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Espace et pouvoirs en grande Comore /Guébourg, Jean-Louis. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Th. univ.--Géogr.--Paris I, 1992. / Bibliogr. p. 545-572. Index.
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Étude de la mortalité infantile en Grande ComoreBoulianne, Nicole 08 February 2019 (has links)
Montréal Trigonix inc. 2018
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Mayotte et les Comores : escales sur la route des Indes aux XVe et XVIIIe siècles /Liszkowski, Henri Daniel. January 2000 (has links)
Th. 3e cycle--Hist. de l'Afrique--Paris--INALCO. / Bibliogr. p. 342-380. Index.
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Luttes de pouvoirs aux Comores : entre notables traditionnels, notables professionnalisés et politiques professionnels : le cas Azali /M'Sa Ali, Djamal, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Mémoire de maîtrise--Science politique--Paris 10, 2004. Titre de soutenance : Les détenteurs de pouvoir aux Comores, 1999-2004. / Bibliogr. p. 219-222.
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Transformations urbaines et dynamiques résidentielles dans l'archipel des ComoresGérard, Yann Pouyllau, Michel. January 2006 (has links)
Thèse doctorat : Géographie humaine : La Rochelle : 2006. / Bibliogr. p. 323-350.
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Épidémie de choléra aux îles Comores : année 1975.Gautier, Jean, January 1900 (has links)
Thèse--Méd.--Tours, 1976. N°: N° 53.
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Les facteurs explicatifs du rendement scolaire dans l'enseignement primaire aux îles Comores : la contribution des enseignants des classes de CM1 et de CM2Mohamed, Mohamed Ali 19 February 2022 (has links)
Ce travail matérialise la fin d’une formation doctorale en Administration et politique scolaires dans le cadre d’études avancées en Sciences de l’éducation. Il présente les résultats d’une recherche sur les facteurs explicatifs du rendement scolaire de l’enseignement primaire aux îles Comores. L’objet de cette étude s’enracine dans la continuité de nombreuses recherches ayant porté sur le problème des rendements scolaires dans les pays en voie de développement. Quelle est la part de responsabilité des enseignants dans l’explication de la réussite ou de l’échec scolaire au primaire aux Comores ? Quel effet les enseignants des écoles primaires des Comores exercent-ils, par le biais de leurs caractéristiques sociales et professionnelles et leurs pratiques pédagogiques, sur le rendement scolaire des élèves ? Qu’advient-il de l’effet de ces caractéristiques et pratiques lorsqu’on prend en compte d’autres facteurs contextuels (taille de la classe, possession de craie, qualité du tableau noir, proportion de mères analphabètes et proportion d’élèves s’abstenant de prendre le petit déjeuner) ? Telles sont les questions qui ont constitué la base de ce travail de recherche. Pour le cadre théorique de l’étude, nous nous sommes inspiré du modèle de Anderson sur l’amélioration de l’efficacité des enseignants (1992). En nous fondant sur ce modèle théorique, nous avons conçu un cadre d’analyse tiré de la fonction de production en éducation. L’étude a porté sur un échantillon effectif de 234 enseignants de la fin du cycle de l’enseignement primaire. L’outil de recherche utilisé est le questionnaire et l’approche générale demeure de type quantitatif. La moyenne annuelle pour l’année scolaire 1997-1998 pour chaque classe tenue par les 234 institutrices et instituteurs a servi pour mesurer le rendement scolaire des élèves. Les résultats de l’analyse de régression multiple montrent que sur dix huit (18) variables explicatives, seulement trois, dont la participation des élèves (Beta = 0,243), la proportion d’élèves s’abstenant de prendre le petit déjeuner avant de se rendre en classe (Beta= -0,273) et la proportion de mères analphabètes (Beta = -0,173), se sont avérées prédictrices du rendement scolaire. Les enseignants influencent donc le rendement des élèves par leurs pratiques pédagogiques dans un contexte où les variables culturelles et économiques continuent de peser lourdement sur les performances scolaires. Il ressort que la mise en relation simultanée de l’ensemble des variables explicatives avec la variable dépendante, i.e. le rendement scolaire, permet d’expliquer 22,7% de la variation des performances scolaires au dernier cycle du primaire aux Comores. Même si ces résultats n’apportent qu’un pourcentage d’explication relativement faible (22,7%) par rapport à ce que l’on peut découvrir dans d’autres études du genre, ils permettent d’ouvrir un nouveau pan de la recherche sur les déterminants du rendement scolaire dans ce pays.
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Contribution à l’inventaire des Phlébotomes (Psychodidae – Phlebotominae) de Madagascar et des îles voisines / Inventory and systematics of the Phlebotomine sand flies (Psychodidae – Phlebotominae) from Madagascar and neighboring islands.Randrianambinintsoa, Fano José 19 December 2013 (has links)
Durant de nombreuses décennies, la faune phlébotomienne (Diptera, Psychodidae, Phlebotominae) Malgaches est demeurée très peu explorée. Deux Grassomyia avaient été signalés puis une espèce décrite sous le nom de Sergentomyia berentiensis. A partir des années 2000, la faune de Madagascar a révélé une richesse et une diversité non soupçonnées jusqu'alors avec la description de plusieurs espèces nouvelles et d'un sous-genre nouveau : Vattieromyia. Cette thèse est une contribution à la connaissance des Phlébotomes de Madagascar et des îles voisines des Seychelles et des Comores.Notre approche a été qualitative et non quantitative. Les phlébotomes collectés à Madagascar, aux Comores et aux Seychelles ont été étudiés morphologiquement puis, pour certains d'entre eux, par biologie moléculaire à diverses fins : associations mâles-femelles et systématique évolutive. Dans ce dernier cas, différents marqueurs ribosomiques, mitochondriaux et nucléaires ont été séquencés selon les problématiques.A Madagascar, les Phlebotomus forment un groupe monophylétique. Nous suggérons, sur des arguments morphologiques et moléculaires, de les individualiser dans un sous-genre nouveau étant donnée la mise en évidence de la paraphylie du sous-genre Anaphlebotomus dans lequel ont été classées les espèces malgaches.Nos travaux révèlent que P. fertei possède une aire de distribution qui couvre la presque totalité du pays. Les séquences de cytochrome b individualisent de nombreuses populations selon leurs origines géographiques mais nous n'avons pas pu individualiser ces populations sur le plan morphologique et morphométrique. Les séquences de l'ITS2 n'individualisent pas ces populations et nous critiquons l'utilisation du cytochrome b, et plus largement des marqueurs mitochondriaux, pour la systématique des Phlébotomes.En ce qui concerne les autres espèces de Phlebotomus, elles possèdent toutes une distribution étroite, réduite à leur lieu de capture. Nous avons décrit deux espèces nouvelles durant cette thèse : P. vaomalalae et P. vincenti. Les études moléculaires et morphologiques révèlent l'existence d'au moins trois espèces nouvelles : deux sympatriques à Andranoilovy (dont une espèce commune avec Berenty) et une à Ankililaoka.Enfin, nous proposons le rattachement de P. huberti au genre Sergentomyia. Cette espèce ne possède pas de soies mésanepisternales et le mâle que nous décrivons dans ce travail possède les caractères génitaux des Sergentomyia. De plus, nous décrivons sur une la seule femelle, une espèce nouvelle proche de S. huberti. Une étude moléculaire menée avec d'autres espèces supposées proches (appartenant au sous-genre Sintonius) nous conduit à proposer la création d'un nouveau sous-genre pour classer ces espèces malgaches.Nous analysons la paléobiogéographie des Phlébotomes de Madagascar et envisageons au moins deux épisodes de peuplement : l'un très ancien (environ 120 millions d'années), « africain » datant de la fragmentation du Gondwana et le second, plus récent (65 millions d'années), provenant d'Asie via un pont formé par le plateau des Seychelles.D'un point de vue épidémiologique, la recherche d'ADN leishmanien s'est révélée négative sur tous les phlébotomes testés.Dans l'archipel des Comores, aucun phlébotome n'avait été rapporté. Au cours de trois campagnes de piégeage menées en 2003, 2007 et 2011, nous rapportons la première mention de phlébotomes dans ces îles et décrivons deux taxons nouveaux S. pessoni et S. goodmani comorensis.Aux Seychelles, nous avons identifié S. clydei à Aldabra. Cette population possède des séquences mitochondriales très différentes des nombreuses populations continentales étudiées. L'origine du peuplement de cette île volcanique demeure mystérieuse, sans adéquation avec les données relatives à l'horloge moléculaire du cytochrome b dont nous doutons de la fiabilité. / During the last century, the Phlebotomine sand fly fauna (Diptera, Psychodidae, Phlebotominae) of Madagascar remained largely unexplored. Two Grassomyia were recorded and a species has been described as Sergentomyia berentiensis. From the 2000s, this fauna revealed a richness hitherto unsuspected: it included the description of several new species for Science and of a new subgenus (Vattieromyia). The present study is a contribution to the knowledge of Phlebotomine sand flies from Madagascar and the neighboring archipelagos of the Seychelles and the Comoros.The sand flies collected in Madagascar, the Comoros and the Seychelles were studied morphologically and, for some of them, by molecular biology in order to associate males with females and also to perform molecular systematics. Several molecular ribosomal, nuclear, and mitochondrial markers have been combined.In Madagascar, the Phlebotomus are grouped in a clade. Based on morphological characters and molecular studies, we suggest their individualization in a new subgenus because we show subgenus Anaphlebotomus where the Malagasy Phlebotomus were classified, is paraphyletic.P. fertei exhibits a wide distribution all over country. Sequences of cytochrome b individualize many populations linked to their geographical origins. However, it is not possible to individualize these populations based on morphological and morphometric characters. The sequences of ITS2 do not individualize these populations and we criticize the use of cytochrome b and other mitochondrial markers for the systematics of Phlebotomine sand flies.Regarding the other Malgaches Phlebotomus, all of them have a narrow distribution, reduced to their place of capture. We described two new species for Science: P. vaomalalae and P. vincenti. Moreover, molecular and morphological studies support the existence of at least three new species: two in sympatry in Andranoilovy (probably also recorded in Berenty) and one in Ankililaoka.Finally, we propose that P. huberti belongs to the genus Sergentomyia and not to the genus Phlebotomus. It does not have mesanepisternal setae and the male that we describe here exhibits Sergentomyia's genital characters. Moreover, we described on a female belonging to a new species close to S. huberti. We carried out a molecular study including continental species supposed closely related (belonging to the subgenus Sintonius). It individualizes the Malagasy specimens and consequently, considering their typical pharyngeal armature, we propose the creation of a new subgenus to classify them.We analyze the paleobiogeography of Malagasy sand flies. In agreement with generalized tracks, the settlement of Madagascar followed two routes at different times: one very old (about 120 million years ago), from "Africa" dating from the Gondwana fragmentation and the second, more recent (65 million years), from Asia using a bridge formed by the Seychelles plateau.From an epidemiological point of view, the search of Leishmania DNA was negative in all sandflies processed.In the Comoros Archipelago, no sand fly had been reported in the past. During three field works carried out in 2003, 2007 and 2011, we report the first record of sandflies in these islands and we describe two new taxa: S. pessoni and S. goodmani comorensis.In the Seychelles, we identified S. clydei in Aldabra. This population has mitochondrial sequences highly differing from those of many continental populations processed. The settlement of this volcanic island remains mysterious. They are not in agreement with molecular clock of cytochrome b sequences which seems of doubtful use.
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Envois de fonds et pauvreté : le cas des Comores / Remittances and poverty : case of ComorosYounoussa, Imani 20 September 2011 (has links)
L’objectif de cette étude est de mesurer l’impact des envois de fonds extérieurs sur la pauvreté aux Comores. Les envois de fonds à destination des Comores ont été évalués à 117 millions Usd en 2010, représentant ainsi 24 pour cent du PIB. Les envois de fonds sont de loin, la première ressource extérieure des Comores, devant l’Aide publique au développement, qui représente environ 10 pour cent du PIB. Les migrants comoriens qui envoient des fonds sont composés d’une grande majorité d’employés à faible qualification (66 pour cent). Réciproquement, près de la moitié des bénéficiaires, sont issus des classes pauvres. Le « Grand mariage » est le motif principal d’envoi de fonds. Deux méthodes d’analyse ont été développées dans cette étude : l’une descriptive et l’autre économétrique. L’approche économétrique considère les envois de fonds comme une donnée endogène, résultant d’un « contrat implicite » entre les migrants et les bénéficiaires. La conclusion de l’étude est la suivante : les envois de fonds contribuent à une réduction des indices de pauvreté. L’impact sur les inégalités est mitigé. L’incidence de pauvreté (P0) baisse de -3,5 pour cent, sous l’effet des envois de fonds. La profondeur (P1) et la sévérité (P2) baissent respectivement de -7,4 pour cent, et -5,8 pour cent avec les envois de fonds. Les envois de fonds ont plus d’impact sur la pauvreté, pour les catégories des ménages suivantes : celles vivant en milieu rural, celles vivant en Grande Comore, celles dirigées par les femmes, les chômeurs et les inactifs. On observe alors que, ce sont les catégories des ménages qui bénéficient le plus d’envois de fonds en termes de dépenses par tête, qui enregistrent le plus d’impact sur la réduction de la pauvreté. / The target of this study is to measure the impact of the remittances on the poverty. The remittances to Comoros were evaluated to 113 Usd million in 2010, thus representing 24 percent of the GDP. The remittances are by far, the first external resource of the Comoros, in front of public Aid, which represents only approximately 10 percent of the GDP. The Comorian migrants, who send funds, are composed by a great majority of the employees with weak qualification (66 percent). Reciprocally, about half of the recipients, are resulting from the poor classes. The “Grand marriage” is the principal reason for remittances. Two methods of analysis were developed in this study: one descriptive and the other one, econometric. The econometric approach regards the remittances as an endogenous data, resulting from a “implicit contract” between the migrants and the recipients. The conclusion of the study is as follows: the remittances contribute to the reduction of the indices of poverty in Comoros. The effect on the inequalities is mitigated. The incidence of poverty (P0) drops by -3,5 percent, under the effect of the remittances. The depth (P1) and severity (P2) drop respectively by -7,4 percent, and -5,8 percent with the remittances. The remittances have more impact on poverty of the following categories of the households: those alive in rural areas, those alive in Grand Comore, those directed by the women, the unemployeds and the inactives. The categories of the households which are received the most remittances in terms of expenditure per capita, records the most impact on poverty reduction.
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Recul et persistance du paludisme en Union des Comores : une approche géographique pour déterminer l’importance des facteurs environnementaux et sociaux dans son maintien / Roll-back and persistence of malaria in the Union of the Comoros : a geographical approach to assess the importance on environmental and social factors in its maintenanceArtadji, Attoumane 08 February 2019 (has links)
Le paludisme a sévi dans l’archipel des Comores depuis 1925 où une grande épidémie s’est déclenchée à la Grande Comore. Ces îles ont offert des conditions favorables au développement des vecteurs responsables de la transmission du paludisme (Anopheles gambiae et Anopheles funestus) avec un climat tropical humide, une forte densité hydrographique, un environnement forestier et marécageux et la construction de citernes de collecte d’eau de pluie dans les habitations. Cette maladie est devenue endémique stable depuis les années 70 et un problème de santé publique majeur jusqu’aux années 2000. Dès la fin des années 90, le gouvernement comorien a décidé de mettre en place une stratégie de lutte contre le paludisme par la lutte anti-vectorielle et la protection de la population contre les piqûres des moustiques. Ces vingt dernières années, ces actions de lutte contre le paludisme se sont intensifiées et, pour la première fois, un traitement de masse à base d’Artequick a été réalisé à Mohéli (2007-2009), à Anjouan (2012-2013) et à la Grande Comore (2013). Depuis, un recul spectaculaire du paludisme a été observé sur l’ensemble des îles, car Mohéli et Anjouan sont entrées en phase de pré-élimination et la Grande Comore en phase de contrôle. Cette thèse décrit, dans la première partie, l’évolution spatiale et temporelle du paludisme avant et après le traitement de masse pour appréhender l’impact des différentes actions de lutte. Une cartographie de la prévalence en milieu hospitalier et de l’incidence du paludisme à l’échelle des districts sanitaires et des villages montre son recul à Anjouan et Mohéli et son maintien à la Grande Comore. Les tests d’autocorrélation spatiale ont révélé une similitude de la transmission du paludisme entre des localités proches, qui forment des clusters à la Grande Comore. Nous avons démontré, dans la deuxième partie, qu’il existe bel et bien une influence des facteurs environnementaux sur la transmission du paludisme bien que les actions de lutte ont plus de poids. À l’échelle des districts sanitaires, des modèles de régressions linéaires simple et multiple ont été établis entre l’incidence du paludisme et les caractéristiques de l’occupation du sol des îles et les indicateurs paysagers à l’échelle des villages de la Grande Comore. Une enquête sur les connaissances, les pratiques et les vulnérabilités des populations a été menée sur 1288 ménages de l’Union des Comores pour appréhender les facteurs de vulnérabilité favorables à la transmission du paludisme. Au-delà de la présence des citernes dans les ménages, le lieu de dépôt de déchets ménagers favoriserait son maintien à la Grande Comore. L’enquête a révélé que plusieurs ménages de la grande île n’avaient pas pris le traitement de masse de 2013. Cette thèse permet de mieux comprendre les aspects humains et environnementaux du maintien du paludisme et vise ainsi à mieux cibler les futures actions de lutte. / Malaria has been present in the Comoros archipelago since 1925, when a major epidemic was first recorded in Grande Comore. The islands have been favourable to the development of vectors causing malaria transmission (Anopheles gambiae and Anopheles funestus) due to the high tropical rainfall, high hydrographic density, the suitable environment with forests and wetlands, as well as the construction of water reservoirs in households. This disease has been endemic since the 1970s and a major public health problem until the 2000s. From the end of the 1990s, the Comorian government has decided to implement a strategy to control malaria by anti-malaria vector control and population protection against mosquito bites. In the last twenty years, malaria control efforts have been intensified and for a first time, mass treatment with Artequick has been carried out in Mohéli (2007-2009), Anjouan (2012-2013) and Grande Comore (2013). There has since been a dramatic decline in malaria on all the islands, as Mohéli and Anjouan have entered a pre-elimination phase and Grande Comore is in the control phase. In the first part, this thesis describes the spatial and temporal dynamics of malaria before and after mass treatment in order to understand the impact of different control actions. A mapping of hospital prevalence and incidence of malaria at the district and village levels shows its decline in Anjouan and Mohéli and its persistence in Grande Comore. Spatial autocorrelation tests have revealed a similarity in malaria transmission between neighbouring localities that are forming clusters in Grande Comore. In the second part, it was demonstrated that environmental factors have an influence on malaria transmission, despite the greater importance of control actions. At the district level, simple and multiple linear regression models have been established between the incidence of malaria and land cover / land use patterns of islands and landscape indicators at the village level in Grande Comore. A survey on people's knowledge, practices and vulnerabilities was conducted among 1,288 households in the Union of the Comoros to assess factors of vulnerability that contribute to malaria transmission. Beyond having water reservoirs in households, the waste disposal location would also have an impact on malaria in Grande Comore. The survey revealed that several households on the large island did not take the 2013 mass treatment. This thesis provides a better understanding of the human and environmental aspects of malaria maintenance and thus aims to better target future control actions.
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