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Le développement de la compréhension des conséquences interpersonnelles des émotionsHurtubise, Mariève 02 April 2013 (has links)
Le but de la présente thèse de doctorat est d’examiner le développement de la connaissance des conséquences interpersonnelles des émotions au cours de l’enfance. Le premier objectif de cette thèse est d’examiner le développement de la justesse du raisonnement des enfants lorsqu’ils doivent choisir parmi trois choix de réponses celui qui explique le mieux les conséquences découlant de l’expression et de la dissimulation de la colère et de la tristesse chez leurs pairs. Le deuxième objectif est de mieux comprendre les types d’erreur commise par les enfants dans le contexte de la dissimulation. Deux études ont été menées afin de répondre à ces objectifs. Dans chacune d’elles, des enfants âgés de 5 à 10 ans ont écouté des histoires dans lesquelles des personnages décident d’exprimer ou de dissimuler l’émotion qu’ils ou qu’elles ressentent. L’enfant devait choisir ce que les pairs du personnage principal allaient faire et penser comme suite à l’expression et à la dissimulation de la tristesse et de la colère. Les résultats montrent que, dès le début de la période scolaire, les enfants ont une certaine connaissance des conséquences interpersonnelles de l’expression de la colère et de la tristesse, tant sur le plan du comportement que sur celui des pensées, c’est-à-dire du type d’évaluation qu’une personne est susceptible de faire. Cependant, les enfants ont plus de facilité à choisir correctement les conséquences interpersonnelles de ces émotions lorsque celles-ci sont exprimées plutôt que dissimulées. Les enfants âgés de 8 à 10 ans peuvent toutefois mieux se représenter l’effet que l’expression et la dissimulation d’une émotion peuvent avoir sur la pensée et le comportement d’un autre enfant. Les enfants de 5 à 6 ans ont plus de difficulté à comprendre l’effet trompeur que peut avoir l’expression d’une émotion. Les analyses montrent que le type de dissimulation semble contribuer à la représentation qu’ont les enfants des comportements et des pensées interpersonnels déclenchés par la dissimulation. Les enfants de nos études avaient plus de difficulté à choisir les comportements et les pensées des personnages lorsque le personnage principal de l’histoire neutralisait son émotion. Nos résultats montrent aussi qu’il est plus facile pour l’enfant de se représenter les conséquences interpersonnelles de la dissimulation lorsque le personnage principal connaît moins l’autre personnage.
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Le développement de la compréhension des conséquences interpersonnelles des émotionsHurtubise, Mariève 02 April 2013 (has links)
Le but de la présente thèse de doctorat est d’examiner le développement de la connaissance des conséquences interpersonnelles des émotions au cours de l’enfance. Le premier objectif de cette thèse est d’examiner le développement de la justesse du raisonnement des enfants lorsqu’ils doivent choisir parmi trois choix de réponses celui qui explique le mieux les conséquences découlant de l’expression et de la dissimulation de la colère et de la tristesse chez leurs pairs. Le deuxième objectif est de mieux comprendre les types d’erreur commise par les enfants dans le contexte de la dissimulation. Deux études ont été menées afin de répondre à ces objectifs. Dans chacune d’elles, des enfants âgés de 5 à 10 ans ont écouté des histoires dans lesquelles des personnages décident d’exprimer ou de dissimuler l’émotion qu’ils ou qu’elles ressentent. L’enfant devait choisir ce que les pairs du personnage principal allaient faire et penser comme suite à l’expression et à la dissimulation de la tristesse et de la colère. Les résultats montrent que, dès le début de la période scolaire, les enfants ont une certaine connaissance des conséquences interpersonnelles de l’expression de la colère et de la tristesse, tant sur le plan du comportement que sur celui des pensées, c’est-à-dire du type d’évaluation qu’une personne est susceptible de faire. Cependant, les enfants ont plus de facilité à choisir correctement les conséquences interpersonnelles de ces émotions lorsque celles-ci sont exprimées plutôt que dissimulées. Les enfants âgés de 8 à 10 ans peuvent toutefois mieux se représenter l’effet que l’expression et la dissimulation d’une émotion peuvent avoir sur la pensée et le comportement d’un autre enfant. Les enfants de 5 à 6 ans ont plus de difficulté à comprendre l’effet trompeur que peut avoir l’expression d’une émotion. Les analyses montrent que le type de dissimulation semble contribuer à la représentation qu’ont les enfants des comportements et des pensées interpersonnels déclenchés par la dissimulation. Les enfants de nos études avaient plus de difficulté à choisir les comportements et les pensées des personnages lorsque le personnage principal de l’histoire neutralisait son émotion. Nos résultats montrent aussi qu’il est plus facile pour l’enfant de se représenter les conséquences interpersonnelles de la dissimulation lorsque le personnage principal connaît moins l’autre personnage.
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Le développement de la compréhension des conséquences interpersonnelles des émotionsHurtubise, Mariève January 2013 (has links)
Le but de la présente thèse de doctorat est d’examiner le développement de la connaissance des conséquences interpersonnelles des émotions au cours de l’enfance. Le premier objectif de cette thèse est d’examiner le développement de la justesse du raisonnement des enfants lorsqu’ils doivent choisir parmi trois choix de réponses celui qui explique le mieux les conséquences découlant de l’expression et de la dissimulation de la colère et de la tristesse chez leurs pairs. Le deuxième objectif est de mieux comprendre les types d’erreur commise par les enfants dans le contexte de la dissimulation. Deux études ont été menées afin de répondre à ces objectifs. Dans chacune d’elles, des enfants âgés de 5 à 10 ans ont écouté des histoires dans lesquelles des personnages décident d’exprimer ou de dissimuler l’émotion qu’ils ou qu’elles ressentent. L’enfant devait choisir ce que les pairs du personnage principal allaient faire et penser comme suite à l’expression et à la dissimulation de la tristesse et de la colère. Les résultats montrent que, dès le début de la période scolaire, les enfants ont une certaine connaissance des conséquences interpersonnelles de l’expression de la colère et de la tristesse, tant sur le plan du comportement que sur celui des pensées, c’est-à-dire du type d’évaluation qu’une personne est susceptible de faire. Cependant, les enfants ont plus de facilité à choisir correctement les conséquences interpersonnelles de ces émotions lorsque celles-ci sont exprimées plutôt que dissimulées. Les enfants âgés de 8 à 10 ans peuvent toutefois mieux se représenter l’effet que l’expression et la dissimulation d’une émotion peuvent avoir sur la pensée et le comportement d’un autre enfant. Les enfants de 5 à 6 ans ont plus de difficulté à comprendre l’effet trompeur que peut avoir l’expression d’une émotion. Les analyses montrent que le type de dissimulation semble contribuer à la représentation qu’ont les enfants des comportements et des pensées interpersonnels déclenchés par la dissimulation. Les enfants de nos études avaient plus de difficulté à choisir les comportements et les pensées des personnages lorsque le personnage principal de l’histoire neutralisait son émotion. Nos résultats montrent aussi qu’il est plus facile pour l’enfant de se représenter les conséquences interpersonnelles de la dissimulation lorsque le personnage principal connaît moins l’autre personnage.
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Emotional understanding in clinical and normal children in correlation with mothers' emotional awareness and attitudes toward children's expressivenessGómez-Guerrero, Sabrina January 2003 (has links)
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Le lien entre l'insécurité de l’attachement et le vocabulaire réceptif à 5 ans et la compréhension des émotions à 6 ans et le rôle modérateur du sexe de l'enfantAl-Khoury, Christine 08 1900 (has links)
Objectif de l’étude. La compréhension des émotions est un sujet qui intéresse les chercheurs puisqu’elle contribue à la régulation des émotions, l’intégration et la réussite scolaire. Dans la présente étude, on cherche à évaluer la contribution de l’attachement et du langage réceptif à 5 ans sur le développement de la compréhension des émotions à 6 ans et ce en contrôlant pour l’âge de l’enfant et le risque familial (immigration des parents, revenu familial, statut familial, éducation de la mère). Ensuite, on cherche à évaluer le rôle modérateur du sexe de l’enfant sur les liens étudiés.
Méthode. Les participants proviennent de l’étude longitudinale 3D transition pour un échantillon de 196 enfants. Les mères ont complété l’échelle du Attachment Insecurity Screening Inventory (AISI). L’échelle de vocabulaire en image de Peabody (EVIP) et le test de compréhension des émotions (TEC) ont été mesurés directement auprès de l’enfant.
Résultats et conclusion. Les analyses de régression linéaires démontrent la présence d’un lien significatif entre le langage réceptif à 5 ans et la compréhension des émotions à 6 ans. Également, à 6 ans les filles ont un niveau plus élevé de compréhension des émotions que les garçons. En ce qui concerne l’attachement, les résultats n’indiquent pas de lien avec la compréhension des émotions. Les résultats soulignent l’importance d’intervenir dès un jeune âge sur le langage réceptif qui peut avoir une influence sur le développement des compétences socioémotionnelles de l’enfant et ce particulièrement auprès des garçons. / Study aims. Emotion understanding is a topic of interest to researchers as it contributes to the regulation of emotions, integration and academic success. In the present study, we seek to assess the contribution of attachment and receptive language at age 5 on the development of emotional understanding at age of 6, controlling for child age and family risk (parents' immigration status, family income, family structure, mothers’ education). Then, we tested the moderating role of child sex on the links studied.
Method. The participants came from the longitudinal 3D transition study with a sample of 196 children. Mothers completed the Attachment Insecurity Screening Inventory (AISI) scale. The Peabody Picture Vocabulary Scale (EVIP) and the Test of Emotion Understanding (TEC) were administered directly to the child.
Results and conclusion. Linear regression analyses show a significant association between receptive language at age 5 and emotion understanding at age 6. Also, at 6 years, girls have a higher level of emotion understanding than boys. Regarding attachment, the results do not show any connection with emotion understanding. The results underline the importance of intervening from an early age on receptive language which can influence the emotional development of children, especially for boys.
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