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L'elenchos socratique - la place de la honte et de la colère dans l'éducationAlain, Anne-Sophie 02 February 2024 (has links)
Dans ce mémoire, nous examinons la dimension affective de la réfutation socratique et son rôle dans l’éducation. Nous voyons comment la réfutation traite du problème de la double-ignorance, et ce pour quoi elle pourrait être efficace pour provoquer le désir de connaître. Nous examinons la place que prend la honte et la colère dans le processus de même que les obstacles à la réfutation. / In this work, we examine the affective aspect of Socratic elenchus and its role in education. We see howrefutation deals with the problem of double ignorance, and how it could be an effective way to provoke thedesire to know. We examine the place that shame and anger take in the process as well as the obstaclesto refutation.
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La connaissance des situations et des règles d’expression de colère chez l’enfantPinard, Fanny 26 September 2012 (has links)
Un certain nombre de recherches antérieures se sont intéressées à la connaissance qu’ont les enfants des situations et des motivations pour dissimuler la joie et la tristesse. Cependant, les études ciblant la colère et les raisons pour l’exprimer demeurent peu nombreuses. L’objectif général de la thèse était d’examiner la perception des enfants d’âge scolaire des situations et des règles d’expression de colère. Dans un premier temps, nous visions à produire un inventaire de thèmes évocateurs de colère représentatifs du vécu des enfants, en plus de documenter la connaissance des règles d’expression de la colère ainsi que les facteurs qui l’influencent. Nous avons interrogé 93 participants : 16 garçons et 18 filles de 7 ans, 16 garçons et 18 filles de 9 ans, et 11 garçons et 14 filles de 11 ans. Ceux-ci fournissaient des exemples de situations de colère lors d’interactions avec différents agents: pair familier, pair peu familier, adulte familier et adulte peu familier. Ils indiquaient ensuite l’intensité de la colère ressentie, leur expression faciale, ainsi que la motivation pour l’expression et pour la dissimulation. Les thèmes «restrictions comportementales», «contrainte à effectuer une tâche» et «refus de répondre à une demande» ont été mentionnés plus souvent lorsque l’agent était un adulte, alors que les thèmes «agression physique/ver
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La connaissance des situations et des règles d’expression de colère chez l’enfantPinard, Fanny 26 September 2012 (has links)
Un certain nombre de recherches antérieures se sont intéressées à la connaissance qu’ont les enfants des situations et des motivations pour dissimuler la joie et la tristesse. Cependant, les études ciblant la colère et les raisons pour l’exprimer demeurent peu nombreuses. L’objectif général de la thèse était d’examiner la perception des enfants d’âge scolaire des situations et des règles d’expression de colère. Dans un premier temps, nous visions à produire un inventaire de thèmes évocateurs de colère représentatifs du vécu des enfants, en plus de documenter la connaissance des règles d’expression de la colère ainsi que les facteurs qui l’influencent. Nous avons interrogé 93 participants : 16 garçons et 18 filles de 7 ans, 16 garçons et 18 filles de 9 ans, et 11 garçons et 14 filles de 11 ans. Ceux-ci fournissaient des exemples de situations de colère lors d’interactions avec différents agents: pair familier, pair peu familier, adulte familier et adulte peu familier. Ils indiquaient ensuite l’intensité de la colère ressentie, leur expression faciale, ainsi que la motivation pour l’expression et pour la dissimulation. Les thèmes «restrictions comportementales», «contrainte à effectuer une tâche» et «refus de répondre à une demande» ont été mentionnés plus souvent lorsque l’agent était un adulte, alors que les thèmes «agression physique/ver
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La connaissance des situations et des règles d’expression de colère chez l’enfantPinard, Fanny January 2012 (has links)
Un certain nombre de recherches antérieures se sont intéressées à la connaissance qu’ont les enfants des situations et des motivations pour dissimuler la joie et la tristesse. Cependant, les études ciblant la colère et les raisons pour l’exprimer demeurent peu nombreuses. L’objectif général de la thèse était d’examiner la perception des enfants d’âge scolaire des situations et des règles d’expression de colère. Dans un premier temps, nous visions à produire un inventaire de thèmes évocateurs de colère représentatifs du vécu des enfants, en plus de documenter la connaissance des règles d’expression de la colère ainsi que les facteurs qui l’influencent. Nous avons interrogé 93 participants : 16 garçons et 18 filles de 7 ans, 16 garçons et 18 filles de 9 ans, et 11 garçons et 14 filles de 11 ans. Ceux-ci fournissaient des exemples de situations de colère lors d’interactions avec différents agents: pair familier, pair peu familier, adulte familier et adulte peu familier. Ils indiquaient ensuite l’intensité de la colère ressentie, leur expression faciale, ainsi que la motivation pour l’expression et pour la dissimulation. Les thèmes «restrictions comportementales», «contrainte à effectuer une tâche» et «refus de répondre à une demande» ont été mentionnés plus souvent lorsque l’agent était un adulte, alors que les thèmes «agression physique/ver
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Rumination de la tristesse et de la colère et les comportements agressifs chez les adolescentes en difficultésGobeil, Annick January 2011 (has links)
Ce projet de mémoire porte sur l'étude du concept de rumination mentale, plus particulièrement sur les ruminations de la colère et de la tristesse. Actuellement, l'état des connaissances établit avec évidence le lien entre la rumination et les problèmes internalisés, autant à l'âge adulte, à l'adolescence qu'à l'enfance (Ingram, 1990 ; Mor et Winquist, 2002 ; Papageorgiou et Wells, 2004 ; Segerstrom et Miller, 2004 ; Thomsen, 2006 ; Nolen-Hoeksema, Wisco et Lyubomirsky, 2008). Toutefois, peu d'études se sont attardées aux relations entre la rumination et les comportements extériorisés, dont l'agression. Malgré tout, les liens possibles entre la rumination et les conduites agressives suscitent d'importants questionnements. La présente recherche s'inscrit donc dans la lignée de ces questionnements. À cet effet, ce mémoire a pour objectif général de vérifier si la rumination de la tristesse et de la colère est liée de façon unique et distinctive à des affects et comportements spécifiques. Cette étude a donc cherché à vérifier si la rumination de la tristesse est uniquement associée aux symptômes de la dépression ou si elle peut être associée aux comportements agressifs et à vérifier si la rumination de la colère est uniquement associée aux comportements agressifs ou si elle peut être associée aux symptômes de la dépression. Considérant le fait que la majorité des études qui ont traité les ruminations l'ont effectué auprès d'échantillons adultes, nous avons proposé d'étendre l'étude de ce concept auprès d'une clientèle adolescente. Plus particulièrement, l'échantillon est constitué d'adolescentes hébergées des unités de réadaptation du Centre Jeunesse de Montréal - Institut Universitaire et du Centre Jeunesse de Laval (N= 319). Cette étude propose donc plus spécifiquement de mesurer : la force des associations entre la rumination de la colère et de la tristesse et les différentes formes de comportements agressifs (physique, verbale et indirecte) chez les adolescentes en difficulté, la force des associations entre la rumination de la colère et de la tristesse et les symptômes de dépression chez les adolescentes en difficulté ainsi que l'influence spécifique des ruminations (de la colère et de la tristesse) au-delà de la contribution des sentiments de colère dans leur association avec les trois formes de comportements agressifs (physiques, verbaux et indirects) et les symptômes de dépression. Avant de réaliser ces objectifs, une validation du questionnaire portant sur les ruminations le Sadness and Anger Rumination Scale (SARI) de Peled et Moretti (2007) a été réalisée. Ensuite, des corrélations, des analyses de régression multiple et des analyses de régression hiérarchique ont été réalisées avec les données de nos différents instruments de mesure. Les principaux résultats obtenus dans cette étude indiquent que la rumination de la colère améliore notre capacité à comprendre l'adoption de certains comportements agressifs (physiques, verbaux et indirects) et la présence de symptômes de la dépression au-delà des sentiments de la colère. La rumination de la tristesse contribue pour sa part dans la compréhension des symptômes de dépression chez les adolescentes de notre échantillon. Sommairement, ceci vient donc mettre en lumière l'importance des cognitions dans la compréhension de la présence de certaines difficultés puisqu'elles ont une influence qui leur est spécifique, et ce, au-delà des émotions que présentent les adolescentes hébergées en Centre Jeunesse. Comme le concept de rumination mentale demeurait peu documenté lorsqu'il est mis en relation avec les conduites agressives à l'adolescence, notre projet de recherche a permis un certain avancement des connaissances en ce qui a trait à l'implication de ce concept dans ces relations. De plus, cette étude est venue enrichir la compréhension de la régulation cognitive des émotions dans un contexte clinique et a mis en lumière l'importance d'intervenir sur ce type de cognitions.
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Les précurseurs cognitifs de la colère au sein du coupleDupont, Geneviève 12 November 2021 (has links)
La présente étude a pour objectif d'examiner la relation entre le sentiment de colère, différents types de précurseurs cognitifs potentiels de ce sentiment et le degré d'ajustement conjugal de conjoints mariés ou cohabitant. Ainsi, 225 couples francophones présentant une moyenne d'âge de 35.1 ans ont participé à la recherche. Les résultats montrent d'abord qu'il existe différents types de relations entre les précurseurs cognitifs, le sentiment de colère et l'ajustement dyadique des participants. Ces relations varient selon le sexe et le degré de satisfaction conjugale des conjoints. À cet effet, il apparaît que chez les hommes le modèle d'explication de l'ajustement conjugal fait appel à plus de variables que le modèle observé chez les femmes. Il en est de même pour les conjoints satisfaits comparativement aux conjoints en détresse conjugale. Les analyses font aussi état de d'autres disparités sexuelles importantes. En effet, les femmes semblent expérimenter davantage d'insécurité, d'injustice et ressentir aussi plus de colère que les hommes.
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La socialisation masculine et la problématique de violence une question d'identité? : recherche exploratoire de récits biographiques d'hommes présentant une problématique de violenceGuay, Etienne January 2008 (has links)
La présente étude explore I'articulation entre la notion de socialisation et le concept identitaire. La première intention à travers I'exploration de ces deux notions est d'aborder la problématique de la violence telle que vécue par les hommes. De fait, I'approche compréhensive de la présente étude mise sur le sens que ces derniers font de leur histoire et de leurs actions. Ainsi, à travers leurs témoignages, recueilli par le biais d'entrevues semi-dirigées réalisées en intégrant une approche biographique, se dégage une compréhension du phénomène de la violence. Cette demeure est le reflet d'un contexte, d'une identité ainsi qu'un mode relationnel privilégié. À travers les récits apparaît une vision du changement et des réflexions en ce qui concerne I'accompagnement social réalisé auprès d'hommes présentant une problématique de la violence.
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Agression sexuelle, attachement, colère et violence conjugale chez des hommes qui consultent en psychologieDarveau, Vivianne January 2011 (has links)
Plusieurs garçons sont victimes d'agression sexuelle dans leur jeunesse au Canada (Daigneault, Hébert, & McDuff, 2009). Puisque cette expérience traumatique a de sérieuses conséquences à court terme, il est important de porter un intérêt spécifique aux effets à long terme de cette forme de victimisation (Finkelhor, 2008). À cet effet, l'agression sexuelle subie dans l'enfance a déjà été associée à la violence conjugale chez les adultes (Senn, Carey, Vanable, Coury-Doniger, & Urban, 2006) et il apparaît important de comprendre comment l'expérience de victimisation peut être reliée à l'agression. Des études montrent que les enfants ayant vécu un trauma incorporent une rupture d'attachement (Crittenden, 1988a; Egeland & Sroufe, 1981) et éprouvent des difficultés à réguler leurs affects (Main & Hesse, 1990). Par ailleurs, l'agression sexuelle subie par les hommes dans l'enfance est liée à une anxiété d'abandon élevée à l'âge adulte (Godbout, Sabourin, & Lussier, 2007) et l'anxiété d'abandon est également liée à la mauvaise gestion de la colère (Lafontaine & Lussier, 2005). De plus, l'insécurité d'attachement et la gestion dysfonctionnelle de la colère sont reliées théoriquement à la violence conjugale émise (Brown, 2004). Ainsi, cette étude vise l'exploration des liens empiriques entre l'agression sexuelle vécue dans l'enfance, l'insécurité d'attachement adulte (évitement de l'intimité et anxiété d'abandon), la colère (le sentiment, le trait de personnalité colérique, les styles de gestion) et la violence conjugale (physique et psychologique) auprès d'un échantillon clinique d'hommes. À leur admission dans un service d'aide thérapeutique, 104 hommes qui consultaient principalement pour des problèmes liés à la violence et aux conflits conjugaux, ont complété des mesures auto-administrées d'attachement adulte, de colère au sein du couple et de violence conjugale. Les analyses de régression multiple révèlent qu'une agression sexuelle subie dans l'enfance est liée à la répression de la colère, mais n'est pas liée à l'insécurité d'attachement ni à la violence conjugale émise par les hommes de l'échantillon. L'insécurité d'attachement est reliée à la violence psychologique émise et ces liens sont expliqués par la gestion de la colère. Précisément, l'anxiété d'abandon prédit l'émission de violence psychologique via le trait de personnalité colérique, la répression, l'expression inadéquate de la colère et le faible contrôle de la colère. De plus, l'évitement de l'intimité prédit l'émission de violence psychologique via le trait de personnalité colérique, la répression de la colère et le faible contrôle de la colère. Par ailleurs, une fois la désirabilité sociale contrôlée, seule l'anxiété d'abandon prédit encore la violence psychologique émise via le trait de personnalité colérique et l'expression inadéquate de la colère. Sur le plan clinique, ces résultats suggèrent l'importance de considérer les enjeux liés aux insécurités d'attachement dans les interventions ciblant la gestion de la colère et la violence psychologique émise en couple.
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Sous le signe de la colère : étude d’une passion ostentatoire (Henri Michaux, Louis-Ferdinand Céline) / Under the sign of anger : study of an ostentatious passion (Henri Michaux, L.-F. Céline)Hachette, Pauline 29 November 2018 (has links)
L’émotion « par excellence » qu’est la colère défie particulièrement sa mise en mots et soulève des questions pragmatiques complexes entre colère éprouvée, colère écrite et colère lue. Afin de cerner ces spécificités nous interrogeons différents modèles (rhétorique, esthétique, éthique) à partir desquels la théorie littéraire tente de saisir les émotions suscitées par la lecture, et nous exposons une méthode d’analyse du texte des affects (sémiotique des passions). Les apports possibles de conceptions philosophiques et psychologiques de l’émotion ne faisant pas du langage une médiation essentielle sont questionnés. Ces différentes perspectives d’analyse sont alors appliquées à une étude diachronique de la colère et des imaginaires, formes et valeurs dont nous avons hérité. Les apports de cette enquête sont ressaisis à partir de modélisations de ce champ passionnel. Deux écritures singulières de la colère, apparemment antinomiques mais se revendiquant toutes deux ostensiblement de cette passion et de son énergie, sont alors étudiées. Les textes de Michaux nous amènent à questionner à partir d’un bon usage de la colère le fondement passionnel du pouvoir poétique dans le cadre d’une énonciation jouant d’une distanciation affichée. Féerie pour une autre fois de L.-F. Céline, entre stratégie rhétorique et recherche esthétique d’un « style émotif », nous donne à voir comment une crispation furieuse mettant en échec une lecture « classique » du récit, libère la puissance créatrice de l’affect. Entre approche globale et études de cas, on réinterroge à travers la colère les enjeux du passionnel dans l’espace littéraire. / As an emotion « par excellence » anger particularly defies its setting into words and raises complex pragmatic questions between experienced, written and read angers. In order to determine its specificities we analyse and experiment various pragmatics models (rhetoric, esthetics, ethics) from which the literary theory tries to seize the emotion caused bu the reading, and we expose a method of analysis of the textual affects (semiotic of passions). The possible contributions of philosophical and psychological designs of the emotion, not making the language an essential mediation, are questioned. These various prospects of analysis are then applied to a diachronic study of anger and the imaginaries, forms and values of it we inhenrited. This investigation is seized again thanks to modelings of this passion field. Two singular writings of anger, apparently antithetical but asserting both openly this passion and its energy, are then studied. The texts of Micbaux, displaying a distant attitude, lead us to question how a good use of anger can be the base of poetic power. Féerie pour une autre fois, by L. F. Céline, between rhetorical strategy and aesthetic search of an « émotive » style, gives us to see how a furious crispation, while putting in failure a « classical » reading of the account, allows the deployment of the creative power of the affect. Between a global approach and case studies we reinterpret, through anger, the issues of the expression of passions in the literary space.
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Le développement de la compréhension des conséquences interpersonnelles des émotionsHurtubise, Mariève 02 April 2013 (has links)
Le but de la présente thèse de doctorat est d’examiner le développement de la connaissance des conséquences interpersonnelles des émotions au cours de l’enfance. Le premier objectif de cette thèse est d’examiner le développement de la justesse du raisonnement des enfants lorsqu’ils doivent choisir parmi trois choix de réponses celui qui explique le mieux les conséquences découlant de l’expression et de la dissimulation de la colère et de la tristesse chez leurs pairs. Le deuxième objectif est de mieux comprendre les types d’erreur commise par les enfants dans le contexte de la dissimulation. Deux études ont été menées afin de répondre à ces objectifs. Dans chacune d’elles, des enfants âgés de 5 à 10 ans ont écouté des histoires dans lesquelles des personnages décident d’exprimer ou de dissimuler l’émotion qu’ils ou qu’elles ressentent. L’enfant devait choisir ce que les pairs du personnage principal allaient faire et penser comme suite à l’expression et à la dissimulation de la tristesse et de la colère. Les résultats montrent que, dès le début de la période scolaire, les enfants ont une certaine connaissance des conséquences interpersonnelles de l’expression de la colère et de la tristesse, tant sur le plan du comportement que sur celui des pensées, c’est-à-dire du type d’évaluation qu’une personne est susceptible de faire. Cependant, les enfants ont plus de facilité à choisir correctement les conséquences interpersonnelles de ces émotions lorsque celles-ci sont exprimées plutôt que dissimulées. Les enfants âgés de 8 à 10 ans peuvent toutefois mieux se représenter l’effet que l’expression et la dissimulation d’une émotion peuvent avoir sur la pensée et le comportement d’un autre enfant. Les enfants de 5 à 6 ans ont plus de difficulté à comprendre l’effet trompeur que peut avoir l’expression d’une émotion. Les analyses montrent que le type de dissimulation semble contribuer à la représentation qu’ont les enfants des comportements et des pensées interpersonnels déclenchés par la dissimulation. Les enfants de nos études avaient plus de difficulté à choisir les comportements et les pensées des personnages lorsque le personnage principal de l’histoire neutralisait son émotion. Nos résultats montrent aussi qu’il est plus facile pour l’enfant de se représenter les conséquences interpersonnelles de la dissimulation lorsque le personnage principal connaît moins l’autre personnage.
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