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Florimond Robertet and the French political institution of Secretary of StateCossette, Gary Douglas, January 1970 (has links)
Thesis (M.A.)--University of Wisconsin--Madison, 1970. / eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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De l'ethos « préalable » à l'ethos « discursif » : la construction de la figure du polémiste catholique dans les ouvrages de Florimond de Raemond (1540?-1601) / From the « Prior ethos » to « the discursive » one : the elaboration of the catholic polemist persona in Florimond de Raemon's work (1540?-1601)Plaut, Aurélie 19 November 2009 (has links)
Florimond de Raemond (1540 ?-1601) est une figure majeure de l'intelligentsia bordelaise. Successeur de Michel de Montaigne au Parlement de Bordeaux, il participe activement aux conflits religieux qui déchirent le royaume durant la seconde moitié du XVIe siècle. Si la postérité a retenu de lui l'image d'un parlementaire intransigeant, ultra-catholique et peu tolérant, c'est parce que durant toute sa vie, Raemond ne cesse de combattre le protestantisme. La lutte qu'il mène pour la religion catholique romaine par la rédaction des arrêts et des lois se voit complétée en 1587 par un autre engagement, celui de « l'entrée en polémique ». Raemond change alors de visage et devient un parlementaire-controversiste dont les ouvrages connaissent un succès certain. Ces deux « occupations » ne sauraient être séparées. En effet, Raemond conçoit le glaive et la plume comme deux éléments symbiotiques, deux armes au service d'une seule et même cause. C'est pourquoi, les ouvrages de Florimond de Raemond ne peuvent être étudiés en tant que tels mais doivent être envisagés comme l'élément central d'une stratégie au service de l'édification d'un « moi » social. La vie de Raemond, telle que nous avons pu la reconstituer, n'est qu'une longue suite d'événements confirmant une volonté d'appartenir à un certain « réseau » d'érudits. Son « moi » social - autrement nommé l'habitus chez Pierre Bourdieu, l'ethos « préalable » chez Ruth Amossy ou l'ethos « pré-discursif » chez Dominique Maingueneau - est donc le résultat d'un désir personnel entraînant des choix de vie. Qu'il s'agisse de son milieu familial et de sa jeunesse, de ses mariages, de son attachement à sa province d'origine, de ses amitiés littéraires et politiques, de la manière dont il acquiert progressivement l'un des plus beaux hôtels particuliers de la ville offrant au public un véritable musée d'antiques, tout pousse à croire que rien n'est dû au hasard mais bien plus à une volonté consciente d'autopromotion. / Forimond de Raemond (1540 ?-1601) was a major figure in the intelligentsia of Bordeaux. The successor to Michel de Montaigne in the Parliament of Bordeaux, he participated actively in the religious conflicts which tore the realm apart during the second half of the sixteenth century. If posterity has retained of him the image of an intransigent parliamentarian, ultra-Catholic and far from tolerant, that is because throughout his life Raemond never ceased to combat Protestantism. The struggle that he waged on behalf of the Roman Catholic religion by drawing up decrees and laws found fulfilment in 1587 in another form of engagement, namely his “entry into polemics”. Raemond then altered his aspect and became a controversialist parliamentarian, whose writings met with a certain success. These two activities cannot be separated. Indeed, Raemond conceived of the sword and the pen as two symbiotic elements, two weapons in the service of one and the same cause. This is why the works of Florimond de Raemond cannot be studied in isolation but must be viewed as the central element of a strategy aimed at constructing a social persona. The life of Raemond, insofar as we have been able to reconstitute it, amounts to a long series of events confirming his desire to belong to a certain “network” of learned men. Hence his social persona - otherwise identified as the “habitus” by Pierre Bourdieu or the “ prior ethos” by Ruth Amossy - is the result of a personal desire involving choices in life. Whether one considers his family situation and his youth, his marriages, his attachment to his province of origin, his literary and political friendships, or the way in which he progressively acquired one of the finest private residences in the city, offering the public a veritable museum of antiquities, all leads us to suppose that nothing was due to chance but rather to a conscious will to self-promotion.
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La contribution de Florimond Ronger, dit Hervé, au développement de l'opérette (1848-1870) : éléments biographiques et mécanismes du comiqueBlanchet, Pascal 08 1900 (has links)
La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU). / Aujourd’hui, le nom du « père de l’opérette », Florimond Ronger, dit Hervé (1825-1892), se résume bien souvent à une note de bas de page dans les volumes d’histoire de la musique. S’il est vrai, pour emprunter la formule de Jules Lemaître, que l’opérette est le seul genre dramatique qu’ait produit la seconde moitié du XIXe siècle, on peut s’interroger sur les raisons de l’oubli dans lequel est tombé un compositeur qui, de son vivant, remporta pourtant des succès comparables à ceux de son plus célèbre rival, Jacques Offenbach (1819-1880).
Cette thèse a pour objectif d’évaluer l’apport d’Hervé à la naissance et au développement du genre de l’opérette de 1848 à 1870. Pour ce faire, ce travail survole dans un premier temps la vie et la carrière d’Hervé pour observer la nature de sa participation au développement du genre et l'impact de sa biographie sur cette trajectoire ; dans un deuxième temps, nous étudions son approche du comique telle qu’elle se manifeste dans le livret et la musique de ses œuvres. Le premier des quatre chapitres qui composent cette thèse dresse un bilan des données biographiques qu’on peut extraire des trois livres qui ont été consacrés au moins en partie à Hervé (Schneider 1924, Ghesquière et Cariven-Galharret 1992 et Rouchouse 1994). Le chapitre 2 montre le nouvel éclairage que jette sur la carrière du compositeur le dépouillement d’archives, et aborde entre autres le sujet délicat et fortement occulté jusqu’à maintenant du procès et de la condamnation du compositeur pour détournement de mineur. Le chapitre 3 propose un inventaire des ressorts du comique employés dans les opérettes de Hervé entre 1848 et 1870 et plus spécifiquement dans L’œil crevé (1867), première œuvre ambitieuse en trois actes où se cristallisent l’ensemble des procédés comiques du compositeur. Le chapitre 4 observe l’application de ces procédés dans Le petit Faust (1869), une parodie du Faust (1859) de Gounod, qui s’est avéré le plus grand succès d’Hervé et constitue probablement son chef-d’œuvre. / Today, the name of “the father of operetta”, Florimond Ronger, who worked under the moniker Hervé (1825-1892), is generally relegated to a footnote in the annals of music history. Yet, if Jules Lemaître's contention that operetta is the only dramatic genre produced by the second half of the nineteenth century is indeed true, one may well ponder how its leading exponent, a composer whose works attained a level of success during his lifetime comparable to that of his most famous rival, Jacques Offenbach (1819-1880), could fall into obscurity.
The purpose of this dissertation is to evaluate the contribution of Hervé to the birth and development of operetta from 1848 to 1870. To do this, this work shall first survey Hervé's life and career to examine the nature of his participation in the development of the genre and the impact of his biography on its trajectory. Next, we shall study his approach toward the comic as it manifests in both the libretti and music of his works. Chapter 1 of the four which comprise this dissertation provides an overview of the biographical data which can be extracted from the three books devoted at least in part to Hervé (Schneider, 1924; Ghesquière and Cariven-Galharret, 1992; and Rouchouse, 1994). Chapter 2 is a distillation of the information gleaned from an examination of the archives which sheds new light on the career of the composer. Among other topics, the delicate and heretofore highly obscure subject of Hervé's trial and conviction for enticement of a minor will be explored. Chapter 3 consists of a general inventory of the comic devices used in the operettas of Hervé between 1848 and 1870 and more specifically a detailed analysis of those found in L’œil crevé (1867), his first ambitious work in three acts wherein is found the synthesis and crystallization of all the composer’s comic devices. Chapter 4 examines the implementation of these same techniques in Le petit Faust (1869), a parody of Gounod’s Faust (1859), which proved to be Hervé's greatest success and probably his masterpiece.
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