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La propriété seigneuriale dans la vallée du Saint-Laurent au XVIIIème siècle

Foucry, Sophie 11 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur la propriété seigneuriale dans la vallée du Saint-Laurent, au début du XVIIIe siècle. Il s'attache d'abord à l'évolution de la composition sociale du groupe des seigneurs, à la diversité des intérêts et des situations face à l'appropriation de biens fonciers, à partir des concessions du XVIIe siècle à l'aveu et dénombrement des années 1723-174 5. Nous étudions ensuite les actions et les stratégies des seigneurs dans l'exploitation, l'aménagement et la mise en valeur de leur domaine. Le mémoire illustre en somme le rôle joué par les seigneurs dans la socio-économie. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Au coeur du patrimoine familial : stratégies matrimoniales et coutumes successorales à Brignoles de la fin du XIVe au milieu du XVe siècle

Guénette, Maryse 16 April 2018 (has links)
Pour faire l'histoire de Brignoles à la fin du Moyen Age d'une façon aussi féconde et intéressante que possible, une démarche s'imposait. Il fallait combiner les avantages des deux grandes approches adoptées par les historiens de la récente production d'études historiques concernant les villes du Sud (Provence ou régions limitrophes). C'est donc dire que cette étude s'est intéressée à la fois à l'insertion de la ville dans son terroir, à la composition de la propriété collective et individuelle, au partage de la richesse et à son lien avec le pouvoir, mais aussi aux comportements sociaux, c'est-à-dire aux stratégies matrimoniales et aux pratiques successorales mises en oeuvres pour assurer la continuité du patrimoine. Grâce à la mise en série des données tirées de sources abondantes et diversifiées (cadastres, délibérations communales, registres de comptes, contrats de mariage et de versements de dot, testaments et codicilles, actes de séparation de biens), des phénomènes et des attitudes ont pu être mis en relief, qui viennent nuancer l'impact catastrophique qu'on a trop souvent prêté aux événements perturbateurs de la fin du Moyen Age. Les aléas de la conjoncture que connaît le Moyen Age finissant sont bien connus; conflits politiques, disettes, famines, récessions économiques et épidémies jalonnent les XIVe et XVe siècles et laissent des traces plus ou moins profondes dans les sociétés qu'ils touchent. Mais sont-ils nécessairement générateurs de ruptures? Comment la société brignolaise réagit-elle pour sa part? Qu'est le cheminement de cette petite communauté urbaine au fil de ces années troublées? Un fait est incontestable: Brignoles à la fin du Moyen Age est une ville qui n'échappe pas aux effets parfois dévastateurs des malheurs qui frappent l'Europe et la Provence, sans pour autant abriter une société profondément désorganisée. Mais ces temps furent difficiles pour la communauté, ils laissent une impression d'instabilité, et s'il convient de nuancer, et parfois fortement, cette impression, l'étude révèle un fait important: l'histoire brignolaise du XIVe siècle finissant et de la première moitié du XVe siècle s'inscrit dans une continuité, mais une continuité qui n'exclut pas les changements lents, les adaptations. Basée encore et toujours sur la terre, la richesse est mouvante, mais les déplacements dans l'échelle des fortunes ne sont que relatifs. Il n'y a pas de mutation économique ni sociale prononcée, mais l'élevage connaît un essor considérable, même si la terre demeure l'élément fondamental de la richesse des hommes et de l'espace urbain. Quant à l'ordre social, il reste traditionnel. Et nulle surprise ici, les deux groupes qui y prédominent, tant du point de vue économique, social que politique, sont les nobles et les bourgeois-marchands. Par ailleurs, la chute de population provoquée par les crises, de même qu'un coefficient familial bas obligent à recourir à l'extérieur pour assurer le renouvellement de la population et des familles. Mais si l'appel à "l'étranger" demeure essentiel jusqu'à la fin des années 1460, cela n'entraîne pas à Brignoles de véritable mobilité sociale. La majorité des mariages unissent des conjoints d'un rang social et économique comparable, ou presque; que l'un d'eux soit étranger n'y change rien. La gestion des patrimoines s'inscrit pour sa part dans une continuité, marquée toutefois d'aménagements. Ces derniers changent parfois de mains, mais les règles de dévolution et de transmission demeurent stables dans l'ensemble. Les biens se transmettent d'abord et avant tout aux enfants, et plus encore aux fils, habituellement privilégiés et tous égaux devant l'héritage. Le fiait ne va pas toujours sans créer de tensions. Malgré l'obligation imposée par le père de maintenir les biens en indivis, il n'est pas toujours possible pour les héritiers de vivre dans la concorde; après un certain temps, diviser et reconstruire est parfois la seule solution envisageable. Le détenteur du patrimoine peut cependant être confronté à un problème plus immédiat. Si la situation familiale est telle qu'un fils doive être écarté de l'héritage, ou encore lorsque tous les fils sont décédés, un gendre est alors accueilli comme fils adoptif. Mais c'est à la fille, continuatrice de la famille à défaut du patronyme, que l'héritage est transmis. La cohésion de la famille et du patrimoine, raison d'être des stratégies matrimoniales et successorales mises en oeuvre, demeure, pour un temps au moins, assurée. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Un indice céramique du XVIIIe siècle : la céramique et le statut socio-économique des habitants de la place d'Youville au XVIIIe siècle

Cloutier, Pierre 11 April 2018 (has links)
La céramique est utilisée depuis longtemps par les archéologues comme élément d'analyse privilégié. Un indice de la valeur des céramiques du XIXe siècle, créé par George Miller, permet même d'établir un lien entre celles-ci et le statut socio-économique des utilisateurs. Notre étude cherche à poser les bases d'un tel indice pour le XVIIIe siècle. Une recherche documentaire, principalement axée sur les inventaires après décès, a permis d'établir la valeur comparative, à Québec, de quatre objets - assiette, tasse, plat et jatte - de céramique de différentes qualités pour la période allant de 1730 à 1775. Utilisant comme base comparative la faïence blanche fine, nous avons réussi à établir la valeur relative de neuf matériaux céramiques différents par tranche chronologique d'une quinzaine d'années. Pour vérifier la fiabilité de cet indice, nous avons confronté l'indice créé au matériel céramique provenant de trois sites contemporains de la ville de Québec: le faubourg Saint-Jean, la côte du Palais et Place-Royale. Le site du faubourg Saint-Jean servant de point de départ à notre questionnement, nous nous attardons sur les détails de son histoire de même que sur la population qui l'a composé. Au XVIII siècle, ces trois sites étaient habités par des gens de classes sociales nettement différentes, d'où les possibilités comparatives de l'indice céramique du XVIIIe siècle. Les conclusions qui se dégagent de cette comparaison permettent de croire à l'efficacité de l'indice céramique du XVIIIe siècle. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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