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La centralité de l'État-Providence dans le mode de vie des étudiants-es universitaires au Québec : 1950-1985 : contribution à l'étude de la stratification sociale

Beauchemin, Mario 24 April 2018 (has links)
La problématique qui sous-tend notre mémoire accorde une place toute particulière à l'initiative créatrice de l'Etat-providence au Québec. Elle postule en effet que l'accroissement considérable du champ d'intervention de l'Etat, depuis la fin des années 1950, contribue à la transformation et à la complexification du tissu social et des rapports sociaux. Plus spécifiquement, l'objet de ce mémoire est l'étude du rapport existant entre l'Etat-providence et les groupes sociaux - que nous désignons par l'appellation de couche assistée-dépendante - dont les conditions matérielles d'existence sont liées à l'accès aux ressources publiques. Nous tentons en sonne de contribuer modestement à l'étude de la formation d'une couche assistée-dépendante, à partir d'une analyse des liens unissant l'Etat-providence et les étudiants-es universitaires, au Québec, entre les années 1960 et 1980. Cette période correspond, croyons-nous, à l'apparition et à l'affirmation graduelle de la catégorie des étudiants comme couche sociale consciente de ses intérêts particuliers et s'affichant ainsi dans la dynamique d'ensemble des rapports sociaux. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Migration et classe sociale : trajectoires d'exil de réfugiés syriens réinstallés au Canada

Ouellet, Myriam 22 October 2018 (has links)
Depuis sa violente éruption en mars 2011, le conflit syrien a généré près de 12 millions de sinistrés, ces derniers ayant quitté leur foyer dans l’espoir de trouver refuge ailleurs. Parmi eux, 6,3 millions de déplacés internes et 5,3 millions enregistrés hors de la Syrie ; la majorité étant toujours présente dans les pays frontaliers incluant la Turquie, la Jordanie et le Liban. Ce mémoire porte sur les trajectoires migratoires de ces réfugiés syriens exilés au Moyen - Orient et ayant pu accéder à une réinstallation au Canada. Bien que certains travaux s’étant intéressés aux trajectoires d’exil de réfugiés aient mobilisé la notion de classe sociale, très peu se sont directement intéressés à l’influence de cette dernière sur le processus migratoire en lui-même. Or, des travaux récents ont réitéré l’importance de la prise en compte de la classe sociale dans l’analyse des trajectoires migratoires en démontrant comment celles-ci s’avéraient largement dépendantes des ressources mobilisables par les migrants – notamment économiques et sociales. Ainsi, ce projet s’intéresse à l’influence de la classe sociale sur les trajectoires d’exil de réfugiés syriens réinstallés au Canada et propose d’analyser dans quelle mesure l’appartenance à une certaine classe sociale, en termes d’accès différencié aux divers types de capital – économique, social, culturel et symbolique — influence ces trajectoires. Les résultats de notre étude démontrent, dans un premier temps que, lors de la migration vers le premier pays d’accueil, l’accès aux ressources influence positivement les trajectoires d’exil de manière à favoriser la classe privilégiée. Cependant, lors du processus de réinstallation vers le Canada, les résultats supposent une logique divergente, alors que contrairement à ce qui fut observé au préalable, uneplus grande vulnérabilité, caractérisée par un accès limité aux ressources, influence inversement les trajectoires d’exil de manière à favoriser la classe précarisée. / Since its outbreak in March 2011, the Syrian conflict has displaced more than 12 million individuals, who found themselves leaving their homes to seek refuge elsewhere. Among these people, 6.3 million are internally displaced and 5.3 million have left Syria, mostly for Turkey, Jordan and Lebanon. This paper explores the migration trajectories of Syria n refugees exiled in the Middle East and granted access to a resettlement program in Canada. Although some studies on refugee trajectories have mobilized the notion of social class, very few have taken a direct interest in its influence on the migratory process itself. Recent research reiterated the importance of considering social class as a variable in the analysis of migration trajectories by showing how the choice of itinerary seems to be dependent on the migrants’ resources, notably their economic and social resources. Thus, this project is looking at the impact of social class on the exile trajectories of Syrian refugees that resettled in Canada and proposes to introduce the analysis of social class in terms of access to different forms of capital — economic, social, cultural and spatial — and how belonging to a certain social class influences these trajectories. The results of our study show that, initially, during the migration to the first host country, access to resources influences positively the trajectory and experience of Syrians in exile in such a way that it favors individuals belonging to more privileged social classes. However, with regard to the process of resettlement in Canada, the results suggest the opposite. In fact, it is a greater vulnerability, characterized by limited access to resources, that inversely influences the trajectories of exile so as to favor the individual belonging to a more precarious class.
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Devenir seigneur en Nouvelle-France : mobilité sociale et propriété seigneuriale dans le gouvernement de Québec sous le Régime français

Grenier, Benoît 25 April 2018 (has links)
Analysant la mobilité sociale dans le gouvernement de Québec sous le Régime français, ce mémoire aborde la propriété seigneuriale en tant qu'illustration de la promotion sociale dans la vallée du Saint-Laurent au XVIIe et au XVIIIe siècle. Cette analyse, portant sur une soixantaine d'individus aux origines modestes, issus notamment de la paysannerie, ayant accédé à la propriété seigneuriale, se veut une contribution à l'étude de la promotion sociale en Nouvelle-France. Quatre parties constituent l'essentiel de ce mémoire. L'origine de ces individus et les modes d'élévation sociale sont étudiés dans une première servant de cadre contextuel et de présentation sociodémographique. Les trois chapitres suivants visent à répondre plus directement à la problématique de l'étude, à savoir l'impact socio-économique de la propriété seigneuriale chez ces seigneurs aux humbles origines. La durabilité de la propriété seigneuriale, ainsi que le fait d'y résider ou non et le peuplement de la seigneurie sont les éléments étudiés dans le deuxième chapitre. Le troisième chapitre aborde la question du prestige tributaire de la seigneurie, en s'intéressant aux appellations attribuées aux seigneurs, de même que les fortunes seigneuriales, pour connaître l'incidence économique de la propriété seigneuriale. Dans un dernier temps, le quatrième chapitre met en relief les alliances matrimoniales des familles seigneuriales, également révélatrices du possible impact de la possession d'une seigneurie. Au sein de cette société française d'Ancien Régime, transplantée sur les rives du Saint-Laurent, d'importantes mutations s'opèrent. L'une de ces transformations est perceptible par la plus grande possibilité de mobilité sociale, quasi inexistante en France. Par l'analyse des destins d'hommes dont la naissance ne laissait en rien présager un tel parcours, ce mémoire vise à comprendre l'enjeu de la propriété seigneuriale pour de tels individus ainsi que ses répercussions. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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« Vous avez le droit à un avocat » : enquête sur la réforme et les pratiques de la garde à vue / « You have the right into a lawyer » : study of the reform and the uses of garde à vue

Bargeau, Adélaïde 26 September 2018 (has links)
Cette thèse s’intéresse à un dispositif, particulièrement critiqué à la fin des années 2000 pour son usage exponentiel et pour son indigence en matière de droits : la garde à vue. Loin de la restreindre à sa codification juridique d’acte d’enquête, la garde à vue peut alors être appréhendée comme un instrument désormais privilégié de gestion de la police et de la politique en matière de petite et moyenne délinquance. Mais sous le coup des injonctions européennes, le gouvernement français est contraint de la réformer en avril 2011. Le mis en cause a désormais le droit d’être assisté d’un avocat pendant toute la durée de l’interrogatoire. Avec cette réforme, la garde à vue incarne une tension entre, d’une part, l’intensification de la répression de certaines populations et d’autre part, la reconnaissance de droits nouveaux qui leur sont accordés. À partir d’une enquête mêlant études de débat, ethnographie et questionnaire, l’objet de cette thèse est d’interroger la mise en œuvre et les effets de cette réforme paradoxale sur l’institution policière. La réforme de la garde à vue ne peut pas être appréhendée comme une simple modalité d’action publique. Elle constitue un moment critique de transformation des modalités de relations de l’État aux administrés, complexifiées par l’introduction des avocats en interrogatoire. Les effets de la présence de l’avocat varient, selon les usages qui sont faits de la garde à vue (d’une mesure de contention à un acte d’enquête), liés à la position des agents et des services dans la hiérarchie des prestiges policiers, et selon les propriétés sociales des gardés à vue, des policiers, et des avocats. La rencontre des uns et des autres peut prendre la forme d’une configuration d’alliance, de conflit, de concurrence, selon les différentes variables étudiées. Par l’étude de ces configurations d’interrogatoires, situées et incarnées, nous montrons qu’à chaque type de population est attaché un usage spécifique de la garde à vue. Ainsi, l’entrée par la garde à vue permet plus largement de voir la justice et la gestion des illégalismes par l’État en train de se faire. / This PhD investigates an apparatus that attracted considerable criticism in the late 2000s for being overused and failing to ensure enough rights: garde à vue, which roughly translates as police custody. Far from being only an investigative act, as its legal definition goes, garde à vue increasingly operates as a key instrument for the police and political management of petty crime. To meet the EU’s demands, however, the French government was forced to reform the system in April 2011. Suspects now have the right to receive a lawyer’s assistance during their entire interrogation. The reform of garde à vue reflects a tension between the intensifying repression of specific populations and the recognition of new rights granted to them. Drawing on the study of debates, ethnographic material and a questionnaire, this research examines the implementation and the effects of this paradoxical reform on the police institution.The reform of garde à vue cannot be approached simply as a public policy shift. Beyond that, it constitutes a key juncture in the transformations of the relationships between the State and citizens resulting from the introduction of lawyers during the interrogations. Effects of the lawyer’s presence vary according to the uses of garde à vue (from a measure of restraint to an investigative act), which relate to the position of agents and departments in the hierarchy of police prestige, and the social properties of suspects, members of the police and lawyers. The interactions between these protagonists may be characterized by configurations of alliance, conflict or competition depending on the above variables. Through the situated, embodied analysis of these configurations of interrogation, I show that a distinct use of garde à vue corresponds to each type of population. The focus on police custody ultimately yields broader insights into justice and the State’s management of illegalisms in the making.
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La question de la prostitution à la lumière du Lumpenproletariat et des rapports entre les sexes chez Marx / The issue of prostitution in light of the Lumpenproletariat and gender relations in Marx

Boussedra, Saliha 27 September 2018 (has links)
Cette thèse se propose d'étudier, dans le cadre d'une exégèse des textes de Marx compris entre 1844 et 1867, la manière dont ce dernier a conçu la prostitution et les rapports entre les sexes. La prostitution se présente tout d'abord de façon double : elle est associé au mariage et à la propriété privée familiale et elle désigne une activité sociale proprement dite. Pour éclairer le rapport de Marx à ces questions, il est nécessaire de faire retour sur sa conception du prolétariat et des classes sociales. L'analyse suivie des textes de Marx montre que c'est à partir de 1845, lorsque Marx pose sa propre conception des classes sociale, qu'il pose d'une part, la notion de Lumpenproletariat et d'autre part, le concept de la propriété privée familiale. L'activité sociale prostitutionnelle est alors définitivement rangée dans le Lumpenproletariat et l'association entre le mariage et la prostitution n'est plus valable que pour la bourgeoisie, la famille ouvrière ayant été dissoute. L'évolution théorique de Marx le conduit à réintroduire le concept de la famille pour la classe ouvrière, concept qui lui permettra dans le livre I du Capital d'envisager les rapports entre les sexes de manière contradictoire au sein de la classe ouvrière. Les rapports entre les sexes, envisagés d'abord d'un point de vue générique et du point de vue de la propriété privée familiale, conduiront Marx à mettre en lumière le processus d'individualisation des « membres » de la famille ouvrière après l'entrée des femmes et des enfants dans le monde social du travail. Ce travail s'inscrit dans l'histoire de la philosophie, il a donc pour ambition une lecture interne de l’œuvre de Marx qui permette de mettre en lumière sa position sur la prostitution et les rapports entre les sexes mais il a aussi vocation à permettre d'ouvrir un dialogue entre les courants du marxisme et les études de genre dans une perspective interdisciplinaire. / This dissertation studies, in the framework of an exegesis of the texts of Marx between 1844 and 1867, the way in which the former conceived of prostitution and of the relations between the sexes. Prostitution is presented in two ways: it is associated with marriage and private family property and it designates a social activity, as such. To shed light on Marx's report to these questions, it is necessary to review his conception of the proletariat and social classes. An analysis of Marx's texts shows that this begins in 1845, when Marx conceived of his own conception of social class. He proposed, on the one hand, the concept of Lumpenproletariat and, on the other hand, the concept of private family property. The social activity of prostitution is thus definitely included in the Lumpenproletariat; further, the association between marriage and prostitution is only valid for the bourgeoisie, as the working class family had been dissolved. Marx's theoretical evolution led him to reintroduce the concept of the family for the working class, a concept that would enable him in Book I of Capital to envisage relations between the sexes in a contradictory manner within the working class. The relationship between the sexes, first considered from both a generic point of view and from the point of view of private family ownership, will lead Marx to highlight the process of individualization of the "members" of the working class family after the entry of women and children into the social world of work. This work is part of the history of philosophy, so the ambition of this dissertation is to read internally the work of Marx that highlights its position on prostitution and gender relations; it also aims to to open a dialogue between the currents of Marxism and gender studies in an interdisciplinary perspective.
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Congo casino: le monde social du capitalisme européen au Katanga (RDC)

Rubbers, Benjamin 07 March 2006 (has links)
<p align="justify">Les Européens (Belges, Grecs et Italiens) du Katanga, dont le nombre s’est considérablement réduit au cours de la période post-coloniale, forment aujourd’hui le groupe le plus puissant de l’économie de la région. Au vu des troubles qui ont marqué l’histoire du Congo depuis l’indépendance, pourquoi sont-ils restés sur place ?Comment ont-ils développé leurs affaires dans une économie sur le déclin, en voie de marginalisation, et dans une structure politique patrimoniale de plus en plus instable ?Et quelle est leur place au sein de la société congolaise ?Telle est la triple question de départ à laquelle tente de répondre cette thèse en abordant de façon successive, au fil des chapitres, leur parcours migratoire, leur insertion dans la société congolaise, la dynamique de leur communauté, leur rôle dans les deux plus gros secteurs de la région, et leurs rapports avec les représentants de l’Etat. Elle prend appui pour ce faire sur une recherche de terrain conduite entre 2003 et 2004.</p><p><p align="justify">If the number of Europeans (Belgians, Greeks and Italians) living in Katanga has considerably decreased during the post-colonial period, they represent today the most powerful entrepreneurial group of the local economy. Once considered the troubles they came across since independence, why did they remain in the Congo? How did they develop their business in a declining economy, in process of marginalization, and in a patrimonial political structure, which proves to be more and more unstable? Finally, what is their place and role in Congolese society? These are the three questions this thesis tries to give an answer. Through the chapters, it studies the migration of expatriates in Africa, their relationship with Congolese society, the dynamics of their community, their role in the two most important sectors of Katanga, and the way they interact with the agents of the State. For this purpose, it rests upon a fieldwork research led between 2003 and 2004.</p> / Doctorat en sciences sociales, Orientation anthropologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Histoire des syndicats de fonctionnaires et du mouvement social en Seine Maritime de 1944 à 1981 / History of Trade Unions of Civil Servants and the social movement in Seine-Maritime from 1944 to 1981

Miléo, Pierre 16 May 2019 (has links)
En 1944, le Conseil national de la Résistance décide de reconstruire un Etat social dans la continuité du Front populaire, avant que le second conflit ne l’interrompe. Les syndicats ouvriers réunifiés dans la CGT (sauf la CFTC) décident de soutenir ce programme. Les syndicats de fonctionnaires de Seine-Maritime s’organisent pour participer à cette reconstruction qu’ils attendaient. Quels sont leurs revendications ? Sur quoi s’appuient-ils pour les mettre en avant ? Quels sont les valeurs qu’ils défendent ? Attendent-ils tout de l’Etat social ? Quelle est leur conception de cet Etat social ? Enfin, quels moyens utilisent-ils pour le défendre et le faire progresser ? Obtenant la reconnaissance de leur liberté syndicale qui comprend le droit de grève, ils acceptent un statut qui se révèle fort protecteur vis-à-vis de l’administration et de sa hiérarchie. Ils obtiennent aussi la gestion de la Sécurité sociale par leurs mutuelles qui les entraînent, en Seine-Maritime, à construire une mutualité départementale unifiée et puissante. Toutefois, la division du monde en deux blocs, un libéral et un communiste, traverse ces syndicats et aboutit à la scission de 1947. Cela n’empêche pas la participation aux grèves de 1953 qui leur permet de sauver leur retraite. S’ils soutiennent le général de Gaulle (1890-1970) dans sa politique de décolonisation et contre les généraux factieux, ils l’affrontent sur sa politique institutionnelle, économique et sociale. La grève de 1968 en est l’aboutissement, par-delà les remises en cause. Mais pour rétablir l’Etat social qu’ils souhaitent, il leur faut soutenir les campagnes électorales de 1974 et 1981 du candidat de la gauche, François Mitterrand (1916-1996), qui l’emporte en 1981, en dépit de leurs divergences et grâce à la volonté unitaire de leurs militants. / In 1944, the National Council of Resistance decides to rebuild a welfare state, in continuation of the Popular Front, that the second World War stops it. The trade unions reunified, in CGT (except CFTC) decide to sustain this program. The trade unions of civil servants from Seine-Maritime organize themselves to take part in this rebuild that they waited for it. What are their demands ? On What do they lean themselves to put them before ? What are their values for which they fight? Do they wait all from the state ? What is their idea of this welfare state ? At least, what means do they use to fight for it and bring it to progress ? Getting the recognition of their freedom union laws, which includes right striking, they agree civil servant status which turn out very protective against their adminstration and its hierarchy. They get too the management of Health Security by their mutual insurances which lead them, in Seine-Maritme, to build a powerful departemental mutual insurance. However, the division of world in two blocks, one liberal and one communist, goes through these trade unions and leads to the break away of 1947 That does not prevent the participation to strikes of 1953 wich they are be able to save their retirement. If they sustain general De Gaulle in his decolonization policy and ag ainst seditious generals, they clash him on his institutional, économic and social policy. The strike of 1968 is the culmination of it, throuhgout adjournements. But in order to restore the welfare state that they hope, they must sustain lefts’ candidate, François Mitterrand, in their electoral compaigns of 1974 and 1981, who wins in this last year, in spite of their differences and thanks to the Will of unity of their activists.
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Analyse du concept d'intellectuel à travers la figure sociale de l'"évolué" du Congo belge, 1945-1960 : de l'"évolué" à l'intellectuel : transition impossible

Xiberras, Valérie 25 April 2018 (has links)
L'objectif de ce mémoire est de mettre en étroite relation les structures coloniales du Congo belge et le comportement socio-politique de l'élite congolaise de 1945 à 1960. Nous croyons que ces structures ont interdit à l'élite congolaise de se poser en intellectuel critique de la société coloniale. La démonstration est fondée sur l'application du concept d'intellectuel, tel qu'il est défini par l'historiographie française, au contexte congolais. Le mémoire prend pour point de départ la formation et le rôle socio-politique de l'élite congolaise de 1945 à 1952. Dans un second temps, il porte sur l'évolution du comportement politique de l'élite par rapport à la conjoncture socio-politique. Enfin, il s'achève par l'analyse de la pensée nationaliste de l'élite congolaise telle qu'on la trouve exprimée en 1956 dans les manifestes politiques. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La propriété seigneuriale dans la vallée du Saint-Laurent au XVIIIème siècle

Foucry, Sophie 11 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur la propriété seigneuriale dans la vallée du Saint-Laurent, au début du XVIIIe siècle. Il s'attache d'abord à l'évolution de la composition sociale du groupe des seigneurs, à la diversité des intérêts et des situations face à l'appropriation de biens fonciers, à partir des concessions du XVIIe siècle à l'aveu et dénombrement des années 1723-174 5. Nous étudions ensuite les actions et les stratégies des seigneurs dans l'exploitation, l'aménagement et la mise en valeur de leur domaine. Le mémoire illustre en somme le rôle joué par les seigneurs dans la socio-économie. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Au coeur du patrimoine familial : stratégies matrimoniales et coutumes successorales à Brignoles de la fin du XIVe au milieu du XVe siècle

Guénette, Maryse 16 April 2018 (has links)
Pour faire l'histoire de Brignoles à la fin du Moyen Age d'une façon aussi féconde et intéressante que possible, une démarche s'imposait. Il fallait combiner les avantages des deux grandes approches adoptées par les historiens de la récente production d'études historiques concernant les villes du Sud (Provence ou régions limitrophes). C'est donc dire que cette étude s'est intéressée à la fois à l'insertion de la ville dans son terroir, à la composition de la propriété collective et individuelle, au partage de la richesse et à son lien avec le pouvoir, mais aussi aux comportements sociaux, c'est-à-dire aux stratégies matrimoniales et aux pratiques successorales mises en oeuvres pour assurer la continuité du patrimoine. Grâce à la mise en série des données tirées de sources abondantes et diversifiées (cadastres, délibérations communales, registres de comptes, contrats de mariage et de versements de dot, testaments et codicilles, actes de séparation de biens), des phénomènes et des attitudes ont pu être mis en relief, qui viennent nuancer l'impact catastrophique qu'on a trop souvent prêté aux événements perturbateurs de la fin du Moyen Age. Les aléas de la conjoncture que connaît le Moyen Age finissant sont bien connus; conflits politiques, disettes, famines, récessions économiques et épidémies jalonnent les XIVe et XVe siècles et laissent des traces plus ou moins profondes dans les sociétés qu'ils touchent. Mais sont-ils nécessairement générateurs de ruptures? Comment la société brignolaise réagit-elle pour sa part? Qu'est le cheminement de cette petite communauté urbaine au fil de ces années troublées? Un fait est incontestable: Brignoles à la fin du Moyen Age est une ville qui n'échappe pas aux effets parfois dévastateurs des malheurs qui frappent l'Europe et la Provence, sans pour autant abriter une société profondément désorganisée. Mais ces temps furent difficiles pour la communauté, ils laissent une impression d'instabilité, et s'il convient de nuancer, et parfois fortement, cette impression, l'étude révèle un fait important: l'histoire brignolaise du XIVe siècle finissant et de la première moitié du XVe siècle s'inscrit dans une continuité, mais une continuité qui n'exclut pas les changements lents, les adaptations. Basée encore et toujours sur la terre, la richesse est mouvante, mais les déplacements dans l'échelle des fortunes ne sont que relatifs. Il n'y a pas de mutation économique ni sociale prononcée, mais l'élevage connaît un essor considérable, même si la terre demeure l'élément fondamental de la richesse des hommes et de l'espace urbain. Quant à l'ordre social, il reste traditionnel. Et nulle surprise ici, les deux groupes qui y prédominent, tant du point de vue économique, social que politique, sont les nobles et les bourgeois-marchands. Par ailleurs, la chute de population provoquée par les crises, de même qu'un coefficient familial bas obligent à recourir à l'extérieur pour assurer le renouvellement de la population et des familles. Mais si l'appel à "l'étranger" demeure essentiel jusqu'à la fin des années 1460, cela n'entraîne pas à Brignoles de véritable mobilité sociale. La majorité des mariages unissent des conjoints d'un rang social et économique comparable, ou presque; que l'un d'eux soit étranger n'y change rien. La gestion des patrimoines s'inscrit pour sa part dans une continuité, marquée toutefois d'aménagements. Ces derniers changent parfois de mains, mais les règles de dévolution et de transmission demeurent stables dans l'ensemble. Les biens se transmettent d'abord et avant tout aux enfants, et plus encore aux fils, habituellement privilégiés et tous égaux devant l'héritage. Le fiait ne va pas toujours sans créer de tensions. Malgré l'obligation imposée par le père de maintenir les biens en indivis, il n'est pas toujours possible pour les héritiers de vivre dans la concorde; après un certain temps, diviser et reconstruire est parfois la seule solution envisageable. Le détenteur du patrimoine peut cependant être confronté à un problème plus immédiat. Si la situation familiale est telle qu'un fils doive être écarté de l'héritage, ou encore lorsque tous les fils sont décédés, un gendre est alors accueilli comme fils adoptif. Mais c'est à la fille, continuatrice de la famille à défaut du patronyme, que l'héritage est transmis. La cohésion de la famille et du patrimoine, raison d'être des stratégies matrimoniales et successorales mises en oeuvre, demeure, pour un temps au moins, assurée. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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