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Une méditation sur le temps : pour un espace poétique /Saint-Amant, Ginette. January 1998 (has links)
Mémoire (M.A.)--Université du Québec à Chicoutimi, 1998. / Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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Histoire du cabinet des estampes de Genève et de ses collections / The history of the department of prints at the Musée d’art et d’histoire of Geneva and his collectionsSimon, Jean-Claude 04 November 2017 (has links)
L’histoire du Cabinet des estampes de Genève et de ses collections, est un sujet aux aspects multiples. Celui-ci est fondé en 1886 pour réunir les collections de la Ville et son fonds d’estampes est évalué à cette époque à plus de 110.000 pièces, résultant d’apports successifs, ayant pour origine la collection du premier Musée des Beaux arts de la Ville et la collection de François Burillon.L’enrichissement des collections, après 1910, font aujourd’hui de ce cabinet l’un des cabinets suisses importants, avec un fonds estimé à environ 350.000 pièces dont environ 150.000 acquises après 1956 et orienté en majorité sur l’art contemporain.L’histoire d’un Cabinet d’estampes ne se résume pas à l’enrichissement de ses collections. C’est aussi l’histoire d’une institution culturelle vouée aux Beaux-arts sous ces différents aspects. Si le travail sur les collections reste la base de son activité, elle comprend également une vie au quotidien dont il est rarement fait état. C’est aussi les relations avec son public et les moyens qu’il lui donne pour accéder à ses collections, une activité qui va prendre de plus en plus d’importance et se traduit principalement par la mise en place d’expositions temporaires. / The department of prints at the Musée d‘art et d’histoire of Geneva and his collections has along and complex history. Originally founded in 1886 to bring together all works on paper owned by the City of Geneva, it was split into a prints and drawings collection by the mid 1890’s. The print collection then was attached to the former museum of applied arts until 1910 for then being integrated into the library. From 1910, i.e. the founding of the Musée d’art et d’histoire, until 1952, the print collection remained in the main museum. This year it was transferred into an adjacent building. The Cabinet des Estampes, recently designed under the name of Cabinet d’arts graphiques includes a wide range of works: some 350’000 prints and 25’000 drawings, but also ca. 400 pastels, artist’s books, multiples and photographs and a large collection of printing plates. The history of a prints room is not only dedicated to the development and management of his collections. It includes also the life of a museum under his different aspects. If the work on collections remains his principal activity, it is also the daily life, rarely mentioned, but also his relations with the public: direct access to the collections and temporary exhibitions.
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Vivre l'art du quotidien /Laforge, Lise. January 1993 (has links)
Mémoire (M.A.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1993. / Ce travail de recherche a été réalisé à l'UQAC dans le cadre du programme de maîtrise en arts plastiques extensionné de l'UQAM à l'UQAC. CaQCU Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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Lieu d'impressions, lieu en mouvance /Lapierre-Otis, Rita, January 2002 (has links)
Maîtrise (M.A.)--Université du Québec à Chicoutimi, 2002. / Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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La réception de Rembrandt van Rhyn à travers les estampes en France au XVIIIe sièclePrigot, Aude 09 December 2011 (has links)
L’art de Rembrandt, s’il est vivement admiré dans la France du XVIIIe siècle, n’en déroute pas moins ces biographes. En dépit d’un génie largement reconnu, il incarne le rejet des règles classiques défendues par l’académie royale de peinture et de sculpture. De fait ces contempteurs n’ont de cesse de dénoncer sa manière « peu léchée », son « style raboteux » ainsi que sa prétendue méconnaissance de la peinture italienne. Son œuvre gravé seul échappe à cette doxa : si la technique du peintre est pour une grande part incomprise, ses gravures, a contrario, font l’objet d’un véritable engouement, ouvrant par là-même de vastes perspectives au sein de l’histoire de l’art du XVIIIe siècle français : théoriques d’abord, puisque ses estampes font l’objet du premier catalogue raisonné en 1751 par Edme-François Gersaint (1694-1751), Jean-Baptiste Glomy (1694-1750) et Pierre-Charles –Alexandre Helle ( ?-1767), artistique ensuite, encourageant par son exemple l’art de la gravure, donnant naissance à de nombreuses imitations, copies, pastiches, fruit du labeur appliqué tant des graveurs professionnels que des amateurs éclairés, fervents collectionneurs de son œuvre gravé. / In the beginning of the eighteenth century, the reception of the Rembrandt ‘s prints is ambivalent, account of the difficulty to conciliate the evident genius of the Dutch master with the classical norms of the French Académie royale de peinture et de sculpture. What is more, the majority of French amateurs doesn’t know wery well the Rembrandt’s prints : most of them are part of the dutch culture, illustration of dutch books, ( Médéa), dutch customs (The star of the Kings) or dutch citizen ( Jan Six). The multiplication of the impressions of a same print adds to this problem. This explain why Edme-François Gersaint (1694-1750), one of the most important art dealer in Paris compiled the first comprehensive book to understand the Rembrandt’s prints, a Catalogue raisonné, published in 1751, which he introduced to this form for the first time. With this book, Gersaint gives to the Rembrandt’s prints numbers and titles which are still in use nowadays, and creates criteria to serve as a means for attributing a work to the master, a pupil, an imitator or a forgers. All this system has for result to avoid misunderstandings or confusions with the prints of Bol or Lievens. Translated in the year 1752 in English, it is reworked by Adam Bartsch in 1797 and sell in all Europe. This dissertation proposes to study the genesis of the Gersaint’s catalogue, how Rembrandt’s prints have permitted to create this particular form of art literature, how the French dealer finds anecdotes on Rembrandt’s prints and the titles, still in use nowadays. In a second part, we will interest us on the posterity of the catalogue, how it becames a model too and will modifies all the perception of Rembrandt oeuvre in particular and the perception of prints in general, a perception that we still have and, finally, giving birth to an important numbers of copies and pastiches caused by professionals engravers and amateurs.
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L'Ordre des Prêcheurs au miroir de l'estampe française et flamande (1594-1720) / The Order of Preachers through the Mirror of French and Flemish Engravings (ca. 1594-1720)Rousseau, Claire 29 September 2018 (has links)
En 1594, l’Ordre des Prêcheurs engage en France une réforme. À la fin du XVIIe siècle, le Maître général Antonin Cloche tente de nouveau d’aviver l’esprit d’observance. Parallèlement, l’Ordre devient pour les pouvoirs politiques, en France et aux Pays-Basméridionaux, un instrument de lutte contre les Réformés. Les dominicains s’engagent également dans tous les débats théologiques internes à l’Église catholique et se mobilisent pour les missions jusqu’aux extrémités de l’Asie. Ces évènements et la glorification des saints suscitent la création d’images gravées sur cuivre, commandées par l’Ordre ou indépendamment de celui-ci. Retrouver ces estampes, françaises et flamandes, comprendre leur processus d’émergence et le but qui leur fut assigné est l’objet du présent travail. L’enquête croise ainsi des données historiques internes à l’Ordre et supranationales. Sur le plan artistique, l’étude accorde une attention particulière, d’une part, à la circulation des graveurs et des modèles et, d’autre part, à l’émergence de styles propres. Ainsi se trouve valorisée l’articulation entre l’épanouissement de la taille-douce au XVIIe siècle, le discours d’un Ordre, et le regard porté sur lui. / This thesis focuses on the representation of the members of the Dominican Order as found in seventeenth century engravings. It seeks to examine the role of the French and Flemish engravers commissioned by the Order of Preachers in order to stress its social and moral importance. The engravings are an integral part of an artistic heritage with his own language, challenging our perception of the Dominican story, and more generally of the history itself. This has enabled us to question the contribution and the capacity of images either to reflect or to distort, like a mirror, the spiritual life and the theological debates in both the Church and in society during the seventeenth century.
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Anne d’Autriche en ses images : légitimation du pouvoir féminin et culture visuelle de la majesté dans la France du XVIIe siècle / The images of Anne of Austria : legitimation of feminine power and visual culture of majesty in 17th century FranceBril, Damien 03 December 2018 (has links)
Anne d’Autriche occupe une place importante, longtemps négligée, dans le développement de l’iconographie royale en France au XVIIe siècle. Ecartée du pouvoir sous le règne de son mari Louis XIII, elle est pourtant le sujet de très nombreuses représentations. Sa présence dans le champ des images connaît un net développement lorsqu’elle accède aux responsabilités du gouvernement à la mort du roi, en 1643, en devenant régente au nom de son fils mineur, Louis XIV. Au-delà de sa majorité en 1651, elle conserve un rôle éminent, jusqu’à la mort de Mazarin en 1661. Ces deux décennies sont marquées par une profonde crise politique qui culmine dans l’épisode de la Fronde. Dans ce contexte, l’image d’Anne d’Autriche devient le support d’un discours sur l’autorité monarchique et sur la défense du pouvoir royal. A partir d’un corpus constitué des représentations de la régente, et en les croisant avec des sources textuelles, cette thèse analyse la construction visuelle de ce discours, et ses effets sur l’évolution de l’image de la royauté en France après le règne de Louis XIII. La « majesté », qui constitue dans le corpus des textes, juridiques, politiques et symboliques, la qualité essentielle du souverain et la marque de son identité, doit ainsi être traduite visuellement dans une incarnation féminine, dans un pays où les lois fondamentales, notamment la loi salique, écartent pourtant les femmes du pouvoir. La richesse du corpus rassemblé pour cette thèse, près de cinq cent images, offre une source essentielle pour comprendre de quelle manière la reine a su dépasser cette contrainte et contribuer, en renouvelant ses modèles, à la représentation de l’autorité monarchique. Cette étude permet ainsi de reconsidérer le rapport des femmes au pouvoir. Pour analyser ces différentes questions, la thèse s’organise en quatre parties. La première partie s’attache à comprendre l’image de la reine régnante, en analysant dans un premier chapitre la définition juridique de la reine, pour montrer de quelle manière l’ordre juridique détermine l’ordre symbolique. On peut ainsi expliquer en quoi le mariage de la reine en 1615 et son introduction à la cour constitue une « naissance iconographique ». Le second chapitre explore les différents aspects de ce portrait de la reine en montrant qu’il relève à la fois de caractères propres et de réactions à la situation – politique et civile – de la reine. La deuxième partie soulève la question des moyens mis en œuvre pour opérer la transformation de cette image, qui permet à la reine d’apparaître en régente du royaume. Le troisième chapitre analyse plus particulièrement les étapes chronologiques de cette transformation, tandis que le quatrième chapitre étudie, sur un plan pratique, la « fabrication » de cette image. La troisième partie envisage ensuite le contenu des images, en dressant une analyse en trois temps de son iconographie. Le cinquième chapitre aborde ainsi le corps de la reine comme support des dimensions morales de son portrait. Le sixième chapitre approfondit cette question dans la perspective religieuse, en étudiant de quelle manière la régente parvient à produire l’image d’une reine « très chrétienne ». Le septième chapitre conclut cette analyse iconographique sur la dimension politique de l’image d’Anne d’Autriche. La quatrième et dernière partie est enfin l’occasion d’analyser le « fonctionnement » de ces images. Le huitième chapitre montre combien la situation des représentations de la reine dans les décors est déterminante pour leur interprétation, en envisageant les cas des résidences royales puis des intérieurs privés. Enfin, le neuvième chapitre propose une étude de la performance des images, en étendant l’analyse aux usages publics des représentations de la reine, dans les monuments ou au cours des cérémonies. / Anne of Austria offers an important part, yet neglected, in the the development of royal iconography in seventeenth century France. Devoided from management of power under the reign of her husband Louis XIII, she is however the subject of many representations. The number of her images increases when she accedes to the responsibilities of the government at the death of the king, in 1643, becoming regent in the name of her minor son, Louis XIV. Beyond its majority in 1651, she maintains herself at a prominent place, until the death of Mazarin in 1661. During these two decades, a deep political crisis in France culminates in the so-called Fronde. In this context, the image of Anne of Austria becomes the instrument of a visual narrative on monarchical authority and for the defense of the royal power. Crossing a large corpus of representations of the regent with textual sources, this thesis analyzes the visual construction of this narrative, and its effects on the evolution of the image of power in France after the reign of Louis XIII. In contemporary legal and symbolic literature, "majesty" is presented as he essential quality of the sovereign and the mark of his identity. It must then be visually translated in a female incarnation, despite the fundamental laws, in particular the Salic law, which however exclude women from power. The abundance of the images collected for this thesis, nearly five hundred items, offers an essential source to understand how the queen was able to overcome this constraint and contribute, by renewing its models, to the representation of the monarchical authority. This thesis allows us to reconsider the relationship between women and power. To analyze these different issues, the thesis is organized in four parts. The first part attempts to understand the image of the reigning queen, analyzing in a first chapter the legal definition of the queen, to show how the legal order determines the symbolic one. One can thus understand how the marriage of the queen in 1615 and her arrival at the court can be apprehended as an "iconographic birth". The second chapter explores the different features of this portrait of the queen, showing that it is at the same time a revelation of personal characteristics of the queen and a reaction to the queen's political and civil situation. The second part raises the question of the means implemented to operate the transformation of this image, which allows the queen to appear as regent of the kingdom. The third chapter analyzes in particular the chronological stages of this transformation, while the fourth chapter studies, from a practical point of view, the "fabrication" of this image. The third part then considers the content of the images, drawing up a three-step analysis of its iconography. The fifth chapter addresses the body of the queen as a support for the moral dimensions of her portrait. The sixth chapter deepens this question in the religious perspective, studying how the regent manages to produce the image of a queen "très chrétienne". The seventh chapter concludes this iconographic analysis by studying the political dimension of Anne of Austria's image. The fourth and last part gives finally an analysis of the way these images "operate". The eighth chapter shows how the situation of the queen's representations in decor is decisive for their interpretation, considering the cases of the royal residences and the private interiors. Finally, the ninth chapter proposes a study of the performance of images, extending the analysis to the public uses of representations of the queen, in monuments or during ceremonies.
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An economic analysis of price behaviour in the market for paintings and printsCzujack, Corinna January 1997 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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