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La coopération culturelle franco-algérienne.Les coopérants français en Algérie indépendante.Enseignants des écoles (instituteurs et professeurs) et universitaires (1962-1980) / The Franco-Algerian cultural cooperation in independent Algeria (1962-1980). Teachers of secondary and higher education

Laskaris, Evangelos 14 June 2016 (has links)
Ce travail sur la coopération culturelle franco-algérienne concerne le développement des relations franco-algériennes après la guerre d'indépendance, de l'ancienne colonie française, de l'Algérie (1954-1962). Dans ce contexte, dans la première partie, les relations politiques et diplomatiques entre les gouvernements des deux pays, la coopération dans l'éducation, les relations culturelles franco-algériennes, aussi bien que les développements politiques et les décisions politiques cruciales qui ont affecté la relation entre les deux pays, sont examinées. Examiner les aspects divers de la coopération avec le nouvel Etat indépendant au niveau gouvernemental et, parallèlement, essayer d'interpréter les relations entre les peuples en tant qu' acteurs de la coopération, dans la deuxième partie du travail. Donc, les relations entre les deux peuples dans le domaine d'enseignement (éducation) sont examinées dans une certaine mesure, aussi bien que si et comment, matériellement et pratiquement, des professeurs, des syndicalistes, les membres d'organisations politiques et des syndicats, d'idéologie anti-impérialiste et révolutionnaire ou les non-révolutionnaires et humanistes, ont contribué à la réconciliation et "la guérison des cicatrices" engendrées par la guerre de 8 ans. De plus, dans la troisième partie de notre travail, les protagonistes de l'ère post-coloniale prennent la parole, pour éclairer leurs expériences de l'Algérie, sous un prisme subjectif et rétrospectif, qui nous permet de tirer des conclusions concrètes et essaye d'interpréter leurs activités et leurs expériences en posant des questions de recherche et choisissant des critères spécifiques. En conclusion, le travail essaye d'alimenter la recherche et le débat, s'étendre dans les sciences sociales, se pencher sur la coopération politique et culturelle des anciennes métropoles (pays coloniaux) avec leurs colonies et la contribution positive que les protagonistes d'histoire peuvent avoir, même dans un cadre micro-historique, en contradiction aux résonances négatives significatives causées par des conflits politiques et des crises. / This work on the Franco-Algerian cultural cooperation concerns the development of the franco-algerian relations after the war of independence, of the former french colony of Algeria (1954-1962). In this context, in the first part, the political and diplomatic relations between the governments of the two countries, the cooperation in the education, the franco-algerian cultural relations, as well as the political developments and crucial political decisions who affected the relationship between the two countries, are examined. Examining the various aspects of the cooperation with the new independent state at governmental level, in the mean time, the same is attempted to be done with the relations of peoples as actors of the cooperation, in the second part of the work. Therefore, the relations between the two peoples in the domain of education are examined in a very large extent, as well as whether and how, materially and practically, teachers, trade-unionists, members of political organizations and trade unions, of anti-imperialist and revolutionary ideology or non-revolutionary and humanitarian one, worked towards the reconciliation and the “healing of the wounds” opened by the 8-year war. In addition, in the third part of our work, the protagonists of the postcolonial era take the floor, in order to enlighten their experiences from Algeria, under a subjective and retrospective prism, which allows to draw conclusions and attempt to interpret their very activity with specific research questions and criteria. Concluding, the work tries to nurture the research and the debate, spread in social sciences, on the political and cultural cooperation of the former countries-Metropolis (colonial countries) with the countries-colonies and the positive contribution that the protagonists of history can have, even in a micro-historic framework, in contrast with the significant negative resonances caused by political conflicts and crises.
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Le miroir chinois : les attitudes françaises face à la Chine dans les milieux politique, diplomatique, intellectuel et médiatique, de 1949 au milieu des années 1980 / The Chinese mirror : French attitudes towards China in political, diplomatic, intellectual and media spheres, from 1949 to the mid-1980s

Liu, Kaixuan 29 March 2019 (has links)
L’évolution des attitudes françaises face à la Chine entre 1949 et le milieu des années 1980 peut être divisée en trois phases. Entre l’établissement de la République populaire de Chine en 1949 et la rupture sino-soviétique au début des années 1960, la Chine est perçue par les observateurs français comme un pays communiste soviétisé, tant sur le plan intérieur que sur le plan diplomatique. L’attitude des Français vis-à-vis de cette Chine traduit leurs positionnements dans les confrontations de la guerre froide. La Chine est considérée selon les différents milieux comme un pilier du mouvement communiste international, une alternative plus humaine au communisme soviétique, ou une menace « jaune et rouge » pour l’Occident. Ensuite, pendant la période qui va de 1963 à la fin de la Révolution culturelle en 1976, la Chine n’est plus perçue comme un membre du camp communiste. La rupture sino-soviétique et la Révolution culturelle donnent naissance à l’idée d’un « modèle chinois », même si elle prend des formes différentes selon les observateurs. Pour les uns, la Chine représente l’espoir de la régénération du communisme ; pour les autres, elle applique un système opposé au monde industrialisé et nullement imitable ailleurs. La troisième phase couvre la période de 1976 au milieu des années 1980, pendant laquelle les rapports des Français à la Chine se normalisent. La passion française pour les relations franco-chinoises s’estompe, et les opinions françaises sur la Chine sont devenues plus lucides. / The evolution of French attitudes towards China between 1949 and the mid-1980s can be divided into three phases. Between the establishment of the People's Republic of China in 1949 and the Sino-Soviet split in the early 1960s, China is perceived by French observers as a Sovietized communist country, both domestically and diplomatically. Attitudes of French people towards this China reflect their positions in the confrontations of the Cold War. China is considered in different spheres as a pillar of the international communist movement, a more humane alternative to Soviet communism, or a "yellow and red" threat to the West. Then, during the period from 1963 to the end of the Cultural Revolution in 1976, China is no longer seen as a member of the communist camp. The Sino-Soviet split and the Cultural Revolution give birth to the idea of a "Chinese model", even if it takes different forms according to different observers. For some, China represents the hope of the regeneration of communism; for the others, it applies a system opposed to the industrialized world and not at all imitated elsewhere. The third phase covers the period from 1976 to the mid-1980s, during which the relations between French people and China normalize. France's passion for Franco-Chinese relationship is fading, and French views on China became more lucid.
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"Pleurons-les, bénissons leurs noms" : les commémorations de la Shoah et de la Seconde Guerre mondiale dans le monde juif parisien entre 1944 et 1967 : rituels, mémoires et identités / "Let us mourn them, blessed be their names" : Holocaust and World War Two commemorations among Parisian Jews between 1944 and 1967 : rituals, remembrance, and identities

Perego, Simon 07 December 2016 (has links)
De 1944 à la fin des années soixante, les groupements juifs parisiens organisèrent de multiples rassemblements pour commémorer la Shoah et la participation des Juifs à la défense et à la libération de la France pendant la Seconde Guerre mondiale. Ces cérémonies constituaient un rituel sociopolitique profondément ancré au sein d’un monde juif fortement clivé et politisé (première partie). Les commémorations s’apparentaient également à un vecteur de mémoire en articulant le deuil collectif et les expériences individuelles de la perte, en mettant en récit le passé commémoré et en œuvrant à sa transmission auprès des plus jeunes (deuxième partie). Enfin, les rassemblements étudiés jouaient le rôle de ressource identitaire, permettant aux Juifs de Paris de définir ce qu’ils étaient en se positionnant notamment par rapport à trois pôles d’identification : la France, l’État d’Israël et la tradition religieuse juive (troisième partie). Au vu de cette dense activité commémorative et des fonctions politiques, sociales et culturelles majeures qui lui étaient assignées, il apparaît que la Shoah ne fut en aucun cas passée sous le boisseau au sein de la vie publique juive dont il convient aussi de réévaluer la vitalité dans la France de l’après-guerre. Ces commémorations participèrent à la fabrique et à la reconstruction de la collectivité juive de Paris tant par le souci de leurs organisateurs de renforcer sa cohésion interne que par l’expression et la production des conflits qui la traversaient et la fragmentaient. C’est, pour partie du moins, autour de ses morts que le monde juif parisien revint à la vie au lendemain de la guerre et du génocide. / Between 1944 and the end of the sixties, Parisian Jewish groups organized many gatherings to commemorate the Holocaust and the Jewish contribution to France’s defense and liberation during World War Two. These ceremonies constituted an important sociopolitical ritual within the very divided and politicized Parisian Jewry (part I). Commemorations also served as a carrier of memory by articulating public mourning and individual experiences of loss, narrating the commemorated past, and transmitting it to the youngest members of the community (part II). Lastly, these gatherings played a key role as a source of identity, allowing Parisian Jews to define who they were, especially in relation to three pillars of identification : France, the State of Israel, and the Jewish religious tradition (part III). Given this dense commemorative activity and its major political, social and cultural functions, it is clear that the Holocaust was never kept quiet within French Jewish public life, whose postwar vitality is worth reevaluating. Commemorations contributed to the making of Parisian Jewry not only through their instigators’ efforts to reinforce the community's internal cohesion, but also by virtue of enabling the expression and emergence of conflicts. It is at least in part by gathering around its dead in the aftermath of war and genocide that the Parisian Jewish world returned to life.
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Les pouvoirs publics face à l’immigration algérienne en banlieue nord de Paris de la Libération aux années 1960 / The French authorities and the Algerian immigration in the northern Parisian suburb between1945 and 1962

Lounici, Fathia 13 February 2014 (has links)
L’intérêt principal proposé par le courant migratoire algérien réside dans son évolution ; il passe ainsi d’une migration marginale, durant les premières années, à une migration de masse et structurée. De 1945 jusqu’aux années 1952-1953, le « second âge de l’immigration algérienne », selon la formule d’Abdelmalek Sayad, se caractérise par une migration masculine essentiellement. Notre propos n’est pas d’expliquer les causes conjoncturelles de cette migration, mais d’insister sur deux aspects : le caractère économique de ces départs massifs vers « l’Eldorado », que représente la France à cet instant, et sur le caractère temporaire de ces départs envisagé comme tel à la fois par les autorités politiques de l’époque,mais aussi par les migrants. Dés le début des années 1950, la présence de femmes algériennes et de leurs enfants sur le territoire métropolitain est attestée. Leurs venues contribuent à modifier la physionomie de cette migration et amorcent le passage d’une migration de travailleurs à une migration familiale, phénomène bien antérieur au regroupement familial de1974.De la Libération à l’indépendance algérienne, les pouvoirs publics mettent en place un vaste dispositif d’aide sans précédent et exclusivement adressé aux Algériens, dans le domaine social, du travail et de la santé. A la fin des années 1950, la création de deux organismes, le Fonds d’Action Social et la SO.NA.CO.TR.AL parachèvent en quelque sorte cette politique sociale. L’objectif officiel de ces infrastructures est de lutter contre « une discrimination de fait » dont sont victimes ces Français Musulmans d’Algérie. Ce groupe constitue une catégorie atypique de migrants dans la mesure où ils sont Français depuis 1947 et peuvent à ce titre circuler librement entre les deux rives de la Méditerranée. Leur statut et la singularité de ce traitement les distinguent des autres immigrations présentes à cette époque.Il s’agit d’étudier de quelles manières les politiques mises en place ont contribué à faire de ce groupe migratoire une communauté de l’intérieur. Le recours à l’immigration algérienne a été dicté par des considérations politiques. La France d’après-guerre se trouve face à un paradoxe : cette main-d’oeuvre d’outre-mer, inévitable, est non désirée, par les autorités publiques mais également par le patronat français. Les pouvoirs publics, mobilisés sur ces questions, ont une gestion coloniale de la présence algérienne en banlieue où sous couvert de mener des actions sanitaires et sociales, il s’agit en définitive de mieux circonscrire ce groupe.Le cadre géographique retenu est la Seine-banlieue, et plus particulièrement, l’intérêt se porte sur les communes qui ont dû faire face à ces flux migratoires telles que Saint-Denis,Aubervilliers, Bobigny, Saint-Ouen, La Courneuve, Montreuil... La banlieue parisienne, urbaine et industrielle, est un véritable pôle d’attraction pour ces migrants en quête d’un emploi. Paris et sa banlieue font figure de laboratoires où diverses expériences dans le domaine du logement, de l’aide médicale et sociale ont été menées et ont pu servir de modèles d’inspiration pour d’autres départements. / The main advantage offered by the Algerian migratory flow lies in its evolution as it passes from a marginal migration during the early years to structured mass migration. From 1945until the years 1952 to 1953, the "2th age of Algerian immigration," according to Abdelmalek Sayad, is characterized by a predominantly male migration. Our intention is not to explain thetemporary causes of this migration, but to emphasize two aspects: the economic character ofthese massive departures to "Eldorado", as France was considered at that time, and thetemporary departures considered as such by both the political authorities of that time, but alsoby migrants. From the beginning of the 1950s, the presence of Algerian women and theirchildren in the metropolitan area is attested. This immigration changed the face of thismigration and initiated the transition from labor migration to family migration, a phenomenonwhich occurred well before the reunification in 1974.From Liberation to Algerian independence, the government implemented a comprehensivesystem of unprecedented measures and exclusively addressed to Algerians in the social, laborand health fields. In the late 1950s, the creation of two agencies, the Social Action Fund andSO.NA.CO.TR.AL topped off this social policy in some ways. The official goal of theseinfrastructures was to fight against "de facto discrimination" suffered by these French Muslims from Algeria. This group is a category of a typical migrants in so far as they are French since 1947 and as such can move freely between the two shores of the Mediterranean Sea. The status and uniqueness of this treatment differs from other immigrations present at this time. It is about studying the ways in which the implemented policies have contributed to make this group migration a community group from within. The use of Algerian immigration was dictated by political considerations. Post-war France is facing a paradox : that labor from overseas, inevitable, is unwanted by the public authorities but also by French employers. The government, mobilized on these issues, has a colonial management of the Algerian presence in the suburbs where, under the cover of conducting health and social actions, it is ultimately better to restrain this group. The geographical scope will be the Seine suburbs, and more specifically, the focus is on municipalities that have faced these flows such as Saint-Denis, Aubervilliers, Bobigny, Saint-Ouen, La Courneuve, Montreuil. The urban and industrial Parisian suburbs are a real magnet for migrants seeking employment. Paris and its suburbs is a reference laboratory where experiments in the field of housing, medical and social assistance have been conducted and have served as role models for other departments.
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Les soldats marocains face à la violence : 40 ans d’expérience dans l’Armée française (1914-1954) / Moroccan soldiers coping with violence : 40 years of experience within the French Army (1914-1954)

Doudou, Aziza 16 November 2018 (has links)
La confrontation des soldats marocains avec la violence est un phénomène qui s’inscrit dans le temps. Elle a pris des formes multiples alors que les soldats marocains combattaient sous le drapeau français et les questions liées aux traumatismes de guerre sont devenues assez récemment un réel enjeu de société. Or de ce point de vue les soldats marocains sous domination française (protectorat) offrent un terrain d’enquête jusqu’à présent peu traité au Maroc et en France. Pourtant, de 1914 à 1954, ces soldats marocains, notamment très présents en Indochine, ont subi les conséquences de l’expérience de la violence de guerre sur leur psyché. Nous avons cherché à saisir et interpréter leur comportement en insistant sur la période de l’après Deuxième Guerre Mondiale.Pour comprendre les tensions vécues en Indochine par les combattants marocains, il fut nécessaire de situer tout d’abord le combattant dans sa conjoncture socioculturelle et dans la série des expériences militaires vécues avant la guerre d’Indochine (Grande Guerre et la Seconde Guerre mondiale) sur la base des sources d’archives (militaires, diplomatiques, médicales) et de l’évaluation des approches psychiatriques et médicales de l’époque. Pour l’après-1945 le travail est enrichi par une collecte triple (témoignages, récits de vie, et sémiologie post-traumatique) auprès de quelques anciens combattants. Ainsi l’impact psychologique lié à violence de guerre sur quarante ans d’expérience au sein de l’armée d’Afrique (1914-1954) a pu être cerné de façon nouvelle puisqu’une partie des observations permises par la confrontation à des anciens combattants a une portée certaine pour l’époque antérieure à leur engagement.Tout ce qui relève de pathologies psychologiques ou psychiatriques, notamment durant la guerre d’Indochine, a été analysé et a permis de réévaluer les voies suivies par ces soldats, qui vont jusqu’à la désertion et le passage à l’ennemi vietnamien ou encore des coups de folie meurtriers ou suicidaires, et d’éclairer le rapport au politique de ces hommes pris entre des causes qui n’étaient pas les leurs. Pour le cas de l’Indochine, certains d’entre eux ont vécu cette guerre comme l’expérience d’un lieu d’affirmations idéologiques. L’exil du roi Mohamed V les amena parfois à rejoindre la résistance indochinoise. D’autres soldats, faits prisonniers par le Viet-Minh, ont été bouleversés par l’expérience de la captivité.Cette thèse éclaire ainsi le rapport à l’engagement dans l’armée coloniale, le rapport aux violences subies et données, et offre une interprétation des comportements constatés qui montre le fonctionnement discontinu du rapport au religieux, l’impact des traumas sur la capacité de remémoration et de tissage des rapports sociaux après les guerres. Ceci éclaire sous un nouvel angle les sources d’archive disponibles sur ces soldats marocains de l’Armée d’Afrique et la façon dont les violences ont pesé sur eux. Cette recherche amène à penser que la mise à l’écart des dimensions traumatiques — au profit de l’héroïsme le plus souvent — dans les décennies qui ont suivi l’ère du protectorat a produit un effacement qui a faussé en partie la perception de l’histoire vécue par ces combattants / The confrontation of the Moroccan soldiers with violence is a phenomenon that inscribes itself in the time. It took many forms as Moroccan soldiers fought under the French flag, and issues related to war trauma became a real social issue quite recently. From this point of view, Moroccan soldiers under French rule (protectorate) offer a field of investigation hitherto little treated in Morocco and France. However, from 1914 to 1954, these Moroccan soldiers, particularly present in Indochina, suffered from the consequences of the experience of war violence on their psyche. We sought to interpret their behaviour.To understand the tensions experienced in Indochina by the Moroccan fighters, it was necessary to first, locate the fighter in his socio-cultural situation and in the series of military experiences lived before the Indochina war (Great War and World War II) based on archival sources (military, diplomatic, medical) and the evaluation of psychiatric and medical approaches of the time. For post-1945, work is enriched by a triple collection (testimonials, life stories, and post-traumatic semiology) with some veterans. Thus, the psychological impact linked to wartime violence over forty years of experience in the African army (1914-1954) could be identified in a new way.All that pertains to psychological or psychiatric pathologies, especially during the Indochina war, was analysed and allowed to re-evaluate the tracks followed by these soldiers, who go as far as desertion and the passage to the Vietnamese enemy or murderous or suicidal feats of madness, and to enlighten the relation to politics of these men caught between causes which were not theirs. In the case of Indochina, some of them experienced this war as the experience of a place of ideological affirmations. The exile of King Mohamed V sometimes led them to join the Indochinese resistance. Other soldiers, taken prisoner by the Viet-Minh, were upset by the experience of captivity.This thesis emphasises the relation to the commitment in the colonial army, the relation to the violence suffered and given, and offers an interpretation of the observed behaviours, which shows the discontinuous functioning of the relation with the religious, the impact of the traumas on the ability to remembrance and weaving of social relationships after wars. This sheds new light on the available archive sources of these Moroccan soldiers of the Army of Africa and the way the violence has weighed on them. This research suggests that sidelining this dimension in the decades following the protectorate era has produced an erosion that has partially distorted the perception of the story of these fighters
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Histoire des syndicats de fonctionnaires et du mouvement social en Seine Maritime de 1944 à 1981 / History of Trade Unions of Civil Servants and the social movement in Seine-Maritime from 1944 to 1981

Miléo, Pierre 16 May 2019 (has links)
En 1944, le Conseil national de la Résistance décide de reconstruire un Etat social dans la continuité du Front populaire, avant que le second conflit ne l’interrompe. Les syndicats ouvriers réunifiés dans la CGT (sauf la CFTC) décident de soutenir ce programme. Les syndicats de fonctionnaires de Seine-Maritime s’organisent pour participer à cette reconstruction qu’ils attendaient. Quels sont leurs revendications ? Sur quoi s’appuient-ils pour les mettre en avant ? Quels sont les valeurs qu’ils défendent ? Attendent-ils tout de l’Etat social ? Quelle est leur conception de cet Etat social ? Enfin, quels moyens utilisent-ils pour le défendre et le faire progresser ? Obtenant la reconnaissance de leur liberté syndicale qui comprend le droit de grève, ils acceptent un statut qui se révèle fort protecteur vis-à-vis de l’administration et de sa hiérarchie. Ils obtiennent aussi la gestion de la Sécurité sociale par leurs mutuelles qui les entraînent, en Seine-Maritime, à construire une mutualité départementale unifiée et puissante. Toutefois, la division du monde en deux blocs, un libéral et un communiste, traverse ces syndicats et aboutit à la scission de 1947. Cela n’empêche pas la participation aux grèves de 1953 qui leur permet de sauver leur retraite. S’ils soutiennent le général de Gaulle (1890-1970) dans sa politique de décolonisation et contre les généraux factieux, ils l’affrontent sur sa politique institutionnelle, économique et sociale. La grève de 1968 en est l’aboutissement, par-delà les remises en cause. Mais pour rétablir l’Etat social qu’ils souhaitent, il leur faut soutenir les campagnes électorales de 1974 et 1981 du candidat de la gauche, François Mitterrand (1916-1996), qui l’emporte en 1981, en dépit de leurs divergences et grâce à la volonté unitaire de leurs militants. / In 1944, the National Council of Resistance decides to rebuild a welfare state, in continuation of the Popular Front, that the second World War stops it. The trade unions reunified, in CGT (except CFTC) decide to sustain this program. The trade unions of civil servants from Seine-Maritime organize themselves to take part in this rebuild that they waited for it. What are their demands ? On What do they lean themselves to put them before ? What are their values for which they fight? Do they wait all from the state ? What is their idea of this welfare state ? At least, what means do they use to fight for it and bring it to progress ? Getting the recognition of their freedom union laws, which includes right striking, they agree civil servant status which turn out very protective against their adminstration and its hierarchy. They get too the management of Health Security by their mutual insurances which lead them, in Seine-Maritme, to build a powerful departemental mutual insurance. However, the division of world in two blocks, one liberal and one communist, goes through these trade unions and leads to the break away of 1947 That does not prevent the participation to strikes of 1953 wich they are be able to save their retirement. If they sustain general De Gaulle in his decolonization policy and ag ainst seditious generals, they clash him on his institutional, économic and social policy. The strike of 1968 is the culmination of it, throuhgout adjournements. But in order to restore the welfare state that they hope, they must sustain lefts’ candidate, François Mitterrand, in their electoral compaigns of 1974 and 1981, who wins in this last year, in spite of their differences and thanks to the Will of unity of their activists.

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