 prieurés retenus, il n'y en a que 69 relevant de Cluny, tous les autres appartenant à d'autres familles monastiques ou canoniales de l'ordre de Saint Augustin. La majorité de ces prieurés est l'objet d'une primo-occurrence dans les sources à la jonction des IXe Xe siècles. Les données récoltées ont permis d'établir une carte d'implantation en format poster annexée à la thèse, et un répertoire des sources qui sont en majorité manuscrites en latin. Les prieurés ont construit 200 églises ou chapelles. Les unes étaient réservées à l'usage exclusif des moines, les autres avaient une fonction mixte partagée avec les paroisses. L'étude sur le terrain a porté sur les aspects architecturaux extérieurs et intérieurs, les décors sculptés des chapiteaux et bas-reliefs ou tympans, ainsi que les fresques les plus significatives des 99 édifices restés debout. La vie interne des prieurés est rythmée par la prière régulière des heures canoniales. Il a eté possible de comparer plusieurs manuscrits liturgiques, dont le bréviaire de Saint-Victor-sur-Rhins, aux enluminures célèbres. L'origine sociale des moines, moniales et chanoines est majoritairement issue des familles féodales environnantes qui représentent également les parents à l'origine des plus nombreuses et riches donations. On a également trouvé l'intervention de milieux bourgeois, d'agriculteurs aisés et également quelques serfs. Le respect des règles et coutumes officielles s'associe à un vœu de stabilité qui interdit le passage des moines et chanoines d'une dépendance abbatiale à une autre. On a la preuve d'une coopération de ces clercs réguliers avec les prêtres séculiers dans la cura animarum des fidèles et dans l'encadrement des pèlerinages locaux nombreux et bien identifiés dans les bienfaits attendus par les pratiquants. Les prieurés sont souvent entourés par des enceintes et fortifications ou directement installés dans des châteaux que les moines construisent ou achètent. Ces constructions conçues à l'origine à titre de protection vis-à-vis des féodaux accapareurs transforment les prieurs en seigneurs ecclésiastiques peu différents des laïcs sur le plan juridique. Ils pratiquent rarement des affranchissements, mais exercent leurs droits, semble-t-il, avec plus de souplesse. Les moines et chanoines n'ont pas pratiqué de défrichement, car pour l'essentiel, celui-ci avait été réalisé en période gallo- romaine. Ils sont à l'origine d'aménagements ruraux par la création de chemins, ponts, canaux pour moulins et pêcheries.Tout en favorisant la culture de la vigne, ils ont gardé un équilibre avec la céréaliculture, l'élevage et l'exploitation des forêts. Des documents précis permettent de relever des écarts de conduite par rapport aux règles monastiques et canoniales. Il s'agit essentiellement de l'appât du gain, de vols, d'incontinence et concubinage, de non récitation des heures canoniales, de voies de fait envers des confrères ou des supérieurs. Ces fautes sont relativement rares, comparativement à cellesconnues dans d'autres diocèses. Le recensement de l'effectif global des moines et des chanoines donne un nombre évolutif total variant entre 580 et 720 personnes. Une tendance à la strate inférieure est surtout liée aux conséquences de la peste noire et de la guerre de cent ans au XIVe siècle. Ce siècle est également celui de la papauté d'Avignon puis du grand schisme d'occident. Cette période est marquée par le désordre lié à la nomination de prieurs attachés au pontife avignonnais, mais plus soucieux de percevoir les revenus des prieurés que d'en assurer l'entretien et la direction spirituelle.
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Le Château intérieur : art et dévotion dans les palais des cardinaux de Rome au 16e siècle

Caron-Roy, Fannie 07 1900 (has links)
À l’aube de la Contre-Réforme, on exigea des prélats de vivre plus sobrement et de tempérer leur passion pour l’art et l’architecture. Malgré cela, de nombreux palais furent construits, rénovés et décorés avec faste. Le rôle des palais et de leurs décors dans la mise en scène du pouvoir a été bien démontré, mais peu d’attention a été portée à la fonction dévotionnelle de ces demeures, pourtant destinées aux plus hauts membres du clergé. Cette thèse de doctorat propose la première synthèse des pratiques de dévotion privée des cardinaux à Rome entre 1550 et 1610 à partir de l’étude du mécénat de leurs palais. L’analyse des chapelles domestiques et des studioli des palais Salviati alla Lungara, Altemps, Farnese à Caprarola, del Drago à Bolsena et de la villa d’Este à Tivoli montre l’importante préoccupation des cardinaux pour leur Salut et le rôle de l’art pour susciter, au sein de la demeure, une méditation sotériologique. Ces observations permettent de suggérer que ces exercices se déroulaient non seulement dans les chapelles, mais aussi dans des pièces traditionnellement identifiées comme des studioli. Nous proposons plutôt de les désigner comme des ermitages ou romitori et de les considérer comme des lieux tout aussi importants que les chapelles dans l’élaboration de la piété domestique des cardinaux post-tridentins. À travers les thèmes de la Passion du Christ, de la vie de la Vierge ou des vertus cardinales et théologales, les fresques qui ornent ces espaces furent utilisées comme des outils de contemplation spirituelle du mystère de la Rédemption. L’inclusion de copies d’images miraculeuses ou d’« objets de substitution », au sens qu’ont donné à cette expression Alexander Nagel et Christopher Wood (2010), garantissait en outre aux cardinaux la vie éternelle en échange des prières effectuées dans les pièces où les icônes étaient exposées. Cette admission au paradis était également mise en scène par le déplacement physique ou métaphorique du cardinal dans les logge peintes de verdure ou les jardins des palais. Plus qu’une simple analyse des œuvres et des pièces singulières, cette thèse établit des relations entre les différents espaces des palais, de manière à montrer que le comportement dévotionnel privé des cardinaux dans la Rome de la Contre-Réforme était envisagé comme un parcours spirituel, dans lequel l’art occupait un rôle fondamental. / At the dawn of Counter-Reformation, prelates of the Roman Church were required to live more simply and to moderate their enthusiasm for art and architecture. Nonetheless, many palaces were built, renovated and decorated with pomp by these same prelates. The role of art and architecture in staging the power has been well demonstrated, but less has been said about the devotional function of houses owned by important clergymen. This thesis proposes the first synthetic study of cardinals’ private devotional practices in Rome between 1550 and 1610 by looking at the patronage of their palaces. The analysis of the domestic chapels and studioli of the Salviati alla Lungara and Altemps palaces in Rome, the Farnese palace in Caprarola, the Del Drago palace in Bolsena, and the Villa d’Este in Tivoli demonstrates the important concern of the cardinals for their salvation and the role of art to arouse soteriological meditation within their domestic spaces. This careful examination allows us to propose that these devotional practices were carried out not only in the chapels, but also in rooms traditionally identified as studioli. Rather, we propose to designate them as hermitages or romitori, and to attach to them the same importance as the chapels in the daily piety of the post-Tridentine cardinals. The frescoes decorating these devotional spaces depicted the themes of the Passion of Christ, the life of the Virgin and other biblical figures, and of the cardinal and theological virtues, serving as tools for spiritual contemplation of the mystery of Redemption. The inclusion of copies of miraculous images or “substitute objects”, as proposed by Alexander Nagel and Christopher Wood (2010), further guaranteed the cardinals eternal life thanks to the prayers carried out in the spaces where the icons were exhibited. This admission to paradise was also occasionally staged by the physical or metaphorical movement of the cardinal towards the logge painted with greenery or the palace’s gardens. Thus, more than a simple analysis of singular works or rooms, this thesis establishes a relationship between the spaces of the palaces to show that the cardinal domestic devotional behavior was then viewed and organized as a spiritual journey, in which art played a fundamental role.

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